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Jours tranquilles à Paris
25 juin 2017

Pique nique sur un toit brûlant... Vu sur instagram

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25 juin 2017

TURQUIE : Bravant l’interdiction, la Marche des fiertés va défiler ce dimanche à Istanbul

Pour les organisateurs, la décision des autorités stambouliotes est « infondée ». C’est la troisième année consécutive que la manifestation est officiellement proscrite.

Malgré l’interdiction émise par le gouvernorat d’Istanbul, les organisateurs de la Marche des fiertés LGBT (lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres) ont annoncé qu’ils maintiendraient leur manifestation prévue dimanche 25 juin sur l’emblématique place Taksim.

Samedi, dans un communiqué, les autorités stambouliotes ont fait savoir qu’elles n’autoriseraient pas la tenue de la Marche des fiertés et des manifestations associées pour préserver « l’ordre public » et la « sécurité des touristes » dans la zone concernée.

Le gouvernorat explique par ailleurs ne pas avoir reçu de demande d’autorisation formelle pour la manifestation, affirmant avoir été informé de sa tenue par Internet et dans la presse. Le communiqué appelle à ne pas prendre en considération les appels à manifester.

« Grande inquiétude » d’Amnesty

Les organisateurs de la Marche des fiertés ont aussitôt répliqué en affirmant que la manifestation se déroulerait comme prévu, qualifiant l’interdiction d’« infondée ».

« Le bureau du gouverneur était au courant de notre projet depuis longtemps car nous lui avions fourni une requête il y a des semaines », assure à l’Agence France-Presse Lara Ozlen, membre du comité d’organisation.

Des groupes d’extrême droite ont menacé ces derniers jours sur les réseaux sociaux de s’en prendre à la manifestation qui a lieu cette année au premier jour des festivités de l’Aïd, qui marquent la fin du Ramadan.

« Nous dire “ne défilez pas” au lieu de nous protéger parce que ça en gêne quelques-uns est antidémocratique », estime Lara Ozlen.

L’ONG Amnesty International a accueilli l’annonce des autorités turques avec « grande inquiétude », selon un communiqué. « Cette décision ne respecte pas le droit des LGBT et de leurs soutiens à se réunir pacifiquement », affirme le texte, appelant la Turquie à lever cette interdiction et à respecter les libertés d’expression et de réunion.

Interdite depuis deux ans

La Marche des fiertés est interdite à Istanbul depuis 2015. Cette année-là, selon l’association des LGBT, les autorités avaient mis en cause la coïncidence de l’événement avec le mois sacré du Ramadan. En 2016, la manifestation avait été interdite pour des raisons de sécurité alors que le pays avait été était frappé par une série d’attentats meurtriers menés par l’organisation Etat islamique (EI) ou par les séparatistes kurdes.

Mais dans un cas comme dans l’autre, les manifestants avaient bravé ces interdictions ; ils avaient été dispersés violemment par les forces de l’ordre.

Les années précédentes, la Marche des fiertés s’était déroulée sans incidents, des milliers de personnes y prenant part pour défendre les droits des minorités LGBT, devenant la plus importante manifestation du genre dans un pays musulman du Moyen-Orient.

L’homosexualité n’est pas pénalement réprimée en Turquie, mais l’homophobie y reste largement répandue.

25 juin 2017

Exposition au Centre Wallonie Belgique - vu aujourd'hui

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EXPOSITION 

Arts Plastiques -

 BXL UNIVERSEL

Centre Wallonie-Bruxelles

Jusqu’au 30 Juin

L’exposition évoque l’esprit bruxellois, à partir d’oeuvres d’artistes qui résident à Bruxelles mais aussi de son folklore. Elle dresse un portrait subjectif de Bruxelles, de son cosmopolitisme, de son joyeux melting pot et de son esprit surréaliste, en confrontant art contemporain et création populaire. Elle chamboule les catégorisations habituelles entre « high » et « low» culture, entre la norme et la marge. C'est un récit où des sensibilités s’entrechoquent, l’humour et la gravité dialoguent...

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25 juin 2017

Extrait d'un shooting - portrait aux cheveux bleus

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25 juin 2017

Landerneau. Picasso en intimité

L'exposition Picasso qui ouvre ses portes, aujourd'hui, au Fonds Leclerc, à Landerneau (Finistère), présente quelque 200 pièces qui, pour certaines, ont rarement ou jamais été montrées. Il s'agit, en effet, d'oeuvres que l'artiste avait conservées auprès de lui et qui sont aujourd'hui propriété de Catherine Hutin, fille de sa seconde épouse, Jacqueline.

Il ne s'agit donc pas ici de pièces de musée mais bien d'une collection privée, particulière et familiale. Et si, par le passé, certaines ont déjà eu des bons de sortie, en voir autant ainsi réunies est une première.

L'artiste de plus près

Si elles ne viennent pas des grands musées, ces oeuvres n'ont pas pour autant moins d'intérêt. Et on ne parle pas ici de valeur marchande car l'essentiel est ailleurs. En effet, outre l'impression que des trésors viennent d'être exhumés juste pour nous, cette exposition donne aussi le sentiment de côtoyer l'artiste d'un peu plus près. Comme si on entrait dans son cercle familial, sa sphère privée. D'un coup, nous voilà chez lui ou dans ses ateliers. C'est ainsi un Picasso intime qui se dévoile à travers un parcours éminemment sentimental et émouvant.

On pourrait évoquer en exemple ces portraits de Jacqueline Picasso dédicacés par l'artiste, ou ceux de Catherine Hutin qu'il appelle affectueusement sa « fille de lait ». On pense aussi à ces peintures de pigeons réalisées par son père, José Ruiz Blasco, qui fut son professeur de dessin. Nous sommes alors à l'aube du XXesiècle.

Mais Picasso, à son tour, ne va pas tarder à prendre son envol. Et c'est à Paris qu'il s'affranchira de l'académisme pour tracer un sillon bien personnel. « Son premier voyage à Paris permet de libérer son oeuvre d'un certain classicisme. Il quitte une Espagne provinciale pour découvrir la capitale mondiale de la culture, alors en pleine effervescence. Il y rencontre des peintres, des poètes. Paris sera un creuset magnifique pour lui », explique Jean-Louis Andral, commissaire de l'exposition.

À partir de là, et jusqu'à sa mort, en 1973, l'artiste ne cessera de se réinventer, de tracer et défricher de nouvelles voies, comme nous le montre une exposition chapitrée en neuf sections chronologiques. Et, à chaque fois, quand semblent poindre la lassitude et les difficultés, c'est auprès d'une femme que le peintre trouvera toujours un nouveau souffle.

« Une empreinte incroyable »

Et au moment de lui trouver une place dans le siècle passé, Jean-Louis Andral hésite assez peu : « Picasso a toujours été en proie à une perpétuelle interrogation par rapport à la peinture. Qui d'autre a été un tel inventeur, un tel rénovateur de forme, que ce soit en peinture, mais aussi en gravure, en céramique, en sculpture ? Picasso, c'est une extraordinaire inventivité et une empreinte incroyable sur le XXesiècle ».

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25 juin 2017

Ana Girardot

25 juin 2017

Milo Moiré

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25 juin 2017

GAY PRIDE 2017 à Paris hier après-midi

Marche des fiertés. Mobilisation afin d'obtenir « la PMA pour toutes »

Des milliers de personnes se sont réunies, hier, lors de la quarantième Marche des fiertés parisienne, pour revendiquer, en particulier, un accès plus large à la procréation médicalement assistée (PMA), avec la participation controversée d'un groupe « LGBT-En Marche ! ».

Aux abords de la place de la Concorde, une foule colorée se prêtait de bonne grâce au contrôle des policiers, qui voyaient passer gladiateurs, garçons en bas résille, filles fardées aux couleurs de l'arc-en-ciel et couples s'embrassant. « Ça fait quarante ans, et ce n'est pas fini ! » : une porte-parole de l'association organisatrice, l'Inter-LGBT (lesbiennes, gays, bis et trans) a été acclamée avant le départ du cortège, avec, comme arrière-plan symbolique, l'Assemblée nationale. « Nous ne sommes pas ici pour demander des miettes, mais des droits. » Près du char des militants LGBT des forces de l'ordre, Mickaël Bucheron, président de l'association Flag - dont était membre le policier Xavier Jugelé, tué dans un attentat jihadiste sur les Champs-Élysées, en avril -, est venu réclamer le droit de défiler en uniforme pour « dire à la population que la police est diverse, à son image ».

Emmanuel Macron a tweeté, hier : « La France est arc-en-ciel. Nous sommes riches de nos diversités, soyons en fiers ! #MarcheDesFiertés#LoveisLove ». Participaient à la marche, la secrétaire d'État chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa, et le secrétaire d'État chargé du Numérique, Mounir Mahjoubi.

Controverse autour de la REM

Pendant la campagne, Emmanuel Macron s'était dit « favorable » à l'ouverture de la PMA, aujourd'hui réservée aux couples hétérosexuels stériles, « aux couples de lesbiennes et aux femmes célibataires ». Cependant la présence d'un groupe « LGBT-En Marche ! », sous un ballon géant, a suscité, hier, une certaine controverse. Sur Twitter, des militants LGBT s'indignaient du contraste entre la présence de ce groupe et d'anciennes prises de position hostiles au mariage gay de certains membres du gouvernement et de la République en Marche.

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25 juin 2017

JO 2024: Macron mouille la chemise pour soutenir la candidature de Paris


Emmanuel Macron joue au tennis en fauteuil... par francetvinfo

Macron tennisman, Macron boxeur, Macron représentant. Pour faire la démonstration de l’engouement populaire pour Paris 2024, et soutenir la candidature de la capitale française pour accueillir les Jeux olympiques, le président de la République n'a pas hésité à tomber la veste samedi.

Accompagné de la maire Anne Hidalgo, le chef de l’Etat s’est essayé en fin d’après-midi à plusieurs des activités sportives ouvertes au public le long de la Seine, entre deux selfies avec des stars comme Marion Bartoli. Temps fort des journées olympiques, il a disputé une partie de tennis très suivie sur le Pont Alexandre-III - sur ses jambes et en fauteuil roulant - aux côtés de plusieurs joueurs, dont Lucas Pouille et Michaël Jeremiasz, avant d’enfiler les gants de boxe. « Quand je participe, je préfère toujours gagner »

« Il y a ce formidable esprit universel dans l’olympisme, a déclaré le président sur un plateau installé par France 2. Mais quand je participe, je préfère toujours gagner. C’est la petite entorse que je ferais à l’esprit de Coubertin. » « Je pense que Paris 2024, c’est un projet porté par tout le pays. Il est important d’envoyer le signal que le chef de l’Etat est aussi au rendez-vous parce que la population française est au rendez-vous », a-t-il souligné.

Fervent soutien de la candidature parisienne face à Los Angeles, il avait déjà mouillé le maillot le 15 mai, deux jours après son investiture, en recevant les membres de la Commission d’évaluation du CIO à l’Elysée. En marge du déplacement présidentiel, l’esplanade des Invalides, transformée en véritable stade omnisports à ciel ouvert, n’a pas désempli. « C’est le moment où il a le moins de monde, confiait Maxime, accompagné de trois amis qui patientaient pour se tester au tir à l’arc. Tout le monde est tassé pour voir le président. Nous, on teste des activités. »

Le vote final aura lieu le 13 septembre

Un peu loin, un tournoi de rugby à V battait son plein, en présence de l’ancien joueur du Stade Français Pierre Rabadan, désormais conseiller sport de la maire de Paris, ou encore de Jonathan Laugel, international du rugby à VII. Les curieux ont également pu assister à une démonstration de BMX freestyle -qui fera son apparition aux Jeux de Tokyo en 2020- sur un module XXL installé entre le Grand et le Petit Palais. « Bluffant », « de véritables malades », de l’avis général ! Le vélo était aussi à l’honneur autour de l’Arc de Triomphe, fermé à la circulation jusqu’en milieu de matinée.

Dans la course pour organiser les JO, Paris voulait faire la différence à l’occasion de la Journée mondiale de l’olympisme, programmée vendredi, en misant sur ses décors de carte postale et en faisant durer le plaisir un jour de plus. Adversaire de Paris, Los Angeles a misé sur la modestie en organisant des activités pour 500 enfants sur une plage de Pacific Palisades, à une trentaine de kilomètres du centre-ville, vendredi.

Prochain rendez-vous dans le calendrier olympique, le CIO doit se prononcer le 11 juillet à Lausanne sur le principe d’un double vote pour l’attribution des JO-2024 et 2028 aux deux villes candidates. Le vote final aura lieu à Lima, au Pérou, le 13 septembre. Paris n’a plus accueilli les jeux Olympiques depuis 1924 et la flamme olympique a brûlé pour la dernière fois sur le sol français en 1992, lors des JO d’hiver à Albertville.

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25 juin 2017

Extrait d'un shooting - fétichisme

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