Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Jours tranquilles à Paris
4 juin 2017

L'Avenue Foch transformée en "ferme"...

L'avenue Foch transformée en «ferme» le temps d'un week-end. Une «œuvre» gigantesque – à la fois végétale et animale – va s’installer à partir de demain et jusqu’à lundi, sur l’avenue Foch, rendue piétonne pour l’occasion. Un air de campagne en plein cœur de la ville. Réalisé par Gad Weil, metteur en scène d’arts de la rue, cet espace de verdure de 10.000 m² éphémère sera composé de six tableaux «vivants». Ainsi, une ferme, avec des moutons, des vaches, des abeilles, des vers à soie et même dix alpagas, sera créée. Un potager de 500 m2, un champ de lin et 130 arbres seront aussi mis en terre. Une véritable «promenade agricole et horticole» dont l’entrée (gratuite) se fera entre deux moissonneuses-batteuses.

DSCN5729

DSCN5730

DSCN5731

DSCN5734

DSCN5736

DSCN5737

DSCN5738

DSCN5739

DSCN5741

DSCN5743

DSCN5746

DSCN5748

DSCN5750

DSCN5752

DSCN5753

DSCN5755

Publicité
4 juin 2017

Les drones, c’est comme la Formule 1

DSCN5758

DSCN5760

DSCN5761

DSCN5762

DSCN5764

DSCN5765

Avenue des Champs-Elysées (VIIIe). Plus de 150 000 spectateurs ont assisté au 2e Paris Drone Festival.

A l’occasion du 2e Paris Drone Festival, les meilleurs pilotes du monde se sont affrontés dans un course sur les Champs-Elysées.

Par  Julien Duffé

« On dirait de grosses mouches ultra rapides » rigole un jeune garçon. Hier après-midi, sur les Champs-Elysées (VIII e), plus de 150 000 spectateurs se sont massés autour de la « volière » du 2 e Paris drone festival.

Au son des platines et d’un speaker très en verve, les 36 meilleurs pilotes mondiaux de ces engins volants télécommandés se sont mesurés sur un slalom de 1,2 km qui démarrait… sous le tunnel de l’Etoile. Et comptant pour la première étape de la Drone Champions League (DCL).

« C’est impressionnant : ils vont super vite. Heureusement qu’il y a un grand écran pour suivre », souffle Hyppolite, 12 ans, venu en voisin du XVII e. Près de l’Arc de Triomphe, le fameux écran retransmet les images des caméras embarquées sur les drones. Précisément celles que scrutent les pilotes qui, casques sur les yeux et joystick à la main, sont installés dans de gros sièges baquets.

des pointes à 140 km/h

Les meilleurs bouclent le circuit en 30 secondes avec des pointes à 140 km/h. « J’aime bien cette ambiance de Formule 1 des airs » sourit Daniel, 36 ans, qui s’est justement installé près des « stands ». « Il y a souvent des crashs ou des accrochages alors j’ai l’impression qu’ils bidouillent en permanence » explique ce Marseillais de passage à Paris.

Pas mal de spectateurs possèdent eux-mêmes un drone de loisir ou ont déjà testé des simulateurs. « J’aimerais avoir leur aisance pour passer des portes comme ils le font : il faut avoir une concentration extrême », admire Xavier, 30 ans, venu de Vitry (Val-de-Marne). Pierre, 16 ans, de Fontainebleau (Seine-et-Marne), est sur un petit nuage après avoir pu discuter avec des stars de la discipline. « Je fais des courses de drones depuis six mois et j’adore ça, raconte l’ado. Dès qu’on met les lunettes, on est en immersion et il y a une énorme adrénaline. »

Son copain est justement en pleine course sur un simulateur qui reproduit fidèlement le circuit parisien sous le stand d’un éditeur de logiciel. Sous une tente voisine, des enfants fabriquent des mini-drones en bois et en papier. Tandis que d’autres, plus âgés, viennent admirer les appareils de surveillance de la préfecture de police ou un gros aéronef rouge du groupe DPD, qui assure depuis décembre la première ligne commerciale de livraison de colis dans le Var. Michel, un Parisien de 50 ans, n’en revient pas. « C’est fou tout ce qu’on peut faire avec des drones » s’étonne-t-il.

4 juin 2017

Champs Elysées - Les piétons sont rois aujourd'hui...

Les Champs-Elysées sont réservés aux piétons un dimanche par mois. Avec la piétonisation des quais de Seine, les piétons gagnent doucement du terrain et Paris respire lors des chaudes journées. Prochain rendez-vous ce 4 juin 2017 !

Les Champs-Elysées sont rendus piétons un dimanche par mois à partir du 8 mai 2016. Après le succès de la journée sans voiture le dernier week-end du mois de septembre 2015 et le projet d'une seconde en 2016, on se réjouit à l'idée d'arpenter plus souvent cette grande avenue lors d'une promenade dominicale sans le ronron des moteurs.

La décision, prononcée par Anne Hidalgo lors des vœux aux élus du Conseil de Paris le 6 janvier 2016, est évidemment en adéquation avec sa volonté de durcir le plan antipollution.

4 juin 2017

Une collecte afin de restaurer le mur végétal du quai Branly

C’est une première et elle démarre plutôt bien, pour le musée du quai Branly-Jacques Chirac (XV e), qui se lance pour la première fois dans le financement participatif pour la restauration de son mur végétal.

Lancé il y a tout juste deux semaines, l’appel à la générosité des visiteurs a déjà atteint 10 000 €, soit 20 % de son objectif de 50 000 €, destinés à la remise en état du mur conçu en 2004 par le botaniste Patrick Blanc.

La campagne de financement participatif se terminera le 15 juillet, il vous reste donc un peu moins de 6 semaines pour permettre au musée de financer une partie des travaux, notamment l’achat et l’installation des milliers de nouveaux plants qui constitueront la nouvelle œuvre végétale, accessible gratuitement à tous. En contrepartie et en fonction du montant de leur écot, les donateurs recevront des invitations aux vernissages d’expositions, des petits-déjeuners, des visites nocturnes, des pass individuels ou même, pour les dons de 1 500 € et plus, une rencontre exclusive avec Patrick Blanc, à l’occasion d’un cocktail privé organisé pour vous au musée ! E.S.

www.commeon.com/projet/quaibranly

4 juin 2017

No comment

Publicité
4 juin 2017

Street Art

18722342_469507310056530_6612241712859316224_n

street258

street259

4 juin 2017

Guerre des glaces sur l’île Saint-Louis

glace

Par  Philippe Baverel

Fief de la maison Berthillon depuis 1954, l’île Saint-Louis (IV e) est le théâtre d’un nouvel épisode de la guerre des glaces. Après l’Américain Häagen-Dazs qui a finalement fermé le point de vente ouvert il y a une vingtaine d’années, après le français Amorino qui y a toujours pignon sur rue, le groupe familial français Seninvest (par ailleurs fabricant de produits laitiers et desserts pour les marques de distributeurs des grandes surfaces) a inauguré le 19 mai sur cette île très prisée des touristes une boutique de glaces sous l’enseigne « Senoble, la glacerie parisienne ».

« nous ne voulons pas passer à la dimension industrielle »

Situé au 69, rue Saint-Louis-en-l’Ile, soit à 40 numéros de Berthillon (29-31), ce magasin à la devanture bleu électrique propose des glaces fabriquées dans un laboratoire installé en banlieue nord mais « turbinées, brassées sur place et travaillées de manière artisanale, sans colorant ni arôme artificiel ni conservateur », fait valoir Arnaud Bécard, directeur général de Senoble. Une vingtaine de parfums (cheesecake, noisette du Piémont, pistache de Sicile…) sont à l’affiche pour des prix sensiblement inférieurs à ceux de son célèbre voisin. Le cornet à deux boules est vendu 3,60 € chez Senoble, contre 4,50 € chez Berthillon. En revanche, le bac d’un demi-litre de sorbet est au même tarif chez les deux glaciers (10 €).

L’arrivée sur l’île de ce concurrent, nouveau venu dans le monde du sorbet, n’est pas pour inquiéter Berthillon qui jouit d’une réputation telle qu’il se permet de fermer boutique en août pour partir en vacances ! « Plus il y aura de glaciers, plus cela donnera envie aux gens de consommer de la glace. Nous, nous sommes à nos capacités de fabrication maximale et ne voulons pas passer à la dimension industrielle », répond Muriel Berthillon, petite-fille du fondateur, Raymond, disparu le 9 août 2014.

« Il y a de la place pour tout le monde », renchérit son frère Lionel, responsable de la fabrication entièrement réalisée sur place. S’il ne va pas aux Halles chercher les fruits avec un diable comme le faisait son grand-père dans les années 1960, Lionel Berthillon souligne : « Nous sommes de vrais artisans qui travaillons avec de vrais fruits : fraises, framboises… » Le sorbet à la fraise des bois est d’ailleurs l’une de leurs spécialités. Heureuse habitante de l’île, Alix, psychologue de 47 ans, est formelle : « Je resterai fidèle à Berthillon car c’est la meilleure glace du monde ».

4 juin 2017

Marine Foissey - Panier de crabes ?

marine foissey

4 juin 2017

Alyssa Arce

alyssa1

alyssa2

alyssa3

3 juin 2017

24 Heures du Mans... bientôt

Publicité
Publicité