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Jours tranquilles à Paris
30 juillet 2020

Fleurs du jardin

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30 juillet 2020

La ferveur masquée et moins populaire du pardon de Sainte-Anne d’Auray

sainte anne

La Covid-19 met l’ensemble des rassemblements et manifestations sous l’éteignoir. La ferveur des fidèles du pardon de Sainte-Anne d’Auray a fait de la résistance, maintenant un rassemblement plus diffus, moins spectaculaire… et moins porteur pour le commerce local.

« Ce n’est pas le Grand pardon. Je ne suis pas dans la critique, mais je dois dire que je ne suis pas du tout dedans cette année ». Jeanine Nohé et son fils Pierre-Henry sont des fidèles parmi les fidèles du rassemblement phare de la Bretagne spirituelle « Nous habitons Sainte-Anne d’Auray et c’est le moins qu’on puisse faire. Cette année, on est perdu. Il n’y a pas de processions avec les grandes bannières, pas de moment plus marquant… On aurait aimé montrer cela à nos amis qui viennent d’Angers. » Le petit groupe n’a pas pu s’approcher de la basilique. « Il fallait s’inscrire en ligne pour les messes. Mais là, je vois qu’il y a encore de la place sur le parvis. » De fait, il régnait, ce week-end, un calme inhabituel sur l’esplanade, mais aussi dans les rues de la commune, lors de ce week-end du 26 juillet qui constitue le pic de l’activité des commerçants. « D’ordinaire, tout est réservé le dimanche et les tables en terrasse sont toutes occupées. Là, on a réduit le nombre de places et écarté les tables, mais même comme ça, il n’y a pas grand monde », constatent Magali et Thierry Nauguin, de la crêperie des Ajoncs. Dans les boutiques de souvenirs et d’objets pieux, qui font d’ordinaire leur meilleure journée, le tiroir-caisse ne chante guère. « On n’a rien vendu ce matin », constate, fataliste, un commerçant.

Un pardon qui s’est réinventé

Le Grand pardon de Sainte-Anne d’Auray n’aura sans doute jamais aussi difficilement mérité son nom. Mais il a bien eu lieu. Sous une forme différente, plus éclatée, moins spectaculaire. Qui a cependant répondu au besoin des fidèles. « La question d’annuler le Grand pardon ne s’est jamais posée », expliquait le Père Gwénaël Maurey, recteur de la basilique. Avec Bruno Belliot, directeur de l’Académie de musique et d’arts sacrés, les deux hommes ont fait en sorte de faire vivre ce pardon « autrement » : « Lors des dix messes organisées sur deux jours, les 200 places à l’intérieur de la basilique étaient toutes réservées. Nous étions loin des rassemblements habituels (entre 20 000 et 25 000), mais cela n’était évidemment pas souhaitable… ». Le pardon a eu le mérite de se maintenir, dans la distanciation, avec des messes masquées, sans communion des participants, mais aussi avec quelques innovations qui ont apporté de la joie aux fidèles : le parcours pour accéder à Sainte-Anne dans le chœur de la basilique, les prestations musicales de l’Académie de musique et arts sacrés et les jolies notes de la chanteuse et harpiste Anne Auffret.

30 juillet 2020

Pic de chaleur : la Bretagne sera relativement épargnée

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La Bretagne devrait subir une poussée de chaleur moins forte, mais un plan de canicule pourrait être déclenché dans la vallée du Rhône. Photo d’illustration François Destoc

Nicolas Tavares

Si la Bretagne sera relativement épargnée par le pic de chaleur attendu en cette fin de semaine en France, la vallée du Rhône, pour sa part, pourrait subir un épisode de canicule.

La France va affronter, en cette fin de semaine, un pic de chaleur, avec des températures pouvant atteindre 41 °C dans le Sud-Ouest. La Bretagne, elle, sera relativement à l’abri, protégée par l’océan Atlantique, mais devrait, tout de même, voir le mercure grimper jusqu’à 35 °C dans l’Est. Le point avec Régis Crépet, météorologue à La Chaîne Météo.

À quoi s’attendre, ces prochains jours, en France ?

Il va y avoir un « gros petit coup de chaud », qui durera deux à trois jours au maximum, à partir de ce jeudi. C’est un flux qui va remonter du Sahara jusqu’à la France, avec un vent de sud. La journée de mercredi a été une journée de transition et, ce jeudi, le beau temps se maintiendra mais les températures vont chauffer, comme lundi. Certaines villes du Sud vont approcher les 41 °C à l’ombre. Vendredi, le coup de chaud va se généraliser, il y aura des températures globalement comprises entre 35 et 40 °C sur toute la France : 37 °C à Paris, 35 °C à Rennes… Le coup de chaleur va durer un jour et demi sur une moitié ouest de la France, entre jeudi midi et vendredi soir, et, vers la vallée du Rhône, il s’étendra jusqu’à samedi après-midi, le temps que l’air océanique s’installe sur la France. Dimanche, on aura retrouvé des températures un peu plus classiques.

Peut-on parler de canicule ?

Ce sera un gros coup de chaud mais de relative courte durée. Le critère, pour parler de canicule, c’est que cela dure au moins trois jours et trois nuits. Ce sera à la limite. Mais, au vu de ces seuils, on étudie la possibilité de placer quelques départements de l’axe rhodanien en alerte canicule. (NDLR : Météo France a placé, mercredi après-midi, six départements de l’est de la région Auvergne-Rhône-Alpes en vigilance orange canicule).

Comment analysez-vous ce pic de chaleur ?

C’est un grand classique. On a, d’une part, une dépression sur l’océan Atlantique, au niveau du nord de l’Irlande qui, dans son mouvement rotatif, va agir comme une pompe à chaleur. Elle va pomper - d’où l’expression - l’air brûlant du Maghreb, qui va être aspiré jusqu’à la France et qui pourrait même aller jusqu’en Belgique, la mer du Nord, voire l’Angleterre. Et quand la dépression continuera de transiter vers la Scandinavie, les vents vont changer de direction puis tourner à l’ouest, faisant progresser vers la France de l’air océanique, plus frais et humide, à partir de vendredi soir. Et le conflit de masse d’air déclenchera des orages.

Est-ce un phénomène classique ?

C’est le processus classique des coups de chaud en France, sauf que là, un peu comme l’année dernière, il va faire très chaud. On manque de recul pour analyser la situation mais si ça s’était passé en 1970 ou 1980, le mercure ne serait certainement monté que jusqu’à 35-36 °C. On a l’impression d’être dans un cycle où les températures montent très haut au moindre coup de chaud, en France. On navigue à vue pour l’expliquer, il n’y a que des théories. On est peut-être dans un summum, depuis les années 2000, où les étés en France sont beaucoup plus chauds qu’avant.

Où seront les plus fortes températures ?

Elles devraient se ressentir en Nouvelle-Aquitaine et en Occitanie, où il fera de 41 à 42 °C, jeudi et vendredi. Mais ça durera moins longtemps que dans le couloir rhodanien.

Pourrait-on battre des records de chaleur ?

Les records sont très élevés mais c’est quasiment impossible : l’été dernier, avec les deux canicules, on les a tous explosés. Sans les niveaux de l’été dernier, on aurait pu battre des records, en revanche.

La Bretagne semble relativement épargnée par ce pic de chaleur…

Ce jeudi, il va faire très beau, avec des températures tout à fait respirables en Bretagne. On attend du beau temps, Ce jeudi, il fera entre 28 et 30 °C, en général. Vendredi, ce sera très chaud et très lourd. On prévoit le pic de chaleur en Haute-Bretagne, à Rennes, vendredi, avec 35 °C. On ne sera pas du tout dans les 40 °C de l’année dernière, qui restent le record. À Brest, on aura 27-30 °C mais ce n’est pas du tout un record.

Comment cela s’explique-t-il ?

La Bretagne est à la limite de la bouffée chaude, qui remontera jusqu’à la Basse-Normandie. Elle pointe trop vers l’océan Atlantique. Les orages ne seront pas non plus très violents, d’ailleurs. Le retour de la pluie devrait se faire lundi. Le point négatif, c’est qu’il n’y aura pas d’épisode orageux, et ça ne va pas arranger le déficit pluviométrique.

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30 juillet 2020

Bourbriac

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30 juillet 2020

Art dans les chapelles

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29 juillet 2020

Étel - Alerte à la marée rouge sur le plan d’eau

Le plan d’eau en face du cinéma a été fermé hier, une partie de la journée. En cause : un développement phytoplanctonique appelé aussi marée rouge.

Mardi matin, alors que la première séance de voile se terminait, les responsables du Cercle Nautique de la Ria d’Etel ont repéré un phénomène de marée « orangée » dans les flaques autour du plan d’eau. Ils ont aussitôt alerté la mairie qui, après consultation de l’ARS (Agence régionale de Santé), a pris la décision de fermer le plan d’eau à la baignade et à toute activité, par précaution. Les activités nautiques prévues sur le deuxième créneau de la matinée ont été transposées en ria, à la faveur de conditions favorables.

Des analyses attendues

Les agents communaux ont été dépêchés pour apposer des panneaux sur lesquels devait être placardé l’arrêté municipal, et une visite sur place des autorités de santé était attendue. Le maire, Guy Hercend, a indiqué que la fermeture durerait « le temps de faire des analyses et de prendre une décision éventuelle de vidange du plan d’eau, sachant qu’une vidange ne doit en aucun cas polluer la ria ». Compte tenu des coefficients de marée faibles et à la baisse (53 jeudi, et remontée à 80 seulement lundi 3), une éventuelle vidange nécessiterait beaucoup plus que les trois à quatre jours habituels.

Une telle marée rouge avait déjà été constatée en juin 2015, après des pluies. En cause : un développement phytoplanctonique de noctiluques sous l’effet d’un apport d’azote et de phosphore dû au ruissellement. À faible densité, le risque sanitaire est insignifiant. « Rien à voir avec le Covid-19 sur Quiberon », se console le responsable du pôle nautique. Après analyses faites sous la direction de l'ARS dans l'après-midi, décision a été prise de rouvrir le plan d'eau en début de soirée, sans qu'il ne soit besoin de vidanger. L'analyse a orienté vers le même constat qu'en 2015.

29 juillet 2020

Vannes

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27 juillet 2020

Street Art

25 street artistes ont peint 500 mètres carrés de mur le week-end du 25 juillet, dans l'ancien centre de tri postal de Saint-Brieuc. Leur travail, en entier, sera à découvrir en septembre

25 juillet 2020

Binic

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25 juillet 2020

Castel Meur

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