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Jours tranquilles à Paris
29 mai 2016

Save the date...

À l'occasion de l'ouverture de la galerie Thierry Bigaignon
Ralph Gibson présentera une série inédite : Vertical Horizon
Vernissage jeudi 9 juin à partir de 18h en présence de l'artiste
Vertical Horizon 10 juin-27 août
Galerie Thierry Bigaignon
Hôtel de Retz, 9 rue Charlot, Paris IV

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29 mai 2016

Alyssa Arce

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29 mai 2016

Aujourd'hui c'est la Fête des Mères

birkin_jpg_5784_jpeg_5401Très belle photo de Jane, Kate et Charlotte

28 mai 2016

Photoshooting - Audrey Fleurot photographiée par Mark Seliger pour le magazine LUI

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We loved shooting #AudreyFleurot with @markseliger for our June cover! Have you picked up your copy yet?? #bts #luimagazine #outnow

https://www.instagram.com/markseliger/

http://markseliger.com/

28 mai 2016

Génération Identitaire manifeste dans la rue - Paris

Le site de Génération Identitaire

Actuellement dans la rue...

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Génération identitaire dans la rue le samedi 28 mai à Paris 

Les militants de Génération identitaire seront dans la rue le samedi 28 mai à Paris. Génération identitaire appelle en effet à une manifestation autour du mot d’ordre : « On est chez nous ! »

Dans un communiqué, l’organisation explique :

« L’année 2015, entre attentats islamistes et invasion migratoire, a marqué un tournant dans l’histoire contemporaine de notre pays. Depuis trop longtemps, les Français se taisent, sont petit à petit remplacés, et meurent sous les balles d’enfants de l’immigration. Il est temps d’afficher notre détermination à continuer à vivre sur notre terre, selon nos lois, nos valeurs, dans le respect de notre identité. Face à l’urgence, l’heure n’est plus à l’attentisme. Montrons au pouvoir socialiste que les Français sont toujours là, et que l’on est encore chez nous ! »

Le rendez-vous est fixé le 28 mai place Monge, à partir de 15 heures.

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28 mai 2016

A Verdun, sous la forêt, les plaies

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Cent ans après la terrible bataille qu’Angela Merkel et François Hollande commémoreront dimanche, la forêt de Verdun recrache toujours corps et obus de la Grande Guerre.

Pour Gérald Colin, cette forêt de Verdun est un miracle. Au lendemain de ­l’armistice du 11 novembre 1918, la région de Verdun ressemblait à un paysage lunaire. « Sur le plan végétal, c’est l’année zéro, atteste le biogéographe Jean-Paul Amat. Les bois, les vignes et les vergers sont ravagés. Les arbres, décapités par les obus, ne sont plus que des chandelles. »

Plus de 80 000 morts sous terre

En 1919, l’Etat crée une zone rouge le long de la ligne de front allant de la mer du Nord à la Suisse. L’agriculture est ­interdite dans la région de Verdun. Mais très vite, la nature reprend ses droits. Coquelicots, bleuets et marguerites reviennent. Les troncs que l’on croyait morts bourgeonnent à nouveau. L’Etat propose alors de reboiser. Levée de bouclier des anciens combattants : « Ce serait manquer de respect aux morts. Laissons-les dormir en paix. Ne permettons pas aux racines de les broyer une fois de plus », s’indigne l’un deux en 1930, dans le Journal des mutilés et combattants.

Dix ans passent, les ronces ont envahi le champ de bataille. Les pèlerins, pour la plupart des gueules cassées, souvent très handicapés, ne peuvent plus accéder aux monuments érigés à la mémoire des soldats. L’argumentaire du forestier Jean-Baptiste Allaire, ancien combattant de Verdun, va mettre tout le monde d’accord. Selon lui, le débroussaillage est trop onéreux, seule une forêt permettra d’éliminer les mauvaises herbes. « Les anciens combattants réalisent que bientôt, on ne comprendra plus le champ de bataille », raconte Jean-Paul Amat.

Près de 30 millions d’arbres sont plantés entre 1929 et 1936. Aujourd’hui, le massif forestier s’étend sur près de 10 000 hectares. Mais à l’ombre des résineux et des feuillus, certaines tranchées ont résisté au temps. Récemment, Gérald Colin en a trouvé une à l’Herbebois, au nord de la forêt de Verdun. Son œil aiguisé a tout de suite repéré des ossements à côté d’un trou. « Des pillards ont dû passer avec leur détecteur de métaux, creuser, prendre ce qui les intéressait, puis laisser les os là », affirme-t-il.

Selon le Mémorial de Verdun, plus de 80 000 morts dormiraient encore sous le sol de la forêt. Leurs corps n’ont jamais été retrouvés. Beaucoup d’entre eux ont été pulvérisés par les tirs d’artillerie. La plupart de leurs frères d’armes n’ont guère eu plus de chance. Les ossements d’environ 130 000 soldats inconnus, français et allemands, ont été placés pêle-mêle dans l’Ossuaire de Douaumont, un monument inauguré en 1932. Le squelette découvert en février 2016 à l’Herbebois par Gérald Colin pourrait recevoir une sépulture dans l’immense nécropole en contrebas, où reposent les corps de quelque 16 000 soldats français. A condition de l’identifier.

Trois semaines après la découverte, le diagnostic établi par le médecin légiste de l’hôpital de Verdun, Bruno Frémont, permettait juste d’établir qu’il s’agissait d’un Français. « Nous avons récupéré à proximité des ossements des cartouchières avec des balles Lebel, des morceaux de masque à gaz ainsi que la moitié de la plaque d’identité du soldat, précise-t-il. Je l’ai nettoyée avec du vinaigre, mais nous n’avons pas réussi à la déchiffrer. » Le médecin ne désespère pas. « L’autre moitié de la plaque peut être enterrée plus en profondeur. Elle peut aussi avoir été projetée à ­cinquante mètres de là, si le soldat a été percuté par un obus. Ce qui semble être le cas : le crâne est en miettes, les fémurs sont sectionnés. » Il faudrait creuser, mais seuls les archéologues y sont habilités. Or, faute de moyens, les fouilles sont rares dans ce secteur.

Des ossements de la forêt de Verdun, Bruno Frémont, 60 ans, en nettoie des dizaines tous les ans depuis 1975. « Mon père était médecin légiste. Avant que je ne sois diplômé, il m’emmenait avec lui dans la forêt pour identifier des squelettes », raconte-t-il. Il lui arrivait parfois de ramasser des ossements d’animaux. Au plus fort de la bataille, il y avait près de 250 000 chevaux dans la région de Verdun. Nombre d’entre eux sont morts durant les combats.

Fouilles, déminages et chasse au gaz

En 2013, le docteur Frémont est intervenu à la demande du procureur de la République sur une affaire d’une tout autre ampleur. Des touristes allemands avaient découvert des ossements sortant de terre, en lisière de forêt, à la sortie du village détruit de Fleury-Devant-Douaumont. Quelque 3 000 fragments osseux ont été comptabilisés. A l’issue des recherches, le docteur Frémont est parvenu à dénombrer vingt-six individus, dont dix corps entiers. Sept soldats avaient encore leur plaque d’identité. Seuls les corps de trois d’entre eux ont été réclamés.

97 ans après sa mort, un « poilu » retrouve sa famille

Le sol de la forêt de Verdun ne recrache pas que des corps. Chaque année, près de 10 tonnes d’obus sont extraites des sous-bois. Lorsqu’il a pris sa retraite, Daniel Gadois, 68 ans, ancien forestier, s’est proposé de continuer le travail d’inventaire qu’il avait commencé en 1998. Scrupuleusement, il note l’emplacement, la dimension et le poids de chaque obus trouvé. Une fois par semaine, le retraité conduit les ­démineurs sur les lieux où on lui a signalé la présence d’engins explosifs.

Depuis quelque temps, il a cessé de baliser les projectiles disséminés en bord de route. Faciles à repérer, ils sont ramassés par les collectionneurs de « militaria » (objets de guerre). Ceux-ci connaissent pourtant les risques : la plupart des contenus explosifs ou chimiques sont toujours actifs. « L’an dernier, un homme de 82 ans originaire de Meurthe-et-Moselle s’est blessé en manipulant un obus de 75 mm français », raconte Daniel Gadois. Les obus désactivés sont revendus sur eBay. Avec le centenaire de la Grande Guerre, le prix des casques et des armes de l’époque a considérablement augmenté.

L’ancien garde forestier estime qu’il faudra plusieurs siècles pour achever le nettoyage du champ de bataille. Il est surtout inquiet face à la dégradation des enveloppes d’obus à gaz, restées des années dans le sol humide. Des réactions chimiques inattendues ou des fuites de produits nocifs pourraient avoir à terme des effets dévastateurs sur l’environnement. Des associations écologiques ont alerté sur les dangers d’une clairière, la Place à gaz, située en forêt de Spincourt au nord-est de Verdun.

Sur ce site, après l’armistice, furent transportés puis neutralisés des centaines de milliers d’obus non explosés, dont quelque 200 000 munitions chimiques. Le sol regorge de métaux lourds (cuivre, plomb, zinc) mais surtout d’arsenic. Le lieu, aujourd’hui fermé au public, est bien connu des agents forestiers et des chasseurs qui ont pique-niqué là pendant des décennies. « L’ONF a demandé à ses agents de faire des prises de sang, reconnaît Joël Day, forestier à Verdun depuis trente-cinq ans. Comme j’y étais allé deux fois, j’ai passé les tests. » Aucune maladie n’a été détectée.

Les amoureux de la forêt de Verdun s’inquiètent de sa préservation après le centenaire. Début 2016, un appel à souscription national a été lancé pour la mettre en valeur. En 2014, elle a d’ores et déjà été classée « forêt d’exception ».

« Avec ce label, la forêt devient ­ doublement sacrée, assure le géographe Jean-Paul Amat. Sacrée par sa dimension mémorielle : la forêt est une nécropole que l’on préserve. Mais aussi par sa dimension environnementale : on protège la faune et la flore. Cent ans après la boucherie, l’Etat s’engage à ne pas déstabiliser les habitats des crapauds à ventre jaune et des chauves-souris ! »

Pour les cérémonies officielles du centenaire de la bataille de Verdun, la forêt a reçu un coup de propre. Les entonnoirs creusés par les obus ont été tondus, les lisières de forêt nettoyées, les boyaux de tranchées déblayés. Deux grenades ont été retrouvées près du parking du Mémorial de Fleury-Devant-Douaumont que François Hollande et Angela Merkel inaugureront ce dimanche 29 mai. La forêt de Verdun n’a pas fini de recracher les vestiges de la guerre. Source : extrait le Monde.

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28 mai 2016

Revivez l'installation de JR sur la pyramide du Louvre

28 mai 2016

Je de rôles

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Liberation.fr

Je de rôles

Des artistes des années 60 jusqu’aux selfies, la Tate Modern interroge la relation entre photographies et performances, explorant sous toutes ses formes le jeu des apparences dans nos sociétés.

Photo : Extrait de la série "Strip", 1999-2000, de Jemima Stehli.

28 mai 2016

Etats Unis

28 mai 2016

Terry Richardson (photographe)

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