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Jours tranquilles à Paris
27 juillet 2016

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27 juillet 2016

ETEL : Fête du thon. La tradition des chars

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Le char des Joyeux-Forgerons, devant l'école d'apprentissage maritime située alors boulevard des « Zinzins ». (l'actuel boulevard du Général-de-Gaulle).

La Fête du thon, qui célébrera ses 30 ans dimanche, s'inscrit dans la tradition des fêtes des thoniers, organisées depuis les années 1920 autour de la bénédiction des flottilles, à l'heure du départ pour les campagnes de thon (Voir Le Télégramme du 20 juillet). La fête se tenait alors début juillet. De ces fêtes des thoniers, la Fête du thon a repris plusieurs incontournables, à commencer par les chars fleuris. La première véritable Fête des thoniers a eu lieu en 1924, avec le bal, l'élection de reines et le défilé de chars accompagnés de groupes folkloriques. Le schéma de la fête était en place. Une fête foraine s'y est ajoutée, et, parmi les groupes, Etel a vu défiler le cercle des Ajoncs d'Or de Pont-Aven, des gardians à cheval, la fanfare ételloise des Thoniers de Notre Dame, celle de l'école des Mousses de Loctudy, la musique du bataillon colonial des commandos parachutistes de Meucon, mais aussi, à partir des années 50, des ensembles de binious et des bagadoù venus de toute la Bretagne. S'y ajoutaient des groupes locaux costumés, les enfants des écoles en habits bretons ou illustrant un thème particulier, les marins et leurs épouses en coiffe. Toute la population s'investissait alors dans la fête. Tous les moyens de locomotions réquisitionnés Pour les chars, tous les moyens de locomotion étaient « réquisitionnés », à commencer par les charrettes et les chevaux de trait des agriculteurs du voisinage, puis les premières automobiles et les camions des usiniers. Les décorations florales rivalisaient d'élégance et de surprise. Car une vraie émulation s'était développée entre quartiers et groupes locaux pour construire ces chars. Les photos conservées au Musée des thoniers témoignent de l'imagination et de la créativité mises en oeuvre comme pour le char des « Joyeux Forgerons » ou celui des « Sans-soucis briseurs de coeur ». L'engouement à confectionner ces chars fleuris était tel qu'en 1945, les Étellois encore réfugiés à Pipriac (la ville avait été évacuée en novembre 1944), en avaient réalisé un, représentant un dundee-thonier. Le char du Thonier ouvre toujours, avec celui du thon, le défilé de la Fête du thon. Quant au parcours, s'il consiste aujourd'hui en une descente vers les quais, il était beaucoup plus long autrefois : de la place Saint-Louis, il remontait la Grande-Rue, filait par la route de Belz, revenait par la rue Traversière et la route d'Erdeven, et redescendait par la place du Marché et la rue de la Fontaine. Source : Le Télégramme

Voir mes précédents billets sur la Fête du Thon

27 juillet 2016

Milo Moiré

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27 juillet 2016

La Parisienne - save the date

27 juillet 2016

Toiletpaper toujours aux Galeries Lafayette

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27 juillet 2016

Rio de Janeiro

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27 juillet 2016

Prêtre assassiné. L'escalade dans l'horreur

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Hier, Saint-Étienne-du-Rouvray semblait comme en état de siège. Un vaste périmètre de sécurité barrait tout accès au centre de la commune. Le Raid, unité d'élite de la police nationale, a terminé peu avant 16 h ses opérations de déminage sur le lieu de l'attentat où s'affairaient les spécialistes de la police scientifique. Un nouveau pas franchi dans l'horreur. Moins de deux semaines après l'attentat de Nice, la France est à nouveau frappée cruellement. Un prêtre est mort égorgé, hier, lors d'une prise d'otages dans son église de Saint-Étienne- du-Rouvray, en Normandie. Une attaque revendiquée par le groupe État islamique qui a provoqué un énorme choc dans les rangs des catholiques et bien au-delà. Que s'est-il passé ? L'assassinat d'un prêtre dans une attaque terroriste est une première en France. Jacques Hamel, prêtre auxiliaire de la paroisse, 86 ans, est mort égorgé, hier, dans son église à Saint-Étienne-du-Rouvray, près de Rouen. Deux hommes sont arrivés dans l'église de cette commune de 29.000 habitants située dans l'agglomération de Rouen, à l'heure de la messe matinale, vers 9 h 25. Ils ont pris en otages cinq personnes (dont deux religieuses) qui se trouvaient à l'intérieur, ont tué le prêtre et grièvement blessé un paroissien de 86 ans. Ils se sont « enregistrés » au moment du crime, a témoigné sur RMC soeur Danielle, une religieuse parvenue à donner l'alerte. À leur sortie de l'église, les deux preneurs d'otages se sont retrouvés face à face avec des hommes de la Brigade de recherche et d'intervention (BRI) de Rouen et ont été tués. L'attaque revendiquée par l'EI. Lors de l'opération policière, « trois otages sont sortis de l'église suivis des deux terroristes, dont l'un porteur d'une arme de poing, en s'élançant sur les forces de police aux cris d'Allah Akbar », a précisé, hier soir, le procureur de Paris, François Molins. L'EI a affirmé que cette attaque avait été exécutée par deux de ses « soldats », qui répondaient aux appels à cibler les pays de la coalition internationale combattant l'organisation en Irak et en Syrie. Selon le procureur, l'un des individus avait « sur le ventre une fausse ceinture explosive et trois couteaux », l'autre tenait à la main un « minuteur de cuisine entouré de papier aluminium ». Il portait aussi « un sac à dos avec un faux engin explosif ». L'un des assaillants connu des services antiterroristes. L'un des deux assaillants a été « formellement identifié », a indiqué François Molins : il s'agit d'Adel Kermiche, né le 25 mars 1997 à Mont-Saint-Aignan (Seine-Maritime), connu des services antiterroristes. Cet homme avait tenté de rallier la Syrie par deux fois en 2015. Une première fois via l'Allemagne, alors qu'il était mineur, mais il avait été interpellé. Une seconde fois alors qu'il était majeur via la Suisse, puis la Turquie où il avait été arrêté. Remis à la France, il avait été mis en examen pour association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste et placé en détention provisoire, puis libéré sous bracelet électronique. Sa détention provisoire avait pris fin le 18 mars 2016, « date à laquelle le juge d'instruction antiterroriste a ordonné son placement sous contrôle judiciaire dans le cadre d'une assignation à résidence sous surveillance électronique avec un certain nombre d'obligations », a précisé François Molins. « Le parquet de Paris a fait appel de ce placement sous contrôle judiciaire en requérant le maintien du mis en examen en détention provisoire », a souligné le procureur mais, le 25 mars 2016, « la chambre d'instruction de la cour d'appel de Paris a confirmé la décision du juge d'instruction ». L'identification du second assaillant est toujours en cours. Par ailleurs, un individu mineur a été placé en garde à vue. « Il s'agit du frère cadet d'un homme parti en Syrie au printemps 2015 avec les papiers d'identité d'Adel Kermiche », a souligné le procureur. Plusieurs jihadistes dans le viseur de la justice sont originaires de Normandie, notamment Maxime Hauchard, converti à l'islam, identifié fin 2014 comme l'un des bourreaux de l'EI, qui a grandi près de Rouen. Hollande : « Faisons bloc ». Le président Hollande s'est immédiatement rendu sur les lieux du drame avec le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve. « Tuer un prêtre, c'est profaner la République qui garantit la liberté de conscience. C'est semer l'effroi, car ce que veulent les terroristes, c'est nous diviser, nous séparer, nous déchirer », a martelé le chef de l'État, hier soir, lors d'une allocution télévisée. « Ce qui est visé, c'est notre démocratie. Elle est la cible, elle sera notre bouclier », a ajouté François Hollande, qui réunira ce matin un Conseil de sécurité et de défense. « Françaises, Français, faisons bloc, c'est ainsi que nous gagnerons la guerre contre la haine et le fanatisme. » « L'objectif » est de « créer une guerre de religions », a renchéri le Premier ministre, Manuel Valls, sur TF1. Des catholiques sous le choc. L'heure était à la « sidération », hier, dans les rangs des catholiques après cette attaque jihadiste redoutée depuis des mois dans les églises de France (lire par ailleurs). Le pape François a fustigé « un meurtre barbare » et condamné « de la manière la plus radicale toute forme de haine ». Source : Le Télégramme

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Photo : la une du Télégramme ce matin

27 juillet 2016

Présidentielle américaine : Hillary Clinton officiellement désignée candidate du Parti démocrate

Les huées des partisans de Bernie Sanders n'ont rien changé au résultat : Hillary Clinton sera bien la candidate démocrate à la Maison Blanche en novembre . Les délégués du parti, réunis à Philadelphie (Pennsylvanie, Etats-Unis), ont investi l'ancienne secrétaire d'Etat, mardi 26 juillet. Leur choix est historique : elle devient ainsi la première femme à briguer le poste de présidente des Etats-Unis au nom d'un des deux grands partis au pouvoir outre-Atlantique. Hillary Clinton acceptera formellement cette investiture jeudi, lors d’un grand discours, en clôture de la convention.

27 juillet 2016

Presqu'île de Quiberon

27 juillet 2016

Brec'h : Frelons asiatiques. Des attaques recensées

Les frelons vont bientôt quitter leurs nids primaires pour aller se loger dans des endroits plus difficiles à atteindre. L'Absap (Association brec'hoise de sauvegarde des abeilles et des pollinisateurs) met en garde contre les dangers que représentent en ce moment les nids de frelons asiatiques. Les accidents avec les frelons se multiplient sur la commune, plusieurs habitants ayant été victimes de piqûres. Le dernier accident a eu lieu dimanche au lieu-dit Kerizan, et la victime s'est rendue aux urgences. « Les nids primaires ont fortement augmenté par rapport à 2015 et ont beaucoup grossi depuis un mois », explique Michel Le Boudec, président de l'Absap. Des nids qui sont passés de 5 à 14 cm « De 5 cm de diamètre, ils sont passés à 14 cm, et contiennent quelques dizaines de frelons et de nombreuses alvéoles contenant des larves qui vont se transformer en ouvrières et encore développer la colonie ». Les cinq derniers nids que les apiculteurs de l'Absap ont détruits se trouvaient à l'intérieur de garages ouverts sur l'extérieur, à 4-5 m de hauteur, parfois à côté de petits nids non actifs. « Nous pouvons aussi les trouver dans des haies, des massifs de fleurs, à l'intérieur d'arbres creux », indique le président. Malgré une apparence paisible, les frelons qui occupent ces nids sont très dangereux s'ils sont dérangés. Les personnes de l'Absap qui sont intervenues avaient découvert ces nids depuis quelque temps mais ne se doutaient pas de la dangerosité de ses occupants. Aussi, l'association brec'hoise préconise de garder une distance de 5 m et de ne pas tenter de détruire le nid par soi-même. Pas de perche ou de jet d'eau « Il faut contacter la mairie qui donnera la marche à suivre. L'Absap peut intervenir sur des nids de moins de 5 m de hauteur ». Il ne faut surtout pas tenter de décrocher le nid sans protection avec une perche ou encore un jet d'eau. « C'est l'attaque garantie », prévient Michel Le Boudec. Les conséquences peuvent être très graves. Avec l'été, il faut continuer à être vigilant. Les nids non découverts vont donner des nids secondaires pouvant atteindre 80 cm à 1 mètre de diamètre. Les frelons vont quitter le nid primaire pour aller s'établir ailleurs, dans les buissons, dans les arbres à 20 m de hauteur. Il sera alors plus difficile de les voir et d'éliminer en raison du feuillage. Contact Absap : Michel Le Boudec, tél. 06.18.14.34.07.

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