Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Jours tranquilles à Paris
7 janvier 2017

"The DeathList"

En 2016, "The DeathList" avait prédit les décès de Mohamed Ali, Fidel Castro, Nancy Reagan... Et comme chaque 1er janvier, ce site britannique vient de publier sa -très cynique- liste de pronostics pour 2017. Le principe est simple : elle contient les noms de 50 célébrités, susceptibles de mourir en 2017.

L'acteur Kirk Douglas, 100 ans, domine ce classement établi par le "comité" secret qui anime le site DeathList.net. Signalons notamment la présence dans cette liste de la reine Elizabeth II ou le duc d'Edimbourg, ainsi que le couturier français Pierre Cardin.

Font leur apparition cette année dans cette liste, Honor Blackman ("Goldfinger", "Chapeau melon et bottes de cuir"), mais aussi l'interprète de Dark Vador, David Prowse.

Depuis sa création en 1996, le record du comité de The "DeathList" est de 14 prédictions réalisées.

En 2016, c'était 12. Le concept sur lequel repose DeathList.net, rappelle Slate, a été conçu par des étudiants de Warwick en 1986 : "L’idée est née au Mandela bar, à l’université de Warwick, en décembre 1986, après l’annonce de la mort de Cary Grant. Une groupe de personnes est arrivée à une liste de 31 célébrités. Une seule est morte l’année suivante, mais au fil du temps, l’art de sélection de la Deathlist s'est transformé en une science".

Dix ans plus tard, en 1996, le site internet était lancé. Le Comité n'a réalisé un zéro pointé qu'à une seule reprise, en 1991, quand aucune des quarante personnalités nommées n’était morte au cours de l’année.

Publicité
7 janvier 2017

Périscope - shooting

A voir sur Périscope : Smasher Magazine

ff7

ff8

ff9

ff10

7 janvier 2017

Extrait d'un shooting - recherche personnelle

extrait (3)

7 janvier 2017

Sans les « cars Macron », 900 000 voyages n’auraient pas eu lieu

17 % des utilisateurs des « cars Macron » ne se seraient pas déplacés sans eux, selon une étude. Ce mode de transport, libéralisé en 2015, a aussi pris des clients au TGV.

Par   Vincent Vérier

Les Français peuvent dire merci aux « cars Macron ». Selon une étude publiée hier par l’Arafer (Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières), 17 % des personnes qui les ont utilisés n’auraient pas voyagé s’ils n’existaient pas. Soit un total de 900 000 voyageurs sur les 5,2 millions transportés par les autocars en un an. Et sans surprise, les premiers bénéficiaires de ce mode de transport, libéralisé depuis l’été 2015, sont les jeunes.

Moins cher que le train, plus sûr que le covoiturage  ?

Alors que les moins de 25 ans représentent 10 % de la population française, ils constituent 21 % de la clientèle. Mieux, 19 % des voyageurs sont des étudiants, alors que leur poids dans la société n’est que de 5 %  (lire ci-contre). « Ils disposent généralement de plus de temps pour voyager et ont un budget plus contraint », justifie Nicolas Quinones-Gil, responsable de l’observatoire des transports à l’Arafer.

En effet, même si le ticket d’autocar doit augmenter dans les prochains mois, du fait de la consolidation du marché, il reste en moyenne entre 2,5 et 3 fois moins cher que celui du train. « Ce n’est pas le même service, rappelle la SNCF. Le train est plus rapide. On ne peut pas comparer les deux transports. » Finalement, l’Arafer estime que sur un an, les « cars Macron » ont potentiellement pris 1,9 million de voyageurs au train, dont 1,3 million pour le seul TGV.

Même punition pour le covoiturage. Jugé moins sûr et moins confortable que les cars, il a abandonné 1,3 million de trajets aux autocaristes. Si on ajoute les voitures individuelles ou celles de location, le chiffre atteint 2,3 millions. Plus surprenant, les « cars Macron » ont également grignoté des parts de marché à l’avion, avec environ 100 000 trajets gagnés sur l’aérien.

Et à chaque fois, c’est l’argument prix qui l’emporte sur d’autres considérations et notamment sur les temps de trajet, généralement beaucoup plus longs en car. Ainsi, 80 % des sondés jugent que les voyages sont moins chers que le train, et 63 % moins élevés que le covoiturage. Pas étonnant alors que la clientèle des cars soit constituée pour près de 30 % de voyageurs (hors étudiant) avec un revenu net mensuel inférieur à 1 500 €.

*Etude réalisée auprès de 1 476 personnes ayant voyagé sur une ligne de « car Macron », interrogées entre octobre et décembre 2016 : 452 par téléphone, 689 par Internet, 335 en gare routière.

7 janvier 2017

Réflexion

snip_20161207074405

Publicité
7 janvier 2017

Concorde Art Gallery - save the date

Concorde Art Gallery invit

7 janvier 2017

PLAYBOY France - le retour

ff4

7 janvier 2017

Des transports réguliers sur la Seine pour bientôt ?

Voguéo a été le dernier service de transports réguliers sur la Seine. Il a pris fin en 2011.

Le Stif lance mercredi une étude sur le « transport fluvial de personnes » afin d’explorer toutes les possibilités qu’offre le fleuve. Premiers résultats attendus fin mars.

Par   Jila Varoquier

Et si l’on pouvait à nouveau voguer au fil de la Seine pour se rendre au boulot, plutôt qu’emprunter les souterrains aux lumières artificielles du métro ? Le syndicat des transports d’Ile-de-France (Stif) se penche sérieusement sur la question.

Son conseil d’administration va lancer mercredi, une étude sur le « transport fluvial de personnes » afin d’explorer toutes les possibilités qu’offre le fleuve, observer les expériences à l’étranger et analyser les innovations techniques. L’étude devra également se pencher sur les « passeurs de rives », ces embarcations qui permettre de traverser par l’eau, loin des ponts. Le Stif attend les premiers résultats à la fin du premier trimestre 2017.

« C’est une très bonne idée, estime Pierre Garzon, vice-président du Stif. Mais nous croyons davantage au besoin de franchir le fleuve dans des zones où les ponts sont rares, comme en Yvelines ou en Essonne plutôt qu’une traversée au fil de la Seine ».

Une première expérience en 2008

Car aujourd’hui, les transports réguliers de personnes sont rares. Seul Batobus offre, principalement aux touristes, neuf escales entre le Jardin des plantes et Beaugrenelle, toutes les 40 minutes. Ou les navettes qui desservent le centre commercial d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) depuis le XIX  e arrondissement. En 2008, le Stif a déjà mené une expérience : Voguéo. Testé d’abord entre Maison-Alfort et Gare d’Austerlitz, le dispositif était prévu pour être étendu de l’école Vétérinaire de Maisons-Alfort - Vitry, en amont, jusqu’au Pont de Suresnes, en aval, via trois lignes. Mais le projet est abandonné en 2011. L’unique candidat à la délégation de service public, Batobus, estime le coût à 74 M€. Trois fois plus que les prévisions ! Un rapport de l’autorité de la concurrence de 2009 note aussi que lors des neufs premiers mois, les usagers ont emprunté Voguéo principalement pour « des déplacements d’agrément et non, domicile-travail ».

La faible vitesse des embarcations sur le fleuve semble aussi limiter l’attrait de transports plus réguliers : 12 km/h à l’intérieur de Paris et 18 km/h en banlieue, soit 35 minutes pour 7 km entre Maisons-Alfort et Austerlitz : « Ces limitations sont liées au trafic dense — l’un des plus importants au monde en termes de trafic passager — et permettent de mieux anticiper les manœuvres à accomplir », justifie la Direction de l’équipement d’Ile-de-France (Dreia). Les « aspects physiques particuliers de la Seine », ajoute la Dreia — ponts qui obligent à de nombreux mouvements d’évitement, courants forts générés par les iles, présence de vents latéraux, — rendent « sa navigation complexe » et donc, contraignent à restreindre la vitesse.

« Mais les technologies ont évolué. Il va être intéressant de réexpertiser le dossier », poursuit Pierre Garzon.

« Il faudra aussi trouver une solution à cette limitation si l’on veut proposer des alternatives écologiques et attractives », suggère Alain Thebault. Le créateur de « Sea Bubble », ces bulles volantes à la demande, espère prochainement tester ses créations sur la Seine à l’aspect futuriste. « Mais à Londres ou dans la baie de San Francisco, on peut aller jusqu’à 50 km/h. A Paris, on ira presque moins vite qu’une bicyclette ».

7 janvier 2017

Mario Testino pour V Magazine

vvvv (1)

vvvv (2)

vvvv (3)

vvvv (4)

vvvv (5)

vvvv (6)

vvvv (7)

vvvv (8)

vvvv (9)

7 janvier 2017

Circulation(s) - save the date

Vernissage presse : vendredi 20 janvier 2017 de 9h30 à 12h

Vernissage grand public : samedi 21 janvier 2017 de 14h à 19h30

Septième édition de Circulation(s), festival de la jeune photographie européenne organisé par l’association Fetart  au CENTQUATRE-PARIS du 21 janvier au 5 mars 2017.

Ce festival a pour vocation de faire émerger les talents de la jeune photographie européenne et de faire découvrir au public la création artistique contemporaine innovante.

Présidé cette année par Hercules Papaioannou , il présentera une exposition de 44 photographes européens ainsi que de nombreuses autres manifestations.

Autour de cette exposition d’envergure, Little Circulation(s), l’exposition à hauteur d’enfants, revient en 2017 avec son programme pédagogique et les activités pour le jeune public.

Le studio photo : tous les week-ends,vous pourrez vous faire photographier seul(e), en famille ou entre amis par un photographe professionnel, dans des conditions d’un studio de prise de vue et repartir avec un tirage signé (59 €).

Deux photographes de Circulation(s) seront exposés à la Gare de l'Est et, nouveauté cette année, cinq artistes du festival exposeront en exclusivité au centre photographique de Clermont-Ferrand (Hôtel Fontfreyde) du 02 mars au 05 juin 2017

Innovation chez Circulation(s): pour la première fois, le festival s’associe aux lieux parisiens qui soutiennent et défendent la jeune photographie contemporaine. Rendez-vous dans les galeries Clémentine de la Féronnière, Escale à La Grange aux Belles, Esther Woerdehoff, Galerie Fisheye, Intervalle, La Capsule, Little Big Galerie et Librairie 29.

ff1

invitation_Presse2[RIxe]

Publicité
<< < 10 20 30 40 41 42 43 44 45 46 47 > >>
Publicité