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Jours tranquilles à Paris
30 juillet 2016

AURAY : Joutes du Loch : un bain de bonne humeur dimanche

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À Saint-Goustan, dimanche, 22 équipages s’affrontent sur les

10 Joutes du Loch. Objectif : plonger l’adversaire dans la rivière

Que celles et ceux qui n’aiment pas les grands bains de bonne humeur passent leur chemin. Les Joutes du Loch d’Auray, dixième du nom, se jouent dimanche à Saint-Goustan, le port d’Auray. Le site idéal pour ces jeux nautiques qui engagent 22 équipages représentant des communes du pays d’Auray.

7 000 spectateurs sur les quais

Le principe est on ne peut plus simple : les équipages sont composés de six rameurs, d’un jouteur et d’un barreur. Tous déguisés pour le meilleur ou pour le pire. Il s’agit tout simplement d’immerger l’adversaire jouteur devant une foule, qui en redemande, et des supporters galvanisés par les exploits de leurs jouteurs préférés. C’est sportif, loufoque, déjanté, mais franchement sympa à voir. À l’issue de Joutes, pour enfoncer le clou, l’association des commerçants d’Auray organise, vers 18 h, une grande course de canards… en plastique. Entre 2 000 et 3 000 seront jetés à l’eau ! À la clé, de nombreux lots à pêcher et à empocher, dont un voyage de rêve… À condition toutefois d’avoir pris ses billets chez les commerçants d’Auray jusqu’à samedi soir ou sur les stands de SaintGoustan le jour même. À la barre de l’organisation, le club Kiwanis, dont le but est d’aider les enfants en difficulté au niveau local, national et international. Les Joutes du Loch obligent à une mise en place qui doit gérer entre 6 000 et 7 000 spectateurs attendus ce jourlà sur les quais. Ce dimanche, l’opération sera très renforcée en raison des mesures de sécurité décrétées en raison de l’état d’urgence. Elles imposent cette année un contrôle drastique des accès sur le site. Soixante bénévoles sont sur le pont en plus de prestataires spécialisés. Article de Pierre WADOUX.

Dimanche, de 9 h 30 à 18 h, à SaintGoustan, le port d’Auray

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30 juillet 2016

Vu sur internet - j'aime beaucoup

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30 juillet 2016

Les communes bretonnes : Plou-Plo, Ac-Ec...

Des stats sur la Bretagne, il y en a bien plus que la région compte de villages ou de saints. Certaines données sont à découvrir au travers d'une série ludique, « La Bretagne dans le panneau ». Sous formes de « matches », voyons donc s'il y a plus de communes en « Plo » ou en « Plou », en « Ac » ou en « Ec », en prenant bien soin de savoir à quels saints se vouer. Mettons-nous deux petites secondes dans la peau d'un touriste qui découvre, à bord de sa voiture, les petites routes de la pointe bretonne et ses particularismes. Des « Plou » et des « Plo » en veux-tu, en voilà ! Voit-il plus de villages en Plou- ou en Plo- ?

S'il arrive du nord, par la RN12, passé Saint-Brieuc, il risque fort d'être un peu déboussolé par l'abondance de « Plou » qu'il va croiser sur son chemin. Près de 70 villages bretons commencent par ce préfixe et plus de 90 % d'entre eux sont situés au nord d'une ligne qui court de la presqu'île de Crozon (29) à la couronne briochine.

Si notre voyageur vient du sud, par la RN165, il en croisera bien quelques-uns mais passé Quimper, c'est face à une foule de « Plo » qu'il se retrouvera. Pourquoi tant de noms de villages commençant par la même syllabe ? Simple. En breton, « Plou » et « Plo » signifient « paroisse », selon les spécificités locales de la langue régionale. Des noms de saints ont parfois été ajoutés (Ploudaniel, Ploujean...) et des adjectifs comme « grand » pour Plomeur ou « petit » pour Pleubian ont également été utilisés pour qualifier ces villages.

D'« Ac » à l'est, du « Ec » à l'ouest

Autre statistique : plus de 120 communes bretonnes se terminent par « -ec » ou « -ac ». Doit-on y voir comme pour les Plou- et les Plo- évoqués précédemment une variation locale de la langue bretonne ? Pas vraiment.

Les communes bretonnes se terminant par « -ac » sont (presque) toutes situées à l'est de la Bretagne historique. Tandis que les villes et villages affichant un suffixe en « -ec » se concentrent essentiellement sur la partie ouest du territoire. Une variation de la langue bretonne ? Visiblement non. Le « -ac » viendrait du suffixe gaulois « -acum », qui définit un lieu ou l'ancien emplacement d'une villa gallo-romaine. On relève également sa présence sur les panneaux de nombreuses communes du Sud-Ouest : Cognac, Armagnac, Pessac, Mérignac... Ce qui explique que de nombreux cas d'homonymies existent entre villes de Bretagne et du Sud-Ouest. 220 saints pour seulement douze saintes

Autre match : celui des saints et des saintes.

La forte imprégnation catholique de la Bretagne apparaît nettement dans le nom de ses communes. Pas moins de 332 villes ou villages de la région, dans ses limites historiques, ont une appellation qui débute par Saint- ou Sainte-, avec une écrasante domination des figures masculines. Il n'y aurait ainsi que douze saintes en Bretagne. Et encore, en comptant les quatre repérées en Loire-Atlantique, en considérant que ce recensement s'appuie sur les limites historiques de la région. Douze saintes donc, pour 220 saints répartis sur tout le territoire, avec une prédominance à l'est. L'ouest serait-il moins religieux ? Non. Mais, la langue bretonne est plus présente à la pointe. « Plou » et « Plo » signifiant « paroisse », on pourrait donc, par exemple, en interprétant très librement les noms de communes, considérer que Ploujean, c'est un peu comme Saint-Jean... Jean, justement, parlons-en ! Il s'agit du saint le plus voué dans la région avec pas moins de huit communes bretonnes portant son nom, qu'il soit sur Vilaine, du Doigt, de la Mer, la Lande ou Trolimon. Oui, de « Plou » en « Plo », d'« Ac » en « Ec » et de Saint en Sainte, voilà un Tro Breizh qui promet ! Source : Le Télégramme

30 juillet 2016

Ming Xi in Vogue China, January 2014

30 juillet 2016

Lin Zhipeng (photographe chinois) à découvrir...

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http://photographyofchina.com/blog/lin-zhipeng

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http://www.linzhipeng223.com/

Cliquez ici

Dans Chungking Express de Wong Kar-wai, 223 est le matricule du policier qui se promet de tomber amoureux de la première fille qui entrera dans un bar. C’est aussi, en hommage au film, le nom que s’est attribué le photographe originaire de Beijing Lin Zhipeng. Lumières bleues, parfois éclairées au flash, ses photographies fiévreuses et lascives le représentent lui et son entourage. Un portrait sur le vif, érotique et nocturne de la jeunesse chinoise contemporaine.

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30 juillet 2016

"Viens petite fille dans mon comic strip...." Serge Gainsbourg - Victoria est une camgirl ! définition...

30 juillet 2016

La folle ascension du vélo électrique

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 Le nombre de ventes augmente fortement. De plus en plus de Français sont séduits par le vélo électrique pour faire une promenade ou encore se rendre au travail.

Un marché en plein essor

Le vélo à assistance électrique (VAE) représente 10 % du marché du vélo en France, derrière le VTT adulte (33 %) et le vélo de course (24 %). En l’espace de dix ans, le nombre de ventes dans l’Hexagone a été multiplié par 25. Ce marché a connu une croissance, en valeur, de 29 % par rapport à l’an dernier.« Les gens reviennent à des modes de déplacement hors voiture , explique Jean-Philippe Frey, responsable des études à la fédération des entreprises du sport.Chez certains, il y aussi une motivation militante et une volonté de préserver l’environnement » .

Des cyclistes de tous âges

Au Décathlon de Chantepie, en Illeet-Vilaine, Claude et Zofia déambulent au rayon des vélos électriques, visiblement intéressés.« Nous avons récemment fait du vélo en LoireAtlantique et je peinais beaucoup dans les côtes » , explique Zofia, 60 ans, tandis que Claude, 74 ans, hoche la tête.« Si on n’aime pas faire trop d’efforts physiques, un vélo électrique peut être très pratique pour partir en promenade » ,poursuit Zofia.« Parmi nos clients, il y a aussi des salariés qui veulent aller au travail à vélo, sans arriver en sueur » , détaille Boris, le responsable du rayon. C’est justement le cas de Guillaume, propriétaire d’un vélo électrique depuis trois mois.« J’aimais bien l’idée d’aller au boulot à vélo : c’est sympa d’avoir le côté pratique sans effort de pédalage » , explique ce jeune père de famille, qui habite à 5 km de son lieu de travail.

Le prix dépend de la batterie

Les prix des vélos électriques vont de 600 à 4 000 € (le prix moyen tourne autour de 1 000 €).« Le prix dépend de l’autonomie de la batterie et la composition du cadre, en acier ou en aluminium » , explique Vincent, vendeur au Decathlon de Chantepie. Il existe deux types de batterie : une de 24 volts (40 km d’autonomie) et une de 36 volts (60 km d’autonomie ou plus). Plus la batterie est puissante, plus vous avez de chances de grimper une côte abrupte sans vous fatiguer.« Pour avancer, il faut toujours pédaler, et il faut aussi régler les vitesses en fonction des difficultés du parcours » , poursuit Vincent.

Des aides publiques

L’essor du vélo électrique s’explique également par la mise en place de nombreux dispositifs publics : subventions pour l’achat en fonction des villes, indemnité kilométrique pour les salariés qui viennent au travail ou allégements fiscaux pour les entreprises mettant à disposition des vélos pour leurs salariés. Pratique et écologique : le vélo électrique semble en tout cas bien parti pour poursuivre sa folle ascension. Article de Guillaume POINGT.

30 juillet 2016

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30 juillet 2016

Presse

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30 juillet 2016

Alyssa Arce

#tbt | 📷- @michaelraveney

Une photo publiée par Alyssa Arce 💀 (@miss_alyssaarce) le 28 Juil. 2016 à 17h44 PDT

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