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Jours tranquilles à Paris
12 mai 2019

VANNES PHOTOS FESTIVAL 2109 : LA PHOTOGRAPHIE ET LA MUSIQUE - dernier jour aujourd'hui...

vannesJusqu'au 12 mai 2019 (aujourd'hui), la ville de Vannes accueille 6 expositions consacrées aux liens entre photographie et musique dans 6 lieux différents : au Kiosque, au Bastion de Gréguennic, au Château de l’Hermine, à l’Hôtel de Limur et dans le coeur de ville, ce sont plus d’une dizaine de photographes et collectifs qui exposent leur vision photographique de la musique.

Du portrait aux photos de concert en passant par le reportage, de la musique classique au rap en passant par le jazz, les expositions présentées lors du festival seront différentes par les styles musicaux comme par l’approche photographique.

A voir donc différents photographes, tel que Richard Dumas, portraitiste des stars qui capture ses modèles en portraits intimistes et met l’accent sur l’importance de la rencontre avec le musicien et du lien qui se tisse. Aussi exposé Nikolaj Lund, ancien violoncelliste qui désormais immortalise les grands noms de la musique classique en symbiose avec leurs instruments, dans des mises en scènes insolites et décalées. Mathieu Ezan quant à lui, photographe officiel de nombreux festivals, expose ses différents clichés de concerts d’un large panel de la musique d’aujourd’hui, du rap à l’électro ou au rock. On croisera aussi à ce festival Philippe Lévy-Stab  photographe du jazz, Moland Fengkov, spécialiste du heavy metal, Mélanie Jane Frey, qui travaille sur le temps de pose des musiciens avec leurs instruments, et Benjamin Deroche, artiste plasticien qui tente de transcrire le son en image.

Trois expositions collectives investiront aussi Vannes pour ce festival: l’association Divergence proposera une plongée dans le temps avec un historique du rap et sa culture – « Rapattitude(s) » –, « Des notes en photos » réunira des photographes de stars de toutes époques, des années 40 à nos jours, et l’association Contraste se penchera dans « Répète un peu ! » sur le musicien ordinaire et méconnu qui joue et apprend discrètement de son instrument. « Rapattitude(s) » offre une sélection qui dévoile l’évolution du genre sur les 30 dernières années et sa popularité grandissante, tandis que « Des notes en photos » fait la part belle à de nombreuses pépites des années 60 et 70 : The Beatles, Louis Armstrong, Edith Piaf, etc… Rendez-vous à Vannes pour cette exposition mêlant mélodies et photographies, vibrations et lumières, et admirer les nombreux photographes qui se sont essayés à capter les instruments, les musiciens, leurs gestes, leurs regards, leur énergie…

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9 mai 2019

Tempête contre les résidences secondaires en Bretagne

Par Nicolas Legendre, Rennes, correspondance

Des tags dénonçant le nombre de maisons de vacances ont été apposés sur des bâtiments de treize communes du Morbihan, des Côtes-d’Armor et d’Ille-et-Vilaine, le 15 avril. Les cibles sont des stations balnéaires.

Un pourcentage. Un chiffre. Tous deux peints à la bombe. Pas de signature. Pas de texte. Ces graffitis pourraient faire penser à une prophétie cryptée émanant de quelque société secrète.

Les employés de mairie et les élus qui les ont découverts, le 15 avril au petit matin, sur les façades de treize hôtels de ville du Morbihan, des Côtes-d’Armor et d’Ille-et-Vilaine n’ont cependant pas eu de mal à comprendre leur signification. Le pourcentage correspondait à la part des résidences secondaires dans chacune des communes concernées. Le chiffre indiquait la quantité totale desdites résidences dans la collectivité en question.

Flambée des prix de l’immobilier

Ces barbouillages nocturnes, commis simultanément et – très probablement – de façon coordonnée, n’ont pas été revendiqués. Plusieurs plaintes ont été déposées.

Largement relayés par les médias régionaux, les faits ont contribué à alimenter le débat autour d’une préoccupation récurrente en Bretagne : la transformation de cités côtières en zones de villégiature consacrées à une monoactivité touristique. La péninsule armoricaine se classe au quatrième rang des régions françaises ayant le plus important taux de résidences secondaires – ce type d’habitats concernait 13 % du total des logements bretons en 2015, la Corse occupant, quant à elle, la tête du classement, avec 37,2 %.

Quiberon, Carnac, Sarzeau, Damgan, Saint-Philibert, Saint-Gildas-de-Rhuys, Arzon, Locmariaquer, Saint-Cast-le-Guildo, Saint-Jacut-de-la-Mer, Lancieux, Saint-Briac-sur-Mer, Saint-Lunaire… Les treize localités prises pour cibles bordent la Manche ou l’océan Atlantique. Toutes comptent aujourd’hui plus de 50 % de résidences secondaires. A Arzon, ce taux atteint même 80 %.

Avec ses 2 470 kilomètres de côtes (l’équivalent de la distance entre Paris et Moscou), la Bretagne totalise un tiers du littoral métropolitain. Toujours plus attractives, les communes concernées doivent composer avec des réserves foncières limitées.

Les prix de l’immobilier, eux, flambent. En 2018, une maison ancienne se négociait environ 4 000 euros le mètre carré à Quiberon, contre 1 700 à 2 000 euros à l’échelle régionale, selon les données fournies par Ouestfrance-immo.com. Des tarifs prohibitifs pour de nombreux Bretons, qui travaillent dans ces communes mais n’ont donc pas les moyens d’y habiter. Au printemps 2018, des saisonniers ont manifesté à Quiberon pour protester contre le manque de logements et le montant « quasi parisien » des loyers dans le secteur – une première.

« IL FAUT ARRÊTER AVEC LA VISION CARICATURALE DE RÉSIDENTS SECONDAIRES QUI ARRIVERAIENT LE 15 JUILLET ET REPARTIRAIENT LE 25 AOÛT. CERTAINS D’ENTRE EUX VIVENT ICI HUIT MOIS DE L’ANNÉE ! » OLIVIER LEPICK, MAIRE DE CARNAC

A la même période, le collectif Dispac’h (« révolte », en breton), qui se revendique « indépendantiste, anticapitaliste, féministe, écologiste, antifasciste et internationaliste », a mené une action dans plusieurs communes du littoral. Des dizaines d’affiches, sur lesquelles on pouvait lire « Bretagne résidence secondaire, villages en ruine, jeunesse en exil », ont été placardées sur les murs de maisons considérées comme des résidences secondaires. Ewan Thébaud, porte-parole du collectif, dément tout lien avec les récentes dégradations commises sur des mairies. « Nous militons à visage découvert », explique l’intéressé, qui déplore un « manque de courage politique » concernant ce sujet.

« Plus une chance qu’un fardeau »

Olivier Lepick, maire (divers droite) de Carnac, s’inscrit en faux. Sa ville, l’une des stations balnéaires les plus célèbres de France, compte 4 000 habitants en hiver, douze fois plus en été. Sa mairie a été taguée dans la nuit du 14 au 15 avril.

« Ces méthodes me choquent énormément, peste M. Lepick, à l’unisson des édiles concernés. Il faut arrêter avec la vision caricaturale de résidents secondaires qui arriveraient le 15 juillet et repartiraient le 25 août, explique-t-il. Certains d’entre eux vivent ici huit mois de l’année ! Un résident secondaire est un résident principal en puissance, puisque beaucoup d’entre eux s’installent sur place pour leur retraite. Et, en termes économiques, leur apport est énorme. C’est plus une chance qu’un fardeau pour la commune. »

De l’autre côté de la péninsule, Michel Penhouët, maire (Mouvement radical) de Saint-Lunaire, tient un discours semblable. Il insiste sur les « mesures de remédiation » prises par son conseil municipal pour faciliter l’installation d’habitants « permanents », dont la vente de terrains de lotissement « à prix coûtant » destinés à de jeunes ménages, sous conditions de ressources. Mais il affirme qu’il manque d’« outils politiques » pour agir en profondeur.

Loïg Chesnais-Girard, président (PS) du conseil régional de Bretagne, se dit quant à lui « conscient du problème » et assure que sa collectivité soutient les territoires « qui veulent réorienter leur modèle de développement », notamment par le biais d’aide à la transformation du foncier dans les centres-villes. Et d’asséner une formule utilisée en son temps par son prédécesseur, l’actuel ministre des affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian : « La Bretagne n’a pas vocation à devenir une Breizh riviera. »

1 mai 2019

Etel : la Glacière

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23 avril 2019

Etel

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Au cœur du port trône la glacière municipale. Le 10 mars, la Fondation du patrimoine a retenu le projet de réhabilitation du bâtiment. La glacière fait ainsi partie de 18 monuments retenus pour ce second tour du loto du patrimoine. Une surprise et un soulagement pour le maire, Guy Hercend : « C'est une nouvelle extraordinaire et une très grande satisfaction. » Pourtant, selon une étude, il faudrait entre 2 et 3 millions d'euros pour réhabiliter le bâtiment. « Le loto ne peut évidemment pas tout financer, mais il va nous permettre de gravir quelques marchés. On peut dire que c'est un sérieux coup de pouce pour démarrer le projet », estime l'édile. Car la commune ne compte pas seulement sur le loto du patrimoine pour mener à bien le projet. « Nous allons bientôt lancer des campagnes de dons auprès des entreprises et des particuliers », détaille Guy Hercend.

Un moyen supplémentaire de récolter des fonds pour permettre la réhabilitation du bâtiment dans les temps. En effet, la Ville a tablé sur l'année 2020 pour terminer la rénovation de sa glacière. En même temps que le canot de sauvetage. De quoi donner au port un aspect totalement rénové d'ici un an et demi. Des « portes ouvertes » seront d'ailleurs organisées du 7 au 9 juin.

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L'accord a été définitivement signé vendredi : l'abri du canot de sauvetage Patron-Emile-Daniel sera réhabilite. Les bonnes nouvelles s'enchaînent sur le port d'Étel. Après la glacière, c'est au tour de l'abri du canot de sauvetage de profiter d'un plan de rénovation. En tout, 440 000 € ont été investis par la compagnie des ports du Morbihan et la Ville d'Étel sous l'impulsion de l'association dé sauvegarde de l'abri du canot de sauvetage.

Au programme des travaux, un ravalement complet de la façade h extérieure. « C'est le gros des travaux », précise le maire. A l'intérieur, de nombreux ajustements sont également prévus. Les peintures seront refaites, le plafond rénové, les ouvertures vitrées remplacées et l'immense porte en tôle sera consolidée. La fin du chantier est annoncée en juillet 2020.

23 avril 2019

VANNES PHOTOS FESTIVAL 2109 : LA PHOTOGRAPHIE ET LA MUSIQUE

JUSQU'AU 12 MAI 2019 - EVÉNEMENTS ET EXPOS

Jusqu'au 12 mai 2019, la ville de Vannes accueille 6 expositions consacrées aux liens entre photographie et musique dans 6 lieux différents : au Kiosque, au Bastion de Gréguennic, au Château de l’Hermine, à l’Hôtel de Limur et dans le coeur de ville, ce sont plus d’une dizaine de photographes et collectifs qui exposent leur vision photographique de la musique.

Du portrait aux photos de concert en passant par le reportage, de la musique classique au rap en passant par le jazz, les expositions présentées lors du festival seront différentes par les styles musicaux comme par l’approche photographique.

A voir donc différents photographes, tel que Richard Dumas, portraitiste des stars qui capture ses modèles en portraits intimistes et met l’accent sur l’importance de la rencontre avec le musicien et du lien qui se tisse. Aussi exposé Nikolaj Lund, ancien violoncelliste qui désormais immortalise les grands noms de la musique classique en symbiose avec leurs instruments, dans des mises en scènes insolites et décalées. Mathieu Ezan quant à lui, photographe officiel de nombreux festivals, expose ses différents clichés de concerts d’un large panel de la musique d’aujourd’hui, du rap à l’électro ou au rock. On croisera aussi à ce festival Philippe Lévy-Stab  photographe du jazz, Moland Fengkov, spécialiste du heavy metal, Mélanie Jane Frey, qui travaille sur le temps de pose des musiciens avec leurs instruments, et Benjamin Deroche, artiste plasticien qui tente de transcrire le son en image.

Trois expositions collectives investiront aussi Vannes pour ce festival: l’association Divergence proposera une plongée dans le temps avec un historique du rap et sa culture – « Rapattitude(s) » –, « Des notes en photos » réunira des photographes de stars de toutes époques, des années 40 à nos jours, et l’association Contraste se penchera dans « Répète un peu ! » sur le musicien ordinaire et méconnu qui joue et apprend discrètement de son instrument. « Rapattitude(s) » offre une sélection qui dévoile l’évolution du genre sur les 30 dernières années et sa popularité grandissante, tandis que « Des notes en photos » fait la part belle à de nombreuses pépites des années 60 et 70 : The Beatles, Louis Armstrong, Edith Piaf, etc…

Rendez-vous à Vannes pour cette exposition mêlant mélodies et photographies, vibrations et lumières, et admirer les nombreux photographes qui se sont essayés à capter les instruments, les musiciens, leurs gestes, leurs regards, leur énergie…

Informations pratiques

Vannes Photo Festival

Jusqu'au 12 mai 2019

Plus d’informations sur le site du Vannes Photos Festival

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22 avril 2019

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22 avril 2019

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21 avril 2019

Erdeven - Je suis en Bretagne...

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21 avril 2019

Gare d'Auray. Les travaux se poursuivent - J'arrive !

Les travaux se poursuivent dans le quartier de la gare.

Dans le quartier de la gare, à Auray, les travaux de réseaux se poursuivent dans les temps. Voici le calendrier pour les prochaines semaines.

Alors que les travaux se poursuivent jusqu’au 19 avril impasse Lubin, à Auray, la phase n° 6 a démarré il y a quelques jours sur une partie de la rue de la Paix. Des aménagements de circulation sont mis en place pour les besoins du chantier qui devrait durer jusqu’à la semaine n° 17 inclus (le 26 avril).

Afin de finaliser les travaux commencés rue Jean-Jaurès, une seconde intervention est prévue entre le 23 et le 26 avril. À cette occasion la rue sera partiellement fermée à la circulation le temps de l’intervention. L’ensemble des dispositions sont prises pour limiter au maximum la gêne occasionnée. Tous les commerces du quartier restent ouverts pendant toute la durée des travaux.

Circulation modifiée

Les travaux rue de la Paix dureront jusqu’à la fin avril : réfection des réseaux d’assainissement prévus jusqu’au vendredi 26 avril. La rue de la Paix est partiellement barrée, la circulation est alors déviée par les rues Jean-Mermoz et Jean-Marca.

Une nouvelle intervention est prévue rue Jean-Jaurès. Les travaux réalisés rue Jean-Jaurès courant mars nécessitent une phase de finalisation, aussi une dernière intervention est programmée entre le 23 et le 26 avril. Il s’agit d’une réhabilitation et d’une modernisation des réseaux d’assainissement et d’eau potable pendant quatre jours. La rue Jean-Jaurès sera partiellement fermée à la circulation, entre le giratoire place Raoul-Dautry et la rue Henri-Conan. La circulation sera déviée par la rue Henri-Conan et la rue Jean-Mermoz. L’accès des riverains sera conservé rue Charles-de-Blois. Le sens de circulation de cette rue, habituellement à sens unique, sera modifié pour une circulation en double sens pendant toute la durée des travaux.

Pratique

Pendant la durée des travaux, pour toutes demandes sur des questions liées à la distribution de l’eau potable ou à la collecte et le traitement des eaux usées, contactez le tél. 02 56 56 20 09 (Saur).

6 avril 2019

Erdeven - la main verte

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