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Jours tranquilles à Paris
29 décembre 2017

Quiberon - Hommage à Johnny Hallyday

johnny quiberon

660 personnes comptées plus les artistes, les invités, les bénévoles. Pas moins de 700 personnes avaient investi l'espace Louison Bobet, mercredi soir, pour rendre un hommage à Johnny Hallyday. La centaine de personnes refoulées, venant parfois de loin (Finistère, Ille-et-Vilaine...) était moins heureuse mais la salle était comble, sécurité oblige. Pari gagné donc pour Romuald et ses amis musiciens du Rock Priol qui ont enchaîné, deux heures durant, les grands standards de Johnny devant une foule électrisée. L'hommage fut dûment rendu au fidèle ami de Quiberon.

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29 décembre 2017

Miss Tic

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29 décembre 2017

Repas de fête. Chers homards et langoustines

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Article de Flore Limantour

Les prix du homard et de la langoustine flambent. La demande est forte et la météo mauvaise, mais on est surtout hors saison pour ces deux vedettes des tables de fête. Il est encore temps de demander conseil à son poissonnier.

Pour Noël, la « demoiselle » s'est vendue à près de 60 € le kg sous les halles de Lorient ! Rien d'étonnant pour Éric Guiniec : « Manger de la langoustine en ce moment, c'est comme manger des fraises à Noël. C'est cher, c'est moins bon qu'en pleine saison et ça ne respecte pas le rythme biologique de l'espèce ». Le patron de l'armement Apak (Lorient) souligne qu'en fin d'année, ses chalutiers visent « la seiche, l'encornet, le rouget et un peu de daurade, surtout pas la langoustine dont la saison va du printemps à la fin de l'été ».

À l'organisation professionnelle Pêcheurs de Bretagne, on confirme une baisse des prises de langoustines, depuis plus de huit semaines, dans le golfe de Gascogne.

« En cette saison, elle sort moins de ses terriers dans les fonds sablo-vaseux de la Grande vasière. Et la météo n'a pas été bonne pour les bateaux ».

Prix quasi stables pour

les Saint-Jacques et huîtres

Plus rare, donc plus chère, la langoustine souffre aussi d'un autre handicap : elle doit être vivante au moment de l'achat. Il est impossible de la placer en vivier. Ce qui n'est pas le cas du homard pourtant, lui aussi, « hors saison ». C'est de mi-avril à la fin de l'été qu'il est le plus savoureux et le moins cher. Actuellement, les conditions de sa pêche sont particulièrement difficiles en raison de la météo, voire de coefficients de marée insuffisants selon les secteurs. « D'où la pénurie », explique Patrick Folloroux caseyeur à Roscoff.

Un constat partagé à l'armement Herviou dans les Côtes-d'Armor. Conséquence : le homard s'achète actuellement entre 50-55 € en vente directe et 60-68 € en poissonnerie.

Les prix de la langoustine et du homard étant deux fois plus élevés qu'en été, faut-il continuer à en acheter par tradition, si on ne roule pas sur l'or ? On peut toujours se rabattre sur d'autres produits festifs comme la Saint-Jacques et les huîtres dont c'est la pleine saison. Sachant que leurs prix n'ont connu qu'une légère hausse à l'approche des fêtes. Ou encore opter pour le poisson.

Et pourquoi pas du rouget et du saint-pierre ?

Devant le regard éberlué que leurs clients posent sur les étiquettes des fruits de mer, nombre de poissonniers choisissent de les réorienter sur les poissons, nobles ou non. « Pourquoi ne pas acheter des rougets, des saint-pierre ou du lieu jaune autour de 20 € le kg ? » conseillent Rozenn et Sylvie, sous les halles de Lorient. « Ou encore de la raie à moins de 10 € le kg... ».

Et si les convives redoutent les arêtes du rouget, les poissonniers se proposent généralement de faire des filets.

En revanche, les professionnels ne décortiqueront pas le corps des araignées et des tourteaux. C'est bien le souci des pêcheurs qui constatent, d'année en année, que les ventes ont tendance à stagner. D'où, là aussi, des prix raisonnables pour les fêtes.

29 décembre 2017

Tessa Kuragi

29 décembre 2017

Le Lido pour la St Sylvestre ?

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29 décembre 2017

Le patron de la SNCF met son « mandat à la disposition du gouvernement »

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Guillaume Pépy est convoqué début janvier par la ministre des transports, après une série d’incidents dans des gares parisiennes.

Le patron de la SNCF, Guillaume Pépy, affirme dans Le Parisien du vendredi 29 décembre que son « mandat est à la disposition du gouvernement » après la récente série d’incidents survenus dans les gares parisiennes. M. Pépy et le responsable de SNCF Réseau, Patrick Jeantet, sont convoqués le 8 janvier par la ministre des transports, Elisabeth Borne, qui entend leur demander des explications.

La compagnie ferroviaire a dû faire face coup sur coup à une panne géante due à un « bug informatique » le 3 décembre à la gare Montparnasse, puis à une grande pagaille en raison d’une affluence de voyageurs supérieure à la capacité des trains, le 23 décembre, à Bercy, et enfin à une panne électrique, mardi, à Saint-Lazare.

« Le temps n’est pas aux états d’âme »

« Mon boulot, avec Patrick Jeantet, c’est de trouver des solutions. Le temps n’est pas aux états d’âme », fait ainsi valoir M. Pépy au Parisien.

« Nous rénovons le réseau tout en faisant circuler en Ile-de-France l’équivalent d’un avion A380 toutes les sept secondes. Ces gigantesques travaux en pleine exploitation comportent des risques de bugs, d’incidents électriques, des risques de travaux qui ne sont pas suffisamment préparés. »

« La direction de la SNCF n’assume pas ses responsabilités », avait estimé, de son côté, mardi, le syndicat SUD rail, imputant le dernier incident survenu à la gare Saint-Lazare à « l’insuffisance chronique d’entretien du réseau » et au « recours accru à la sous-traitance ».

29 décembre 2017

Exode des Rohingya au Bangladesh

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Cette photo de l'exode des Rohingya au Bangladesh a été nommée l'une des 10 meilleures photos de 2017 de TIME. Ici, photographe @kevinfrayerexplique: «Je suis arrivé à Cox's Bazar, au Bangladesh, à la mi-septembre, quelques semaines après le #Rohingya.crise. Dès ses débuts, j'ai été choqué par les images et les histoires de l'exode de centaines de milliers de personnes sans aucun droit, risquant leur vie juste pour survivre. Je voulais contribuer d'une manière ou d'une autre », se souvient-il,« je cherchais des endroits pour photographier l'aide alimentaire parce qu'il y avait un tel besoin et si peu. J'étais dans une zone où il y avait une foule de gens entourant un camion. La scène était assez chaotique; les gens criaient et atteignaient parce qu'ils étaient manifestement affolés et affamés. Il y avait beaucoup de pression dans la foule et je voulais aller au-dessus, alors j'ai grimpé dans le camion. C'est quand j'ai vu ce petit garçon. Il venait de se hisser sur le camion et il pleurait. Je ne pouvais pas entendre grand-chose parce que la scène était si forte, mais à un moment le garçon a tendu la main, suppliant l'homme debout au-dessus de la nourriture. Puis, il enroula ses bras autour des jambes de l'homme, s'accrochant à lui. J'en étais totalement frappé: il s'était frayé un chemin dans le camion en désespoir de cause. J'aurais aimé en savoir plus sur lui, mais il a disparu dans le chaos du moment. " @kevinfrayer- @ gettyimages

29 décembre 2017

Extrait d'un shooting - la salopette

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28 décembre 2017

Fallait pas l’inviter !

L'édito de Charles de Saint Sauveur - Le Parisien

To be or not to be ? Depuis Shakespeare, les Anglais sont poursuivis par cette question existentielle, qui ouvre le célèbre monologue d’Hamlet. Celui du prince Harry est d’ordre plus diplomatique, mais enquiquinante en diable : d’après le tabloïd The Sun, le gouvernement britannique commence à se faire un sang d’encre à l’idée que les futurs époux invitent Barack et Michelle Obama (avec qui Harry, qui vient de l’interviewer, s’entend visiblement très bien)... parce que cela fâcherait l’éruptif président américain. D’un de ses tweets ravageurs, Donald Trump serait tout à fait capable de gâcher la fête en envoyant promener son éternel allié anglais. Le camouflet serait d’autant plus mal vécu que le milliardaire n’a toujours pas rencontré la reine Elizabeth, icône planétaire à côté de laquelle tout dirigeant puissant rêve de figurer sur une photo officielle. Qu’Obama puisse lui souffler la vedette aurait tôt fait d’irriter le président républicain. Quelque part, on le comprend, puisqu’un mariage princier revêt une évidente dimension politique : on n’y invite pas que sa bande de potes ! En politique avisé, l’ancien président démocrate a prudemment botté en touche quand un journaliste lui a demandé s’il aimerait recevoir un carton d’invitation. Si Harry et Meghan Markle, sa fiancée américaine, osaient l’envoyer malgré les avertissements paniqués du gouvernement britannique, il ne leur resterait plus qu’à convier également les Trump. On imagine les tourments du plan de table, mais quel happening ! Quoi qu’il se passe, ce mariage sera the place to be... or not.

28 décembre 2017

Musée Pinault des Halles

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