Photos prises aujourd'hui

L'aciérie de l'usine Arcelor Mittal de Gandrange, en Moselle, dont la fin annoncée en janvier 2008 a donné lieu à une bataille syndicale et politique, ferme définitivement ce mardi. Nicolas Sarkozy s'était rendu le 4 février 2008 dans l'usine, dont 575 emplois sur 1.100 étaient condamnés, et avait pris l'engagement d'en pérenniser l'activité par des investissements, "avec ou sans Mittal". La CGT a appelé à une manifestation mardi en début d'après-midi devant l'entrée de l'usine "pour rendre hommage à ceux qui, pendant 40 années d'existence de l'aciérie, ont fabriqué plus de 60 millions de tonnes d'acier". (d'après AFP)

Le bâtiment d'Arcelor Mittal, ce soir, à la Plaine Saint Denis. Photo : JS

A la veille du Sommet du G20 et à l'occasion du 60ème anniversaire de l'OTAN, Nicolas Sarkozy répondra en direct aux questions de Jean-Pierre Elkabbach ce mercredi matin entre 8h et 8h30 sur Europe 1. L'interview, qui durera une demi-heure, sera réalisé depuis l'Elysée.

Aujourd'hui à 17h30 - Table ronde avec Daniel Conh-Bendit, Hervé Kempf et d'autres personnalités au Magasin Fnac de Montparnasse, 136, Rue Rennes, Paris (6ème)

Daniel Cohn-Bendit au Salon du Livre 2009. Photo : Jacques Snap

Daniel Cohn-Bendit au Salon du Livre 2009. Photo : Jacques Snap

Daniel Cohn-Bendit en 1968

L'animateur radio Jean-Jacques Bourdin a convaincu un de ses auditeurs de ne pas se suicider, révèle lundi 30 mars le site du Point. Dimanche 29 mars vers 22h00, les pompiers du 10e arrondissement sont appelés pour prendre en charge un homme d'une quarantaine d'années menaçant de sauter du toit d'un immeuble. L'homme affirme aux secours qu'il acceptera de ne pas se suicider uniquement s'il parle à Jean-Jacques Bourdin, animateur de la matinale sur RMC. Rapidement, les pompiers appellent la station pour que le rédacteur en chef du soir appelle l'animateur. Prévenu, Jean-Jacques Bourdin rappelle les secours qui lui proposent d'avoir une conversation téléphonique avec un homme qu'on décrit "sensé, mais ayant de très graves problèmes personnels", et par ailleurs fidèle auditeur de la radio. Un médecin situé à quelques mètres de l'homme met en contact les deux hommes après avoir donné quelques consignes au journaliste. Pendant 25 minutes, Jean-Jacques Bourdin fait parler l'homme qui, à la fin de la communication, renonce à sauter et se laisse prendre en charge par les secours. L'animateur de l'émission d'actualités Bourdin & co n'a pas souhaité revenir sur l'évènement, mais l'homme doit rencontrer prochainement celui qui lui a sauvé la vie.

La Tour Eiffel est inaugurée le 31 mars 1889, en avant-première de l'Exposition universelle de Paris qui commémore le centenaire de la Révolution française.

Elle a été construite en 2 ans et 2 mois selon les plans audacieux de Gustave Eiffel, promoteur infatigable de l'architecture en acier. Fait remarquable : aucun accident mortel à déplorer !

La tour mesure 318 mètres (environ 1000 pieds), ce qui en fait le plus haut édifice jamais construit. Elle pèse 10.100 tonnes, avec 18.000 pièces de fer et 2.500.000 rivets.

Prévue pour être détruite après l'exposition, la tour devra sa survie à l'installation à son sommet, par Gustave Eiffel lui-même, d'une antenne qui permettra de diffuser les premières émissions de radio sur Paris.

Si elle n'est plus depuis longtemps le plus haut édifice du monde, la «vieille dame» conserve toujours les faveurs du public et l'amour des Parisiens. À preuve les illuminations et le feu d'artifice qui ont salué l'entrée dans le troisième millénaire.

Photo JS

Un film de Volker Schlöndorff

« Les désarrois de l’élève Törless » (en allemand : Der junge Törless), premier film du réalisateur Volker Schlöndorff, remporte le prix FIPRESCI au festival de Cannes en 1966. Dans un noir et blanc somptueux mais glacé, ce film ambitieux raconte les comportements sadiques d’une classe d’adolescents entre les murs d’une académie militaire au tout début du 20éme siècle. Un nouveau venu parmi eux, l’élève Torless incarné brillamment par Matthieu Carrière alors âgé de 16 ans, va observer d’un œil froid et distancié, les tortures et les rudoiements infligés à Basini, un élève qui a été pris sur le vif en train de voler un de ses camarades dans le grenier de l’académie. Il devient une sorte d’esclave consentant du meneur de ces jeux sadiques Reiting, joué en dandy par Fred Dietz.

Matthieu Carrière

Mathieu Carrière a grandi à Berlin, avant de partir pour Lübeck en 1962. Ses parents sont Bern Carrière, psychiatre et psychanalyste, et Jutta Carrière née Mühling, assistante de radiographie et mère au foyer. Mathieu Carriere a une soeur, Mareike, également actrice, et un frère, qui se suicidera en 1979. A l'âge de 17 ans, Mathieu Carrière part rejoindre le collège des jésuites de Vannes,* puis étudie la philosophie à Paris à partir de 1969. Mathieu Carrière fait ses débuts à l'âge de 13 ans, en interprétant le rôle-titre du film de Rolf Thieles tiré du roman homonyme de Thomas Mann, Tonio Kröger. Il enchaîne en 1966 avec le rôle qui le rendra célèbre dans le monde, en jouant le personnage principal du premier film de Volker Schlöndorff, Les désarrois de l'élève Törless, tiré du roman homonyme de Robert Musil. Mathieu Carrière est également connu pour son combat en faveur des droits des pères divorcés.

* Saint François Xavier. J'y étais interne de 1963 à 1972. C'est vrai que déjà à cette époque Matthieu  Carrière était célèbre parmi les élèves.