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Jours tranquilles à Paris
19 juillet 2017

Vu sur internet

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19 juillet 2017

Bondage is not a crime !

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18 juillet 2017

Winnie l'ourson censuré en Chine...

Chine. Les autorités interdisent Winnie l'ourson !

Winnie l'ourson, si mignon, et pourtant banni des réseaux sociaux ? Cela se passe en Chine, où le personnage de Walt Disney est régulièrement comparé au président Xi Jinping, ce qui s'apparente à un crime de lèse-majesté. Sur Weibo (l'équivalent de Twitter en Chine), WeChat et Messenger, l'image du petit ours jaune a donc été bloquée, au cours du week-end dernier, et remplacée par la mention « contenu illégal », rapportait, hier, à sa « Une », le quotidien britannique Financial Times. Pauvre Winnie...

18 juillet 2017

Toiletpaper

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18 juillet 2017

« En France, le télétravail est encore souvent considéré comme un caprice de l’employé »

Par Axel Schmidt, Directeur de la communication de TeamViewer, éditeur de logiciels de mise en réseau

Dans une tribune au « Monde », Axel Schmidt, directeur de la communication de TeamViewer, observe que ni la culture managériale ni les outils techniques des entreprises ne favorisent l’essor du travail à distance.

Il y a quelques mois, la Ville de Paris a fait connaître son intention d’étendre le télétravail à une partie de ses 52 000 salariés. Début avril, WeWork a ouvert le plus grand espace de coworking parisien dans le 9e arrondissement : 12 000 mètres carrés et 2 400 postes répartis sur huit étages. Le 29 juin, le président de la République, Emmanuel Macron, a inauguré les 34 000 mètres carrés et les 3 000 postes de travail de la Station F, un incubateur imaginé par Xavier Niel (actionnaire à titre personnel du Monde) ; cet espace est voué à accueillir jusqu’à 1 000 start-up.

La poussée des espaces de coworking, l’essor des travailleurs indépendants, la multiplication des projets d’aménagement de bureaux font dire, entre autres indicateurs, que 2017 pourrait bien être l’année du télétravail.

On a même parlé de mort du poste de travail fixe, au profit du flex office (bureau flexible), où l’on pratique le desk sharing (bureau partagé). Electron libre, start-upper, touche-à-tout... L’employé de 2017 pourrait, nous dit-on, collaborer n’importe où, pourvu qu’il ait un accès à Internet, un ordinateur portable, du mobilier design, une salle de jeux, etc.

Mais n’oublions pas que, en matière de télétravail, la France est un jeune pays : le cadre juridique de ce mode de collaboration a été posé il y a à peine quatre ans. En comparaison de certains voisins européens, la législation française reste prudente. Au Royaume-Uni ou aux Pays-Bas, par exemple, télétravailler est un droit reconnu par la loi. C’est-à-dire que l’employeur ne peut s’opposer à une demande d’aménagement que s’il est en mesure d’avancer des arguments recevables.

Manque de confiance

En France, les directions de ressources humaines (DRH) – certes sans en faire des gardes-chiourmes – suivent encore un modèle dit de « management de suspicion » sur l’air de « si vous n’êtes pas là, eh bien c’est que vous ne travaillez pas ». Plus de la moitié des employés français soutiennent d’ailleurs que le principal frein est le manque de confiance des DRH. Certains dénoncent même une forme de refus de principe.

Des changements ont certes été amorcés. Pour mémoire, depuis février 2016, un décret relatif aux conditions et modalités de la mise en œuvre du télétravail dans la fonction publique et la magistrature permet aux agents publics de mieux concilier vie professionnelle et vie personnelle.

La Mairie de Paris a expérimenté auprès de 150 agents le télétravail, qui leur permet de travailler de chez eux une fois par semaine. Pari réussi pour la plus grande collectivité de France, qui a fait connaître, à la rentrée 2016, sa volonté d’étendre le dispositif, avec un objectif de 1 500 salariés, à l’horizon 2020.

Mais cette tentative réussie de Paris ne prouve en rien que le modèle pourra être dupliqué ailleurs. L’incitation à la mobilité ou à l’adoption de méthodes de travail souples exigerait une plus grande implication des DRH. Elles sont, aujourd’hui encore, nombreuses à percevoir le télétravail, non comme un projet d’organisation, mais comme un énième avantage, voire un « caprice » dans le cas des femmes !

L’homme perçu comme un héros

Plusieurs études ont montré qu’un homme qui veut télétravailler à plus de chance d’obtenir une réponse positive : il sera perçu comme un héros, sacrifiant sa carrière à sa famille, quand la femme, elle, chercherait à ruser… Peut-être faut-il songer à nous défaire d’un certain mode de pensée avant de prendre exemple sur les pays où le télétravail est une réalité.

Une autre condition au télétravail est celle de la mise à disposition d’outils technologiques ad hoc. Selon une étude menée par Google en janvier et février 2015 (« Working better together »), 34 % des salariés estiment que leur entreprise fait partie de celles qui croient au travail collaboratif mais ne disposent pas des technologies pour qu’il soit mené de façon efficace, et encore moins à distance !

Visioconférence, partage d’écran, stockage dans le cloud, etc., sont autant de solutions déclinables sur mobile qui permettent d’entrer en communication depuis l’étranger ou en télétravail. La question du financement devrait aussi être posée. Sans les bonnes technologies, le cadre juridique et l’adoption d’un management de confiance ne suffiront pas, hélas, à entrer dans l’ère du télétravail.

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18 juillet 2017

Anita Memphis - vu sur internet - j'aime bien

anita memphis

18 juillet 2017

Extrait d'un shooting

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18 juillet 2017

Kiss

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18 juillet 2017

Plombé par l’affaire russe, Donald Trump voit sa cote de popularité chuter

Après six mois à la Maison Blanche, le milliardaire républicain voit son taux d’opinions favorables est tombé de 42 % en avril à 36 % en juillet.

Nouvelle rafale de tweets, intervention médiatique de son avocat : le président américain, Donald Trump, tentait de reprendre l’offensive, dimanche 16 juillet, après la publication d’un sondage qui a révélé une chute de sa popularité.

C’est que « l’affaire russe » colle à Donald Trump en dépit des efforts déployés par son entourage pour affirmer, notamment, qu’il ne savait rien du rendez-vous, en pleine campagne présidentielle, en juin 2016, entre une avocate russe et son fils aîné, Donald Jr.

Alors que le milliardaire républicain est depuis près de six mois à la Maison Blanche, son taux d’opinions favorables est tombé de 42 % en avril à 36 % aujourd’hui, selon une enquête du Washington Post et de la télévision ABC News menée du 10 au 13 juillet.

George W. Bush aussi impopulaire

Un total de 48 % des sondés ont dit « désapprouver fortement » le président Trump, un taux jamais atteint par ses prédécesseurs démocrates Bill Clinton (1993-2001) et Barack Obama (2009-2017). Seul le républicain George W. Bush (2001-2009) avait été à ce point impopulaire, mais lors de son second mandat, relève le quotidien américain.

L’enquête a été tournée en dérision par M. Trump sur son canal de communication préféré, Twitter : « Le sondage ABC/Washington Post, même si près de 40 %, ce n’est pas mauvais ces temps-ci, c’était le sondage le plus inexact lors de la campagne électorale. » Ce qui est faux, pointe du doigt le Los Angeles Times : les estimations d’ABC/Washington Post se sont situées en 2016 à deux points du résultat final. Et, explique le quotidien, même avec une marge d’erreur de deux points, l’impopularité de Donald Trump reste record.

Les nuages s’accumulent sur le Capitole

En dépit des voix critiques, l’occupant de la Maison Blanche garde le soutien des parlementaires républicains, ainsi que de sa base.

Mais sur le Capitole, les nuages s’accumulent en raison du retard pris pour la réforme très controversée du système de santé. Dans son message hebdomadaire, samedi, le président avait assuré que les sénateurs allaient enfin « voter, la semaine prochaine, une législation pour sauver les Américains de la catastrophe Obamacare ». Mais le vote étant très serré, le Sénat va sans doute devoir adapter ce calendrier, le temps que le républicain John McCain (Arizona) se remette d’une opération chirurgicale.

18 juillet 2017

Moulin Rouge

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