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Jours tranquilles à Paris
2 octobre 2020

DÉDALE - Vannes

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1 octobre 2020

Auray Pays d’artistes organise son « Expressions VII » du 3 au 25 octobre

Auray Pays d’artistes organise son exposition annuelle « Expressions VII » du 3 au 25 octobre à la Chapelle du Saint-Esprit sur le thème : « Il se passe quelque chose ! ». Ce thème est repris par vingt artistes de l’association qui invitent le public à partager leur univers et découvrir qu’il se passe bien quelque chose…

Cet évènement dont le vernissage est prévu le 2 octobre à 18 h 30 sera ponctué d’animations musicales, théâtrales, et de danses à la chapelle du Saint-Esprit : Hélène Bass violoncelliste (composition libre en fonction des toiles exposées au choix du public) le samedi 3 octobre à 18 h 30 ; le groupe Tenn Ar Zing (jazz manouche) vendredi 9 octobre à 18 h 30 ; Maria-Maï Matrat (danse « Une éclipse de papillon ») samedi 10 octobre et dimanche 11 octobre 18 h 30 ; Les cabaniers (troupe de théâtre) vendredi 16 octobre 18 h 30 ; Loïc Goubé solo (saxophoniste, musique improvisée) samedi 17 octobre 18 h 30 ; troupe des Crazys Mélodies (chorale déjantée) vendredi 23 octobre 18 h ; animation musicale Arnaud Leclerc soliste (musique espagnole) samedi 24 octobre 18 h 30.

Le samedi 3 octobre, devant la chapelle du Saint-Esprit, pour la première fois un grand marché de petits formats réunira une trentaine d’artistes de 10 h à 18 h.

1 octobre 2020

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1 octobre 2020

Frac Bretagne à Rennes - exposition Martin Parr

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30 septembre 2020

Martin Parr - Frac Bretagne à Rennes

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28 septembre 2020

Exposition - Man Ray

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27 septembre 2020

Exposition Pompéi actuellement au Grand Palais

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26 septembre 2020

Cindy Sherman à la Fondation Vuitton : caractères et mythologies de la société américaine

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Par Philippe Dagen

Depuis 1975, Cindy Sherman documente par ses portraits professions et générations, créant un inventaire exhaustif de ses contemporains. La Fondation Louis Vuitton, à Paris, lui consacre une vaste rétrospective.

En 1688, Jean de La Bruyère publie la première édition de ses Caractères ou les Mœurs de ce siècle, portraits et maximes. Ses observations sont rangées en seize chapitres, dont « Des femmes », « Des biens de fortune », « Des grands » ou « De la mode ». C’est une encyclopédie de la société française sous le règne de Louis XIV.

Depuis 1975, Cindy Sherman compile par la photographie une encyclopédie de la société nord-américaine contemporaine. Elle est ordonnée par séries thématiques. La plupart des sujets étudiés par La Bruyère s’y retrouvent. La volonté d’exhaustivité et la netteté de l’expression sont égales. Seule différence : La Bruyère, qui vit dans une civilisation du livre, en fait un. Sherman, qui vit dans une civilisation des images, en fait des centaines.

Il y en a cent soixante-dix sur deux étages à la Fondation Louis Vuitton, à Paris. Deux partis pris caractérisent l’accrochage. Le premier est dicté par l’organisation interne de l’œuvre : il respecte l’unité des séries et les montre ensemble dans des espaces dessinés à cet effet et qui portent les titres de ces suites : « Fashion », « Society Portraits » ou « Masks ».

Selon la règle établie par l’artiste depuis ses débuts, aucune œuvre n’a de titre spécifique, mais seulement un matricule : Untitled # suivi d’un numéro. Ce protocole a deux effets. D’une part, il accentue ce que le travail a de méthodique et de neutre : l’archivage raisonné de clichés de laboratoire. D’autre part, il laisse libre l’interprétation.

Cohérence inflexible

Le second principe de l’accrochage, qui aurait pu être employé plus souvent, est de prendre des libertés avec la chronologie et d’insérer une série plus récente à proximité d’une plus ancienne de deux ou trois décennies. La cohérence inflexible de la méthode Sherman ne s’en voit que mieux, conformément à ce qu’elle en dit elle-même.

CINDY SHERMAN EST L’ACTRICE UNIQUE, LA SCÉNOGRAPHE, L’ÉCLAIRAGISTE, LA MAQUILLEUSE, L’HABILLEUSE, LA DÉCORATRICE, LA DOCUMENTALISTE ET LA PHOTOGRAPHE DE CHACUNE DES IMAGES, NE DÉLÉGUANT QUE LE TIRAGE

Entre celle qui exécute les « Untitled Film Stills », de 1977 à 1980, et celle qui réalise les « Flappers » (« garçonnes » en anglais) de 2015 à 2018, il y en a en effet peu de différences, si ce n’est le passage du noir et blanc à la couleur, de l’argentique au numérique et du tirage de petits ou moyens formats aux grandes impressions par sublimation thermique sur métal, technique qui produit des tirages parfois trop brillants.

Pour le reste, le processus demeure inchangé. Cindy Sherman est l’actrice unique, la scénographe, l’éclairagiste, la maquilleuse, l’habilleuse, la décoratrice, la documentaliste et la photographe de chacune des images, ne déléguant que le tirage. Alors que tant de ses confrères croient utile d’avoir des équipes pléthoriques, elle travaille seule. Se déguisant, se plaçant dans un décor d’objets significatifs, s’approvisionnant dans musées, albums, films, publicités et séries – de Desperate Housewives à Game of Thrones –, elle compose des faux instantanés emblématiques.

On pourrait énumérer à l’infini : la jeune fille indécise, la femme de 50 ans en surpoids, la fashion victim qui ne veut pas vieillir, la Texane électrice de Trump, la grande bourgeoise de Park Avenue ou, de l’autre sexe, une sorte de Bill Gates soupçonneux.

Ainsi passe-t-elle en revue professions et générations. Ainsi dessine-t-elle une géographie sociale des Etats-Unis, des banlieues cossues à Manhattan, et réunit-elle un inventaire des mythologies collectives américaines de la réussite et de la beauté. Il est donc logique que la série des « History Portraits » (1988-1990) se réfère aux meilleurs peintres des expressions humaines, de Fouquet à Ingres, en passant par Cranach et le Caravage. Ce sont les prédécesseurs de Sherman, selon une autre technique.

Imitations d’organes

La question sexuelle est implicite dans la quasi-totalité des images, que la séduction soit affaire de vêtements, de postures ou de regards. Elle est explicite dans les « Sex Pictures » (1992-1996), conçues avec des mannequins et des imitations d’organes en plastique. Lors de la rétrospective au MoMA de New York, en 2012, cette série était à peine mentionnée. A Paris, elle se présente dans toute sa crudité, amas de corps forcés et désarticulés, visages d’enfants balafrés : une forme de réalisme physique et psychique à peine supportable.

Les deux autres étages de la fondation font écho à l’exposition : des pièces choisies dans la collection y sont disposées. Il y en a de remarquables, ce qui ne surprend pas, d’Annette Messager, Rosemarie Trockel, Andy Warhol, Gilbert & George, Christian Boltanski et Samuel Fosso. Il y en a de médiocres, ce qui ne surprend pas, d’Albert Oehlen ou Damien Hirst.

Parmi ces œuvres se trouve un échantillon des collections de photographies d’anonymes et d’amateurs que Sherman accumule depuis les années 1970, ainsi que sa récente série de grandes tapisseries tissées d’après des selfies retravaillés sur ordinateur grâce à des applications censées parfaire les visages. Il est probable qu’elles déplairont, ce qui est normal parce que Sherman continue de viser juste et de montrer la vérité nue.

Cindy Sherman, Fondation Louis Vuitton, 8, avenue du Mahatma-Gandhi, Paris 16e. Du mercredi au lundi de 11 heures à 20 heures, 21 heures le vendredi et à partir de 10 heures le samedi et le dimanche. De 5 € à 14 €. Jusqu’au 3 janvier 2021. Fondationlouisvuitton.fr

25 septembre 2020

« La photographie sait très bien mentir »

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Propos Recueillis Par Philippe Dagen

L’Américaine Cindy Sherman, célébrée à la Fondation Louis Vuitton, parle d’influence, d’inspiration, de méthodologie et de genre

ENTRETIEN

Cet entretien a été réalisé le 25 février. La rétrospective Cindy Sherman de la Fondation Vuitton était supposée ouvrir trois semaines plus tard. On connaît la suite. Rentrée chez elle peu après la rencontre, la photographe américaine, 66 ans, est depuis demeurée confinée à New York, ce qu’elle nous a raconté ainsi : « J’ai fait avec, comme n’importe qui, cuisant mon pain, mangeant et buvant trop, sans m’habiller avant 2 heures de l’après-midi. Je n’ai rien fait du tout, mais je n’en avais pas l’intention, puisque je viens de finir un gros travail. » Son exposition débute finalement le 23 septembre.

En 2012, le MoMA de New York a présenté une rétrospective de votre œuvre qui était très complète. En quoi celle qui a lieu à Paris est-elle différente ?

Elle est encore plus grande, avec des œuvres très récentes et d’autres des tout débuts qui n’avaient pas été montrées à New York. Je suis peu intervenue sur le projet parisien. Peut-être ai-je déconseillé ou ajouté une ou deux images… Les commissaires font leur travail. Personnellement, je ne saurais pas comment faire si je devais organiser une exposition de mon propre travail.

Pourquoi ?

Pour moi, tout ce que j’ai fait va ensemble et se tient. Comme il y a eu déjà plusieurs rétrospectives, il faudrait que je me demande comment présenter quelque chose de différent. Il vaut mieux qu’un regard extérieur intervienne.

Comment raconteriez-vous vos débuts, aujourd’hui, un demi-siècle plus tard ?

Je dirais que, contrairement à ce que l’on a pu dire sur l’influence de Warhol, Duchamp a été plus important pour moi, avec son idée essentielle que tout peut devenir art. Ce qui m’intéressait dans Warhol venait de Duchamp. Et le côté portraits, Polaroid et glamour de Warhol, ça ne me concernait pas vraiment. Ou alors comme objet d’analyse, à envisager avec une distance un peu ironique ; mais pas comme direction à suivre. Par ailleurs, il apparaissait comme une sorte de dieu de l’art, de roi du pop… Je ne me considère pas du tout comme une artiste pop.

N’avez-vous alors jamais senti d’opposition, parce que vous étiez une femme dans un milieu artistique très masculin ?

C’est de toute façon plus simple d’être un homme. Est-ce que ç’aurait été plus simple si j’avais été un artiste masculin ? Peut-être, mais ç’aurait été fonction de ce que cet artiste aurait fait… Je débutais, je n’avais pas des attentes très élevées, je n’essayais pas de me pousser en avant. Je n’étais pas du genre jeune artiste agressive, mais plutôt passive. Peut-être que, dans le cas inverse, je me serais heurtée à plus de résistance.

Les refus que j’ai subis venaient de collectionneurs me disant : « J’aime bien ce que vous faites, mais je n’achète pas de photographies. » Je pense aussi que si nombre de femmes artistes ont choisi de travailler par la photographie, c’est parce que ce territoire-là, au contraire de la peinture, n’était pas sous domination masculine.

Pensez-vous que c’était une situation spécifiquement américaine, ou plus générale ?

C’était plutôt général. Je dois tout de même dire que, même si je n’y ai pas séjourné longtemps, j’ai eu le sentiment que la situation était encore plus dure en Allemagne.

Je me souviens y avoir plus fortement ressenti une forme de machisme… Quoique, à New York aussi, il y avait une sorte de patriarcat machiste. La plupart des conservateurs étaient des hommes. A l’inverse, il est vrai qu’il y avait déjà beaucoup de femmes galeristes.

Et aujourd’hui ?

La situation a changé, bien sûr, en cinquante ans. C’est moins fort. Il y a davantage de femmes artistes qui sont exposées et ont du succès. Cela étant, si vous vous placez du point de vue du marché, vous voyez que leurs œuvres obtiennent des prix moins élevés que celles de leurs confrères dans les ventes aux enchères. Il est évident qu’il y a une grande disparité.

Même pour vous ?

Oui.

Pouvez-vous expliquer la genèse d’une de vos œuvres ?

Difficilement, parce que c’est variable. Les idées peuvent venir de partout. Si je prends la série des Flappers, elle a commencé avec un livre qui présentait des photos de tournage de films muets et des portraits, en Allemagne, dans les années 1920. J’avais été frappée par les maquillages, les sourcils très fins, les rouges à lèvres et les mascaras très sombres – d’autant plus sombres en raison des pellicules en noir et blanc. Cet usage extrême du maquillage m’avait fascinée. Et c’est parti de là.

Les maquillages, je pouvais les travailler avec Photoshop, ce n’était pas un problème. J’ai trouvé un loueur de perruques qui en avait dans le style de ces films. J’ai commencé à les essayer dans mon atelier et à voir ce qui pourrait aller avec elles. J’ai fait des images rapides, je les ai mises sur l’ordinateur pour voir comment en jouer – jouer avec le miroir et jouer avec l’appareil photo. Il y a beaucoup de ce jeu. Puis, sur l’ordinateur, je regarde les résultats et je procède par ajustements successifs.

Le point de départ peut aussi se trouver dans une idée de vêtement ou être une longue histoire : ainsi la série des hommes était-elle dans un coin de ma tête depuis dix ou quinze ans, inemployée. Puis j’ai appris qu’une amie avait une ligne de vêtements masculins, que je pouvais lui emprunter. En fait, je ne sais pas toujours quel est le sujet quand je travaille. Je le découvre ensuite.

Comment réglez-vous la question des décors ?

Avec le numérique, ce n’est plus un problème. Pour le mobilier, je peux introduire des arrière-plans digitaux et composer l’image en plusieurs phases, en ajoutant et en ajustant. Avant, c’était infiniment plus compliqué. Il fallait trouver des meubles, des rideaux… Tout cela prenait beaucoup de temps. Je fixais des tissus pour faire le fond, ou pour couvrir une chaise et la déguiser… Ce n’était pas plus simple pour la lumière.

Aujourd’hui, il me suffit de quatre projecteurs, deux pour le fond vert sur lequel viendront les éléments de décor numérique et deux sur moi. Dans le passé, j’employais beaucoup plus de lumières et des gélatines de toutes les couleurs. C’était très lent et pas du tout fiable. Il fallait faire et refaire ; et refaire était souvent très difficile.

Par exemple, je trouvais que le maquillage de la première prise était bien et je n’arrivais pas à le retrouver pour une deuxième prise. C’était très frustrant.

C’étaient des problèmes de peintre, non ?

En un sens, oui.

Commencez-vous par des croquis ?

Rarement… Parfois, pour fixer une composition, quand il y a plusieurs figures dans l’image, il m’est arrivé de faire des petits dessins pour préparer les proportions et les emplacements des visages. Je fais plutôt des listes de tout ce dont j’ai besoin pour un projet. C’est de la logistique, en fait.

Pourquoi n’employez-vous jamais de modèles ?

J’ai essayé avec un assistant, avec des membres de ma famille. Mais ça n’allait pas. Je ne pouvais pas leur demander ce que je peux obtenir de moi-même.

Donc, si vous voulez introduire des figures masculines, c’est à vous de les interpréter…

Jusqu’à récemment, cela ne m’était arrivé que très rarement. Mais il y a, dans l’exposition, les Men, quelques œuvres très récentes, où j’apparais en homme. J’en ai peu montré jusqu’ici et je suis donc très curieuse de l’accueil qui leur sera fait, y compris par la communauté trans. Je voulais depuis longtemps faire une série d’hommes, mais c’est une difficulté.

Pourquoi ?

Parce qu’il faut que les vêtements tombent bien sur moi, parce qu’il y a la question des perruques – j’ai longtemps travaillé avec des perruques bon marché, dont on voit immédiatement que ce sont des faux grossiers.

Désormais, je travaille avec des accessoires de meilleure qualité. Mais ce n’est pas le principal. A mes débuts, dans les Film Stills, j’avais tenté d’introduire des figures masculines et ce n’était pas du tout convaincant. Je n’arrivais pas à dépasser les stéréotypes du masculin. Bien sûr, les figures féminines étaient elles aussi stéréotypées, mais j’étais bien plus à l’aise avec elles.

Alors qu’avec les hommes je tombais tout de suite dans la caricature du macho [Cindy Sherman fait mine de montrer ses muscles et de retrousser ses manches, genre Popeye ou Stallone, et se met à parler d’une voix grave], comme dans les films, le gros dur idiot. Je n’arrivais pas à mieux. C’était dur, vraiment. Et c’est toujours dur. J’en ai fait l’expérience avec Men. Même si je crois que j’ai réussi à introduire plus d’ambiguïté dans ces personnages.

Alors que la nudité est fréquente dans la photographie, vous faites exception. Pourquoi ?

Je crois que c’est juste à cause de ma personnalité. Sans doute suis-je un peu prude… Sérieusement, le propos de mon travail n’est pas de m’exposer moi-même. En fait, j’essaie de disparaître, de me cacher sous les déguisements. Me montrer nue aurait été totalement contradictoire avec ce que je fais, avec l’idée de mon travail. Mais il existe une série de moi nue de 1975 et elle sera dans l’exposition, ce qui m’embarrasse… J’étais étudiante et je n’avais pas encore trouvé ma voie.

Quand la sexualité est le sujet, vous employez des mannequins. Et les images sont d’une grande crudité…

En effet. Les mannequins, c’était évidemment proche du surréalisme, et tout le monde me l’a dit. Mais l’origine de leur usage est ailleurs, dans une sorte de catalogue, qui était, je pense, destiné aux études de médecine : des mannequins, complets ou partiels, pour s’entraîner à poser un cathéter, à faire une piqûre ou à accoucher.

Pour celui-ci, le vagin était une pièce en plastique avec une fente au milieu, pour apprendre à faire passer une poupée en poussant, afin de s’entraîner à recevoir l’enfant. C’était fou, ce livre… Les pièces, en plastique grossier, étaient envoyées par la poste. Je devais les peindre pour pouvoir les utiliser dans les photos.

Ce qui veut dire que ce sont des images entièrement fabriquées. Ce qui est le cas de toutes vos œuvres…

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25 septembre 2020

Auray - Semaine du développement durable : exposition de Volée de piafs.

Du vendredi 25 septembre au samedi 26 septembre de 10 h 30 à 12 h et de 14 h à 18 h • Le Petit théâtre, au rezde-chaussée - Place de la Pompe. Une exposition de photos, réalisées au centre soins de l’association Volée de piafs, basée à Languidic, est visible. Shirley et Lisa, en service civique à l’association, conseillent les visiteurs sur « le bon geste » à adopter vis-à-vis des espèces sauvages d’oiseaux en détresse, mais aussi des petits mammifères. Gratuit

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