Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Jours tranquilles à Paris
26 août 2020

Etel - SNSM

etel snsm

etel snsm23

Publicité
26 août 2020

Menhirs de Monteneuf

Le site des Menhirs de Monteneuf est en accès libre et gratuit toute l’année.

N’hésitez pas à y faire un détour pour découvrir des menhirs au sein d’un écrin de verdure. Venez y découvrir des grands menhirs en schiste pourpre mais aussi nos espaces de reconstitution archéologique.

A quelques mètres des menhirs entrez dans notre maison du néolithique et venez voir son jardin céréalier.

En contrebas du site nous vous proposons une découverte des techniques que les hommes de la préhistoire employaient pour arriver d’un simple bloc de pierre à un menhir debout.

Pendant les vacances de printemps et d’été venez découvrir nos activités.

Vous pouvez participer à un atelier de la préhistoire : déplacez un menhir, découvrez le feu, fabriquer une poterie, utilisez les outils des bâtisseurs de menhirs. Mais aussi découvrir le site avec un guide, ou pour les plus jeunes par le biais d’un jeu de piste.

http://www.menhirs-monteneuf.com/

menhirs de Monteneuf (2)

menhirs de Monteneuf (4)

menhirs de Monteneuf (5)

menhirs de Monteneuf (6)

menhirs de Monteneuf (7)

24 août 2020

Le festival de cerfs-volants fait carton plein

erdeven cerfs volants fin

DSCN8389

Les cerfs-volants de toutes les formes et de toutes les couleurs ont survolé la plage de Kerminihy, côté barre d’Etel, ce dimanche.

Week-end prometteur pour le festival de cerfs-volants « Tout ça c’est du vent ! » qui a attiré plus de monde que l’an passé. L’aventure, lancée il y a un an, devrait en toute logique se poursuivre en 2021…

Joli bouclage dominical pour le festival de cerfs-volants « Tout ça c’est du vent ! » après deux jours de conditions météo parfois abruptes, la bande de kitesurfeurs du club étellois ABC du Kite, et ses passionnés cervolistes, ont connu ce dimanche une journée « parfaite » sur bien des plans. Avec le beau temps, le festival a tout simplement connu sa meilleure fréquentation en deux éditions : « Par rapport à 2019, ça va du simple au triple, témoigne, tout heureux, le président du club de kite, Vincent Hinault. En tout et pour tout, sur le week-end, 3 500 à 5 000 personnes ont dû venir. C’est incroyable. Rien qu’aujourd’hui, depuis 11 h, ça n’arrête pas de défiler depuis les quatre parkings les plus proches ».

45 cervolistes amateurs

Une réussite qui doit beaucoup aux jolies conditions météo de fin de week-end, avec un vent léger de 25 km/h. « Et pourtant, le vendredi, ce fut musclé. Ce n’était pas gagné, résume le coorganisateur. Le samedi, c’était encore difficile avec 40 km/h de vent mais ça s’est tassé en fin de journée ». Pas de quoi mettre toute la programmation dans le vent. Les tonnelles et le balisage pour faciliter la circulation sur la plage ont été installés sans trop de souci. Et les organisateurs ont maintenu lors de la deuxième journée plusieurs animations dont les démonstrations de ballets de cerfs-volants de deux ou quatre lignes. Les poulpes géants et autres tortues Koopa ont survolé la plage pendant tout le week-end. Et près de 45 cervolistes amateurs ont joué le jeu…

Travailler la pédagogie en 2021

Cette année n’aura pas permis d’organiser des compétitions de ballets comme l’an passé. « Les équipes sont logiquement plus frileuses à venir avec la période Covid qu’on connaît », explique Jean-Charles Lelay, l’un des organisateurs. « On va relancer ça l’an prochain », promet Vincent Hinault. Car il y a bien sûr un après. « Ça donne envie de poursuivre. Et peut-être de voir les choses plus en grand, dans un aspect plus pédagogique. On a la chance de pouvoir pratiquer cela sur un grand site d’exception, après la nidification des oiseaux du littoral terminé. Il y a sûrement moyen de parler aussi de ce milieu protégé ». En d’autres termes, le vent ne devrait pas tourner en 2021…

24 août 2020

Étel - 1850-2020 : la commune d’Etel a 170 ans

Le Musée des thoniers d’Etel a attiré l’attention sur l’anniversaire de la commune, née le 7 août 1850. Des pavillons marquant cet anniversaire ont été placés vendredi 21 août par la commune.

Dans une notice, Michel Perrin et Michel Le Leuch retracent la naissance de la ville, en remontant bien avant 1850.

Au XIe siècle, deux villages d’Erdeven sont cités par le cartulaire de Quimperlé sur le périmètre actuel d’Etel : le Sac’h et Kerivin. Le nom d' « Etell » apparaît dans des ouvrages à usage des marins de 1483 et 1548. Les XVIIe et XVIIIe siècles voient le développement d’une activité maritime et de presses qui devient importante au XIXe. Mais l’essor économique et démographique n’est suivi ni par la commune d’Erdeven, plus tournée vers la ruralité, ni par l’Etat qui peine à financer les infrastructures portuaires et n’envisage pas de route de désenclavement.

Une expo en préparation

Suite au scrutin de 1848, où un seul Étellois figure au conseil d’Erdeven, une pétition massive est lancée pour réclamer la séparation et la « République » d’Intel : « Dré gras en Eutru Doué, hur gourdadeù o doé groeit En Intel, dré hur volanté ni e zo Intelliz ! » (Par la Grâce de Dieu, nos ancêtres ont fait Intel, par notre volonté nous sommes Étellois). Le combat aboutit avec l’érection d’Etel en paroisse en 1849 puis en commune en 1850. Etel compte alors 1.022 habitants et son territoire couvre 208 ha.

Toute cette histoire et l’essor d’Etel donneront lieu à une exposition photos préparée par le musée et présentée à la médiathèque.

23 août 2020

La petite maison entre les deux rochers...

DSCN8372

DSCN8373

DSCN8374

DSCN8375

Publicité
23 août 2020

Insectes géants et Jardins de Brocéliande

À Bréal-sous-Montfort (35), de drôles de créatures attendent les promeneurs dans les Jardins de Brocéliande. L’artiste Marc Georgault a travaillé des matières de récupération pour fabriquer des sculptures géantes ou au contraire minuscules. Mouches, fourmis géantes, araignée et libellule observeront les badauds. Les 24 ha du parc en font un lieu idéal pour la balade, dans le jardin asiatique, le jardin à la française et le plus inattendu jardin du curé. Exposition « Insect’Inside », jusqu’au 30 septembre. Jardins de Brocéliande ouvert tous les jours, de 11 h à 19 h. 9,80 €. 6-18 ans : 5,50 €. 02 99 60 08 04.

23 août 2020

La plage naturiste de Kerminihy à Erdeven

DSCN8369

DSCN8370

22 août 2020

Erdeven - Le vent est au rendez-vous pour les cerfs-volants

DSCN8382

DSCN8383

DSCN8384

DSCN8385

DSCN8387

Les cerfs-volants sont de sortie pour la deuxième édition du festival de cerfs-volants à Erdeven.

La deuxième édition du festival de cerfs-volants a été inaugurée ce vendredi à Erdeven sous les rafales de vent. Un début en fanfares avant un week-end plus optimal sur le plan des conditions météo.

La grisaille et les rafales de vent de 50 à 60 km/h ont inauguré la deuxième édition du festival de cerfs-volants Tout ça, c’est du vent ! ce vendredi, sur le flanc erdevennois de la barre d’Étel. « Les conditions de météo sont limites pour mettre en l’air nos cerfs-volants », estime Vincent Hinault, l’un des organisateurs de l’événement. Les violentes bourrasques n’ont pas permis à l’équipe d’installer le barnum… Pour cette entame de festival (sportive), l’équipe s’est toutefois mobilisée pour des démonstrations de kite-surf près de la barre, avec le club étellois organisateur de l’événement ABC du Kite. Or ce samedi, on annonce à nouveau des rafales…

De meilleures conditions météo à venir

Rien ne devrait toutefois altérer le programme du week-end. « Les conditions météorologiques seront plus optimales pour mettre en place toutes nos animations », rassure Vincent Hinault. Selon les dernières prévisions, les vents atteindront des pointes de 20 à 25 km/h dimanche. Autrement dit, « des conditions parfaites pour faire flotter les appareils ». Au programme, seront maintenus les ateliers de constructions de machines volantes, les sessions écoles de pilotage de cerfs-volants sportifs tout comme les démonstrations de cerfs-volants géants. « Les inscriptions se feront sur place », prévient-on. Des chorégraphies en musique feront en parallèle danser des cerfs-volants miniatures à deux ou quatre lignes.

Pratique

Tout ça, c’est du vent ! De 10 à 18 h, sur la plage de Kerminhy, côté barre d’Étel, à Erdeven Internet : abcdukitesurf.com/tout-ca-cest-du-vent/

22 août 2020

Étel - Le président du Sdis 56 veut présenter la facture aux naufragés d’Etel

etel chavirage

Gilles Dufeigneux, président du Service d’incendie et de secours du Morbihan (Sdis 56), a annoncé vendredi qu’il souhaite présenter la facture aux occupants du bateau secouru jeudi matin à la barre d’Etel, « comme cela se fait pour les alpinistes inconscients secourus en montagne ». Une facture qui s’élève à « plusieurs milliers d’euros ».

« On a frôlé la catastrophe »

« Tout le monde est sain et sauf, et c’est le plus important. Mais on a frôlé la catastrophe, tant pour les victimes que pour les importants moyens de secours engagés », explique Gilles Dufeigneux. « Une enquête de gendarmerie est en cours, mais il s’avère que les occupants du bateau sont des locaux, qui ne pouvaient ignorer le danger ». Cinq personnes, dont trois adolescents, avaient été secourues jeudi, peu avant 10 h, après que leur bateau se soit retourné à la barre d’Etel, pourtant interdite à la navigation à ce moment-là compte tenu des conditions de mer et de la météo.

Le sauvetage des personnes est gratuit

Rappelons que même si le sujet fait polémique, le sauvetage des personnes est gratuit en France : c’est le principe selon lequel la vie humaine n’a pas de prix, les frais de sauvetage sont donc intégralement pris en charge par l’État… En revanche, l’assistance aux biens est payante, lorsqu’il est porté secours à un navire en danger.

etel chavire 3

etel chavire

etel chavire4

22 août 2020

Le thé en Bretagne, une culture prometteuse

Article de Hervé Queillé

Du thé cultivé en Bretagne à la vente ? Ce n’est pas un gag. Et les planteurs ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin. À chaque récolte, leur thé s’arrache auprès des consommateurs.

Produire du thé en Bretagne… Cela pourrait paraître pour le moins exotique. N’est-il pas, amis Britanniques, grands amateurs de thé des Indes ?

Et pourtant le thé n’a rien d’une plante exotique, même si certaines espèces sont particulièrement adaptées aux climats tropicaux. C’est une variété de camélia, ni plus ni moins. Et qui semble même plutôt se plaire dans nos océaniques contrées.

Un terroir pour le thé

« Ma femme et moi sommes des passionnés de thé depuis très longtemps. Nous avons commencé à planter nos premiers théiers - en fait des boutures originaires du château en Trévarez (29) - par simple intérêt des plants, il y a 15 ans.

Après nombre de voyages en Chine et au Japon, nous avons fait notre premier thé il y a six ans. On s’est alors rendu compte que, dans la vallée du Blavet, il existe un terroir très intéressant avec des qualités aromatiques uniques, une hygrométrie qui convient au thé et des ex-pâtures, en bordure de bois, tapissées d’humus et au biotope très riche », raconte Denis Mazerolle de Languidic (56).

Ce qui, souligne le Morbihannais, est un sacré avantage par rapport aux plantations classiques, industrielles, confrontées à des terres très appauvries, où bien souvent, il n’y a plus ni insectes ni oiseaux, et au changement climatique qui les oblige à monter de plus en plus en altitude pour trouver de la fraîcheur.

Une riche palette aromatique

Mais ici, à Trébihan, pas de course au rendement à tous crins. Il y a deux ans, Denis et Weizi Mazerolle, ingénieurs en électronique et protonique, démissionnent de leur emploi pour se consacrer à la culture du thé « de très haute qualité », fruit d’une culture écologique intégrée dans son environnement.

La première vente - quelques kilos -a eu lieu cette année ; quasi exclusivement par parrainage « d’experts » et de professionnels du thé. « On a eu de très bons retours » assure Denis Mazerolle, « que ce soit sur le thé vert, plus rapide mais plus délicat à fabriquer ou le thé noir, tous deux offrant une palette aromatique très complexe : « On va doubler le nombre de plants tous les ans. C’est un projet à long terme. Nous en sommes à 2,5 ha. Sachant qu’il faut attendre deux à trois ans pour récolter et huit à dix ans pour arriver à maturité et à une production relativement importante. On vise la centaine de kilos en 2022 et la tonne en 2028 ».

Susciter des vocations

La récolte d’automne est déjà pratiquement prévendue (sur le site). Mais, précise Denis Mazerolle « notre objectif est de mettre en place un modèle pour inciter d’autres personnes à se lancer dans la culture du thé. Notamment des jeunes qui reprennent des exploitations et qui pourraient ainsi diversifier leur production. On espère avoir beaucoup de concurrents à l’avenir ».

Michel Thévot, de Sibiril (29), partage cette philosophie. Le Finistérien estime que le thé peut permettre à des jeunes de valoriser des petites parcelles : « Il y a de l’avenir pour le thé en Bretagne ». Ses 2 000 plants ont produit 15 kg de thé sec, cette année, dans la vallée du Guillec. Un thé bio, « de caractère dont le goût a surpris un grand chef parisien ». Michel Thévot le fait transformer et commercialiser sous le label « thé breton ». « Il y a dix ans, j’ai planté un théier car je trouvais ce plant magnifique. Je ne sais pas pourquoi je ne l’ai pas fait plus tôt », regrette ce passionné de botanique.

Contact

Site internet : filleule-des-fees.fr

Publicité
Publicité