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Jours tranquilles à Paris
9 avril 2020

Marisa Papen donnant une interview sur les toits de Paris

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9 avril 2020

Confinement le 9 avril 2020

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9 avril 2020

Clara Morgane

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Emmanuelle Munos, dite Clara Morgane, née le 25 janvier 1981 à Marseille, est une animatrice de télévision, chanteuse et mannequin française. Elle a commencé sa carrière en tant qu'actrice pornographique (de 2000 à 2004).

https://fr.wikipedia.org/wiki/Clara_Morgane

9 avril 2020

Made in Jura : les origines de Bel

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https://www.groupe-bel.com/fr/groupe/histoire

C’est en 1865 que Jules Bel installe dans le Jura, son commerce d’affinage et de négoce de comté. Après son décès en 1904, son fils Léon Bel reprend l’affaire. Au lendemain de la première guerre mondiale, l’industrie naissante du fromage prend son essor et Léon Bel pressent le potentiel du fromage fondu, bon, économique, facile à transporter et à conserver. Il se lance alors dans l’aventure industrielle et fonde en 1922 la société anonyme des Fromageries Bel.

Bien dans son époque... Et même un peu en avance !

En 1921, Léon Bel dépose la marque La Vache qui rit® – un produit absolument nouveau en France à l’époque, tant par sa recette originale, sa texture fondante, sa présentation en portions individuelles, son format triangulaire, que par son emballage. Avec sa vache rouge commandée au célèbre illustrateur animalier Benjamin Rabier, Léon Bel innove aussi côté communication et installe dès les débuts un lien unique entre sa jeune marque et ses consommateurs.

Du Jura au Dakota : Une histoire de famille

Le démarrage industriel et commercial de La Vache qui rit® a lieu en 1924, lorsque Léon Bel installe dans la fabrique de Lons-le-Saunier les premiers pétrins de fonte et les machines à portions. Deux ans plus tard, il fait construire à Lons une nouvelle usine ultramoderne. En 1937, Robert Fievet, gendre de Léon Bel, est nommé Directeur Général. Il en devient Président en 1941, et conduit jusqu’en 1996 le développement national et international de l’entreprise. Audace, Engagement, Bienveillance… Ces valeurs sont encore aujourd’hui au cœur de la stratégie Bel. L’esprit qui a fait le succès de Bel perdure et accompagne l’expansion du Groupe. Toujours dirigé par les descendants de Léon Bel et Robert Fiévet, Bel continue à se lancer de nouveaux défis industriels et commerciaux, avec par exemple la construction de la toute première usine La Vache qui rit® en Asie en 2011, ou celle d’une usine Mini Babybel® aux Etats-Unis en 2013.

Pionnier de la communication

Bel ose des campagnes humoristiques et décalées à une époque l’où on prend peu de risque pour promouvoir un produit. TV, radio, cinéma… la marque n’hésite pas à s’aventurer sur de nouveaux médias, de nouveaux formats et fait peu à peu de sa sympathique vache une véritable icône publicitaire. Les expériences apéritives d’Apéricube®, la petite révolution de Mini Babybel® et sa coque rouge, les succès de La vache qui rit® sur Facebook… Encore aujourd’hui, ce mélange d’innovation technique, marketing et publicitaire est indissociable des produits et marques du Groupe.

Do you speak Bel ? Un goût prononcé pour l'internationnal

Le fromage fondu présentait les qualités requises d’homogénéisation et de conservation pour devenir un aliment du quotidien et international. En 1929, Léon Bel fait voyager ses produits et installe ses premières usines étrangères en Angleterre et en Belgique. Dès lors, plus rien n’arrêtera l’essor des produits Bel : d’abord présent en Europe de l’Ouest, le Groupe s’aventure dès les années 70 aux Etats-Unis, au Maroc, puis plus tard en Syrie, au Japon ou encore en Chine. Parallèlement à ce développement international souvent audacieux, Bel mise aussi sur une stratégie de croissance externe sélective, avec par exemple l’acquisition de Leerdammer® en 2002 et de Boursin® en 2007. Pas question de course à la croissance effrénée : il s’agit toujours de se développer dans le respect des valeurs et de l’esprit Bel.

Dépasser les frontières du fromage

À l’écoute de l’évolution des tendances de consommation, Bel fait constamment évoluer ses produits. Une démarche qui associe innovation et amélioration continue pour des marques toujours plus responsables et proches des besoins quotidiens des familles dans le monde entier. Ainsi, Mini Babybel® s’impose comme une alternative au snacking sucré, Pik et Croq® diversifie l’offre du goûter… Des évolutions qui conduisent le Groupe à dépasser les frontières du fromage avec en 2015 une prise de participation majoritaire dans la société marocaine Safilait et sa marque de produits laitiers Jibal® et l’acquisition en 2016 du Groupe MOM, propriétaire des marques Materne®, Pom’Potes®, GoGo squeeZ®, Mont Blanc®.

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9 avril 2020

Coronavirus - situation au 8 avril

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9 avril 2020

Milo bellissima

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9 avril 2020

Marine Vacth - Happy Birthday to you !

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Marine Vacth, née le 9 avril 1991 à Paris, est une actrice et mannequin français. Elle a notamment joué les rôles principaux de Jeune et Jolie et L'Amant double, deux films de François Ozon.

9 avril 2020

Le Voyage à Nantes

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9 avril 2020

En France, les fabricants de masques textiles accélèrent la cadence

Par Juliette Garnier

Le port du masque devient obligatoire dans plusieurs communes. Les fabricants français convertis à la confection de masques textiles font tourner leurs ateliers de production pour répondre à la demande.

« Pardon, le rythme est infernal », s’excuse Jean-Charles Potelle. En pleine interview téléphonique, le PDG de Boldoduc s’interrompt pour signer le bordereau de livraison que lui tend un routier. « Quel est votre numéro de téléphone ? What is your phone number ? », lui demande M. Potelle. Le stress fait vibrer sa voix. « Il doit livrer un échantillon de masque à la DGA [Direction générale des armées] », explique le patron de cette petite entreprise spécialisée dans la protection, l’emballage et l’habillement réalisés à partir de textiles techniques. Mi-mars, sa société s’est convertie à la production de masques de protection en tissu. Une première version d’un modèle filtrant lavable a été homologuée, jeudi 2 avril, par le laboratoire classé haute sécurité de la DGA, situé à Vert-le-Petit (Essonne), spécialisé dans la maîtrise radiologique, biologique et chimique.

Sans attendre cet avis, alors que l’épidémie de Covid-19 se répand en France, le fabricant a mis en production, le 27 mars, un premier modèle destiné au personnel des secteurs agroalimentaires, du paramédical et des services de proximité, sans toutefois présenter les propriétés des masques FFP2 dont s’équipent les soignants de malades. L’opération mobilise les 180 employés de cette PME située à Dardilly (Rhône).

Il a fallu couper ces carrés de tissus de coton et de non-tissé filtrant, et surtout trouver les ouvriers pour les assembler. Boldoduc a fait appel à ses propres ateliers et à ceux de sous-traitants. L’entreprise a aussi désormais recours aux 140 détenus de huit ateliers de maisons d’arrêt dans l’Hexagone. En complément, sur les réseaux sociaux, elle a lancé un appel pour recruter des couturières. En quelques jours, plus de 1 500 ont répondu présentes : toutes sont désormais derrière leurs machines à coudre. En tout, plus 1 750 personnes fabriquent les modèles que Boldoduc vend à prix coûtant et ce sont 25 000 masques qui sont produits par jour. « Ce sera 50 000 mi-avril », assure M. Potelle.

Le « courage » des couturières

Partout en France, les ateliers textiles accélèrent la cadence. Tous ont répondu à l’appel du gouvernement émis le 23 mars pour remédier à la pénurie de masques de protection et équiper les personnels des entreprises relevant des secteurs dits essentiels (agroalimentaire, gestion des déchets, etc.). Dans la foulée, le Comité stratégique de filière des industries de la mode et du luxe – qui regroupe pouvoirs publics et professionnels du secteur – a monté une plate-forme pour réunir industriels et confectionneurs afin de leur permettre de produire des masques, selon un cahier des charges écrit par l’Institut français du textile et de l’habillement et conforme aux préconisations de la DGA. Près de 700 modèles lui ont été soumis.

« Soixante-cinq entreprises ont obtenu l’évaluation de la DGA. Plus de 300 autres confectionneurs sont en cours de validation », explique Guillaume Gibault, fondateur du Slip français, impliqué à titre bénévole. Parmi eux figurent des fabricants de sacs (Les Tissages de Charlieu), des marques de prêt-à-porter (Ruko-Linglin), de protections hygiéniques (Plim) et de maillots de cyclisme (Chef de fil). La production s’établit aujourd’hui à 500 000 masques lavables par jour. Bientôt ce sera 1 million, assure M. Gibault.

Mode Grand Ouest, organisation professionnelle rassemblant des fabricants textiles d’Aquitaine, de Bretagne ou des Pays-de-la-Loire, a aussi mobilisé ses adhérents pour fabriquer des modèles à usage unique et les vendre à prix coûtant. Les lieux de coupe et de confection sont tenus secrets, pour réduire « les risques de cambriolage », explique Laurent Vandenbor, délégué général de Mode Grand Ouest. Et tout repose sur « 300 salariés volontaires », explique ce dernier, qui salue le « courage de ces femmes » qui ont bravé leur peur pour s’asseoir derrière leur machine à coudre. La production atteint 35 000 exemplaires par jour et 400 000 pièces sont en commande.

Une « question ouverte »

La demande ne faiblira pas alors que le port du masque pourrait se généraliser. L’Académie de médecine le recommande. Car, « il est établi que des personnes en période d’incubation ou en état de portage asymptomatique excrètent le virus et entretiennent la transmission de l’infection », estime-t-elle dans un avis publié vendredi 3 avril, plaidant pour l’ajouter aux « mesures barrières » déjà en vigueur. Le directeur général de la santé, Jérôme Salomon, encourage aussi les Français à porter « ces masques alternatifs ». L’éventuel port obligatoire est une « question ouverte », a déclaré, mardi, le ministre de la santé, Olivier Véran. Deux communes – Nice et Sceaux – l’imposeront sous peu, et la maire de Paris, Anne Hidago envisage d’en fournir aux habitants.

Dès lors, les Français cherchent à se doter de modèles fiables et éviter d’avoir recours à un foulard ou un spécimen fait maison, sans garantie de protection et de filtration. Les pharmacies pourraient être chargées de leur distribution. L’ordre des pharmaciens et les deux principaux syndicats de la profession ont demandé, mardi, au gouvernement d’autoriser les officines à vendre ces masques « alternatifs » en tissu au grand public.

Les pouvoirs publics vont-ils l’entendre ? D’ici là, le secteur textile espère que l’Etat se rappellera de la mobilisation historique des entreprises tricolores pour fabriquer ces protections. La crise due au coronavirus « est une opportunité de démontrer la vivacité du tissu industriel français », juge Elizabeth Ducottet, PDG de Thuasne, qui, à Saint-Etienne, s’est lancé dans la fabrication de masques. Au passage, cette période pourrait raviver la demande d’une réforme des appels d’offres de marchés publics au bénéfice de fabricants français, juge M. Vandenbor. Car, à l’en croire, il suffirait que les acteurs économiques accordent « 10 % de leurs commandes au “made in France” pour doubler les effectifs dans le secteur textile ». D’ici là, les entreprises se mobilisent déjà pour remédier à un autre manque, celui des surblouses dont s’équipe le personnel médical.

9 avril 2020

Vu sur internet

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