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Jours tranquilles à Paris
28 juillet 2016

Portier de nuit - Charlotte Rampling

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28 juillet 2016

Exposition au Musée Guimet : Nobuyoshi ARAKI

Nobuyoshi ARAKI

Jusqu’au lundi 05 septembre 2016

Tous les jours et fêtes sauf mardi de 10h à 18h. Ouverture exceptionnelle le 14 mai de 10h à 16h45. Fermé le 1er mai.

Musée des Arts asiatiques Guimet 

6 place d'Iéna
75016 Paris 

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28 juillet 2016

L’instant mode : Lancel fête ses 140 ans avec une exposition itinérante - save the date

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Voyager à travers l’histoire d’une maison de mode oui, mais de façon ludique ! Pour ses 140 ans, la marque Lancel a choisi de venir à la rencontre des visiteurs avec une exposition itinérante. Installée dans un bus rouge qui fera étape à Paris, Bruxelles, Nice, Toulouse et Lyon dès le mois de septembre, elle proposera de redécouvrir les créations marquantes du maroquinier. Une fois sur place, le bus se déploie sur soixante mètres carrés pour laisser place à des animations amusantes, parfaites pour se plonger dans les archives Lancel. Une nouvelle manière d’apprendre l’histoire de la mode qui est notre instant mode du jour.

Exposition L’Escapade Lancel

Paris

Du 1er au 4 septembre, quai de la Tournelle

Du 9 au 11 septembre, place de la Bastille

Bruxelles

Du 21 au 24 septembre

Nice

Du 28 septembre au 1er octobre

Toulouse

Du 5 au 8 octobre

Lyon

Du 2 au 5 novembre

28 juillet 2016

Extrait d'un shooting - anonymous

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28 juillet 2016

La contre-histoire (illustrée) du godemichet

La prochaine fois que tu as un rapport sexuel avec un gode, sache que tu tiens entre tes mains moites un morceau d'Histoire inconnue de l'humanité. Tour à tour chanteur à succès en Grèce, ennemi intime du Christ, maquisard libertin, révolutionnaire féministe ou encore entrepreneur dans les nouvelles technologies, le godemichet a eu de multiples vies qu'il nous fallait absolument révéler.

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L'âge d'or

Depuis la profondeur des âges préhistoriques, il est attesté que le genre humain s'est donnée du plaisir avec des bouts de bois et des cailloux. Mais c'est bel et bien dans la Grèce antique que le godemichet archaïque s'épanouit pour de vrai. Bienveillant envers ce jouet à fort potentiel, le génie grec perfectionne son aspect rudimentaire et le nomme «olisbos», merveille de technique signifiant dans la langue d'Aristote «pénis en cuir» ou «chanteur chauve ami de Florent Pagny», selon son degré de dyslexie. Avec ou sans ceinture, rembourré de laine, de plume et frotté à l'huile d'olive, l'olisbos est ce qui se fait de mieux en matière de texture. Et il est vivement conseillé de s'équiper de cet accessoire dernier cri lors des immenses teufs gratuites et en plein air en l'honneur de Dionysos (dieu alcoolique moitié chèvre-moitié Depardieu) qui font fureur dans Athènes et sa banlieue proche.

L'olisbos-mania fait ainsi prospérer tout un artisanat, vivre des familles, permet à des enfants pauvres d'aller à l'école... Mieux, il assure une certaine égalité devant l'orgasme puisqu'il est admis socialement que les deux sexes puissent avoir du plaisir avec lui. Notons d'ailleurs que d'après Suidas (historien grec du Xème siècle), ce sont les clubs lesbiens de la région de Milet (sud-ouest de la Turquie actuelle) qui ont le plus recours à ses services.

Bref, tout va pour le mieux dans la carrière d'olisbos. Après la Grèce antique, il réussit à renouveler sa fanbase à Rome, comme en témoignent des poteries sur lesquelles des orgies sont légendées en latin : «C'est pas marqué dans les livres, que le plus important à vivre, est de vivre au jour le jour. Le temps, c'est de l'Amour.»

Traversée du désert

Malheureusement, la venue de Christ sur Terre vient mettre un sérieux coup d'arrêt à cette success story. En effet, Jésus, qui ne parle que de péché originel, d'apocalypse et de chasteté, rencontre progressivement son public... Et avec son nouveau courant appelé «christianisme», plus question de masturbation ou de teufs en plein air.

Notre ami olisbos devenu hérétique doit rentrer dans la clandestinité et changer de nom. Ainsi au Moyen Âge, apogée du christianisme, olisbos prend le blaze de «gaude mihi». De nombreux experts se sont penchés pendant des décennies sur l'origine de cette appellation étrange et il semble que la plus con soit la suivante : dans les couvents de l'époque, les nonnes lubriques s'ennuient ferme et trouvent un peu de distraction en s'enfonçant ce qu'elles ont sous la main (légumes du jardin, crosse d'évêque, crucifix...). Mais il faut être scred'. Du coup, les nonnes lubriques utilisent le mot de code «Gaude mihi Domine», qui est le début d'un psaume en latin qui signifie «Réjouis-moi Seigneur» pour qualifier tout objet oblong adéquat au bonheur. Le «gaude mihi» devient successivement à la Renaissance «godemichi», «godemicy», «godemichou» pour finalement s'appeler «godemiché». En Italie, il prend le nom de «diletto» (plaisir), que les Londoniens prononcent «dildo». Fabriqué en ivoire, en métal précieux ou en verre, le godemichet est un gitan pimpé pour toute aristocrate en mal de sensations fortes. D'un caractère rancunier, notre héros n'a cependant jamais vraiment digéré sa mise à l'écart par le Christ. C'est donc très logiquement qu'il contribue durant le siècle des Lumières au travail de sape des valeurs conservatrices en étant l'un des symboles du libertinage. Sade, personnalité très lubrique, l'utilise d'ailleurs à maintes reprises dans ses romans pour teenagers. On se souviendra pour mémoire de ce célèbre passage de La Philosophie dans le Boudoir où son héroïne Eugénie affublée d'un gros gode-ceinture entreprend allégrement un camarade de jeu, ce dernier s'écriant : «Merveille, la petite friponne m'encule comme un homme !». On n'arrête jamais une révolution en marche. Jamais.   

Les médecins-tapins

Au XIXème siècle, les médecins ne se font pas assez de fric et ont alors l'idée de créer une hype sur une maladie qui ne s'appliquerait qu'aux femmes : l'hystérie. Les médecins voient alors des femmes hystériques partout, et le seul moyen de les traiter est de leur masser le sexe contre de l'argent, ce qui transforme les médecins en médecin-tapin. Si la plupart utilisent leurs mains, d'autres médecins-tapins remettent au goût du jour le coup du gode en le rendant thérapeutique. Problème : ces pratiques maintes fois répétées causent un nombre incalculable de fractures du poignet au sein du corps médical. Solution : pour éviter ces fractures, il suffit d'avoir recours à la modernité et de croire en la puissance de la technologie. C'est ainsi que le tapin américain Georges Taylor crée en 1869 «the manipulator», sorte de Robocop-godemichet fonctionnant à la vapeur. Mais la postérité retient surtout le nom du tapin Mortimer Granville, qui dépose en 1880 son fameux vibromasseur électro-mécanique, digne ancêtre des vibromasseur actuels.

Suite à ces avancées déterminantes, le godemichet comprend qu'il vaut mieux que le Christ, car d'une simple réplique de phallus servant à pénétrer, il peut désormais stimuler par vibration d'autres zones stratégiques. L'air de rien, il libère ainsi les femmes du diktat de la pénétration vaginale et leur offre l'autonomie de l'orgasme clitoridien, une reconquête sexuelle essentielle pour se défaire des dogmes du patriarcat.

Avec cette évolution, le godemichet-vibromasseur-mutant démultiplie le nombre de ses groupies et renoue enfin avec le succès : au XXème siècle, ses ventes par correspondance explosent, les réunions tupperware aussi.   

Être tourné vers l'avenir

2000 ans après la naissance de Christ, la victoire du godemichet sur sa destinée de clando est presque totale. Celui-ci a su se diversifier et conquérir de nouveaux marchés, notamment grâce à ses différentes déclinaisons appelées sex-toys. Signe évident qu'il est un nouveau riche (il pèse actuellement 22 milliards de dollars dans le monde), le godemichet a des goûts esthétiques complexes : qu'il soit violet criard ou rose fluo, en silicone ou en PVC, clignotant comme un OVNI ou recouvert de léopard, le godemichet développe sa propre vision du beau en presque toute circonstance. Marque des grands, il ne s'endort jamais sur ses lauriers et tente toujours de relever de nouveaux défis, parce que selon lui, «la vie, c'est une aventure». Prochain challenge en cours : devenir le maître incontesté d'Internet en trustant toutes les rubriques WTF, LOL, insolites et sexo des sites en mal d'imagination et de clics. Pour mener à bien cette opération capitaliste, notre ami n'hésite pas à mettre de côté sa classe légendaire et génère du trafic avec des titres un peu racoleurs comme «Mon dieu, un godemichet alien qui pond des œufs !», «Un godemichet survole une conférence de presse en Russie !» ou encore «Un petit garçon tombe sur l'énorme godemichet de sa maman !». Avec cette tactique imparable, les spécialistes estiment que d'ici une dizaine d'années, Internet ne sera plus qu'une grosse blague sur les sextoys. Le godemichet aura alors définitivement conquis le monde.

Ce qu'il faut retenir de cette contre-histoire

Ce voyage dans le monde merveilleux du godemichet touche à sa fin. Grâce à lui, nous avons fait connaissance avec des personnages sympathiques comme les bienveillants Grecs, les nonnes lubriques, les médecins-tapins et les sites internet en manque d'inspiration... mais nous avons surtout appris grâce à notre héros que face à l'adversité du christianisme, il ne faut jamais baisser les bras. Et que les révolutionnaires devenus riches ont souvent des goûts esthétiques complexes.

Un article paru dans La Chose, revue pop-porn

Par Michael Petkov-Kleiner

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27 juillet 2016

Homélie du cardinal André Vingt-Trois – Messe pour les victimes de Saint-Étienne du Rouvray

Mercredi 27 juillet 2016 – Cathédrale Notre-Dame de Paris

Mesdames et Messieurs,

Frères et Sœurs,

1. Seigneur, nous as-tu abandonnés ?

« Serais-tu pour moi un mirage, comme une eau incertaine ? »En ce moment terrible que nous vivons, comment ne ferions-nous pas nôtre ce cri vers Dieu du prophète Jérémie au milieu des attaques dont il était l’objet ? Comment ne pas nous tourner vers Dieu et comment ne pas Lui demander des comptes ? Ce n’est pas manquer à la foi que de crier vers Dieu. C’est, au contraire, continuer de lui parler et de l’invoquer au moment même où les événements semblent remettre en cause sa puissance et son amour. C’est continuer d’affirmer notre foi en Lui, notre confiance dans le visage d’amour et de miséricorde qu’il a manifesté en son Fils Jésus-Christ.

Ceux qui se drapent dans les atours de la religion pour masquer leur projet mortifère, ceux qui veulent nous annoncer un Dieu de la mort, un moloch qui se réjouirait de la mort de l’homme et qui promettrait le paradis à ceux qui tuent en l’invoquant, ceux-là ne peuvent pas espérer que l’humanité cède à leur mirage. L’espérance inscrite par Dieu au cœur de l’homme a un nom, elle se nomme la vie. L’espérance a un visage, le visage du Christ livrant sa vie en sacrifice pour que les hommes aient la vie en abondance. L’espérance a un projet, le projet de rassembler l’humanité en un seul peuple, non par l’extermination mais par la conviction et l’appel à la liberté. C’est cette espérance au cœur de l’épreuve qui barre à jamais pour nous le chemin du désespoir, de la vengeance et de la mort.

C’est cette espérance qui animait le ministère du P. Jacques Hamel quand il célébrait l’Eucharistie au cours de laquelle il a été sauvagement exécuté. C’est cette espérance qui soutient les chrétiens d’Orient quand ils doivent fuir devant la persécution et qu’ils choisissent de tout quitter plutôt que de renoncer à leur foi. C’est cette espérance qui habite le cœur des centaines de milliers de jeunes rassemblés autour du Pape François à Cracovie. C’est cette espérance qui nous permet de ne pas succomber à la haine quand nous sommes pris dans la tourmente.

Cette conviction que l’existence humaine n’est pas un simple aléa de l’évolution voué à la destruction inéluctable et à la mort habite le cœur des hommes quelles que soient leurs croyances et leurs religions. C’est cette conviction qui a été blessée sauvagement à Saint-Étienne du Rouvray et c’est grâce à cette conviction que nous pouvons résister à la tentation du nihilisme et au goût de la mort. C’est grâce à cette conviction que nous refusons d’entrer dans le délire du complotisme et de laisser gangréner notre société par le virus du soupçon.

On ne construit pas l’union de l’humanité en chassant les boucs-émissaires. On ne contribue pas à la cohésion de la société et à la vitalité du lien social en développant un univers virtuel de polémiques et de violences verbales. Insensiblement, mais réellement cette violence virtuelle finit toujours par devenir une haine réelle et par promouvoir la destruction comme moyen de progrès. Le combat des mots finit trop souvent par la banalisation de l’agression comme mode de relation. Une société de confiance ne peut progresser que par le dialogue dans lequel les divergences s’écoutent et se respectent.

2. La peur de tout perdre

La crise que traverse actuellement notre société nous confronte inexorablement à une évaluation renouvelée de ce que nous considérons comme les biens les plus précieux pour nous. On invoque souvent les valeurs, comme une sorte de talisman pour lequel nous devrions résister coûte que coûte. Mais on est moins prolixe sur le contenu de ces valeurs, et c’est bien dommage. Pour une bonne part, la défiance à l’égard de notre société, – et sa dégradation en haine et en violence – s’alimente du soupçon selon lequel les valeurs dont nous nous réclamons sont très discutables et peuvent être discutées. Pour reprendre les termes de l’évangile que nous venons d’entendre : quel trésor est caché dans le champ de notre histoire humaine, quelle perle de grande valeur nous a été léguée ? Pour quelles valeurs sommes-nous prêts à vendre tout ce que nous possédons pour les acquérir ou les garder ? Peut-être, finalement, nos agresseurs nous rendent-ils attentifs à identifier l’objet de notre résistance ?

Quand une société est démunie d’un projet collectif, à la fois digne de mobiliser les énergies communes et capable de motiver des renoncements particuliers pour servir une cause et arracher chacun à ses intérêts propres, elle se réduit à un consortium d’intérêts dans lequel chaque faction vient faire prévaloir ses appétits et ses ambitions. Alors, malheur à ceux qui sont sans pouvoir, sans coterie, sans moyens de pression ! Faute de moyens de nuire, ils n’ont rien à gagner car ils ne peuvent jamais faire entendre leur misère. L’avidité et la peur se joignent pour défendre et accroître les privilèges et les sécurités, à quelque prix que ce soit.

Est-il bien nécessaire aujourd’hui d’évoquer la liste de nos peurs collectives ? Si nous ne pouvons pas nous en affranchir, en nommer quelques-unes nous donne du moins quelque lucidité sur le temps que nous vivons. Jamais sans doute au cours de l’histoire de l’humanité, nous n’avons connu globalement plus de prospérité, plus de commodités de vie, plus de sécurité, qu’aujourd’hui en France. Les plus anciens n’ont pas besoin de remonter loin en arrière pour évoquer le souvenir des misères de la vie, une génération suffit. Tant de biens produits et partagés, même si le partage n’est pas équitable, tant de facilités à vivre ne nous empêchent pas d’être rongés par l’angoisse. Est-ce parce que nous avons beaucoup à perdre que nous avons tant de peurs ?

L’atome, la couche d’ozone, le réchauffement climatique, les aliments pollués, le cancer, le sida, l’incertitude sur les retraites à venir, l’accompagnement de nos anciens dans leurs dernières années, l’économie soumise aux jeux financiers, le risque du chômage, l’instabilité des familles, l’angoisse du bébé non-conforme, ou l’angoisse de l’enfant à naître tout court, l’anxiété de ne pas réussir à intégrer notre jeunesse, l’extension de l’usage des drogues, la montée de la violence sociale qui détruit, brûle, saccage et violente, les meurtriers aveugles de la conduite automobile… Je m’arrête car vous pouvez très bien compléter cet inventaire en y ajoutant vos peurs particulières. Comment des hommes et des femmes normalement constitués pourraient-ils résister sans faiblir à ce matraquage ? Matraquage de la réalité dont les faits divers nous donnent chaque jour notre dose. Matraquage médiatique qui relaie la réalité par de véritables campagnes à côté desquelles les peurs de l’enfer des prédicateurs des siècles passés font figure de contes pour enfants très anodins.

Comment s’étonner que notre temps ait vu se développer le syndrome de l’abri ? L’abri antiatomique pour les plus fortunés, abri de sa haie de thuyas pour le moins riche, abri de ses verrous, de ses assurances, appel à la sécurité publique à tout prix, chasse aux responsables des moindres dysfonctionnements, bref nous mettons en place tous les moyens de fermeture. Nous sommes persuadés que là où les villes fortifiées et les châteaux-forts ont échoué, nous réussirons. Nous empêcherons la convoitise et les vols, nous empêcherons les pauvres de prendre nos biens, nous empêcherons les peuples de la terre de venir chez nous. Protection des murs, protection des frontières, protection du silence. Surtout ne pas énerver les autres, ne pas déclencher de conflits, de l’agressivité, voire des violences, par des propos inconsidérés ou simplement l’expression d’une opinion qui ne suit pas l’image que l’on veut nous donner de la pensée unique.

Silence des parents devant leurs enfants et panne de la transmission des valeurs communes. Silence des élites devant les déviances des mœurs et légalisation des déviances. Silence des votes par l’abstention. Silence au travail, silence à la maison, silence dans la cité ! A quoi bon parler ? Les peurs multiples construisent la peur collective, et la peur enferme. Elle pousse à se cacher et à cacher.

C’est sur cette inquiétude latente que l’horreur des attentats aveugles vient ajouter ses menaces. Où trouverons-nous la force de faire face aux périls si nous ne pouvons pas nous appuyer sur l’espérance ? Et, pour nous qui croyons au Dieu de Jésus-Christ, l’espérance c’est la confiance en la parole de Dieu telle que le prophète l’a reçue et transmise : « Ils te combattront, mais ils ne pourront rien contre toi, car je suis avec toi pour te sauver et te délivrer. Je te délivrerai de la main des méchants, je t’affranchirai de la poigne des puissants. »

« Mon rempart, c’est Dieu, le Dieu de mon amour. »

Amen !

Cardinal André VINGT-TROIS

Archevêque de Paris.

27 juillet 2016

Fondation HCB - derniers jours : Exposition Francesca Woodman (vu ce soir)

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Francesca Woodman jusqu’au 31 juillet 2016

La Fondation Henri Cartier-Bresson présente l’oeuvre fulgurante de la photographe américaine Francesca Woodman (1958-1981). Par son travail profondément intime et sensible, fondé sur l’exploration perpétuelle du soi et du médium, elle fait de la photographie sa seconde peau. Francesca Woodman a quasi exclusivement utilisé son corps dans ses images, ainsi je suis toujours à portée de main, explique-t-elle, quand l’urgence de la représentation se manifeste. Malgré sa disparition prématurée à l’âge de vingt-deux ans, Francesca Woodman laisse une impressionnante production visuelle. Ses photographies dévoilent de multiples influences allant notamment du symbolisme au surréalisme mais sa précocité est prodigieuse.

http://www.henricartierbresson.org/expositions/

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27 juillet 2016

Clara Morgane

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27 juillet 2016

Est-ce clair ?

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27 juillet 2016

Pape François

16:23  "Le monde est en guerre", affirme le Pape François

"Le monde est en guerre", mais pas de religions, a déclaré mercredi le pape François, évoquant à bord de l'avion qui l'amenait en Pologne l'assassinat d'un prêtre français. "Le monde est en guerre parce qu'il a perdu la paix", a dit le souverain pontife aux journalistes. Mais, "quand je parle de guerre, je parle d'une guerre d'intérêts, d'argent, de ressources, pas de religions. Toutes les religions veulent la paix, ce sont les autres qui veulent la guerre", a poursuivi le pape qui entame une visite de cinq jours en Pologne à l'occasion des Journées Mondiales de la Jeunesse.

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