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Jours tranquilles à Paris
23 mars 2014

Elections Municipales 2014

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JE VOTE !

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23 mars 2014

Aujourd'hui : premier tour des Elections Municipales

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Aujourd'hui JE VOTE !

13 mars 2014

Elections Municipales - Paris 15ème arrondissement

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Elections municipales: les règles de l'affichage électoral

La campagne électorale a commencé officiellement lundi dernier (10 mars). Elle prendra fin pour le 1er tour samedi 22 mars à minuit. Vous verrez fleurir dans votre commune les panneaux électoraux. Petit tour d'horizon des règles de l'affichage électoral.

La 1ère place à la 1ère liste enregistrée

Le nombre de panneaux d'affichage mis à la disposition des candidats est fonction du nombre d'électeurs inscrits dans la commune. En dehors de ceux implantés à côté des bureaux de vote, le nombre maximum d'emplacements dédiés à l'affichage électoral est de :

* 5 dans les communes ayant 500 électeurs et moins;

*10 dans les communes dont le nombre d'électeurs est compris entre 501 et 5 000;

*10 dans les communes dont le nombre d'électeurs est supérieur à 5 000 auxquels s'ajoutent des emplacements supplémentaires calculés en divisant par 3.000 le nombre total des électeurs. Le résultat de la division donne le nombre d'emplacements supplémentaires. Ce nombre est majoré d'une unité si le reste de la division est supérieur à 2 000. Ces nombres sont un maximum et la commune n’est donc pas dans l’obligation de les mettre tous en place

Les panneaux sont numérotés. Ils sont attribués aux candidats dès le début de la campagne officielle dans l’ordre d’enregistrement des candidatures par la Préfecture.

Le nombre de panneaux correspond au nombre total de candidats. L'implantation dans la commune des panneaux électoraux est décidée par la mairie.

La taille des affichages est réglementée

Dès l’ouverture de la campagne officielle, tout affichage sauvage, en dehors de ces panneaux mis en place par les mairies, est interdit.

Les affiches imprimées sur papier blanc sont interdites, sauf si elles sont recouvertes de caractères ou d’illustrations de couleur. Elles ne doivent pas non plus comprendre une combinaison des couleurs bleu, blanc, rouge à l’exception de la reproduction de l’emblème d’un parti politique.

Leur taille est réglementée: 59,4 cm de largeur maximale pour 84,1 cm maximum de hauteur.

Pour le second tour de scrutin, la campagne officielle sera ouverte à compter du jour de la publication au Journal officiel des noms des candidats habilités à se présenter, en l'occurence, le 24 mars. Elle prendra fin 29 mars à minuit.

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11 mars 2014

À Paris, l’élection sera doublement capitale

L’issue du duel Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP)-Anne Hidalgo (PS) pèsera lourd au plan national. Longtemps, NKM a pensé que sa rivale ne ferait pas le poids pour concourir à la place de Delanoë. À tort.

Municipales 2014

La succession de Bertrand Delanoë, c’est d’abord une histoire de chiffres, avec des combinaisons aussi compliquées qu’un tirage du Loto : 20 arrondissements, quelque 150 listes desquelles sortiront 364 conseillers d’arrondissements et 163 conseillers de Paris. Et à la fin – seule certitude – c’est une femme, Anne ou Nathalie, qui gagne. Parce que, seconde caractéristique parisienne, depuis le début de la campagne, n’en déplaise aux « petites » listes, on est déjà au second tour ! Wallerand de Saint-Just ? Un FN inconnu au-delà du XVe arrondissement. Danielle Simonnet ? Loin de la notoriété de Jean-Luc Mélenchon. Christophe Najdovski ? Connu juste chez les Verts…

Tout les distingue

En revanche, si on vous dit Anne Hidalgo ou Nathalie Kosciusko-Morizet, alors là… La brune et la blonde. La discrète et la médiatique. La besogneuse et la flamboyante. La méthodique et l’impulsive. L’enracinée et la parachutée. La fausse douce et la vraie bagarreuse. La socialiste et la sarkozyste.« Je ne suis pas de sa culture » , dit Anne Hidalgo.« Elle est le pur produit du système Hollande » , répond NKM. Leur personnalité : celle de NKM irrite tellement certains dissidents UMP qu’ils n’excluent pas de« voter pour Anne » au second tour. Hidalgo rassemble, des communistes aux centristes, des écologistes aux patrons, et même du MoDem au Front de gauche, débauchant au passage la chiraquienne Dominique Versini. Leur méthode :Nathalie Kosciusko-Morizet divise. Vingtdeux listes dissidentes, dont celles de Charles Beigbeder, vont affaiblir l’UMP dans sept arrondissements. Dans le XIVe , « son » arrondissement, elle compte les haines. Mais reconnaissons lui le courage de rompre avec la vieille génération ou d’affronter le clan Tiberi. Leur connaissance du terrain : la première adjointe sait tout par cœur, les gens, le réseau associatif, les chiffres, les arguments qui font mouche. Elle effectue un parcours un peu terne, mais sans faute, depuis le passage de relais du maire sortant :« J’ai été longtemps secondé, maintenant, je la seconde », dit, faussement modeste, Bertrand Delanoë. NKM avance des idées moins préparées. Comme celle de transformer les stations fantômes en lieux de convivialité, oubliant que des métros y passent parfois… Ou celle de baisser les impôts de 100 millions par an tout en promettant de recouvrir le boulevard périphérique, de faire rouler le métro une partie de la nuit ou, pour la modique somme de 550 millions d’euros, d’élargir les horaires d’ouverture des services municipaux. L’honnêteté oblige à dire que les projets d’Anne Hidalgo ne sont pas donnés non plus ! En revanche, elles se retrouvent pour défendre la sécurité, l’ouverture de places de crèches, la construction annuelle de 10 000 logements, le verdissement et la piétonnisation du cœur de la capitale. NKM a parfois sous-estimé Hidalgo. Moins aujourd’hui, où les sondages profitent à la socialiste. La menacer serait déjà un succès. Et diriger l’opposition parisienne, avec un staff de vingt collaborateurs, ne serait pas le pire endroit pour voir venir. Article de Michel URVOY.

11 mars 2014

La campagne officielle a commencé

Depuis minuit, dans la nuit de dimanche à lundi, la campagne officielle pour le premier tour des élections municipales a commencé. Les 900 000 candidats ont jusqu’au samedi 22 mars à minuit pour convaincre les électeurs. Dans cet intervalle, ils disposent de panneaux d’affichage et peuvent tenir des réunions électorales, sans autorisations préalables. Les diffusions de bulletins, de tracts, de courrier électronique et les appels téléphoniques sont autorisés jusqu’au vendredi 21 mars.

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8 mars 2014

Elections Municipales 2014

Le Front national sera présent aux élections dans 562 villes de plus de 1 000 habitants. C'est beaucoup plus qu'en 2001 et 2008.

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10 février 2014

Elections Municipales de Paris 2014

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Anne Hidalgo hier après-midi au défilé du Nouvel An chinois dans le 13ème arrondissement de Paris

9 janvier 2014

Anne Hidalgo

7 janvier 2014

Elections Municipales 2014 - Nicolas Sarkozy

Selon les informations du Canard Enchaîné, Nicolas Sarkozy serait peu optimiste quant aux scores de l’UMP aux élections municipales de mars prochain. Selon l’ancien chef d’Etat, le parti d’opposition va même se prendre une véritable "branlée".

Il n’a pas fait dans la dentelle. Plutôt pessimiste quant aux scores de l’UMP aux prochaines élections municipales, Nicolas Sarkozy n’a pas mâché ses mots pour décrire ce qui, selon lui, risque de se passer. Le parti d’opposition va prendre "une branlée aux municipales comme aux européennes", a-t-il en effet prédit, rapporte le Canard Enchaîné. Toujours d’après l’hebdomadaire satirique, l’ancien chef de l’Etat aurait également détaillé ses pronostics en annonçant que "Paris, c'est plié, et Marseille risque d'être perdu. Il n'y aura que très peu de gains, qui ne contrebalanceront par les pertes de 2008. Le PS va s'en sortir et le Front national gagnera des villes". Et l’ex-locataire de l’Elysée de démonter la promesse faite par Jean-François Copé en novembre dernier en assurant qu’il n’y "aura pas de vague bleue". D’après Nicolas Sarkozy, "on parlera surtout dans les médias d’une vague bleue marine".

Et son retour en politique ?

Et alors que son éventuel retour dans l’arène politique est source de nombreuses rumeurs, l’ancien président de la République a, une fois encore, alimenté le suspense en confiant à un proche: "Si je reviens, ce ne sera pas avant septembre ou octobre". Il y a quelques semaines, Le Point avait rapporté des propos tenus par Nicolas Sarkozy, lesquels ne faisaient aucun doute qu’il reviendrait à ses premières amours : "La question n’est pas de savoir si je veux ou ne veux pas revenir. Je ne peux pas ne pas revenir. Je n’ai pas le choix". Le ‘champion de la droite’ attendrait-il ainsi que l’orage des élections municipales et européennes passe pour faire son grand retour et s’imposer ainsi comme ‘le sauveur de l’UMP’ ?

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