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Jours tranquilles à Paris
30 novembre 2014

Mario Testino (photographe) - vu sur Instagram

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30 novembre 2014

Marine Le Pen est réélue présidente du FN avec 100% des suffrages exprimés

Elle n'avait pas d'adversaire. Marine Le Pen a été réélue présidente du Front national avec 100% des suffrages exprimés, selon des chiffres officiels communiqués par le parti, qui tient congrès à Lyon (Rhône), dimanche 30 novembre.

Ce n'est pas une élection, c'est un plébiscite !

30 novembre 2014

Exposition de photos scientifiques sur les grilles de l'Institut Pasteur (extrait)

30 novembre 2014

Le Palais Longchamp à Marseille

Le Palais Longchamp est un monument de Marseille situé dans le 4e arrondissement.

Il est composé de trois entités :

   - au centre un château d'eau édifié pour la commémoration de l'arrivée à Marseille des eaux de la Durance de part et d'autre duquel se trouvent reliés par une colonnade semi circulaire

   - le musée des beaux-arts

   -  le Muséum d'histoire naturelle, aujourd'hui sous la tutelle du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche et classé musée de France en 2002.

Le palais, inauguré en 1869, a été construit pour être le point d'arrivée des eaux de la Durance, détournées afin d'alimenter la ville de Marseille, qui connaissait alors des problèmes d'approvisionnement en eau.

À l'arrière du palais, se trouvent, dans le parc Longchamp, le jardin botanique et le jardin zoologique, bien que ce dernier n'accueille plus d’animaux depuis la fin des années 1980. Aujourd'hui, le site est essentiellement prisé par les marseillais comme lieu de promenade et de détente.

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Reportage photographique : Jacques Snap

30 novembre 2014

L’émotion du Pape dans la Mosquée bleue

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Le pape François s’est recueilli dans la célèbre Mosquée bleue d’Istanbul au deuxième jour de son voyage en Turquie. Objectif : promouvoir le dialogue entre religions dans ce pays proche de l’Irak et de la Syrie.

La visite du Pape a été suivie de très près en Turquie. Les chaînes télévisées ont transmis en direct, hier, les moments forts du programme d’Istanbul. Après avoir prié à la Mosquée bleue avec le Grand Mufti de la ville, le souverain pontife a admiré les mosaïques de la Vierge Marie et du bébé Jésus à la cathédrale byzantine de Sainte Sophie, aujourd’hui utilisée comme un musée. Il a ensuite rencontré, dans les jardins de l’ambassade du Vatican, des catholiques des différents rites. Les moindres détails de sa visite ont été commentés dans les journaux et les réseaux sociaux. Les Turcs ont surtout été impressionnés par les humbles choix de François qui a notamment refusé une Mercedes , optant pour une voiture plus modeste. Ce choix a été interprété par certains observateurs comme un message au président turc Recep Tayyip Erdogan, connu pour ses choix luxueux. Par ailleurs, le Pape a été le premier invité étranger du nouveau palais présidentiel d’Erdogan, qui aurait coûté plus de 280 millions d’euros.

Discours ambigu d’Erdogan

À l’issue de leur rencontre à Ankara, vendredi, François a plaidé pour un« dialogue interreligieux et interculturel » devant permettre de« bannir toute forme de fondamentalisme et de terrorisme qui humilie gravement la dignité de tous les hommes et instrumentalise la religion ». Il a rappelé que se perpétraient, en Syrie et en Irak,« de graves persécutions aux dépens de groupes minoritaires, spécialement – mais pas seulement – les chrétiens et les yézidis ». Le chef de l’Église catholique a ensuite demandé à la communauté internationale« d’aider » la Turquie à faire face à l’accueil sur son territoire de centaines de milliers de réfugiés. Lors d’une conférence de presse commune, Recep Tayyip Erdogan a déclaré« n ’avoir presque aucune différence de point de vue » avec le Pape. Pourtant, le discours adopté depuis quelque temps par le président turc est assez loin du dialogue interculturel plaidé par François. Mettant en avant l’héritage ottoman de la Turquie, Erdogan aime créer des polémiques au sujet des relations entre l’Occident et l’Orient.« Les Occidentaux ne nous aiment pas, ils n ’aiment que la maind’œuvre pas chère, les conflits et la mort de nos enfants », avait-t-il ainsi martelé lors d’une réunion, le 27 novembre, à Istanbul. À chaque crise qui ébranle son pouvoir, le président turc accuse en premier« un complot des pays Occidentaux ». Malgré les réformes effectuées dans les premières années de son pouvoir, son bilan concernant les droits des minorités non musulmanes n’est pas non plus très brillant. Le chroniqueur Orhan Kemal Cengiz a souligné, hier, dans le journal Bugün :« Alors que le gouvernement reçoit le Pape conformément à un protocole du plus haut niveau, il ne reconnaît pas le statut œcuménique du Patriarcat orthodoxe à Istanbul et refuse toujours d ’ouvrir le séminaire de l ’île de Heybeli. » À ce sujet, le Pape a rappelé vendredi« qu ’il est essentiel que tous citoyens, qu’ils soient musulmans juifs ou chrétiens, bénéficient des mêmes droits et respectent les mêmes devoirs » en Turquie. Dans la soirée, hier, François a retrouvé Bartholomée 1er , patriarche œcuménique orthodoxe. Les deux dignitaires doivent publier une déclaration commune aujourd’hui sur les relations entre les deux Églises, divisées depuis le schisme de 1054. Article de Burçin GERÇEK.

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30 novembre 2014

LUI est paru avec Laetitia Casta an couverture - Shooting de Mario Sorrenti (photographe)

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30 novembre 2014

Nicolas Sarkozy président de l'UMP : pourquoi c'est une mauvaise nouvelle pour le parti (analyse de Francetv info)

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La Une de Ouest France de ce matin

 

Nicolas Sarkozy président de l'UMP : pourquoi c'est une mauvaise nouvelle pour le parti (analyse de Francetv info)

L'ancien chef de l'Etat a remporté l'élection à la présidence de l'UMP. Francetv info vous explique pourquoi sa victoire est une mauvaise chose pour sa famille politique.

Fin de partie. Comme prévu, Nicolas Sarkozy est parvenu à s'emparer de la présidence de l'UMP, samedi 29 novembre. Les militants ont décidé d'accorder leur confiance à l'ancien président, plutôt qu'à Bruno Le Maire ou Hervé Mariton. Mais Nicolas Sarkozy dans le fauteuil du président de l'UMP, est-ce vraiment le meilleur des scénarios pour la droite ? Francetv info vous démontre que l'UMP n'a peut-être pas fait le bon choix.

Sarkozyste convaincu, vous n'êtes pas d'accord avec cette analyse ? Pas de problème : comme un peu de mauvaise foi n'a jamais fait de mal à personne, nous vous expliquons dans un autre article pourquoi Nicolas Sarkozy président de l'UMP, c'est une bonne nouvelle pour le parti.

Il ne fera pas l'unanimité dans son camp

Le messie n'a pas fait de miracles. A l'annonce de son retour, les soutiens de Nicolas Sarkozy annonçaient un vaste rassemblement derrière leur champion. Mais le scénario était trop beau. L'ancien président a rencontré l'hostilité d'un nombre conséquent d'élus. Une centaine de parlementaires UMP ont rejoint le camp de Bruno Le Maire ou d'Hervé Mariton dans la bataille pour l'UMP.

Au risque de passer pour des ingrats, certains n'hésitent plus à dire ouvertement du mal de l'ancien chef. Répliquant à une attaque de son ancien leader, son ancien ministre de la Santé Xavier Bertrand lâche froidement : "Qui est-ce qu'il aime, à part lui ?" C'est un fait, Nicolas Sarkozy ne fait plus peur à ses anciens disciples.

Plus grave encore, ses propres troupes osent désormais contredire le chef. "Il y a quand même un problème d'autorité quand je vois ses soutiens exprimer leurs désaccords après le meeting de Sens commun [pendant lequel Nicolas Sarkozy a exprimé sa volonté d'abroger la loi Taubira]", souligne le député Franck Riester, soutien de Bruno Le Maire. Le candidat Sarkozy a promis de rassembler sa famille en mettant fin aux courants et aux chapelles au sein de son parti, mais il reste toujours aussi clivant. "Il prétend dépasser les clivages tout en tenant des discours très à droite", n'a pas manqué de critiquer son rival Hervé Mariton pendant sa campagne.

Il va s'engager dans une guerre des chefs

Nicolas Sarkozy se rêvait en homme providentiel, il reste pour l'instant un chef de clan. Prendre du recul peut s'avérer salutaire dans une carrière politique, mais dans le cas de Nicolas Sarkozy, ses deux ans d'absence ont obligé la droite à se débrouiller sans lui. Ses concurrents se sont organisés et les ambitions ont émergé. L'ancien président doit désormais composer avec François Fillon, Alain Juppé ou même Xavier Bertrand, tous candidats à la primaire 2016, l'élection qui doit désigner le candidat de droite pour la présidentielle de 2017.

"Je ne crois pas au rassemblement derrière lui, on aura la guerre des chefs et l'UMP sera incapable de parler d'une seule voix", prédit ainsi Franck Riester. Une bataille des egos qui menace l'unité de la droite républicaine, selon Jean Petaux, politologue à Sciences Po Bordeaux : "Il ne faut pas exclure un nouvel affrontement fratricide entre deux leaders de l’UMP. Il est possible que la violence soit telle que la situation ne soit pas récupérable." Les souvenirs de la guerre Chirac-Balladur en 1995 restent dans les mémoires de droite. Une telle division face à un Front national en pleine ascension pourrait priver la droite républicaine de second tour.

Le risque de dissensions est d'autant plus fort que le projet de Nicolas Sarkozy pour l'UMP agace certains barons de sa formation. Bruno Le Maire s'oppose catégoriquement au changement de nom du parti, tout comme il rejette l'idée d'une fusion avec l'UDI. "Nicolas Sarkozy doit comprendre qu'il n’est plus le patron incontesté et que s'il tombe dans la dérive d'un pouvoir fort, ça ne passera pas auprès des autres ténors de l'UMP", prévient Jean Petaux.

Il ne sera pas concentré sur le parti

Hervé Mariton et Bruno Le Maire ont tous deux axé leur campagne sur cet argument. Selon eux, Nicolas Sarkozy ne peut pas être un bon président de parti en étant focalisé sur 2017. Difficile effectivement de développer un nouveau projet pour la France tout en s'occupant de la refondation du parti.

"On va se retrouver avec un président de l'UMP ancien président de la République et candidat à la primaire, donc avec une gestion de l'opposition assez difficile", s'inquiète le député juppéiste Benoist Apparu. Concentré sur les primaires de 2016, Nicolas Sarkozy risque de peiner à remettre les mains dans le cambouis de la politique de parti. Difficile, par exemple, de l'imaginer une fois par semaine sur les plateaux des chaînes d'information en continu pour assumer son rôle de chef de l'opposition.

Il pourrait faire perdre la droite

Nicolas Sarkozy serait-il devenu un "loser" ? Pour beaucoup, la défaite de 2012 n'est pas encore digérée. "J’entends beaucoup dire qu'il reste une bête politique, qu'il est incontestable, mais je rappelle qu'on a perdu sur fond d’antisarkozysme en 2012", taclait le député UMP Thierry Lazaro au moment du retour de l'ancien président.

Considéré comme l'homme de la défaite, Nicolas Sarkozy est aussi empêtré dans les affaires judiciaires. Le danger vient surtout de l'affaire des écoutes, dans laquelle l'ancien pensionnaire de l'Elysée a été mis en examen pour corruption active, trafic d'influence actif et recel de violation du secret professionnel.

Usé, Nicolas Sarkozy ? Lui qui avait su imposer une image de modernité politique n'a pas réussi, pendant sa campagne pour la présidence de l'UMP, à se renouveler. "On a assisté à un remake de 2004, de 2007 ou de 2012, c'est le même acteur, le même filon, la même mise en scène un peu vieillotte", regrette le député Franck Riester.

L'ancien champion de la droite n'a pas non plus brillé par la nouveauté de ses idées, ni par la constance de son discours. Il a donné l'impression d'adapter ses propositions en fonction de son auditoire. Très à droite à Nice, il s'est montré plus centriste dans l'Aube, par exemple. "Son côté versatile est frappant. Au meeting de Sens commun, il a peut-être cédé un peu vite devant la foule, ce qui n'est jamais très bon pour l'éthique de conviction", analyse Jean Petaux. Article de Clément Parrot

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30 novembre 2014

Publicité : Yves Saint Laurent

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30 novembre 2014

Tous tatoués !

A voir sur ARTEplus7          

Comment le tatouage est-il passé d'une pratique marginale à un phénomène de masse ? Ce film met en perspective une pratique à la frontière du rituel, de l'œuvre d'art et du phénomène de société.

Signe extérieur de hardiesse des prostituées, des bagnards et des marins, propagé par les cultures marginales, des rockers aux punks, le tatouage marquait, jusqu’à une époque récente, l'appartenance à un groupe opposé à l'ordre établi. Qu'en est-il de ce pouvoir subversif et contestataire, quand il s'affiche désormais sur toutes les peaux ? Comment interpréter ce déplacement de la marge aux masses, de l'underground au mainstream ? Que traduit ce désir de tatouage ? En nous emmenant à la découverte des principaux maîtres du tatouage, des tendances anciennes ou avant-gardistes, le documentaire nous dévoile un monde encore sulfureux, où les corps s'exposent pour mieux se cacher et où la création se fait au prix de la douleur et du sang. Car cet art paradoxal, à la fois élitiste et populaire, pérenne et fragile, esthétique et mutilant, porte à son paroxysme les contradictions qui traversent notre société, ainsi que chaque individu.

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30 novembre 2014

Calendrier Pirelli 2015 par Steven Meisel...

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