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Jours tranquilles à Paris
29 janvier 2020

Calais à la Galerie de Photographies du Centre Pompidou

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Centre Pompidou

Jusqu'au 24 février 2020

Témoigner de la jungle

Bien que plusieurs fois millénaire, la migration paraît être un phénomène marqueur de notre époque. A l’heure où l’information et le capital n’ont jamais circulé aussi librement, partout où l’homme souhaite se déplacer s’érigent barrières, murs, douanes et parfois prisons. En France un lieu-symbole émerge : Calais. Depuis 2002, des milliers d’âmes solitaires et de familles souvent brisées s’y massent dans l’espoir de joindre l’Angleterre, synonyme d’une vie meilleure. De la « jungle », on connaît l’effrayant surnom et quelques grands titres. Mais comment vit-on dans ce bidonville de la République.? Qui sont vraiment ses habitants, quelles sont leurs aspirations, leurs trajectoires ? Après son démantèlement, le déluge ? Pour atteindre l’humanité au cœur de l’histoire, au-delà des enjeux politiques, trois témoignages se croisent dans l’exposition. L’artiste Bruno Serralongue, à l’origine du projet documentaire Calais (2006-2018), propose une alternative poignante aux images de presse avec des clichés se rapprochant du tableau d’Histoire. Remettre l’art au cœur du témoignage, une manière de rendre justice à une actualité souvent déshumanisée ?

In the migrant crisis, the city of Calais became sadly infamous for its “jungle”. Different photographers and former inhabitants share their experience.

CENTRE POMPIDOU

Jusqu'au 24 février 2020

Place Georges-Pompidou, 75004 Paris

HORAIRES

Ouvert

Du mercredi au lundi de 11:00 à 21:00

Nocturne

Le jeudi de 11:00 à 23:00

Fermé

Le mardi de 9:00 à 18:00

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29 janvier 2020

Black Bamboo à la Fondation EDF

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Fondation Groupe EDF

Jusqu'au 2 fév. 2020

Une installation de Nils-Udo

C’est une exposition où les oiseaux de nuit trouveront leur bonheur. D’abord parce qu’ils seront plongés dans le noir, ensuite parce qu’ils y trouveront un nid. Black Bamboo, de son vrai nom, est une expérience inédite où la nature vous convie dans les murs de la Fondation EDF. Cette initiative nous vient de l’artiste NILS-UDO. Ce leader du mouvement Art in Nature s’impose depuis 40 ans, comme le spécialiste des expériences immersives où dialoguent art et nature.

Comment s’articule ici ce dialogue ? Tous vos repères s’en retrouveront chamboulés, pour ne pas dire volontairement supprimés. Vous ne verrez ni fenêtre, ni sol, ni mur et pas même le plafond. Peut-être trouverez-vous cette pénombre angoissante à première vue. L’installation d’un immense nid en marbre blanc et en tiges de bambou devrait toutefois vous réconforter. D’autant plus que cette couvée éclairera à elle-seule l’espace.

C’est comme si la nature venait à votre secours et vous tendait les bras. Une fois la sérénité revenue, un message urgent vient toutefois vous saisir. Si cet environnement a pris soin de nous, nous devons le lui rendre. C’est là tout l’enjeu de cette exposition : nous rappeler de manière concrète et paradoxalement poétique combien nous devons protéger ce nid menacé qui nous berce chaque jour. Notre planète.

Black Bamboo is more than an exhibition. It is about re-breathing inside and outside thanks to a big nest. Then you will fancy to give this donation back to earth !

Fondation Groupe EDF

6 rue Récamier, 75007 -M° Sèvres-Babylone (12)

Du mar. dim.  12h-19h - Entrée libre

29 janvier 2020

helmutnewtonfoundation HELMUT NEWTON WORKS

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January 30, 2020 to May 3, 2020

Opening on January 29th at the GAM - Civic Gallery of Modern and Contemporary Art of

Turin.

Curated by Matthias Harder director of Helmut Newton Foundation, Berlin, who has selected 68 photographs designed to provide a comprehensive overview of the long career of this great photographer whose truly unique visual concepts have, from the very beginning, never ceased to amaze and make a sensation. The result is an exceptionally characteristic and accomplished body of work that has reached a public of millions through magazines and books.

"Spanning more than five decades, the work of Helmut Newton defies categorization. Newton transcended genres, bringing elegance, style, and voyeurism to fashion, beauty, and glamour photography for an oeuvre that remains as inimitable as it is unrivaled", stated Matthias Harder.

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helmutnewtonfoundation HELMUT NEWTON

30 janvier 2020 au 3 mai 2020

Ouverture le 29 janvier au GAM - Civic Gallery of Modern and Contemporary Art of

Turin.

Organisé par Matthias directeur de la Fondation Helmut Newton, Berlin, qui a sélectionné 68 photographies conçues pour fournir un aperçu complet de la longue carrière de ce grand photographe dont les concepts visuels vraiment uniques ont, dès le début, n'a jamais cessé d'étonner et de faire sensation. Le résultat est un travail exceptionnellement caractéristique et accompli qui a atteint un public de millions de personnes à travers des magazines et des livres.

« S'étendant sur plus de cinq décennies, le travail d'Helmut Newton défie la catégorisation. Newton a transcendé les genres, apportant élégance, style et voyeurisme à la mode, la beauté et la photographie glamour pour une œuvre qui reste aussi inimitable qu'inégalée », a déclaré Matthias.

29 janvier 2020

On the Water’s Edge - Actuellement à la Galerie Templon

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L’exposition « On the Water’s Edge » à la galerie parisienne Templon présente la dernière série photographique de James Casebere. A travers des images de maquettes architecturales entourées d’eau, l’artiste américain illustre les défis liés au changement climatique.

L’exposition « On the Water’s Edge » à la galerie Templon, à Paris, dévoile une série de photographies inédite de James Casebere. L’artiste américain y confirme son statut de maître de la « staged photography », la photographie de mise en scène, genre à l’avant-garde duquel il s’est hissé il y a vingt-cinq ans aux côtés d’autres photographes célèbres comme Jeff Wall et Gregory Crewdson.

James Casebere, maître de la photographie de mise en scène

La photographie de James Casebere, nourrie par ses références architecturales et cinématographiques, se double d’une pratique de plasticien puisque, depuis les années 1980, l’artiste réalise essentiellement des photographies de modèles réduits d’architecture, reconstitutions imaginaires et standardisées d’édifices familiers, qu’il construit lui-même à partir de carton, de plâtre et de polystyrène. Chacune de ses photographies résulte ainsi d’un minutieux travail d’atelier, qui commence par la création de ces maquettes et se termine par un rigoureux processus de mise en lumière, en couleur et en image.

James Casebere s’intéresse au changement climatique

Avec sa nouvelle série On the Water’s Edge, James Casebere se penche sur la question très actuelle du changement climatique et des catastrophes écologiques qui s’annoncent. On y découvre des structures hybrides qui conjuguent espaces publics et privés et évoquent des bâtiments côtiers tels que des maisons de plage et des cabanes de maître-nageur.

« On the Water’s Edge » : l’architecture face aux défis de la nature

Ces structures fonctionnelles, pavillons et solides demeures implantés dans des paysages inondés offrent une saisissante image de la dichotomie humaine : l’homme est aussi vulnérable face à la nature que doué pour en affronter les défis. Ces nouvelles photographies de James Casebere se rattachent ainsi à la question du changement climatique qui constitue un enjeu majeur dans le domaine architectural.

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https://www.templon.com/new/current.php?la=fr

29 janvier 2020

Alain Cassaigne à la Concorde Art Gallery

Photographe

Alain Cassaigne est photographe professionnel free-lance depuis une quinzaine d’années. Il a collaboré avec plusieurs revues et de nombreux éditeurs en s’investissant également pour des thématiques d’auteurs sur le long terme dans le cadre de ses propres ouvrages. Il a, à son actif, de nombreuses expositions noir et blanc et couleur, dans différentes thématiques. Attaché aux rencontres et à l’errance, recherchant constamment cet attachement à la sensibilité humaine, à l’écriture de la lumière, il fonctionne par coups de coeur, voir de défis, pour vivre l’intime interprétation de ses émotions et de son vécu. Voulant toujours travailler hors des conventions et des cadres classiques, il aime prendre des risques et aller au bout, voir au delà, de ses perceptions et de ses choix.

Dans cette expo, Alain Cassaigne a su retranscrire ses propres choix thématiques et son travail présenté aujourd’hui, est salué unanimement comme un travail inspiré, à la fois intime et impressionnant d’engagement. Cette exposition étonnante est inclassable. Artistique, émotionnelle, hors des conventions, elle capte, elle intrigue, elle interroge, elle séduit, elle surprend, elle choque parfois… Au carrefour de la sensualité et de la performance, elle apporte une vision propre de l’auteur qui s’exprime en liberté totale avec de nombreuses références artistiques. La peinture est ici, un outil violent qui amène au spectaculaire… et pourtant si la nourriture de l’esprit est bouillonnante, le geste esthétique, lui, reste subtil et presque évanescent. Alain Cassaigne qui à longtemps travaillé avec son ex-épouse (en co-signature) continu un travail de photographe d’auteur et poursuit son approche iconographique de la sculpture humaine sous un angle très personnel. Il partage sa vie entre le Berry et Paris.

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29 janvier 2020

Veni vidi vinci - Fluctuart

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Jusqu'au 19 avril 2020

L'art urbain face au génie

De Florence à Milan, du Château d’Ambroise au Louvre jusqu’au Palais de Buckingham et partout en Europe, les hommages à Léonard de Vinci se succèdent en cette année qui célèbre les 500 ans de sa disparition. Mais ici, point de cérémonie en grandes pompes, la commémoration est confiée aux street-artistes les plus renommés de la scène internationale, parmi lesquels Lek & Sowat, Madame, Speedy Graphito ou Zevs. Ces 20 artistes rendent hommage au maître en détournant ses œuvres à coups de bombes, pochoirs, collages… Un cadre inédit de près de 1000 m² d’espace d’exposition, se déployant sur trois étages, dans une galerie d'un nouveau genre qui n’est autre que le premier centre d’art urbain – flottant – en France. Cette exposition propose de montrer la variété des hommages rendus à cette icône de la Renaissance à travers un corpus allant de ses chefs-d’œuvre universellement reconnus – La Joconde ou L’Homme de Vitruve – à un panorama plus élargi, allant de son Autoportrait, reproduit par Andrea Ravo Mattoni, jusqu’à sa célèbre Cène détournée par Okuda. Entre appropriation et confrontation, nos artistes réinterprètent le sourire de Mona Lisa, réinventent l’art de la fresque, jusqu’à nous présenter Léonard de Vinci comme l’un des précurseurs du street-art… A la nuit tombée, Fluctuart présentera une installation monumentale cinématographique unique, nous plongeant dans une déambulation psychédélique et lumineuse sur les berges de la Seine, en immersion au cœur d’une œuvre d’art urbain lumineuse et monumentale.

The year 2019 marks the 500-year anniversary of the death of Leonardo da Vinci in France. The exhibition pays tribute to this icon through exclusive works by internationaly famous artists.

FLUCTUART

Jusqu'au 19 avril 2020

2, port du Gros Caillou, 75007 Paris

HORAIRES

Ouvert

Du mercredi au dimanche de 12:00 à 0:00

TARIFS

Billets expositions temporaires

Entrée libre : gratuit

Billets collections permanentes

Entrée libre : gratuit

29 janvier 2020

Exposition à la Fab - save the date

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La hardiesse

Dans la collection d’art contemporain d’agnès b.

2 février → 30 avril 2020

“À la Fab, lieu qu’elle inaugure en février 2020, agnès b. met en scène sa collection d’art contemporain dans un espace aux activités multiples qui reflètent la pluralité des influences, des amitiés et des admirations de cette créatrice qui a accompagné, soutenu et défendu nombre d’artistes majeurs de ces dernières années. De cette énergie et implication indéniables, on attend avec impatience la retranscription dans une scènographie qui honore la promesse du titre, cette hardiesse à l’œuvre dans nombre des pièces de sa belle collection.”

Le point de vue de Guillaume Benoit avant l’ouverture de l’exposition

Au fil des années, agnès b. a constitué une importante collection d’art contemporain qui compte aujourd’hui près de 5000 pièces. C’est au gré d’affinités, de rencontres avec des cultures et des réseaux très divers, en fonction d’ « histoires naturelles », qu’elle a réuni un ensemble unique en son genre, présenté ici sous le thème la hardiesse.

La collection d’agnès b. constitue un corpus multiforme en constante évolution, comprenant photographies, dessins, peintures, sculptures, installations, son, vidéo et films. Rare et atypique, la collection est indissociable d’une dynamique de production et de diffusion artistique, participant d’un engagement qui va au-delà de la position de simple collectionneuse privée. En effet, agnès est aussi mécène et producteur, en permanente interaction avec la scène artistique internationale, autant dans le domaine des arts visuels — à partir de la galerie du jour notamment — que du cinéma, de la musique, du spectacle vivant ou de l’édition avec entre autres le point d’ironie.

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27 janvier 2020

Philippe Bousseau à la Concorde Art Gallery

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Portrait Philippe Bousseau

Photographe.

Né en 1956, je vis actuellement à Montrouge. Photographe autodidacte, je me considère plus comme un créateur d’image. Ne possédant pas de formation photographique j’ai du découvrir par moi-même les techniques de l’image. Je suis venu tardivement à la photographie (environ 10 ans) mes premiers amours allant à la musique. La photographie est une forme d’écriture, qui reste pour moi le moyen d’expression le mieux adapté pour créer des univers qui font référence à la peinture, au fantastique et à la Femme. Je travaille en numérique principalement. Mon matériel est composé d’un Canon 5D, un 24-70mm et un 100mm. Les séances photos sont réalisées dans mon appartement avec des modèles que je rencontre sur internet par l’intermédiaire de mon site. J’utilise deux flashs de studio Multiblitz et divers accessoires. Je travaille ensuite les photos (format RAW) sur Adobe lightroom et ensuite Photoshop CS4. Je passe beaucoup de temps sur le post traitement pour finaliser les photos. Les séances et le travail de post traitement sont principalement réalisés sur les musiques de Dead Can Dance, Craig Armstrong, Hans Zimmer, Lisa Gerrard. J’ai fait plusieurs expositions depuis 2008 (Saint Etienne, Montrouge, Issou, Rosny sur seine et Souillac) J’ai réalisé un livre « Profanes » aux editions Ragages (épuisé à ce jour) et quelques publications dans des revues photographiques. Cette exposition est la première sur Paris.

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26 janvier 2020

Exposition/Happenings... save the date

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25 janvier 2020

L'exposition à voir à Paris : Bob Dylan et Marilyn Monroe

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D’un côté, la dernière séance photo de Marilyn, réalisée par Bert Stern pour Vogue. De l’autre, les portraits de Bob Dylan signés Jerry Schatzberg. Deux icônes des sixties qui ont contribué à transformer leur époque, à qui la galerie Dina Vierny rend hommage dans une exposition.

Bob et Marilyn

En 1962, le photographe américain Bert Stern réalise un de ses rêves : photographier Marilyn Monroe. Il passe deux jours et une nuit en compagnie de l’actrice, un éditorial commandé par Vogue dont il ignore alors qu’il sera la dernière séance photo de Marilyn, dont la mort est annoncée la veille de la parution du magazine. Une dernière séance restée gravée dans les mémoires. Trois ans plus tard, le photographe américain Jerry Schatzberg rencontre Bob Dylan. Autre icône, autre histoire, le chanteur sort tout juste l’album Highway 61 Revisited et s’impose comme la nouvelle voix d’une folk peu conventionnelle. Réservé, le musicien accorde pourtant sa confiance à Schatzberg, qui jusqu’en 1967 l’accompagne en studio, sur scène et dans son intimité. De cette collaboration naîtront certains des clichés les plus célèbres de Bob Dylan. Pour sa nouvelle exposition, la galerie Dina Vierny confronte les photographies de Marilyn par Bert Stern à celles de Dylan par Jerry Schatzberg, regards croisés sur deux immenses icônes qui, chacun à leur manière, incarne leur époque, ses aspirations et son star system.

Bob et Marilyn, jusqu’au 31 mars 2020 à la galerie Dina Vierny, 36 rue Jacob 75006 Paris

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