Ste Anne d'Auray : Galerie du Cloître. Quatre expositions
Clara Hémon, chargée de communication au sein de l'Admas, dévoile les expositions de la galerie du Cloître. Du 28 mai au 2 novembre, l'Académie de musique et d'arts sacrés (Admas), au sein même de la galerie du cloître, proposera quatre expositions dont deux nouvelles. « Empreintes du sacré » et « Vivre et mourir en Basse-Bretagne » viennent ainsi compléter les expositions permanentes « Le trésor » et « Histoire d'un sanctuaire en pays breton ». Le quotidien du pays « Empreintes du sacré », dévoile une cinquantaine de photographies de l'écrivain voyageur Ferrante Ferranti. Depuis une trentaine d'années, il explore les lieux spirituels à travers le monde pour tenter de voir l'invisible. Quant à « Vivre et mourir en Basse-Bretagne », elle met en avant la foi et les croyances populaires dans le pays d'Auray. Hommes et femmes ont imprégné leur sol, leurs pratiques et leurs usages de profonds sentiments religieux. « Les grandes étapes de cette vie laborieuse, de la naissance à la mort, étaient rythmées par les traditions chrétiennes, mêlées à des us et coutumes issus du fond des âges », explique Clara Hémon, chargée de communication de l'Admas. Costumes traditionnels, mobilier, objets usuels et sacramentels évoquent différents aspects du sacré dans le quotidien des habitants du pays d'Auray, mis en scène au rythme de quatre grands thèmes : la naissance, le mariage, le pèlerinage et la mort. « Histoire d'un sanctuaire en pays breton » permet de découvrir l'histoire de Sainte-Anne-d'Auray et de son pèlerinage. Enfin, « Le Trésor » dévoile les offrandes des pèlerins, faites depuis le XVIIe siècle à Sainte-Anne, mère de la Vierge Marie.
Hollande. « Ça va mieux c'est une réalité »
Prenant à contre-pied le scepticisme des Français, François Hollande l'a de nouveau clamé, haut et fort, hier, sur Europe 1, « ça va mieux pour la France ». Le chef de l'État envisage même des baisses d'impôts. Il a aussi martelé qu'« il n'y a pas d'alternative à gauche » en 2017. « Ça va mieux ». La formule, devenue un mantra, a été brocardée à droite, comme à gauche. « Quand j'ai eu cette formule " ça va mieux " ce n'est pas pour dire " tout va bien ". Ce n'est pas un propos de circonstance, de campagne ou de tribune, c'est une réalité », a souligné François Hollande, citant les chiffres du déficit public, de la croissance, de l'investissement qui repart et les créations d'emplois. « Ça va effectivement mieux pour la France, pas forcément pour tous les Français, j'en conviens ». Quant à la lutte contre le chômage, « la bataille n'est pas gagnée », a-t-il admis. Le Président a aussi tenté de mettre à bas un pessimisme français, selon lui, excessif. « Essayons d'éviter cette noirceur habituelle ». Loi Travail : « Je ne céderai pas ». « Parce qu'il y a eu trop de gouvernements qui ont cédé (...) pour que moi-même, dans des circonstances qui ne sont pas faciles, je puisse céder dès lors qu'un compromis a été trouvé, un équilibre a été obtenu ». De nouvelles baisses d'impôts ? « Oui, à la condition que nous ayons des marges de manoeuvre. Nous verrons à l'été », a-t-il répété, se défendant de « multiplier les cadeaux » aux agriculteurs, aux fonctionnaires ou aux forces de sécurité. Les ménages, a-t-il encore souligné, doivent bénéficier, tout comme les entreprises, de la « redistribution » des fruits de la reprise. Une mise en garde à la droite. Le chef de l'État a décoché plusieurs flèches contre l'opposition, à un peu moins d'un an de la présidentielle. « Le risque est que (la droite) détruise ce que nous avons fait, c'est qu'elle mette en cause les fondements même de notre État. Le risque est qu'elle supprime l'impôt sur la fortune, l'impôt sur les plus favorisés (...). Quand je vois que certains candidats aux primaires de la droite veulent augmenter la TVA, je dis " ce n'est pas juste " parce que ça va toucher tous les Français indifféremment », a-t-il souligné, visant Alain Juppé. « Pas d'alternative à gauche » en 2017. « En dehors du gouvernement qui est aujourd'hui en place, il n'y a pas d'alternative à gauche », a affirmé François Hollande. « Il n'y a pas d'alternative de gauche, au sens où il n'y a pas un mouvement qui, aujourd'hui, puisse accéder au second tour de l'élection présidentielle et puisse, sans avoir notre appui, conduire les destinées de la France », a développé le chef de l'État. « Il peut toujours y avoir une espérance d'une autre gauche, je l'admets ». Le cas Macron. François Hollande a de nouveau rappelé à l'ordre son ministre de l'Économie, Emmanuel Macron, qui serait tenté de se lancer dans la course pour la présidentielle de 2017. « S'il veut développer ses idées, il en a le droit, mais dans le cadre de ce qui doit être fait comme pour tout ministre, c'est-à-dire la solidarité gouvernementale », a-t-il averti. Source : Le Télégramme
Crazy Horse
Moi au Crazy Horse de Paris
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Photo ci-dessous Bamby Splish-Splash & Margaux La Chapelle
La belle Milo Moiré (artiste)
http://www.milomoire.com/?lang=de
Née en Suisse en 1983, d'origine slovaque et espagnole, Milo Moiré est diplômée en psychologie à l’Université de Berne et vit et travaille à Düsseldorf, en Allemagne, avec son compagnon et agent, le photographe allemand Peter H. Hergarten (alias Peter Palm), dont elle est aussi muse et modèle.