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Jours tranquilles à Paris
5 juillet 2016

14 juillet : tribune présidentielle en cours de montage...Place de la Concorde

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5 juillet 2016

Laeticia Hallyday topless en couverture du magazine «Lui»

Laeticia Hallyday n’a pas perdu de sa superbe. Pour le mois de juillet 2016, Frédéric Beigbeder a demandé à l’ex-mannequin de se prêter au jeu de la couverture olé olé pour son magazine. Et c’est plus ravissante que jamais, que la femme de Johnny Hallyday apparaît en une de Lui, topless et lunettes de soleil au nez.

Après Rihanna, Monica Bellucci, Elodie Frégé ou encore Audrey Fleurot, Laeticia Hallyday rejoint le cercle de celles qui ont accepté de se dénuder pour Frédéric Beigbeder. Pour le moment, seule la photo de couverture a été dévoilée, il faudra attendre encore quelques heures avant de découvrir les autres clichés et l’interview de Laeticia par son mari Johnny Hallyday.

 

5 juillet 2016

Mon studio photo

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5 juillet 2016

Barbie superstar à Berlin !

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5 juillet 2016

L’incompréhension de l’élite londonienne après le Brexit

Il y a du vin, du blanc et du rouge, excellent. Il y a des olives, de la fougasse et autres amuse-gueules de qualité. A deux pas de St James’s Park, l’adresse se prête mal au fish and chips. Le 10-11 Carlton Terrace est l’une de ces splendeurs victoriennes qui font de Londres, en cette fin d’après-midi-là, entre averses estivales et percées du soleil, une ville blanche – et l’une des plus belles cités du monde. Cet hôtel particulier, construit entre 1827 et 1832, abrite la British Academy.

Mais on n’est pas venu ici pour une discussion académique sur les mérites de l’esthétique pallado-victorienne. Quatre jours plus tôt, le Royaume-Uni a choisi de sortir de l’Union européenne (UE). Un mot, une date : Brexit, le jeudi 23 juin. Pour Londres, un mauvais coup, une journée noire. La ville a massivement voté « Remain », pour que le pays reste dans l’UE. Le quotidien The Guardian publie un cahier spécial : « Peut-on sortir de la déprime post-Brexit ? »

L’assemblée réunie à Carlton Terrace cherche à comprendre. Elle regroupe une centaine de personnes, toutes des « remainers » convaincus. Ce sont des élus, conservateurs et travaillistes, des journalistes – du Guardian, du Financial Times, de The Economist –, des juristes, des financiers et autres militants défaits de la cause européenne. Les « brexiters » dénonceraient une assemblée de « sachants », pire encore, un échantillon de « l’élite londonienne », cette classe maudite que les chantres du Brexit – eux-mêmes issus de ladite élite – vouent depuis des semaines aux poubelles de l’Histoire.

« La BBC nous a laissé tomber »

Au menu, une question principale : « Why ? » Pourquoi avons-nous perdu ? « L’élite » s’interroge. Elle le fait à la britannique : on ne se paie pas de mots, on ne se saoule pas de théories, on fuit les « ismes ». En clair, on n’est pas à ­Paris. L’autocritique est sans pitié, radicale, menée par Hugo Dixon, le maître de cérémonie, qui a pris l’initiative de cette réunion.

Ancien du Financial Times, Dixon – élégante barbe blanche, chemise ouverte – dresse l’acte d’accusation de la campagne « Remain ». Elle a été surtout négative. Elle a joué sur la peur. Elle a souligné les risques du Brexit pour un pays dont l’UE absorbe la moitié des exportations. « La campagne n’a pas été articulée sur les aspects positifs de notre appartenance à l’Union, observe Dixon. On a seulement parlé des dangers du Brexit. On a laissé un vide que les partisans du Brexit ont comblé avec leurs mensonges. »

Il déplore l’absence, côté « Remain », d’un leader travailliste d’envergure capable de porter la contradiction aux calembredaines véhiculées par les « brexiters » en chef, les conservateurs Boris Johnson et Michael Gove – comme ces dizaines de millions de Turcs qui s’apprêteraient à prendre d’assaut les falaises de Douvres ; comme les chiffres totalement inventés sur le montant de la contribution britannique au budget de Bruxelles, pour ne citer que deux des énormes bobards qui ­furent au cœur de la campagne. Distant, le chef du Labour, Jeremy Corbyn, membre de l’aile gauche du parti, a soutenu le « Remain » avec autant d’enthousiasme qu’un pilote de rallye qui n’enclencherait ­jamais la seconde.

Tacler les contre-vérités

« Il a fallu se battre avec une presse hostile », constate l’orateur. A l’exception des journaux cités plus haut, les autres, tabloïds et gros tirages, ont été fidèles à l’europhobie active qui les anime depuis trente ans. L’un des plus gros reproches entendus ces jours-ci à Londres et que reprend Hugo Dixon : « La BBC nous a laissé tomber ». Cette bonne vieille « Beeb », parangon du sérieux journalistique, encore plus internationaliste que le Foreign Office, aurait entretenu des faiblesses pour le Brexit ? Non. « Impartiale », elle a donné autant de temps aux « remainers » qu’aux autres. Mais la BBC n’aurait pas, ou pas assez, réfuté ce qui relevait du délire, ici et là (il y en eut aussi, un peu, côté « Remain »).

Ce travail-là est justement celui auquel s’est attaché Hugo Dixon durant toute la campagne. Ancien d’Eton, ancien d’Oxford, fondateur de l’agence de commentaires économiques en ligne BreakingViews (revendue à Reuters-Thomson), ce social-libéral, cérébral ­hyperactif, a lancé le site InFacts lors de la ­bataille du Brexit. Objectif : tacler toutes les contre-vérités avancées par les « brexiters » sur les relations entre le Royaume-Uni et l’UE. Combat nécessaire, ­essentiel – et donquichottesque, en ces temps de prime à l’outrance. L’époque est à l’émotion plus qu’à la ­réflexion et au respect des faits.

Principaux véhicules de l’air du temps, les réseaux sociaux diffusent du complot et du fantasme – et, en ce qui concerne le fonctionnement compliqué de l’UE, une ignorance crasse (qu’on ne reprochera à personne). Romancière, professeure de lettres, Helen Harris a milité avec l’organisation Britain Stronger in Europe (« la Grande-Bretagne plus forte dans l’Union »).

« Savez-vous, dit-elle, quelle question a été parmi les recherches Google sur l’Europe les plus sollicitées dans ce pays, vendredi 24 juin, au lendemain, du vote ? C’est tout simple, les gens ont voulu s’informer : “Qu’est-ce que l’Union européenne ?” »

Le parti tory est devenu eurosceptique. Et une partie des conservateurs a franchi le cap de l’europhobie : ils diabolisent une Europe ­fédérale qui n’existe pas. Le vote du 23 juin a pourtant exprimé quelque chose de plus large que la seule question des relations du pays avec l’UE. Ce vote s’inscrit dans la protestation qui se lève, un peu partout dans le monde occidental, contre les conséquences de la mondialisation économique.

LES « EXPERTS » N’AVAIENT PAS PRÉVU QUE DONALD TRUMP SERAIT LE CANDIDAT RÉPUBLICAIN AU SCRUTIN DE NOVEMBRE. A LONDRES, ILS ÉTAIENT PEU À PARIER SUR LA VICTOIRE DU BREXIT...

Chaque bourrasque a ses particularités ­locales. Mais il y a aussi un point commun : l’incapacité des experts à prendre la mesure de ce qui est en jeu – la force du rejet du statu quo chez les laissés-pour-compte de la mondialisation. Les « experts » n’avaient pas prévu que Donald Trump serait le candidat républicain au scrutin de novembre. A Londres, ils étaient peu à parier sur la victoire du Brexit. A Paris, ils ont du mal à penser que Marine Le Pen puisse remporter l’élection présidentielle du printemps 2017.

Commentaire d’un sénateur américain, John Barrasso (Wyoming), recueilli par le Financial Times au lendemain du 23 juin :

« Si l’élection de novembre se ramène à un duel entre le changement quel qu’il soit et la continuité de la politique telle qu’on la fait aujourd’hui, alors, Donald Trump sera le prochain président américain. »

Un grand coup de colère

Trente ou quarante ans de relative stagnation des revenus et de croissance inégalitaire sont passés par là. A droite de la droite et à gauche de la gauche, on entretient volontiers un fantasme protectionniste : imaginer qu’on peut arrêter l’explosion d’économies émergentes, portée par la révolution technologique. Mais l’illusion néolibérale cultivée dans les années 1990 n’était guère plus réaliste : imaginer qu’on compenserait dans les services l’emploi industriel détruit chez nous par la ­concurrence venue d’Asie.

La mondialisation a ses recalés de la transition postindustrielle. Ils ont voté Brexit. Le très conservateur Daily Telegraph rappelait tout le monde à la réalité, jeudi 30 juin. Il citait la dernière des enquêtes publiques sur l’évolution des représentations sociales au Royaume-Uni. Plus de la moitié des Britanniques se rangent toujours dans la « working class » (« la classe des travailleurs ») – ouvriers et employés. Comme au début des années 1980. A l’arrivée au pouvoir de Margaret Thatcher.

Londres est plus rayonnante que jamais, ville-monde, créatrice d’emplois et de près de 40 % de la richesse du pays. Mais elle est aussi une bulle. Il y a le reste. Il y a ce Nord-Est « passé depuis longtemps du vote travailliste à un vote protestataire », comme le souligne l’ancien député et ministre des affaires européennes Denis MacShane. Là, sur les ruines d’industries dévastées, tout se mélange, dans un grand coup de colère contre l’Europe, la mondialisation, les élites, les immigrés. Protestation indistincte et confuse.

« Une mondialisation plus juste »

La région a été mise à mal par la concurrence asiatique, mais on s’en prend à l’UE… La région a, plus que d’autres, souffert des coupes budgétaires nationales, mais on tape sur Bruxelles. On mettrait volontiers sur le dos du président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker – « celui qui attaque ses petits déjeuners au cognac », disent les tabloïds – la piètre prestation de l’équipe anglaise de foot à l’Euro 2016.

Propos entendus à la soirée de Carlton Terrace :

« Nous sommes déconnectés, nous ne savons plus comment vivent ceux que la mondialisation a laissés au bord de la route (…). Ceux-là ont l’impression qu’on essaie de les faire taire en les traitant de racistes (…). Nous ne savons pas comment leur parler (…). La gauche a trop longtemps refusé d’aborder la question de l’immigration – serait-ce pour en souligner le bilan positif pour le pays. »

Helen Harris, la romancière : « Qu’est-ce que ça veut dire, pour les oubliés du Nord-Est, les programmes Erasmus, les échanges scientifiques ? »

Personnage sombre, esprit brillant, le travailliste Gordon Brown s’est vaillamment battu contre le Brexit. L’ancien premier ­ministre y a vu un combat-clé, existentiel, pour la social-démocratie ou le social-libéralisme. « Si nous ne trouvons pas le moyen de rendre la mondialisation plus juste et moins déstructurante, écrit-il dans le Guardian, alors, la politique tournera autour de la question de la ­nationalité, de la race ou de l’identité. » On y est. Arrêt thérapeutique au pub obligé, en sortant, ce soir, de la British Academy.

Alain Frachon (Londres, envoyé spécial) - Journaliste au Monde

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5 juillet 2016

Soldes d'été

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5 juillet 2016

Extrait d'un shooting - mode en extérieur

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5 juillet 2016

BRETAGNE : Où faire réparer vos objets cassés ?

La Chambre de métiers et de l’artisanat lance un annuaire répertoriant les artisans réparateurs. Il est consultable sur Internet.

2 500 vélos défilent chaque année dans l’atelier.« Deux mécaniciens y travaillent » , précise Pierre Guédard, le gérant de Cycles Guédard, à Rennes. Ce matin-là, Christophe révise un vélo de course à 4 000 €.« Ce sont des réglages très fin, on n’a pas le droit à l’erreur. » Le magasin rennais fait partie du réseau Répar’acteurs, lancé en juin 2015 par la Chambre de métiers et de l’artisanat de Bretagne.« 276 artisans sont déjà répertoriés » , indique Ange Brière, le président. Pour devenir un répar’acteur, les artisans doivent« favoriser la réparation plutôt que la vente » . L’objectif est de valoriser les artisans réparateurs, de la cordonnerie à l’horlogerie, en passant par l’électroménager. La Chambre de métiers, qui tenait jeudi 23 la dernière assemblée générale de la mandature 20102016, a lancé un annuaire sur internet. Il sera désormais possible de trouver, près de chez soi, l’artisan qui réparera son vélo, son téléphone ou sa montre. La réparation, ce n’est pas nouveau.« On en fait depuis le début » ,assure Pierre Guédard, dont le père a créé le magasin en 1959. Aujourd’hui, à l’heure de l’économie circulaire,« de plus en plus de consommateurs y sont sensibles, ils ne veulent plus gaspiller » , note Ange Brière. La réparation permet également de renforcer l’emploi local, nondélocalisable. Dans le magasin rennais, cette activité ne représente que 10 % du chiffre d’affaires. Pour Pierre Guédard, la réparation de vélos est« regardée de haut » , alors que les cycles deviennent de plus en plus techniques, avec l’arrivée de l’électrique et de l’hydraulique. Ses réparations les plus courantes ?« Les crevaisons » , sourit-il.L’annuaire des répar’acteurs consultable sur le site internet : http://www.crma.bzh/annuaire-reparacteurs

5 juillet 2016

A connaitre : les noms des régions françaises...

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5 juillet 2016

Extrait d'un shooting - dans un Donjon

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