Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Jours tranquilles à Paris
12 mars 2018

Erdeven - plage de Kerhilio

erdeven kerhillio

erdeven

Publicité
12 mars 2018

Exercice d’hélitreuillage à Etel dans la Ria d'Etel

etel helitreillage

10 mars 2018

ça c'est ben vrai !

bretonne

10 mars 2018

Le Bégo - Mur de l'Atlantique - Plouharnel - Morbihan

plouharnel

quiiberon1

8 mars 2018

Livr’à Vannes dévoile les premiers noms d’auteurs

IMG_1244

De gauche à droite et de haut en bas : Michael Lonsdale. Régis Wargnier, le réalisateur d’« Indochine », Oscar du meilleur film étranger en 1993, a publié son premier roman, « Les Prix d’excellence ». Didier Decoin, scénariste et écrivain français récompensé du prix Goncourt en 1977 pour « John l’Enfer » sera le président d’honneur. Cela faisait plusieurs années que les organisateurs de Livr’à Vannes voulaient inviter Katherine Pancol. C’est chose faite. L’ancien juge antiterroriste, Marc Trévidic sera présent. Il est, depuis 2015, premier vice-président au tribunal de grande instance de Lille.

Le salon du livre se déroulera du 8 au 10 juin. A cent jours de l’événement, les premiers auteurs, dont une dizaine viendra pour la première fois, sont connus.

Des auteurs inédits

Le salon Livr’à Vannes est bien ancré dans la saison littéraire. A tel point que, selon son président Patrick Mahé, « nombre d’auteurs demandent de réserver leur présence d’une année sur l’autre. C’est un salon qui compte désormais dans le paysage littéraire français ». Pour autant, la volonté affichée est aussi d’apporter chaque année des nouveautés, avec notamment, pour cette 11e édition, la présence d’ores et déjà assurée, d’une dizaine d’auteurs. Parmi lesquels, Katerine Pancol, « que l’on voulait avoir depuis la création du salon mais qui nous échappait. Elle sera bien là cette année », s’en félicite Sylvie Rostain, directrice artistique de Livr’à Vannes. Parmi les bizuts, citons également Patricia Darré, Philippe Jaenada (déjà venu en 2012), Michaël Lonsdale, Tobie Nathan, Olivier Norek, Véronique Olmi, Pierre Péan, Marc Trévidic, Régis Wargnier…

Un triptyque made in Breizh

Afin de renforcer la visibilité et la notoriété de Livr’à Vannes, salon du livre généraliste, l’événement est néanmoins structuré autour de trois thèmes majeurs propres à la Bretagne : la mer, la terre et le vent. Ce qui permet d’asseoir la sélection des 220 auteurs et de construire la programmation culturelle périphérique de la manifestation : conférences, débats, rencontres et cafés littéraires.

Parrains et président d’honneur

La fidélité est une marque de fabrique du salon. Ainsi, si les auteurs demandent pour la plupart à y revenir, les organisateurs ne sont pas en reste, puisque depuis sa création, ils renouvellent leur confiance aux écrivains bretons Yann Queffélec et Irène Frain, qui en seront cette année encore les parrains.

Quant au président d’honneur, après Jean-Christophe Ruffin l’an dernier, c’est au tour de Didier Decoin, prix Goncourt 1977, d’endosser cette responsabilité.

Vannes sur la seconde marche

Avec 27 000 visiteurs, Livr’à Vannes a acquis, en dix ans, une renommée dans le monde de l’édition. Il se classe ainsi, par sa qualité et sa fréquentation, à la seconde place des événements de ce type en Bretagne historique, derrière Saint-Malo (Étonnants Voyageurs) et devant Carhaix, Festival du livre en Bretagne (strictement dédié à la littérature bretonne) et Guérande, avec son Festival du livre en Bretagne, « petit frère » de celui de Carhaix.

Renforcer la notoriété du prix

Lors du salon, trois prix littéraires sont remis : A Vro (le pays, la Bretagne) ; Ar Mor (la mer) et An Avel, (le vent, l’air du temps). Enfin, depuis l’an dernier, le Prix littéraire de la ville de Vannes récompense le roman français de la saison littéraire. Sa sélection est une invitation à la découverte et à la lecture d’auteurs et de romans d’expression française, publiés en France entre septembre 2017 et mars 2018. « Notre volonté est de lui donner une plus grande notoriété », concède Patrick Mahé, président du salon Livr’à Vannes. Particularité néanmoins de la manifestation vannetaise, par rapport à Étonnants Voyageurs notamment : l’accès au salon est entièrement libre et gratuit pour les visiteurs.

Les librairies présentes

Désormais, les librairies vannetaises sont partenaires de l’événement. Il s’agit des trois généralistes (Cheminant, Le Silence de la Mer et l’Archipel des Mots) et deux spécialisées (Lenn ha Dilenn et le Jardin des Bulles). Les cinq librairies sont ainsi associées à la construction de la programmation des journées du salon. Elles présentent également, sur leur site, leurs catalogues et assurent les ventes.

Patrick CROGUENNEC.

Publicité
6 mars 2018

Parc éolien de Saint-Brieuc. Des pêcheurs amers

eole (1)

Article de Charles Drouilly

À compter de ce mardi, une partie de la baie de Saint-Brieuc est soumise à un nouvel arrêté. La zone de pêche est concernée, les professionnels dénoncent un manque de concertation.

En baie de Saint-Brieuc, le projet de parc éolien offshore suit son cours. Pour rappel, en 2023, 62  éoliennes auront poussé à 16 km de la côte. Un projet à plus de deuxmilliards d'euros dont l'ambition est de produire 8 % de la consommation bretonne en électricité.

Une campagne géotechnique

En attendant, le consortium Ailes Marines, en charge du projet, a missionné le groupe Fugro, afin de réaliser une campagne « géotechnique ». L'idée consiste à définir avec exactitude la composition du sol et du sous-sol marin. 19 forages ont été réalisés en 2017, 44  doivent encore être faits en 2018. Pour ce faire, le navire Gargano va sillonner la zone. En route, il est attendu en baie de Saint-Brieuc d'ici ce mardi soir. Un deuxième navire « Le Normand Flower » devrait arriver mi-avril.

Par conséquent, la préfecture maritime de l'Atlantique a pris un arrêté. Ce dernier stipule que « lorsque le navire Gargano évolue au sein de la zone, en opération effective de reconnaissance géotechnique, le stationnement et le mouillage de tout navire ou engin de plaisance, ainsi que la pratique de la pêche, de la baignade et de la plongée sous-marine du navire sont interdits à moins de 0,25 mille marin ».

« Prévenus au dernier moment »

Une réglementation qui n'est pas franchement du goût des pêcheurs locaux. « Une campagne géotechnique a déjà eu lieu l'été dernier et tout s'était bien passé. Mais ce coup-ci, nous avons été prévenus au dernier moment et nos recommandations, notamment le souhait que cette campagne se déroule à partir du mois de juin, n'ont pas été prises en compte », déplore Alain Coudray, président du comité départemental des pêches maritimes des Côtes-d'Armor.

Ce dernier a la responsabilité de transmettre quotidiennement la position du navire Gargano aux professionnels dans le but de définir une zone de « cohabitation ». Dans un communiqué, les comités départementaux des pêches maritimes des Côtes-d'Armor et d'Ille-et-Vilaine annoncent que « la reprise de cette campagne ne sera pas sans conséquences sur la concertation avec les pêcheurs professionnels et le bon déroulement de l'étude géotechnique ».

D'autant que prévue initialement jusqu'à la mi-août, « la durée de la campagne peut varier selon les conditions météo », prévient Ailes Marines.

Une centaine de professionnels impactés

Avec une centaine de professionnels impactés directement par le projet éolien, sur les 280 pêcheurs présents en baie de Saint-Brieuc, cette nouvelle campagne géotechnique attise un peu plus les craintes ressenties au niveau local.

« Ni pour, ni contre, notre volonté est toujours d'être associé au projet afin que des études soient réalisées sur l'impact que le parc aura sur la profession », tempère Alain Coudray.

eole (2)

6 mars 2018

Saint Cado - la maison aux volets bleus

saint cado

26 février 2018

BRETAGNE - SNCF. Six « petites lignes » de train dans le collimateur

six-petites-lignes-dans-le-collimateur

tire bouchon

Le tire-bouchon Auray => Quiberon

Dans le rapport Spinetta, la fermeture de « petites lignes » de train jugées peu rentables est notamment conseillée.

Remis la semaine passée au Premier ministre, le désormais célèbre rapport Spinetta visant à réformer le système ferroviaire français, est accompagné d’une carte. Une carte qui cible les petites lignes, « peu utilisées, héritées d’un temps révolu », décrites comme non rentables et coûteuses pour la collectivité.

Dans le panel des recommandations, les rapporteurs proposent leur fermeture ce qui selon eux dégagerait une économie annuelle d’1,2 milliard. En Bretagne, six lignes où circulent moins de vingt trains par jour et où le taux de remplissage est jugé insuffisant sont ainsi qualifiées de « petites lignes ». Potentiellement dans le collimateur donc.

« Renoncements » en série

Colère froide pour Gérard Lahellec, vice-président de la Région en charge des transports qui voit dans ce texte l’expression d’un « regard condescendant porté par M. Spinetta depuis l’intérieur de son périphérique sur la province. » Les petites lignes ne sont pas rentables ? « Il n’existe pas une seule ligne rentable ! Un abonné du TER ne paye en moyenne que 10 % du coût réel de son billet. On me dit : « Sur la ligne entre Dol et Dinan, il n’y a que 100 voyageurs. » Avec M. Spinetta, il n’y en aurait plus. Vous trouvez cela mieux ? » Et l’élu de décrire, après l’abandon de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, après le rapport Duron invitant à reporter le prolongement de la ligne à grande vitesse vers l’ouest, un nouveau « renoncement de l’engagement public. »

En décembre dernier, après un an de travaux et 77,8 millions d’euros investis, la ligne entre Quimper et Brest était rouverte avec l’espoir d’un trafic augmenté de 50 %. Une campagne d’affichage, où un marin brestois embrassait à pleine bouche une femme du Finistère sud, annonçait l’événement. Pas certain que M. Spinetta reçoive un tel accueil au bout des « petites lignes ».

18 février 2018

Super U à Belz - morbihan

super u

15 février 2018

Port d'Etel - Morbihan

etel

Publicité
Publicité