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Jours tranquilles à Paris
17 mars 2017

Extrait d'un shooting - mi homme/mi femme

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17 mars 2017

STUDIO BLUMENFELD, NEW YORK 1941-1960, À LA CITÉ DE LA MODE ET DU DESIGN

Dévoilant près de deux cents oeuvres, dont une trentaine sont inédites, cette exposition réalisée par la Cité de la Mode et du Design nous fait découvrir l’oeuvre et le style unique du célèbre photographe new-yorkais Erwin Blumenfeld. Cette rétrospective inédite rassemble des photographies en couleurs issues des archives personnelles de l’artiste et propose une immersion dans l’univers de son studio, chambre d’expérimentation de ce virtuose de la photographie tout au long des années 1940 et 1950. Informations pratiques :

Les Docks, Cité de la Mode et du Design – 34 Quai d’Austerlitz, 75013

Métro : Quais de la Gare (ligne 6), Gare d’Austerlitz ( lignes 5, 10 et RER C)

Plein tarif : 5 €

Jusqu’au 4 juin 2017, tous les jours, sauf le mardi, de 11h à 19h

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17 mars 2017

Rita Ora

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17 mars 2017

La Fashion Week .... dans la rue

17 mars 2017

L’artiste Jeff Koons et le Centre Pompidou condamnés pour « contrefaçon »

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Le tribunal a estimé que l’œuvre « Naked » était une copie d’un cliché réalisé par Jean-François Bauret et diffusé en 1975.

La sculpture Naked du célèbre plasticien américain Jeff Koons est bien la « contrefaçon » d’un cliché du photographe français Jean-François Bauret, a conclu, jeudi 9 mars, le tribunal correctionnel de Paris.

Dès lors, le tribunal de grande instance a condamné la société Jeff Koons LLC, dont l’artiste est le gérant, et le Centre Pompidou à verser 20 000 euros aux ayants droit du photographe en réparation du préjudice subi, auxquels s’ajoutent 20 000 euros pour leurs frais de justice. Jeff Koons LLC devra également payer 4 000 euros supplémentaires à la famille pour avoir reproduit l’œuvre litigieuse sur son site Internet.

Naked, réalisée en 1988 par Jeff Koons, est une sculpture en porcelaine, haute d’un peu plus d’un mètre. Elle représente deux enfants nus : un petit garçon offrant à une petite fille un bouquet de fleurs. Un exemplaire de l’œuvre a été vendu 8 millions de dollars en 2008.

Pour le tribunal, cette sculpture est bien une « contrefaçon » du cliché Enfants réalisé par Jean-François Bauret et diffusé en 1975 sous forme de carte postale, représentant deux enfants nus, dans une pose identique.

Le pionner du portrait nu

Pour les juges, les variations apportées par Jeff Koons « n’empêchent pas de reconnaître et d’identifier les modèles et la pose », qui sont « des éléments essentiels protégés » du cliché de Jean-François Bauret, mort en janvier 2014 et considéré comme un pionnier du portrait nu en France.

Le tribunal a précisé que l’artiste, l’un des plus cotés du monde, n’était pas condamné à titre personnel, mais comme représentant de la société qu’il gère. Il a également rappelé que l’œuvre litigieuse n’avait finalement pas été exposée au Centre Pompidou, à Paris, pendant une spectaculaire rétrospective consacrée à l’artiste, de novembre 2014 à la fin d’avril 2015, officiellement parce qu’elle avait été endommagée pendant le transport.

Sauf que la sculpture « était déjà reproduite sur les supports de l’exposition en vente au public » et a été montrée dans divers reportages, ont relevé les juges.

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16 mars 2017

Théâtre des Bouffes du Nord

#bouffesdunord #MonCœur #WeLoveParis

Une publication partagée par Nicolas Jardry (@iconiko) le 16 Mars 2017 à 12h34 PDT

16 mars 2017

Et alors ?

Fillon poursuit sa campagne comme si de rien n’était. «Je suis un combattant balafré qui ne baisse pas la tête devant les balles», a-t-il dit dans une métaphore martiale, un peu forcée, il faut le dire. Il a survécu à une entrevue avec le juge Tournaire, ce qui est tout de même moins dangereux que le Chemin des Dames. Fillon, un poilu en uniforme sur mesure…

En fait, il a fait sienne une devise qui restera comme un des mots de la campagne. Quand la presse a révélé qu’un généreux donateur lui offrait ses costumes Arnys, il a seulement répondu : «Et alors ?» Cette réplique est en passe de devenir un leitmotiv de campagne. Le jour de sa mise en examen, les leaders LR ont rivalisé de sérénité cynique en rétorquant sur tous les tons aux questions des journalistes : «Et alors ?» Rien de nouveau, on le savait déjà, une machination, etc.

Ils ne sont pas les seuls. Marine Le Pen est accusée des mêmes faits que Fillon. «Et alors ?» Elle a sous-estimé son patrimoine pour ne pas payer l’ISF. «Et alors ?» Elle est sous le coup de plusieurs investigations judiciaires, tout aussi embarrassantes que celles de Fillon. «Et alors ?» Elle est convoquée par les juges ? «Et alors ?» Elle n’ira pas, voilà tout.

On pourrait étendre la même rhétorique à d’autres domaines. Ainsi les citoyens gagnés par ce cynisme venu d’en haut pourraient à leur tour sacrifier à la rhétorique du «Et alors ?» Je mets mon argent à l’étranger pour ne pas payer d’impôts. Et alors ? Je vire 3000 salariés alors que ma boîte gagne des milliards. Et alors ? Je travaille systématiquement au black pour gruger le fisc. Et alors ? Et à force de voir l’exemple d’une classe politique qui s’affranchit de tout code éthique, les électeurs seront tentés, encore plus qu’aujourd’hui, de voter contre ce «système» qui se discrédite lui-même, en oubliant que la candidate antisystème n’est guère plus reluisante. C’est un des facteurs qui expliquent que Marine Le Pen, pour la première fois, pourrait faire mentir les sondages et gagner au deuxième tour de la présidentielle. Et alors ? Article de Laurent Joffrin

16 mars 2017

Vu sur instagram - j'aime beaucoup

16 mars 2017

Extrait d'un shooting - nu

shooting snap (11)

16 mars 2017

Iris Brosch

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