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Jours tranquilles à Paris
25 mai 2014

The Parisianer - Exposition au 29 rue de Rivoli

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25 mai 2014

Exposition : Miyabi Kyodo - Musée de l'Erotisme (Paris)

Nom d'artiste: Miyabi Kyodo Année/Lieu de naissance: 1957, Sapporo Hokkaido. Diplômé de la Doshiha University, de la faculté de Lettres. Kyodo a été rédacteur en chef de revue SM, artiste de “bondage”, designer commercial, auteur de bandes dessinées, ainsi que scénariste. Kyodo produit son style actuel de « bondage érotique » depuis les années 80. En 2005, Kyodo a crée des images de bondage pour le film du réalisateur Takashi Ishi « Hana to Hebi » (Fleur et serpent), avec l’actrice Aya Sugimoto comme modèle.

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"Bondage is not a crime"

24 mai 2014

Exposition à la Galerie Daniel Templon - Pierre et Gilles (photographes) - Attention derniers jours !

23 mai 2014

Derniers jours : "Papier Glacé"

23 mai 2014

Save the date : Festival Photo de La Gacilly (du 31 mai au 30 septembre 2014)

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23 mai 2014

Save the date : D-DAY : un voyage photographique grand format dans les paysages du débarquement

Christophe Daguet photographie depuis 3 ans les historiques liés à la seconde guerre mondiale en Normandie.

Shootées au film, ces photos sont ensuite numérisées grâce à nos scanners X1 et X5. L'exposition est composée de tirages grands formats de 100*300cm et 200*600cm, véritables murs d'images panoramiques qui permettront de faire faire plonger le visiteur dans la nature normande.

Rendez-vous à Caen du 2 Juillet au 10 Septembre dans la Salle Saint-Sépulcre, classée au patrimoine des monuments historiques au pied du château de Caen et du Musée des beaux- arts.

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23 mai 2014

Vernissage : André-François Barbe, dessinateur de presse et auteur de BD - Musée de l'Erotisme (hier soir)

Dans la nomenclature de la Bibliothèque nationale de France, il est désigné comme «dessinateur et auteur humoristique et érotique ». Dessinateur de presse et auteur de BD au trait à la fois doux et franc, immédiatement reconnaissable, de même que sa signature verticale faite de son seul patronyme, André-François Barbe est mort le 9 février 2014 à Paris à l'âge de 77 ans.

Il avait collaboré à une vingtaine de journaux et magazines français et à une dizaine de publications à l'étranger. Il avait aussi illustré des livres et même s'il consacrait son humour souvent pince-sans-rire à tous les sujets d'actualité, sa persévérante tendresse pour les jeunes femmes savamment dénudées sous la pointe de son crayon ou de son fusain l'avait fait considérer comme un maître du dessin érotique. Avec les femmes, le cinéma et le noir et blanc seront ses thèmes permanents tout au long de sa carrière.

DE L'AÉRONAUTIQUE AU DESSIN

Né le 14 février 1936 à Nîmes (Gard), André-François Barbe s'était d'abord engagé dans l'armée pour devenir pilote de chasse, avant de prendre conscience que sa voie n'était pas militaire. Par la suite, il avait exercé tous les métiers de l'aéronautique avant de se consacrer entièrement au dessin. Il s'est fait connaître comme dessinateur dès les années 1960 en publiant dans les pages de Pilote, Hara-Kiri puis, au cours des décennies suivantes, Charlie Mensuel, Charlie Hebdo, L'Echo des savanes, A Suivre…

Membre des « Humoristes associés », il participe aux albums collectifs de ce groupe, édités au cours des années 1980, dont Les Sept Péchés capitaux, La Table, La Mer, Le Vin… Devenue un classique de la bande dessinée érotique, sa série Cinéma, d'abord publiée dans Charlie Mensuel puis reprise par les éditions Glénat (Cinéma 1, en 1979 et Cinéma 2, en 1982), est particulièrement remarquée.

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PLÉIADE DE TITRES

Il collabore aussi à une pléiade de titres de la presse quotidienne ou magazine, de L'Expansion à VSD, en passant par Le Magazine littéraire, La Recherche, Les Echos, L'Express… Il publie également à l'étranger, notamment aux Etats-Unis dans Esquire, en Grande-Bretagne dans Punch, ainsi qu'en Allemagne dans Pardon, Die Welt, Die Zeit…

Pour Le Monde, il livre de 1988 à 2008 environ 250 dessins, surtout sur l'actualité de l'éducation, publiés dans les suppléments « Campus ». Tout en travaillant pour la presse, il s'attache à une œuvre plus personnelle et réalise plusieurs recueils de dessins d'humour comme Terre à terre (Editions Selio, 1971).

Il se livre enfin à l'illustration de textes classiques comme Don Juan – texte intégral de l'opéra de Mozart Don Giovanni (La Découverte, 1991) – ou Le Cantique des cantiques (La Musardine, 2000). Dans un autre genre, il publie en 1996 Confesse, aux éditions Glénat : 26 lettres de l'alphabet, 26 positions amoureuses. Il a également illustré le livre de Cavanna, Je t'aime (Editions Hors collection, 1997). Article de Luc Cédelle

21 mai 2014

Concorde Art Gallery (exposition - actuellement)

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21 mai 2014

GOTLIB au Musée d'Art et d'Histoire du Judaïsme

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BD - Idole de plusieurs générations de lecteurs, celui qui se présente comme «un dinosaure de la bande dessinée» voit son œuvre présentée au Musée d'art et d'histoire du Judaïsme, à Paris…

Marcel Mordekhaï Gotlieb, dit Gotlib, fêtera ses 80 ans le… 14 juillet! Mais pourquoi attendre pour offrir à ce génie des bulles le feu d’artifice que sa carrière mérite? Adulé par ses pairs, véritable source d’inspiration pour de nombreux humoristes (Alain Chabat le tient pour «un Dieu vivant»), le créateur de Gai-Luron, Pervers Pépère, La Rubrique-à-brac et, avec René Goscinny, des Dingodossiers, demeure, près de 20 ans après avoir rangé ses pinceaux, une des figures les plus emblématiques de l’humour hexagonal. Rien de plus normal, donc, à ce que le Musée d’art et d’histoire du Judaïsme lui consacre enfin une rétrospective d’envergure.

Une carrière bien remplie

L’ensemble de la carrière de Gotlib y est présenté chronologiquement. Enfin, à l’exception notable -mais compréhensible- de ses travaux les plus crus (Rhââ lovely, Rhââ gnagna, Hamster Jovial et Pervers pépère, publiés dans l’Echo des Savanes et Fluide Glacial dans les années 1970). L’exposition s'ouvre sur ses débuts au journal Vaillant, futur Pif, où il anima la série Nanar, Jujube et Piette (et au sein de laquelle naquit, d’abord en guest, Gai-Luron), se poursuit avec son explosion –grâce aux Dingodossiers et à la Rubrique-à-brac- dans les pages du magazine Pilote, alors dirigé par Goscinny.

«Les mondes de Gotlib» s’achève autour de son travail dans les mensuels L’écho des Savanes, que le maître co-crée en 1972 avec Claire Brétecher et Mandryka, et Fluide Glacial, «magazine d'Umour et Bandessinées», qu’il lance en 1975 avec Jacques Diament. En tout, plus de 150 planches et dessins originaux sont présentés pour la première fois au public. Il sont accompagnés d’archives photographiques, écrites et audiovisuelles.

Des origines fondatrices

On ne saurait honorer une œuvre sans éclairer l’artiste qui en est responsable. De ce point de vue, le fait que l’exposition soit organisée par le Musée d’art et d’histoire du Judaïsme ne doit rien au hasard. Bien qu’athée, le Grand Prix d’Angoulême 1991 est né d’une famille d’immigrés juifs hongrois. Son père est mort à Buchenwald et Gotlib a lui-même échappé de peu, en 1943, à la déportation. Si l’auteur ne s’est quasiment jamais exprimé sur cet épisode de sa vie (excepté dans son autobiographie «J’existe, je me suis rencontré», publié par Flammarion en 1993), on réalise ici –grâce à des panneaux qui dévoilent ses origines et son enfance- combien il a aussi été fondateur. Et comme l'auto-dérision a du lui permettre d'exorciser ses démons.

Une démarche personnelle

Gai-LuronC’est d’ailleurs «Gotlib lui-même qui a émis le souhait d’être exposé chez nous, précise Virginie Michel, assistante de la commisaire d’expo Anne-Hélène Hoog, après avoir contribué à l’exposition «De Superman au Chat du rabbin» (2007) où il présentait un récit dans lequel il racontait ses traumatisants souvenirs de jeunesse pendant la guerre». Mais quel qu’en soit le contexte, cette rétrospective rend avant tout hommage à une des personnalités les plus unanimement marquantes de la BD mondiale. Et elle a le bon goût de le faire de son vivant !

«Les mondes de Gotlib», du 12 mars au 27 juillet 2014 au Musée d'art et d'histoire du Judaïsme - Hôtel de Saint-Aignan - 71, rue du Temple - 75003 Paris

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19 mai 2014

Carte blanche à Pierre & Gilles avec Zahia à la Galerie des Gobelins

Carte blanche à Pierre et Gilles

Galerie des Gobelins, salon carré

Jusqu'au 27 juillet 2014

Cette nouvelle Carte blanche propose à Pierre et Gilles de dialoguer avec le monde décoratif du XVIIIe siècle, magnifiquement représenté dans l'exposition Les Gobelins au siècle des Lumières. Un âge d'or de la Manufacture royale.

Dans le Salon Carré, au premier étage de la Galerie des Gobelins, ce couple artistique passionné de motifs iconiques apporte un souffle inimitable qui mêle, comme à son habitude, esprit baroque et scènes oniriques. Leur art photographique rehaussé de peinture se déploie dans un cadre théâtral complexe en parfaite harmonie avec la puissance du siècle des Lumières. Pour cette Carte blanche centrée sur le XVIIIe, Pierre et Gilles présentent une installation qui servira d’enveloppe richement parée à un portrait de Zahia Dehar, réalisé pour cette occasion : «Nous avions déjà travaillé avec Zahia Dehar qui a incarné notre Nouvelle Eve. Elle s’est naturellement imposée à nous, telle une Diane ou une Marie-Antoinette contemporaine. Nous percevons en effet sa grâce et sa légèreté parée d’innocence, et cette apparente fragilité qui cache une grande volonté. Cette personnalité singulière nourrit admirablement l’imaginaire». Pour le portrait, la robe de Zahia Dehar est réalisée par des petites mains de ses ateliers de couture.

Recréant un univers décoratif que le Mobilier national met à leur disposition, Pierre et Gilles ont choisi un ensemble mobilier du XVIIIe siècle provenant de la Chaumière des coquillages du château de Rambouillet. Les éléments aquatiques des chaises, canapés et écran de cheminée en hêtre et noyer moulurés, façonnés par le menuisier François II Foliot (1774-1792), « maître-menuisier du Garde-Meuble du Roi » (ancêtre du Mobilier national), évoquent un monde végétal et de coquillages d'une très grande finesse d'éxécution. Les tissus de la manufacture Tassinari et Chatel, qui recouvrent ces sièges, donneront une belle tonalité bleu-grise à l'ensemble. Les dorures des bras de lumière, des cadres de miroirs et des chenêts viennent illuminer cette pièce intime.

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