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Jours tranquilles à Paris
10 juin 2018

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10 juin 2018

Washington-Pyongyang : une défiance réciproque

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Par Philippe Pons, Tokyo, correspondant - Le Monde

Depuis la signature de l’armistice, en 1953, le contentieux entre Américains et Nord-Coréens est nourri. Chaque côté s’accuse réciproquement de violation de l’armistice et de promesses non tenues.

Il y a un certain angélisme à attendre d’un adversaire qu’il négocie « avec sincérité » : quel Etat négocie sans arrière-pensée ? Cette sincérité est pourtant une demande récurrente de Pyongyang et de Washington dans tous les préambules à des pourparlers : elle est révélatrice de la méfiance viscérale des deux parties.

La République populaire démocratique de Corée (RPDC) est le plus vieil ennemi des Etats-Unis, « un pays que les Américains aiment haïr », selon l’historien Bruce Cumings. Un pays qu’ils n’ont pas réussi à vaincre et qui, depuis, les insulte et les menace. Pour les Nord-Coréens, les Etats-Unis sont l’ennemi juré qui les ont envahis en 1950, rasèrent leurs villes et, par la suite, les menacèrent d’une attaque nucléaire. La propagande antiaméricaine est onmiprésente en RPDC, et l’hostilité entretenue par les commémorations des souffrances passées.

Depuis la signature de l’armistice, en 1953, le contentieux entre Américains et Nord-Coréens est nourri. Chaque côté s’accuse réciproquement de violation de l’armistice et de promesses non tenues. Pour Washington et ses alliés, l’« Etat voyou » ne respecte pas ses engagements et joue de la bonne foi américaine. Le régime nord-coréen est assurément retors et a sa part de responsabilité dans l’échec des négociations de ces deux dernières décennies. Mais la « bonne foi » proclamée des Etats-Unis peut aussi être prise en défaut.

Deux exemples appellent des lectures plus pondérées que la simple rouerie nord-coréenne : la rupture de l’accord de 1994 entre Pyongyang et Washington, et la crise provoquée par Washington dans les jours qui suivirent un autre accord, négocié en septembre 2005 dans le cadre des pourparlers à Six (Chine, deux ­Corées, Etats-Unis, Japon et Russie).

Intervenu à la suite de la découverte des activités nucléaires à visée militaire de la RPDC, l’accord de 1994 a été le plus durable et le plus efficace. La RPDC s’engageait à geler son programme nucléaire sous la surveillance des inspecteurs de l’Agence internationale pour l’énergie atomique (AIEA), en échange de la fourniture annuelle par les Etats-Unis de 500 000 tonnes de gazole, de la normalisation des ­relations entre les deux pays et de la livraison par un consortium international d’une centrale atomique à eau légère (comportant moins de risque de détournement de l’énergie à des fins militaires). Mais peu après, les républicains obtenaient la majorité au Congrès. Hostiles à l’accord, ils s’emploieront à le vider de sa substance. La centrale ne fut jamais construite et les livraisons de gazole s’espacèrent : la RPDC « avait tout lieu d’être déçue que les Etats-Unis n’aient pas pleinement respecté leurs engagements », déclarait Robert Gallucci, l’un des négociateurs de l’accord, devant le Congrès, en juillet 1998.

Dans l’« axe du Mal »

Constatant que les Etats-Unis traînaient des pieds pour normaliser leurs relations alors que son programme nucléaire avait bien été gelé, Pyongyang chercha à se doter clandestinement d’un programme d’enrichissement de l’uranium. En 2002, après avoir placé la RPDC dans l’« axe du Mal », George Bush saisit ce prétexte pour mettre fin avec fracas à l’accord de 1994. La RPDC se retira du traité de non-prolifération, expulsa les inspecteurs de l’AIEA et relança sa production de plutonium.

Dans une enquête minutieuse, Melt­down : the Inside Story of the North Korean Nuclear Crisis (St. Martin’s Griffin, 2008, non traduit), Mike Chinoy, chercheur au US-China Institute, a démonté le mécanisme de cette crise provoquée pour de fausses raisons, comme l’avait été l’invasion de l’Irak en 2003 (des armes de destruction massive qui n’existaient pas). Dans le cas coréen, Washington prétendit que le programme d’enrichissement était opérationnel. Ce qui était faux : la CIA le reconnaîtra à demi-mot en 2007. La RPDC était certes de mauvaise foi, mais Washington aussi, en manipulant les données fournies par la CIA pour faire du programme d’enrichissement de l’uranium un danger immédiat. Embryonnaire en 2002, il ne sera opérationnel qu’en 2010.

La crise ouverte au lendemain de la ­signature, en septembre 2005, d’un accord sur la dénucléarisation de la RPDC intervenu dans le cadre des pourparlers à Six, est un autre exemple de torpillage. A peine l’accord signé, le Trésor américain accusait une banque de Macao (Banco Delta Asia, BDA) de blanchiment d’argent pour le compte de la RPDC et gelait une douzaine de comptes nord-coréens. La mise à l’index de la BDA fit boule de neige : la plupart des banques suspendirent leurs transactions avec la RPDC, paralysant ses réseaux financiers. Pyongyang se retira des négociations et exigea le déblocage des fonds.

Réaction par un premier essai nucléaire

Simple coïncidence entre la signature d’un accord et l’action de police financière du Trésor ? Dans ses Mémoires, le négociateur américain de l’accord, Christopher Hill, en doute. En octobre 2006, la RPDC réagit en procédant à son premier essai nucléaire. « Les Américains doivent assumer la responsabilité d’errements qui ont conduit à une situation plus grave qu’elle ne l’était en 2002 », estimait alors Yang Sung-chul, ancien ambassadeur sud-coréen aux Etats-Unis. Peu après, la défaite des républicains au Congrès contraignit George Bush à restituer les fonds pour renouer les pourparlers. Les accusations de blanchiment et de faux-monnayage n’ont jamais été établies. Les pourparlers reprirent en juin 2007, mais capotèrent en raison d’un différend sur les sites à inspecter.

« Les Nord-Coréens ne respectent pas leurs engagements en partie parce qu’ils pensent que les Etats-Unis ne respectent pas les leurs », déclarait le 9 mars, sur la chaîne CNN, Daryl Kimball, directeur de l’Arms Control Association à Washington. Une ombre qui risque de peser sur le sommet de Singapour.

Le sommet Trump-Kim, « une occasion unique ». Depuis le sommet du G7, à La Malbaie, au Canada, Donald Trump a souligné, samedi 9 juin, que sa rencontre avec le dirigeant Kim Jong-un, mardi à Singapour, était une « occasion unique » pour résoudre la question du nucléaire nord-coréen. « J’ai l’impression que Kim Jong-un veut faire quelque chose d’important pour son peuple, et il en a l’opportunité… C’est une occasion unique » qui « ne se représentera jamais », a déclaré le président américain. « Je suis dans une mission de paix, et nous allons porter les cœurs de millions de gens, du monde entier, a-t-il poursuivi. Nous devons obtenir une dénucléarisation. Il faut démarrer quelque chose. Nous croyons vraiment que la Corée du Nord sera un endroit formidable très bientôt. » Donald Trump, qui estime qu’il verra « peut-être dès la première minute » si les Nord-Coréens « sont sérieux ou non », est le premier président américain en exercice à négocier en direct avec un dirigeant nord-coréen, sur une possible dénucléarisation du régime reclus.

10 juin 2018

Playboy

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10 juin 2018

Vu dans la rue

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10 juin 2018

Isolé, Trump est parvenu à imposer son agenda au cours d’un G7 explosif

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Par Marc Semo, La Malbaie, Québec, envoyé spécial - Le Monde

Les sept dirigeants réunis au Québec ont réussi à se mettre d’accord sur une déclaration commune sur le commerce… désavouée quelques heures plus tard par le président américain.

Les apparences étaient sauves. Malgré les tensions initiales et des différends de fond à peine masqués par les sourires et les traditionnelles accolades, les dirigeants des pays du G7 (Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Allemagne, Italie, Canada, Japon) réunis les vendredi 8 et samedi juin 9 à La Malbaie, au Québec, avaient réussi à se mettre d’accord sur une déclaration finale commune. Un texte de compromis de huit pages et vingt-huit points laborieusement négociés jusqu’au dernier moment. Il s’agit « de déclarations et il faut attendre des actes », avait rappelé, prudent, Emmanuel Macron. « Mais même si ce texte n’est pas juridiquement contraignant, la signature du président américain l’engage. »

Las, quelques heures à peine après la publication du communiqué, alors qu’il était en route pour Singapour, où il doit rencontrer mardi le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, le président américain Donald Trump a retiré bruyamment son soutien au texte, via son canal de communication préféré, Twitter : « En raison des fausses déclarations de Justin [Trudeau, premier ministre canadien] à sa conférence de presse, et du fait que le Canada impose des taxes massives sur nos agriculteurs, travailleurs et entreprises américains, j’ai demandé à nos représentants américains de retirer le soutien au communiqué, tandis que nous envisageons des tarifs douaniers sur les automobiles qui inondent le marché américain ! »

Dans un second tweet, il a même insulté le Canadien, jugé « très malhonnête et faible ». La cause de son ire ? M. Trudeau a estimé samedi à l’issue du sommet que les droits américains étaient, « pour les Canadiens qui se sont battus aux côtés des soldats américains », « plutôt insultants » – les Etats-Unis ayant invoqué un enjeu de sécurité nationale pour justifier la hausse des droits de douanes. « Nous sommes polis, raisonnables, mais nous ne nous laisserons pas bousculer », a ajouté le premier ministre canadien.

Davantage un « G6 + 1 »

Ce dernier rebondissement conclut un sommet qui a davantage relevé du « G6 + 1 » que du G7, comme cela avait déjà été le cas à Taormine (Italie) lors du précédent G7 ou à Hambourg (Allemagne), en 2017, à la fin du G20.

« L’accord entre tous les membres du G7 sur la question commerciale, en particulier les Etats-Unis, a permis de stopper une certaine escalade mais il faut désormais que ces derniers agissent conformément à ce texte », voulait croire Emmanuel Macron. Angela Merkel soulignait en écho que cette position commune sur le commerce ne résolvait « pas les problèmes dans le détail ».

« Nous soulignons le rôle crucial d’un système commercial international fondé sur des règles et continuons à combattre le protectionnisme », peut-on lire dans le communiqué final. La mention de nécessaires « règles » collectives était une exigence des Européens, qui n’ont eu de cesse de dénoncer les menaces de guerre commerciale de Donald Trump.

Le texte relève aussi le rôle clef de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), symbole de tout ce qu’abhorre Donald Trump. Mais elle évoque aussi sa nécessaire réforme qu’Emmanuel Macron appelait déjà de ses vœux lors de son discours devant l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) le 30 mai. Ce document de compromis répond à certaines exigences du président américain reprenant le mot de « réciproque » pour le libre-échange, qui se doit d’être également « libre, équitable et mutuellement avantageux ».

« 10 sur 10 »

Malgré ses rodomontades et ses effets de manche en arrivant au sommet, Donald Trump avait donc finalement lâché du lest. « Il avait face à lui un front uni des Européens rejoints par le Canada et le Japon, je ne sais pas ce qu’il se serait passé si nous avions été divisés », a expliqué le président français soulignant que « son homologue américain ne voulait pas être isolé ».

Donald Trump a néanmoins dicté de fait son agenda aux travaux. Il a toutes les raisons d’être satisfait. « Ce sommet a été succès », s’est félicité le président américain avant de quitter La Malbaie où les travaux devaient se poursuivre avec une séance consacrée au changement climatique et à l’état de santé des océans. Il a même loué publiquement lors de sa conférence de presse la qualité de ses relations avec ses partenaires donnant « 10 sur 10 » comme note à Emmanuel Macron et Angela Merkel. Mais grand maître dans l’art de souffler le chaud et le froid par ses foucades, le président américain n’en a pas moins repris ses attaques et réclamé de ses pairs une modification des règles du jeu régissant le commerce international.

« On profite des Etats-Unis depuis des dizaines et des dizaines d’années, cela ne peut pas continuer ainsi », a dit le président américain, clamant à nouveau que son pays est fatigué d’être la « “piggy bank” [la tirelire] que tout le monde pille ». Il a même pris de court ses partenaires avec une proposition radicale : faire du G7 une zone de libre-échange total, sans tarifs douaniers, sans barrières d’aucune sorte, et sans subventions à l’exportation.

Mais il s’agit avant tout de rééquilibrer les échanges mondiaux qui sont, a-t-il dit, à l’origine d’une véritable fuite des emplois et des entreprises hors des Etats-Unis. Sa décision, le 31 mai, d’imposer des droits de douane sur les importations américaines d’acier et d’aluminium en provenance du Canada, de l’Union européenne et du Mexique, avait déchaîné la colère de ses partenaires mettant la question du protectionnisme américain au cœur des travaux du G7.

Des discussions d’une âpreté rare

Les déclarations positives des divers leaders cachaient mal les fractures entre Donald Trump et ses partenaires qui ont réussi à faire bloc tout au long des deux jours du sommet. Les discussions ont été d’une intensité, voire d’une âpreté, rare en une telle enceinte même si, face aux caméras, tous ont préféré jouer la cordialité. Dès le premier dîner de travail vendredi soir, le président américain s’était lancé dans une longue diatribe énumérant tous les différents griefs qu’il nourrissait à l’égard des autres pays du G7, principalement l’Union européenne et le Canada, depuis des semaines.

Mais le dîner étant centré sur la politique étrangère, l’atmosphère était plus conviviale avec notamment un consensus pour soutenir les efforts du président américain dans la recherche d’un accord avec la Corée du Nord ou sur la Syrie notamment pour arriver à une solution politique inclusive. A propos du nucléaire iranien, les Sept ont réussi à se mettre d’accord dans le document final sur une formule allusive évoquant le danger représenté par le programme balistique de Téhéran et la nécessité que le programme nucléaire reste pacifique et sous contrôle, sans mentionner pour autant explicitement l’accord de juillet 2015 dont le président Trump s’est retiré.

« Le G7 a permis le dialogue là où depuis des semaines il n’y avait que des actes unilatéraux et c’est sa raison d’être », s’est félicité Emmanuel Macron. La France prend maintenant la présidence du G7 qui se tiendra à Biarritz l’été 2019. Interrogé sur un éventuel retour de la Russie exclue de cette instance en 2014 après l’annexion de la Crimée et son agression dans l’est de l’Ukraine, le chef de l’Etat a affirmé qu’il aimerait que Vladimir Poutine puisse venir au prochain sommet, mais que cela implique qu’il agisse favorablement en Ukraine.

« La Russie est une grande puissance européenne. Nous devons travailler ensemble. Mais il faut être cohérent : on élargira le G7 si et seulement si les accords de Minsk sur l’Ukraine sont respectés. La balle est dans le camp de la Russie », a expliqué le président français. Sans faire mention explicitement de la Crimée. Avant l’ouverture du sommet vendredi, Donald Trump avait évoqué la réintégration de la Russie au sein du G7. L’hypothèse a été rejetée notamment par les membres européens du groupe. Quelques heures plus tôt, le ministre des affaires étrangères russe, Sergueï Lavrov, expliquait que son pays n’était guère intéressé par un retour dans le G7, préférant le G20 qui réunit toutes les grandes puissances économiques, y compris les émergents.

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10 juin 2018

Extrait d'un shooting - nu

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10 juin 2018

On sait qui va réaliser le calendrier Pirelli 2019

Voilà 54 ans que Pirelli place ses calendriers publicitaires au rang d’œuvres d’art. Depuis le tout premier, sorti en 1964, les photographes du monde entier se sont succédés derrière la caméra pour immortaliser les tops les plus en vue du moment. Albert Watson a été choisi pour capturer les 12 clichés de l'édition 2019, succédant ainsi à Karl Lagerfeld, Annie Leibovitz et Helmut Newton. Le photographe écossais a annoncé la bonne nouvelle sur son compte Instagram, le 7 juin.

À 76 ans, l’artiste est connu pour ses nombreuses photos de personnalités, à l'instar de Kate Moss, Alfred Hitchcock ou encore Steve Jobs. Il est également l’auteur de l’affiche de Kill Bill avec Uma Thurman.

Pour le moment, aucune autre information concernant l'objet tant attendu n’a été dévoilée. « Le calendrier a été photographié en avril tout autour des États-Unis. Le casting et le concept seront dévoilés en temps voulu », pouvait-on lire dans un communiqué publié par la marque de pneumatique. Patience.

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10 juin 2018

Les Parisiennes

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9 juin 2018

Hommage à Johnny Hallyday à l'Eglise de la Madeleine...

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DSC_8168Photos ci-dessus prises ce 9 juin 2018

Le 15 juin prochain, Johnny Hallyday aurait fêté ses 75 ans. A cette occasion, les fans ont souhaité organiser un hommage à la mémoire de leur idole dans un lieu devenu symbolique pour eux : l'église de la Madeleine. L'édifice est en quelque sorte, un lieu de pèlerinage, pour les admirateurs de la star qui ne peuvent pas se rendre à Saint-Barth pour se recueillir sur la tombe du rockeur. Ainsi, le 15 juin, une célébration et une messe anniversaire en hommage à Johnny seront organisées : des airs seront joués à l'orgue, au piano ou encore au violon, des titres interprétés par le chanteur Chris Evans et la chorale de la Madeleine.

Des rumeurs laissaient entendre qu'un membre de la famille de Johnny Hallyday sera présent pour cette messe anniversaire. Et elles étaient vraies. Ce ne sera aucun des enfants ou petits-enfants ni la veuve du Taulier, mais son cousin : Michael Ketcham Hallyday. La star et le cousin ont été élevés ensemble par leur grand-mère. S'ils se sont éloignés avec le temps, les deux hommes se considéraient comme des frères de cœur.

En mars dernier, Michael Ketcham Hallyday se livrait au micro de RTL : « Johnny, je l’ai toujours considéré comme mon grand frère, il s’est toujours conduit avec moi comme si j’étais son petit frère ». Il se disait également peiner par la bataille juridique que se livre Laura Smet, David Hallyday et Laeticia Hallyday au sujet de l'héritage de Johnny. Il ajoutait : « tout ce que j’espère c’est que tout se règle dans le calme, l’harmonie et l’amour ».

 

9 juin 2018

Même le samedi les contrôleurs du stationnement payant sont de sortie...

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Photos prises rue des Volontaires - 75015 Paris ce 9 juin 2018

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