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Jours tranquilles à Paris
25 mai 2017

Visite exposition Helmut Newton - Musée de la Photographie - Nice - DERNIERS JOURS

Jusqu'au 28 mai 2017
Pour célébrer son nouveau lieu d'accueil, le musée de la Photographie Charles Nègre invite un monstre de la photo de mode, Helmut Newton. Une exposition qui revient sur une carrière qui a bouleversé l'image de la mode, et avec celle des femmes. Gros coup de coeur !

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25 mai 2017

Extrait d'un shooting - anonymous

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25 mai 2017

Cathédrale de Chartres

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25 mai 2017

Programmation Le Voyage à Nantes

La programmation de la sixième édition est dévoilée !

Des œuvres dans l’espace public signées Laurent Pernot, Boris Chouvellon, Nicolas Darrot ou encore Tact Architectes…

Le Voyage à Nantes c’est aussi de grandes expositions – Les Esprits, l’Or et le Chaman au Château des ducs de Bretagne, Daniel Dewar et Grégory Gicquel à la HAB Galerie, Alexandre Périgot mais aussi l’art de la fresque murale avec les artistes invités de Pick Up Production – et des perturbations dans la ville avec les créations, entre autre, de Docteur Paper, Gaëlle Le Guillou ou encore une œuvre à chercher en ville !

2017 sera ainsi une année arts visuels incroyable.

Comme EVA & ADELE, les égéries du VAN, ceux qui aiment l’art viendront à Nantes. Autoproclamées « les jumelles hermaphrodites de l’art », elles sont un couple atypique et emblématique de l’art actuel. Toujours vêtues de tenues identiques, surprenantes et ultra-féminines, maquillées de paillettes et le crâne rasé, EVA & ADELE ne font aucune distinction entre l’art et la vie. Nantes aura l’immense plaisir de les accueillir à l’occasion de la Nuit du VAN le samedi 1er juillet

25 mai 2017

Photo de groupe

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25 mai 2017

Cannes 2017 - Festival de Cannes

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25 mai 2017

ça c'est bien vrai !

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25 mai 2017

"Le Grand Trouble" à la Halle St Pierre

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A la fois exposition et naissance d’un mouvement, le Grand Trouble qui s’abat sur la Halle Saint-Pierre ne laissera aucun amateur d’art contemporain indifférent

Né d’une suite de rencontres et d’échanges entre quarante-sept artistes, ‘Grand Trouble’ s’expose pour la première fois à la Halle Saint-Pierre et présente des œuvres aussi variées qu’étranges, aussi différentes les unes des autres que déroutantes en elles-mêmes. C’est donc le hasard et l’amitié qui ont réuni en ce lieu les dessins en noir et blanc de Frédéric Pajak et ceux de Joël Person, les jeux de texture d’Alain Frentzel et ceux de Jérôme Cognet, les photographies funèbres de Jean-Michel Fauquet et celles d’Edith Dufaux…

Quelque part hors du temps, loin des objets familiers et de l’actualité, les œuvres de l’exposition questionnent le monde qui nous entoure sans le pointer du doigt. Le visiteur, inquiété, suit un parcours sinueux dans le clair-obscur de la première salle et plonge dans un spectacle métaphorique.

« d-éther-iorisation » généralisée

Des formes informes aux visages dévisagés, chaque sculpture, chaque photographie, chaque dessin indique à sa manière l’existence d’une angoisse partagée. Mais, et c’est peut-être là l’origine du trouble, impossible d’identifier la source du mal-être. ‘Grand Trouble’ ne reproduit pas plus le goût d’une époque que le dégoût qui anime notre être au monde.

A propos du mouvement littéraire romantique, Maurice Blanchot écrivait : « Il est l’époque où toutes se révèlent, car, par lui entre en jeu le sujet absolu de toute révélation, le "je" dans sa liberté, qui n’adhère à aucune condition, ne se reconnaît dans rien de particulier et n’est dans son élément – son éther – que dans le tout où il est libre. » Dans cette pièce sombre de la Halle Saint-Pierre, les œuvres semblent avoir été rassemblées sans aucun autre souci que celui d’exprimer une « d-éther-iorisation » généralisée.

(Re)naissance de l’art contemporain

On tâtonne cependant vers l’appropriation de ce sentiment diffus et, sans trop s’en rendre compte, on s’y abîme. L’exposition s’organise en une déambulation émotionnelle, en une expérience de spectateur presque cathartique. Les entités composites et les réalités médiocres sont toutes également mises à l’honneur dans une trajectoire commune : exorciser le trouble. En ce sens, le caractère expérimental de cette exposition n’échappera pas non plus aux visiteurs : des jeunes artistes à ceux qui nous ont quittés, la divergence des styles est frappante. Là où le pathos semble avoir été banni, l’on est tantôt piqué à vif par l’étrangeté des sculptures de Pavel Schmidt, tantôt engourdis par l’atmosphère extra-terrestre qui se dégage des météorites de Matthieu Gounelle et des météores de Chantal Petit.

La chorégraphie de nos malaises se poursuit à l’étage. Et si le monde semble s’appesantir un peu plus sur nos épaules avec les mots de Julien Magre, les œuvres d’Alexandra Roussopoulos touchent à l’indicible et frôlent nos incertitudes avec douceur. Mais les couleurs réconfortantes d'Al Martin et de Thomas Kaniok continuent de mettre à mal nos repères. Le sillon de nos interrogations se creuse. Comme à une voix, les jeux optiques, les univers hybrides et les traits d’humour noir donnent une tonalité – celle de la disharmonie et de la dissonance –, et ignorent les sirènes de la plainte. C’est que, de l’intuition à la dénonciation politique, du tremblement à la secousse, ‘Grand Trouble’ fait bouger le sol sous nos pieds et nous met sur la voie de ce que pourrait être, aujourd’hui, un mouvement artistique...

PAR LOLA LEVENT

25 mai 2017

AURAY - port de St Goustan - La semaine du Golfe

25 mai 2017

Trump-Macron : le bal des débutants

Diplomatie Le président français et son homologue américain vont se découvrir aujourd’hui au sommet de l’Otan à Bruxelles.

Ava Djamshidi

La poignée de main va rester gravée, le jeu de miroir fera jaser. Emmanuel Macron et Donald Trump vont se rencontrer pour la première fois aujourd’hui lors du sommet de l’Otan qui se tient sous haute surveillance (lire ci-dessous) à Bruxelles. C’est là que les deux chefs d’Etat vont participer à leur première réunion internationale au milieu des autres dirigeants de l’Alliance atlantique. Les deux « nouveaux » auront aussi l’occasion de se découvrir et de se jauger : ils partageront un déjeuner à l’ambassade des Etats-Unis sise dans la capitale belge. Une heure et quinze minutes pour amorcer la relation entre le président français et son homologue américain. Sauf imprévu, ils devront composer ensemble pendant quatre ans (au moins), durée d’un mandat présidentiel aux Etats-Unis.

Les échanges s’annoncent savoureux entre ces personnalités si contrastées. Du haut de ses 39 ans, Macron pourrait être le fils de Trump, 71 ans en juin. Le Français est aussi libéral et favorable aux échanges mondialisés que l’Américain est protectionniste. Le premier pèse au trébuchet le moindre terme qu’il prononce toujours solennellement quand le second s’épanche sans filet sur les réseaux sociaux.

Deux ovnis de la politique qui ont chamboulé l’échiquier de leur pays

Tant de différences… et pourtant que de points communs ! Ces deux ovnis de la politique ont conquis le pouvoir à l’issue de campagnes où ils ont chamboulé l’échiquier de leurs pays. Ils sont entrés dans l’histoire par la grande porte. Auparavant, ni l’un ni l’autre n’avait été élu : familiers des milieux d’affaires, le banquier chez Rothschild et le milliardaire ont prospéré — et fait fortune pour Trump — dans le privé.

Autre similitude relevée par les magazines people, les deux hommes ont chacun 24 ans d’écart avec leurs épouses, Brigitte et Melania, devenues les proies privilégiées des paparazzis. C’est donc peu dire que ce bal des débutants sera scruté. Les deux dirigeants ont déjà échangé quelques mots par téléphone, au lendemain de la victoire de Macron. « Cela s’est déroulé sur une tonalité conviviale, rapporte une source à l’Elysée. On va essayer de profiter de cette dynamique. »

Trump a entamé il y a quatre jours sa première tournée à l’étranger. Macron, qui a déjà fréquenté l’univers des sommets internationaux lorsqu’il était secrétaire général adjoint à l’Elysée, va nouer dès aujourd’hui des contacts directs avec des dirigeants de premier plan. Entre lui et l’Américain, les sujets à évoquer sont nombreux. L’avenir de cette Alliance atlantique, jugée il y a peu dépassée par Trump, les crises qui secouent le Proche-Orient et l’Afrique, l’accord de Paris sur le climat… L’Elysée promet des échanges « concis et directs ». « Ce sont des moments essentiels, se souvient un ancien conseiller de François Hollande. Au milieu de ses congénères, un homme entame sa mue et devient président. » Drôle de bal où les faux pas n’ont pas leur place.

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