Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Jours tranquilles à Paris
3 mai 2014

"Il était une fois l'Orient Express" jusqu'au 31 août 2014 à l'Institut du Monde Arabe (IMA)

Publicité
2 mai 2014

Save the date : prochainement à la Concorde Art Gallery

vernissage concorde

1 mai 2014

VANNES : La 10e édition du Festival Photo de Mer se tient à Vannes jusqu'au 4 mai. (derniers jours)

DSC_7320

DSC_7321

DSC_7322

DSC_7324

DSC_7325

DSC_7326

30 avril 2014

Le musée Louis de Funès ouvre au Cellier

Les premiers visiteurs sont attendus ce 30 avril, à 14 h. Le « Musée de Louis » s’installe chez lui. Chez de Funès. Plus précisément, dans l’Orangerie du château de Clermont, où vivait l’acteur, entre deux tournages. Une belle demeure qui domine la Loire, entre Ancenis et Nantes, près du Cellier. Louis de Funès repose depuis 30 ans dans le cimetière de ce bourg de Loire-Atlantique. En 2012, alors qu’aucun lieu dédié à sa mémoire n’existe dans la commune, Roselyne et Charles Duringer, arrivés depuis peu, décident de réparer l’oubli« avec le souvenir qu’il a laissé en tant qu’homme ordinaire dans le village. » L’association du musée de Louis est créée début 2013. La mairie met à disposition un local, dans le bourg, où sont réunis affiches, photos et objets. Un premier musée ouvre en juillet 2013 et fait rapidement le buzz sur les réseaux sociaux. «En décembre, 5 000 visites totalisées, le musée est devenu trop étroit pour contenir les souvenirs liés à Louis de Funès qui s’accumulent et accueillir les gens», note Charles Duringer. L’opportunité de s’installer dans l’Orangerie du château de Clermont se présente alors. Une souscription finance en partie les travaux, dans cette dépendance de 170 m2 . Plusieurs pièces permettent d’exposer affiches et objets rappelant la carrière de l’acteur, comme un César ou le chapeau de Rabbi Jacob. Ses fils, Olivier et Patrick de Funès, soutiennent à fond l’initiative et confient des objets personnels, le piano du château, des lettres. Hier, à la veille de l’ouverture, Roselyne et Charles réglaient les derniers détails. «Le musée est devenu réalité dans la propriété où il a aimé vivre. On s’attend à beaucoup de monde. » article de Roberte JOURDON.

Musée de Louis, Le Cellier (museedelouis.org ), 14 h-19 h, 7 et 5 € (gratuit pour les moins de 5 ans), 02 51 85 36 26 ou 02 40 83 07 44.

Voir mes billets des 15/03/2014, 08/03/2014 et 03/07/2013. Pour y accéder voir l'histotique en cliquant sur le lien suivant : http://jourstranquilles.canalblog.com/archives/index.html

29 avril 2014

Save the date : exposition...

eric daumont

Publicité
29 avril 2014

VANNES : La 10e édition du Festival Photo de Mer se tient à Vannes jusqu'au 4 mai. (derniers jours)

DSC_7308

DSC_7307

DSC_7309

DSC_7310

DSC_7311

29 avril 2014

Richard Hamilton, pionnier du Pop Art, à la Tate Modern

De l'artiste britannique Richard Hamilton (1922-2011), une œuvre, une seule, toujours la même, est citée dans les livres d'histoire. Ce collage de 1956 a pour titre Just What Is It That Makes Today's Homes So Different, So Appealing ? (« Au fait, qu'est-ce qui rend les foyers d'aujourd'hui si différents, si attirants ? »)

Quoique de petit format, il accumule les signes de ce qui est alors moderne, télévision et magnétophone, cinéma et salon de beauté. Un athlète bodybuildé en slip blanc fait le beau devant une dame nue qui admire ses seins pendant qu'une autre passe l'aspirateur. L'éphèbe a sous le bras une sucette dont l'emballage porte le mot « pop » en capitales.

UNE DES PLUS COMPLÈTES IMAGES DU POP ART

Aussi tient-on ce collage pour l'une des plus précoces et l'une des plus complètes images du pop art. Hamilton a été l'un de ses promoteurs à Londres, en même temps que Peter Blake et avant David Hockney, en dépit de leur actuelle différence de notoriété.

La rétrospective qui se tient à la Tate Modern un peu plus de deux ans après sa mort devrait rétablir quelque peu l'équilibre. Elle montre combien Hamilton est ironique, irrespectueux, sacrilège – des qualités qu'Hockney a perdues au fil du temps. Elle rappelle aussi que cet artiste n'a pas hésité à se faire historien d'art et à mettre ses moyens au service d'un autre.

C'est à Hamilton que la Tate, qui s'appelait alors Tate Gallery, dut d'être le premier musée européen à consacrer une rétrospective à Marcel Duchamp, en 1966. A Paris, ce ne fut que onze ans plus tard, après la mort de Duchamp.

Pour l'occasion, Hamilton, d'abord son correspondant et son traducteur, réalise une copie grandeur nature du Grand Verre, qui ne peut être déplacé depuis le musée de Philadelphie en raison de sa fragilité. Jusque dans les années 1990, bien des œuvres d'Hamilton rendent implicitement ou explicitement hommage à celui dont il a découvert l'existence en 1948, en un temps où Duchamp n'est guère connu que de sa famille et de ses amis.

« UNE MAIN SENSIBLE », UN « GOÛT INTENSÉMENT PERSONNEL »

Pourquoi en est-il si fortement frappé ? Parce qu'il voit aussitôt en lui « une main sensible », un « goût intensément personnel », « un esprit qui comprend à fond notre temps et l'exprime en formes plastiques subtiles ». On croirait un autoportrait, si ce n'est qu'Hamilton était trop adepte du doute et de l'autodérision pour se flatter de la sorte.

Il n'empêche, les ressemblances sont nettes. Il a lui aussi la passion du dessin d'ingénieur impeccable et des machines impossibles. Il comprend lui aussi profondément son temps et la société occidentale contemporaine. En 1956, le célèbre collage figure dans une exposition nommée « This Is Tomorrow ». Hamilton et deux architectes y élèvent la « Fun House » : lignes courbes, confort caressant, films hollywoodiens, un juxe-box, un parfum de fraise et un micro. On se croirait dans le milk-bar où Stanley Kubrick fait commencer Orange mécanique, quinze ans après.

Hamilton pressent le monde à venir. Il procède à l'inventaire de ses produits et stéréotypes dans la décennie qui suit « This Is Tomorrow » : automobiles, sous-vêtements, électroménager. Il procède par collages, dessins elliptiques rehaussés de peu de couleur, sérigraphies d'après photos, matériaux plastiques pris dans la réalité.

Ce ne sont pas tout à fait des ready-made selon Duchamp, plutôt des prélèvements d'emblèmes, mais les deux artistes ont en commun le sens de l'ellipse, l'art de ne garder que le strict nécessaire comme si le temps avait déjà érodé les formes, évidé les objets, épuisé les signes.

SÉRIES SUR MARILYN MONROE ET MICK JAGGER

Sans doute n'a-t-on pas vu qu'Hamilton était alors aussi intéressant que Jasper Johns, que le marché américain a placé au plus haut quand Hamilton ne bénéficiait pas du même phénomène d'entraînement. Ses variations sur les intérieurs, sa série sur Marilyn Monroe, celle qu'il consacre à Mick Jagger – Swingeing London – en 1967, son irrésistible multiple The Critic Laughs et la publicité télévisée qui l'accompagne appartiennent au meilleur du pop.

Il ne s'adoucit pas ensuite. Dans ce qu'il appelle sa « période scatologique », il rend à Turner des hommages inattendus, peu conformes aux usages de la Royal Academy. Ce qu'il fait de l'image de Margaret Thatcher en 1984, comme ses toiles consacrées à l'IRA, aux orangistes et à la présence militaire britannique en Irlande du Nord, n'est guère plus de nature à lui attirer les bonnes grâces des autorités.

Un peu comme celle de Sigmar Polke en Allemagne au même moment, son œuvre tient désormais de plus en plus de la chronique politique et satirique avec le Moyen-Orient, les guerres du Golfe et le terrorisme pour sujets. Et c'est fait, jusqu'à la fin, avec la même complexité visuelle, la même distance railleuse, la même élégance très calculée qu'à ses débuts – toutes qualités d'un artiste véritablement duchampien, l'un des rares réellement dignes de ce titre. Article de Philippe Dagen

Richard Hamilton. Tate Modern, Southbank, Londres. Tous les jours de 10 heures à 18 heures, vendredi et samedi jusqu'à 22 heures. Entrée : de 12,50 £ à 14,50 £ (de 15,20 € à 17,60 €). Jusqu'au 26 mai. Tate.org.uk

4407530_6_8531_ill-4407530-6f85-unnamed_612149c78930e33e3a6b849798382033

4407534_6_07ac_ill-4407534-6bf8-unnamed-1_66c4a6d043b5e2c3027243889b247439

4407536_6_5891_ill-4407536-b66c-unnamed-2_3d48c3f461e3d9fd6c80bc79690fe5b8

4407539_6_10ab_ill-4407539-5712-unnamed-3_5dcf98f1b7318b3b2c88a27133f120b4

4407542_6_fdbf_ill-4407542-9dc1-unnamed_83c1ea1f86f403574add35770882507f

4407544_6_f9b9_ill-4407544-4458-unnamed-4_04db015436a8bcc1f6c9f7bf12bd111d

4407546_6_39c2_ill-4407546-ff24-unnamed_bab4d719848d794744edf32785cc73bf

4407549_6_2ce7_ill-4407549-34d8-unnamed-5_9ef49a7fa25402e5b6c9070691d204b9

28 avril 2014

Les champs de bataille de la Première Guerre Mondiale s'exposent actuellement sur les grilles du jardin du Luxembourg

GOPR0105 (1)-MOTION

26 avril 2014

Exposition de selfies (quand on a pas une autre idée !)

j3C'est BOF !

26 avril 2014

Pierre et Gilles (photographes)

 

Pierre et Gilles exposent actuellement à la Galerie Daniel Templon

Publicité
Publicité