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Jours tranquilles à Paris
26 avril 2017

Actuellement à la MEP....

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25 avril 2017

Champs Elysées - sur le lieu de l'attentat ce soir

attentat champs elysees (1)

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25 avril 2017

Au lendemain du premier tour, Macron peaufine sa stratégie, Le Pen part à l’assaut

Par Olivier Faye, Cédric Pietralunga

La candidate d’extrême droite a choisi de se mettre en congé de la présidence du FN, un geste symbolique. Chez le prétendant d’En marche !, on hésite entre contourner ou attaquer de front Mme Le Pen.

L’une a un retard conséquent à combler, l’autre une avance confortable à gérer. Pour Marine Le Pen et Emmanuel Macron, ce sont deux campagnes très différentes qui se sont engagées dans cet entre-deux tours de l’élection présidentielle. La candidate du Front national (FN) est arrivée avec près de trois points de retard sur son adversaire d’En marche !, dimanche 23 avril, en enregistrant 21,3 % des suffrages, contre 24 % pour M. Macron.

Les soutiens en faveur de l’ancien ministre de l’économie ont afflué, lundi, de la part du parti Les Républicains, du Parti socialiste ou encore du président de la République François Hollande. Et les premiers sondages du second tour, qui sont révélés depuis dimanche soir, promettent entre 62 % et 64 % des voix à l’ancien banquier, dimanche 7 mai.

Dans ce contexte, Mme Le Pen a choisi de saturer au plus vite l’espace médiatique et d’attaquer sans relâche son adversaire, quand M. Macron s’est pour sa part permis de prendre un peu de recul et de laisser la députée européenne boxer seule sur son ring.

Pour tenter de convaincre de sa capacité à ouvrir ses rangs et à rassembler, la candidate du parti d’extrême droite a sorti une carte de son jeu, lundi : elle a annoncé au journal de 20 heures de France 2 se mettre « en congé » de la présidence du FN. « Ce soir, je ne suis plus la présidente du FN, je suis la candidate à la présidentielle », a-t-elle expliqué, dans une posture qu’elle voulait solennelle.

 Le Pen et la difficulté à sortir d’une posture jugée clivante

Cette décision était suggérée depuis des mois par certains soutiens de la députée européenne, mais restait cantonnée au stade du projet. Elle s’apparente aujourd’hui à une révolution de pure forme. Selon les statuts du parti, c’est au premier vice-président Jean-François Jalkh – un homme à la fidélité éprouvée, aussi bien par Mme Le Pen que par son père Jean-Marie Le Pen auparavant – d’assurer l’intérim. Et les instances du FN, toutes placées sous la coupe de son président, ne devraient pas se réunir pendant les deux semaines à venir jusqu’au second tour.

Le « congé » pris par la présidente du FN doit masquer la difficulté qu’éprouve le parti à adopter une stratégie pour trouver des alliés et sortir d’une posture jugée clivante. L’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy, Christine Boutin, a certes déclaré au Figaro qu’elle voterait pour la prétendante frontiste. Mais cet appui reste isolé.

Dans l’entourage de l’eurodéputée, on assure que sa mise en retrait de la présidence doit permettre une plus grande marge de manœuvre pour amender certains aspects du projet et rallier de nouveaux soutiens. Mme Le Pen n’a pas exprimé, pour l’heure, sa volonté de modifier tel ou tel point de son programme, et reste fidèle à une formule célèbre au sein du FN : « Il vaut mieux être battu sur ses idées qu’élu sur celles des autres. » « Les idées que je porte sont majoritaires », a-t-elle ainsi assuré, lundi. Pas forcément le signe que la voie des compromis est grande ouverte.

Créneaux de l’immigration et du terrorisme

Dans cette campagne d’entre-deux tours, elle arpente les mêmes créneaux qu’avant le 23 avril : celui de l’immigration et du terrorisme. Lundi, elle a passé quinze minutes sur le marché de la petite ville de Rouvroy, dans le Pas-de-Calais, en présence de quelques journalistes triés sur le volet – les autres étaient faussement orientés vers la ville de Béthune, à 40 km de là.

Une stratégie délibérée pour essayer d’obtenir de belles images d’une candidate qui se trouverait en communion avec le « peuple » qu’elle entend représenter. « Ça change de la Rotonde », a-t-elle raillé en référence au dîner organisé par M. Macron dans la brasserie parisienne dimanche soir, pour fêter sa première place au premier tour.

Les militants du parti lepéniste ont distribué à cette occasion un tract barré d’une promesse au ton martial : « Eradiquer le terrorisme islamiste. » Et Mme Le Pen en a profité pour s’attaquer à M. Macron, qu’elle trouve « faiblard » sur le sujet. « Rien dans le projet de M. Macron ni dans son comportement ne dénote la moindre preuve d’amour pour la France », a-t-elle ajouté sur le plateau de France 2, accusant son adversaire de défendre la « mondialisation sauvage » et « l’immigration massive ».

Macron veut « continuer à rassembler »

De son côté, le candidat d’En marche ! a décidé de la jouer sobre, pour commencer. Lors de son allocution, dimanche soir, à la porte de Versailles, après l’annonce des résultats, il n’a pas cité une seule fois Mme Le Pen, devenue pourtant celle qui peut l’empêcher d’accéder à l’Elysée. Ce n’est qu’entre les lignes qu’il l’a évoquée. « Je souhaite dans quinze jours devenir votre président, le président de tout le peuple de France, le président des patriotes face à la menace des nationalistes », a-t-il lancé au millier de sympathisants présents, reprenant une formule utilisée à de nombreuses reprises durant sa campagne.

« Le défi à partir de ce soir n’est pas d’aller voter contre qui que ce soit », a ajouté M. Macron, encore plus explicite, avant de conclure qu’« il n’y a qu’une France, la nôtre, la France des patriotes ». « Depuis le début, nous faisons une campagne pour. Nous n’allons pas commencer à faire une campagne contre, plaide Richard Ferrand, député (PS) du Finistère et secrétaire général d’En marche !. Ce qu’il faut, c’est continuer à rassembler et à renouveler. » Même si Mme Le Pen prend à partie quotidiennement M. Macron ? « L’extrême droite est toujours dans l’injure et encore plus quand elle perd son sang-froid », balaie le bras droit de l’ancien ministre.

Cette stratégie de contournement montre la volonté de M. Macron de se projeter directement dans l’après-second tour et dans la préparation des élections législatives de juin. Une étape cruciale s’il veut décrocher la majorité absolue à l’Assemblée nationale et parachever son entreprise de démolition du PS et de LR.

Dimanche soir, M. Macron a ainsi indiqué vouloir « dès à présent construire une majorité de gouvernement et de transformation nouvelle ». « Prenez dès ce soir la part du risque qui vous revient pour me rejoindre dans cette majorité parlementaire que je construirai dès demain », a-t-il lancé aux élus de la gauche et surtout de la droite, dont il a besoin pour se maintenir sur sa ligne de crête.

Des élus inquiets de le voir enjamber le 7 mai

Sa volonté de se projeter dès maintenant au lendemain du second tour fait l’objet de discussions dans l’entourage de l’ancien haut fonctionnaire de 39 ans, où certains élus s’inquiètent de voir leur champion enjamber le 7 mai, au risque d’un réveil douloureux s’il ne parvenait pas à mobiliser fortement l’électorat.

« Rien n’est fait, mettait en garde dès dimanche soir Stéphane Travert, député (PS) de la Manche. Nous entrons dans une nouvelle phase de la campagne, avec deux visions qui s’affrontent : la société du projet contre la société du repli. » « Une élection n’est jamais gagnée d’avance », a également rappelé le centriste François Bayrou, interrogé lundi matin sur RTL.

Certains semblent en tout cas prêts à porter le fer. « Il ne faut pas changer de tactique mais accepter le choc frontal, estime Arnaud Leroy, député (PS) des Français de l’étranger. Le débat moral contre le FN est mort, cela ne suffit plus, il faut aller chercher dans son programme, débusquer ses mensonges. » Quitte à parfois utiliser les mêmes méthodes. « Marine Le Pen nous critique pour La Rotonde ? On va lui rappeler Montretout ! », le célèbre manoir de la famille Le Pen à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), menace M. Leroy.

M. Macron a semblé entendre ces appels à l’action, après avoir passé la journée de lundi enfermé dans son QG parisien avec ses équipes. Sa seule sortie de la journée avait été pour déposer une gerbe au pied de la statue Komitas, érigée entre le pont des Invalides et le Grand Palais, à Paris, afin de rendre hommage aux Arméniens victimes du génocide de 1915, dont le 102e anniversaire était célébré lundi.

Mercredi, l’ancien ministre de l’économie doit se rendre dans la Somme et le Pas-de-Calais, deux terres où le Front national réalise des scores élevés, pour une journée qui sera conclue avec une réunion publique à Arras. Mardi, il devait assister à l’hommage rendu par M. Hollande à Xavier Jugelé, le policier tué sur les Champs-Elysées la semaine dernière dans une attaque revendiquée par l’Etat islamique. Un rendez-vous à l’occasion duquel il devait aussi retrouver Mme Le Pen. Enfin, il était attendu mardi soir sur le plateau de France 2, où Mme Le Pen s’était rendue la veille.

L’abstention a finalement atteint 22,23 % selon les chiffres publiés lundi soir par le ministère de l’intérieur.

Le Monde

25 avril 2017

Le Parisien (ce matin)

leparisien

25 avril 2017

Emmanuelle Béart ce soir au Théâtre du Rond Point

#backtowork #erichvonstroheim #theatredurondpoint #stanislasnordey #christophepellet du 25 avril au 22 mai 📷@jeanlouis.Fernandez

Une publication partagée par Emmanuelle Béart (@emmanuellebeart) le 23 Avril 2017 à 22h51 PDT

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25 avril 2017

Jeff Koons lance une collection de sacs à main avec Vuitton

L'artiste américain Jeff Koons et la marque de luxe Louis Vuitton (LVMH) vont lancer fin avril une collection de sacs imprimés de cinq tableaux de grands maîtres, dont la célèbre Joconde de Léonard de Vinci, ont-ils annoncé au Figaro.

"J'aime essayer toutes les possibilités créatives de l'art. Il y a, à mon avis, une différence entre design et art. L'art a un sens, un but qui le sous-tend depuis l'origine même du concept", explique au Figaro l'artiste, qui a déjà collaboré avec LVMH sur un coffret pour la marque de champagne Dom Pérignon.

Les imprimés choisis sont issus de la série "Gazing Ball" de Jeff Koons, présentée à New York fin 2015 où l'on voit des tableaux classiques agrandis comme une affiche avec une boule de verre bleue placée devant.

"Dans ma série Gazing Ball, la sphère bleue est à l'image de l'univers, un symbole de générosité qui reflète tout à 360° et vous dit où vous êtes dans l'espace et dans le temps. Je ne l'ai pas utilisée sur les sacs car le Monogram scintillant et les lettres éclatantes du nom des peintres suffisaient à établir cette connexion avec l'extérieur", explique Jeff Koons.

Sur les sacs à main, sacs à dos et la petite maroquinerie de la collection apparaîtront, outre "La Joconde", "La chasse au tigre" de Rubens, "La Gimblette" de Fragonard , "Champ de blé avec cyprès" de Van Gogh et "Mars, Vénus et Cupidon" du Titien.

La collection sera présentée mardi soir au Louvre pour une commercialisation prévue le 28 avril dans les 450 boutiques du réseau Louis Vuitton.

A l'intérieur de chaque sac se trouvent une biographie et un portrait des deux artistes ainsi que la mention du musée où l'oeuvre est exposée. Les cinq musées ont donné leur autorisation pour les reproductions et toucheront des royalties, précise le Figaro.

Jeff Koons a également redessiné les fleurs, les étoiles et les initiales du fameux monogramme qui sertit les sacs à main emblématiques de la marque. Ces sacs seront vendus plus chers que les modèles classiques (2.100 euros pour un Speedy contre 760 euros pour la version en toile Monogram, selon Le Figaro).

Les équipes du malletier se sont rapprochées de Jeff Koons il y a deux ans et demi. "Certes, son travail suscite le débat...surtout en France. Mais quand il expose à Beaubourg en 2015, il crève tous les records", explique au Figaro le PDG Michael Burke.

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25 avril 2017

Dans le métro.... Vu sur instagram

Discussion entre deux inconnus sur le résultat du premier tour des élections. #metroparis #metropeople #subwaylife

Une publication partagée par Nathalie SB (@nathalie_sb) le 24 Avril 2017 à 13h08 PDT

25 avril 2017

Visite de la Seine Musicale à Paris

25 avril 2017

Erich von Stroheim - Théâtre du Rond Point (ce soir)

sur-les-planches

http://madame.lefigaro.fr/celebrites/emmanuelle-beart-et-stanislas-nordey-on-a-dormi-ensemble-on-na-pas-couche-ensemble-070417-130860

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Erich von Stroheim, l’histoire d’un triangle pas forcément amoureux, où il est question de mystification comme de vérité, d’illusion et de sexualité…

25 avril 2017

Ren Hang

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