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Jours tranquilles à Paris
21 octobre 2019

Mugler Couturissime

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20 octobre 2019

FIAC - Jardin des Tuileries

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20 octobre 2019

FIAC Grand Palais

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20 octobre 2019

Luo Yang, photographe et icône de la contre-culture chinoise

“Girls“, les jeunes femmes chinoises sont au cœur du travail de la photographe Luo Yang. Après avoir exposé à Pékin, Hong Kong et Berlin, elle prépare sa venue à Paris.

Listée parmi les 100 femmes les plus influentes du monde par la BBC en 2018, Luo Yang est une artiste à l’avant-garde d’une contre-culture qui s’interroge sur la féminité́ dans une société́ chinoise encore largement dominée par le poids des traditions. Au travers de clichés réalisés pendant plus de 10 ans, Luo Yang livre un regard engagé, poétique et sans fard sur la place des femmes dans les sociétés modernes et nous rappelle le rôle des artistes dans la transformation des cultures. Née en 1984 dans le Liaoning, elle obtient en 2009 le prestigieux diplôme de l’Académie des Beaux-Arts de Shanghai.

Maison Dentsu, en partenariat avec Moonduckling, expose pour la première fois en France une rétrospective de l’artiste intitulée « GIRLS ». GIRLS, a pour thème principal le rôle des femmes et de la féminité dans la société chinoise. Le travail de Luo Yang s’articule sur les différents modes d’expression de l’identité féminine, du genre et de la sexualité. Cette série, entamée en 2008, lui a conféré une renommée internationale.

Cosignataire de la charte #jamaisSansElles, Maison Dentsu désire propager des modèles culturels qui promeuvent une image d’une femme affranchie de toute forme de discrimination. La Maison Dentsu, inaugurée en juin de cette année est un espace hybride de co-création d’exposition et think-tank.

Girls by Luo Yang
Exposition du Samedi 9 Novembre et Samedi 16 Novembre 2019

Maison Dentsu
176 rue de Rivoli
75001 Paris

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https://www.instagram.com/luoyangggg/

19 octobre 2019

Palais de Tokyo

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19 octobre 2019

FIAC - Place Vendôme

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Comment lancer un festival d'automne consacré à l'art moderne à Paris? Avec une citrouille géante sur l'emblématique Place Vendôme, avec un artiste légendaire bien sûr. Artiste contemporain japonais Yayoi Kusama a dévoilé sa création colossale intitulé « La vie de la citrouille déclame, Tout sur le plus grand amour pour le peuple » pour lancer le 46 e édition de la FIAC avec un message de paix et d'amour pour Paris et le monde. Un groupe d'élite d'artistes, de galeristes et d'amateurs d'art, notamment réunis au cœur de la capitale, portaient un toast à la sculpture géante de l'hôtel d'Évreux, place Vendôme. La sculpture gonflable fait partie du programme Hors Les Murs de la FIAC, une exposition de projets de plein air mettant en scène des sculptures et des installations dans toute la ville, du jardin des Tuileries à la Place de la Concorde, au musée national Eugène Delacroix et au-delà. «Ce qui m'a le plus attiré, c'est la générosité sans prétention de la citrouille. C’est cela et son solide équilibre spirituel », a déclaré l’artiste à propos du travail qui met en valeur sa signature et son concept de répétition infinie. Elle est la première femme du programme Hors les Murs de la FIAC à présenter son travail sur la place Vendôme.

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18 octobre 2019

Galerie Kamel Mennour

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18 octobre 2019

Palais de Tokyo

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Photos : J. Snap

18 octobre 2019

Futur, Ancien, Fugitif, l'exposition au Palais de Tokyo

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Le Palais de Tokyo invite les amateurs d'art contemporain à découvrir sa nouvelle exposition, intitulée Futur, Ancien, Fugitif, jusqu'au 5 janvier 2020.

Quand les artistes tentent d'échapper aux définitions de l'art... Voilà l'une des idées que tente de véhiculer le Palais de Tokyo à travers l'exposition Futur, Ancien, Fugitif qui se tient du 16 octobre 2019 au 5 janvier 2020. Une rétrospective qui met en scène pléthores d'artistes de la scène française, d'horizon et de générations différentes, mais qui partagent tous un point commun : ils sont révélateurs de l'art contemporain en France !

Au total, 44 d'artistes investissent ainsi la totalité des espaces du musée pour nous raconter leur histoire, à travers leurs oeuvres, et tentent de répondre à diverses questions posées au sein de cette exposition : qui sont ces contemporains ? Que disent-ils d’aujourd’hui, voire de demain ? Quelles sont "les généalogies qui contaminent et nourrissent leurs pensées et leurs pratiques" ? Une scène artistique française qui au final n'a pas de dénominateur commun évident, puisque tous ces artistes échappent autant qu'ils le peuvent aux définitions, aux genres ou aux catégories.

Un "territoire sans frontières" que le Palais de Tokyo s'attache à étudier, afin de rendre compte de ce "paysage riche et fragmenté". Et une exposition qui emprunte son titre au roman d'Olivier Cadiot, sorti en 1993, se présentant comme "l'énoncé de ce qui, dans la fragilité même de l'instant, doit autant aux aspirations sans cesse renouvelées d’un monde à venir qu’aux agitations encore vives du passé". On passe faire un tour au Palais de Tokyo, les amis ?

Jusqu'au 5 janvier 2020

Palais de Tokyo

13, avenue du président Wilson

75116 Paris 16

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Photos : J. Snap

18 octobre 2019

Paris: De l’hôtel Meurice au Formule 1, une expo dévoile les multiples facettes de l’hôtellerie parisienne

Jusqu’au 12 janvier, l’exposition« Hôtel Métropole » se déroule au Pavillon de l’Arsenal (4e arrondissement)

Cette exposition gratuite se déroule jusqu’au 12 janvier au Pavillon de l’Arsenal (4e arrondissement).
Depuis l’ouverture de l’hôtel Meurice en 1818, cet habitat temporaire a beaucoup évolué.
Paris est l’une des villes « les plus airbnbisés » mais la concurrence n’est pas « directe, ni si forte » pour les hôtels, juge-t-on au Pavillon de l'Arsenal.
Haut de gamme, d’affaires, de loisirs, d’accueil de gens dans la détresse… L’hôtel a différentes facettes. Figure familière de Paris, enracinée depuis toujours dans le paysage urbain, l’hôtel est en mutation perpétuelle. A partir de ce mercredi jusqu’au 12 janvier, l’exposition gratuite « Hôtel Métropole » se déroule au Pavillon de l’Arsenal (4e arrondissement) et retrace l’histoire de ces espaces construits pour « anticiper les évolutions sociétales, économiques et culturelles », note-t-on au Pavillon qui révèle à cette occasion l’histoire de cette architecture depuis sa naissance. Et ce, tout en dressant le portrait du parc hôtelier actuel.

« Nous avons essayé de retranscrire les entrées multiples de l’hôtel alors que nous sommes à quelques mois des Jeux olympiques 2024 et qu’il y a dans le Grand Paris en ce moment une très forte production hôtelière », affirme Alexandre Labasse, directeur général du Pavillon de l’Arsenal. L’institution s’est entourée pour l’occasion d’architectes, sociologues, d’historiens, de cinéastes, d’ingénieurs afin de réaliser un éclairage sur ces établissements. Alors, Paris, capitale de l’hôtellerie ?
Une place forte concurrencée ?

Le Grand Paris compte 2.053 hôtels et 121.677 chambres. « C’est un parc varié qui répond à une clientèle de 24 millions de touristes. Une moitié pour des nuitées affaires, une autre moitié pour des nuitées loisirs. Mais ce parc reste concentré dans Paris », analyse Catherine Sabbah, commissaire scientifique de l’exposition. La capitale est évidemment la première ville hotelière de France, devant Lourdes. Place forte, donc, Paris a-t-il toutefois été bousculé par l’arrivée des plateformes locatives comme Airbnb ?
Paris est l’une des villes « les plus airbnbisées », note-t-on au Pavillon, mais la concurrence n’est pas « directe, ni si forte ». « Malgré tout ce que racontent les hôteliers, si on regarde la courbe de croissance du chiffre d’affaires, les grands creux correspondent à des grandes crises économiques mondiales. Mais rien à voir avec l’arrivée des plateformes », explique Catherine Sabbah. Et de préciser : « Ça a en revanche poussé les hôteliers à se réinterroger sur leur modèle », Surtout, les fonctions d’un hôtel sont devenues multiples au fil du temps.

Des hôtels et des visages

Depuis l’ouverture de l’hôtel Meurice (1er arrondissement) dans la capitale en 1818, cet habitat temporaire et les services qui vont avec ont beaucoup évolué. « Au début, ce sont des hôtels qui s’implantent dans le centre de Paris pour donner un confort aux touristes anglais », précise Olivier Namias, commissaire de l’exposition. Puis le tourisme de masse a fait éclore un nouveau type d’établissements. En témoignent notamment les hôtels du parc DisneyLand Paris. Ou encore les hôtels fonctionnels, à l’image des Formule 1, créés en 1984. Mais l’hôtel a bien d’autres fonctions dans notre société.
« Au niveau régional, l’hôtel a une autre fonction important à souligner, c’est sa fonction sociale. Le Samu Social loge des sans-abri, des réfugiés, des personnes modestes. Chaque jour, 11.000 ménages sont logés dans 578 hôtels d’Ile-de-France qui restent en moyenne deux ans dans ces établissements. Cette activité peu considérée est pour autant considérable », précise Catherine Sabbah. Enfin, l’exposition tente d’explorer le futur.

Chambre familiale, lit-capsule, dortoir, suite XXL, toiture habitée, cour végétalisée… Plus de 150 projets répondant à tous les goûts et tous les budgets, sont en cours d’études ou de construction en Ile-de-France. La question écologique est également prise en compte. « Comment peut-on faire pour être plus vertueux vis-à-vis de l’eau, quand on sait que chaque nuitée d’hôtel c’est 300 litres d’eau ? », s’interroge Alexandre Labasse. Voilà tout l’enjeu de l’hôtel de demain.

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