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Jours tranquilles à Paris
14 décembre 2015

MAM : exposition Andy Warhol - Vu samedi 12 décembre

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12 décembre 2015

LE PALAIS DE TOKYO ACCUEILLE "ARTISTES À LA UNE" PAR LIBÉRATION - Vu aujourd'hui

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Le Palais de Tokyo accueille l’événement Artistes à la une proposé par Libération et ses partenaires. Une présentation des plus célèbres unes du quotidien revisitées par une quarantaine d’artistes.

Les premières pages les plus emblématiques de Libération sont repensées, réinventées, réactualisées par les créateurs et un pont se crée entre l’art et l’actualité, entre l’artiste et le journaliste. Un engagement de la communauté artistique pour la liberté d’expression et d’information. A cette occasion, Libération publie dans son édition du 12 décembre un cahier spécial d’entretiens avec les artistes qui ont participé au projet et organise une table ronde qui les réunira avec des journalistes pour échanger sur ce thème. Les œuvres seront ensuite vendues aux enchères le 27 janvier 2016 par la maison ArtCurial.

Artistes à la une est un événement Libération organisé en partenariat avec David-Hervé Boutin et Nicolas Couturieux au profit de Reporters sans frontières.

Artistes :

Jean-Michel Alberola, André, Ivan Argote, Mrdjan Bajic, Mohamed Ben Slama, Guillaume Bresson, C215, Thomas Canto, Jean-Charles de Castelbajac, Robert Combas, Faz, Anne Gérard, Laurent Grasso, Gris1, Joana Hadjithomas & Khalil Joreige, Riikka Hyvönen, Invader, Peter Klasen, Guy Limone, Teddy Lo, Case Maclaim, Tania Mouraud, Gianni Motti, Jean-Michel Othoniel, Françoise Petrovitch, Richard Phillips, Ernest Pignon Ernest, Henrik Plenge Jakobsen, Ivan Plush, Ghass, Xiofan Ru, Seth, Tilt, Nils-Udo, Bernar Venet, Fabien Vershaere, Jacques Villéglé et Zevs.

Retrouvez toutes les informations sur cet événement : http://www.liberation.fr/artistesalaune,100569

10 décembre 2015

LE PALAIS DE TOKYO ACCUEILLE ARTISTES À LA UNE PAR LIBÉRATION

LE PALAIS DE TOKYO ACCUEILLE ARTISTES À LA UNE PAR LIBÉRATION

Date:  12/12/2015 - 13/12/2015

Tag:  Events

Les 12 et 13 décembre, le Palais de Tokyo accueille l’événement Artistes à la une proposé par Libération et ses partenaires. Une présentation des plus célèbres unes du quotidien revisitées par une quarantaine d’artistes.

Les premières pages les plus emblématiques de Libération sont repensées, réinventées, réactualisées par les créateurs et un pont se crée entre l’art et l’actualité, entre l’artiste et le journaliste. Un engagement de la communauté artistique pour la liberté d’expression et d’information. A cette occasion, Libération publie dans son édition du 12 décembre un cahier spécial d’entretiens avec les artistes qui ont participé au projet et organise une table ronde qui les réunira avec des journalistes pour échanger sur ce thème. Les œuvres seront ensuite vendues aux enchères le 27 janvier 2016 par la maison ArtCurial.

Artistes à la une est un événement Libération organisé en partenariat avec David-Hervé Boutin et Nicolas Couturieux au profit de Reporters sans frontières.

Artistes :

Jean-Michel Alberola, André, Ivan Argote, Mrdjan Bajic, Mohamed Ben Slama, Guillaume Bresson, C215, Thomas Canto, Jean-Charles de Castelbajac, Robert Combas, Faz, Anne Gérard, Laurent Grasso, Gris1, Joana Hadjithomas & Khalil Joreige, Riikka Hyvönen, Invader, Peter Klasen, Guy Limone, Teddy Lo, Case Maclaim, Tania Mouraud, Gianni Motti, Jean-Michel Othoniel, Françoise Petrovitch, Richard Phillips, Ernest Pignon Ernest, Henrik Plenge Jakobsen, Ivan Plush, Ghass, Xiofan Ru, Seth, Tilt, Nils-Udo, Bernar Venet, Fabien Vershaere, Jacques Villéglé et Zevs.

Retrouvez toutes les informations sur cet événement : www.liberation.fr/artistesalaune

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9 décembre 2015

Exposition ROY STUART

7 décembre 2015

LOUIS VUITTON : La marque présente à Paris une exposition qui replace l’épopée familiale dans la grande Histoire.

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Quand l’une des plus grandes signatures du luxe contemporain s’ouvre les portes du Grand Palais (à quelques salles de Picasso), le temps d’une exposition qui emprunte son titre à une publicité de 1965 (« Volez, voguez, voyagez »), on peut s’attendre à une savante mise en scène « corporate ». Le résultat est plus subtil que cela.

Olivier Saillard, directeur du Palais Galliera, est le commissaire de cette exposition pour laquelle il a choisi de s’intéresser au patrimoine créatif et à l’aspect humain. « J’aimais l’idée de faire ressortir les racines aristocratiques de l’Histoire, explique-t-il. Je pense que derrière les marques, il y a toujours des hommes. Il y avait aussi une forme de défi à aligner les malles à l’échelle du Grand Palais, cela peut devenir ennuyeux, surtout que quand on les ouvre, elles sont vides. J’ai donc proposé qu’on cherche dans les réserves de Galliera des objets de la même époque pour les remplir et retrouver un peu de vie quotidienne. » Dans ce parcours thématique se mêlent les archives de la maison Louis Vuitton, celles de Galliera, des œuvres artistiques diverses (un tableau de Gustave Courbet, des photos de Lartigue…) et quelques pièces récentes de la griffe. Le tout cohabite dans un décor décomposé en plusieurs scènes d’aventure (un wagon de train très Agatha Christie, une salle « aviation » envahie par les nuages et les maquettes d’aéronefs…) et signé du metteur en scène canadien Robert Carsen, qui a délaissé pour l’occasion l’opéra et le théâtre pour donner vie à un monde imaginaire.

Inventeurs fou

On y croise des personnages singuliers et parfaitement cinématographiques. Les premiers rôles sont tenus par les hommes de la famille Vuitton. Le jeune Louis d’abord parti à pied à 13 ans de son Jura natal pour rejoindre Paris et entamer une carrière de layetier (les techniciens qui emballaient les objets précieux ou fragiles) avant d’inaugurer la saga du malletier en 1854. Son fils Georges, industrieux et discret, est quant à lui l’inventeur de la toile Monogram, un outil anti-contrefaçon autant qu’un hommage à son père.

Au début du XXe siècle, les petits-fils incarnent la veine « inventeurs fous » d’une génération qui explore le monde et les limites des technologies naissantes avec une curiosité d’enfant. Les jumeaux Pierre et Jean multiplient ainsi les maquettes et les prototypes de monoplan et d’hélicoptère. Leur disparition prématurée (l’un pendant la guerre, l’autre de maladie) laisse la place au personnage le plus excentrique de la famille : Gaston. Collectionneur assidu d’étiquettes de voyage et de malles du monde entier (pour lesquelles il envoyait au vendeur potentiel des fiches de renseignements très précises), Gaston est aussi un dessinateur de grand talent qui multiplie les variations sur les motifs Art déco et invente de nouveaux logos pour la maison. Amateur d’arts décoratifs au sens large, on lui doit certains des parfums de la maison oubliés injustement, comme Heure d’absence, un flacon à l’épure ultramoderne rangé dans une boîte en forme de borne kilométrique. A ses heures perdues, il collaborait lui-même au design de nombreux flacons de parfum destinés aux nécessaires de voyage.

Tonalité intimiste

Bibliophile, il est également associé à une autre activité réhabilitée avec un plaisir visible par le commissaire d’exposition, à savoir les objets liés à l’écriture issus d’un monde prédigital : écritoires de voyages, malles bibliothèques et autres malle à télégramme. « Gaston Vuitton avait aussi fondé une maison d’édition, poursuit Olivier Saillard, qui s’appelait Les Exemplaires. Il a édité notamment L’Or, de Blaise Cendrars et La Naissance du jour, de Colette ; il dessinait lui-même ses ex-libris. Très romanesque, il collectionnait les articles de presse sur les malles sanglantes (un fait divers autrefois populaire dans lequel des cadavres découpés étaient cachés dans des malles). Il existe une émission des débuts de la télévision où il est filmé chez lui et lance un appel aux téléspectateurs pour retrouver une malle sanglante de 1901 qui manque à sa collection. Il mériterait sans doute sa propre exposition. »

Ces histoires finissent par donner une tonalité intimiste à l’exposition d’autant qu’on y croise d’autres personnages, connus ou inconnus, dont la vie affleure au détour d’un tiroir. Qui était ce monsieur William Twombley, propriétaire d’une malle à chapeaux de 1895, un aristocrate anglais ? Un businessman américain ? Même Wikipédia ignore la réponse. On a oublié aussi la cantatrice Marthe Chenal, dont on sait seulement qu’elle menait grand train, si l’on en croit ses commandes parmi lesquelles le très beau nécessaire de beauté aujourd’hui dans les archives. Liz Taylor, elle, est dans toutes les mémoires… Aux côtés de sa robe Robert Piguet – taille extrafine –, ses valises Monogram sont familières et aiguisent l’imagination : laquelle transportait ses fabuleux bijoux ? Plus loin, les « fiches clients » de Christian Dior, Yves Saint Laurent, Elsa Schiaparelli évoquent un âge d’or de la haute couture et une connivence de goûts entre ses acteurs célèbres.

Toutes ces trajectoires personnelles se croisent ici sur une trame historique plus large mêlée de culture et de progrès social et technique. « L’exposition accompagne aussi l’évolution des moyens de locomotion et, en cela, elle est liée à l’histoire du XIXe et du XXe siècle. » Les croisières, l’aviation, les trains de luxe, mais aussi l’automobile révèlent des arts de vivre aujourd’hui oubliés. En l’absence de coffre, il fut un temps où les voitures avaient des malles plates, souvent porteuses du numéro d’immatriculation. Sans pare-brise, le manteau et le chapeau-casque étaient obligatoires – même si tous n’ont pas la grâce des bonnets de laine signés Sonia Delaunay présentés ici. Quant au chauffeur, prié de conduire les mains propres, il transportait son lavabo dans sa malle ronde. À travers tous ces détails, la superproduction Louis Vuitton a le charme d’un film d’auteur intimiste. La maison recouvre, sans sortir l’artillerie d’un marketing pompier, son aura patrimoniale, éclipsée au XXIe siècle par sa croissance globale et sa fièvre du sac griffé. Article de Carine Bizet 

Volez, voguez, voyagez, jusqu’au 21 février 2016, au Grand Palais à Paris, côté square Jean Perrin, entrée gratuite, grandpalais.com

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6 décembre 2015

ERNEST PIGNON-ERNEST : "SI JE REVIENS" EXPOSITION PERSONNELLE du 12 décembre 2015 au 23 janvier 2016

ERNEST PIGNON-ERNEST : "SI JE REVIENS" EXPOSITION PERSONNELLE du 12 décembre 2015 au 23 janvier 2016

VERNISSAGE samedi 12 décembre 2015 entre 18h et 21h

Le vernissage sera animé par une séance de dédicace avec l'artiste de son livre Dans la lumière déchirante de la mer, Pasolini assassiné, Actes Sud, 2015

GALERIE OPENSPACE

116, boulevard Richard Lenoir, Paris 11e

C’est une exposition du pionnier de l’art urbain Ernest Pignon-Ernest qui avait inauguré le premier espace de la Galerie Openspace en septembre 2012. Un geste symbolique réconciliant ainsi toutes les générations et toutes les disciplines de ce mouvement protéiforme et complexe que les fondateurs de Graffiti Art Magazine et de la Galerie Openspace nomme l’art contemporain urbain.

Trois ans plus tard, Ernest Pignon-Ernest présente dans le nouvel espace de la Galerie Openspace du boulevard Richard Lenoir l’exposition Si je reviens, présentant ses photos, croquis et dessins sur la figure et la mort de Pasolini.

En 2015, Ernest Pignon-Ernest décide de se tourner vers le monstre de la culture italienne et européenne qu’est Pasolini, né le 5 mars 1922 à Bologne, et assassiné dans la nuit du 1er au 2 novembre 1975, sur la plage d’Ostie, près de Rome.

« Je paye un prix pour la vie que je mène. Jesuis comme quelqu’un qui va descendre aux en-fers. Mais quand je reviendrai, si je reviens, j’auraivu d’autres choses, tant d’autres choses, plus loinque l’horizon. » Pasolini, entretien donné à Furio Colombo le 1er novembre 2015, quelques heures avant son assassinat

INFOS PRATIQUES

VERNISSAGE SAMEDI 12 DÉCEMBRE À 18H00

Exposition du 12 décembre 2015 au 23 janvier 2016

GALERIE OPENSPACE

116, BD RICHARD LENOIR, PARIS 11e

Métro Oberkampf (L5, L9), Parmentier (L3), République (L3, 5, 8, 9, 11), Bus 96

Ouvert du mercredi au samedi de 14h à 19h

La Galerie Openspace est fermée pendant les fêtes entre le 24 décembre 2015 et le 6 janvier 2016

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5 décembre 2015

Exposition Patrick Demarchelier

Après Desire en 2013, A.Galerie consacre une nouvelle exposition à Patrick Demarchelier. L’occasion de (re)découvrir les tirages en noir et blanc élégants et lumineux qui ont fait la renommée du photographe français.

A.Galerie. Desire II. 4 rue Léonce-Reynaud, Paris XVIe. Jusqu'au au 30 janvier

Ci-dessous : Nude East Hamptons, 1977, ©Patrick Demarchelier/A.Galerie.

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5 décembre 2015

Exposition Roy Stuart à la Galerie Mayday Mayday Mayday

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http://www.maydaymaydaymayday.fr/fr/

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http://www.maydaymaydaymayday.fr/fr/home/267-impermeable-the-peeping-tom.html

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À chaque série, Mayday Mayday Mayday propose une pièce textile en résonance avec le thème de l’exposition. Inspirée du long imperméable iconique de l’exhibitionniste, cette pièce sobre et élégante une fois fermée, révèle une toute autre personnalité lorsque l’on joue avec sa doublure.

- Made with love

- Tissu Microtex 96% Coton, 4% Wax

- Bouton bois, embossage MMM

- Doublure 100% Coton illustrée par Samuel Eckert

- Déperlant

- 2 poches intérieure

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Reportage photographique : Jacques Snap

5 décembre 2015

Vite ! Dépêchez-vous ! Jusqu'au 8 décembre au Centre Pompidou...

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5 décembre 2015

Au Jardin des Plantes

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