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Jours tranquilles à Paris
28 juin 2019

Guy Bourdin : L’Image dans l’Image

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Guy Bourdin est considéré comme l’un des artistes les plus audacieux et fascinants de la culture visuelle du xxe siècle. Avec son œil de peintre, il créait des images qui, par leur contenu narratif, leur composition et leurs couleurs, happaient celui du spectateur, en explorant des univers entre absurde et sublime. Faisant de la photographie de mode son médium, il rompit avec les conventions de la photographie commerciale, par ses mises en scène ambiguës, son storytelling suggestif et son esthétique surréelle. Il sut toucher des générations de lecteurs avec des moments de magie nés d’une forme d’expression éphémère : le papier glacé des magazines. Célébré par de nombreuses publications posthumes, son héritage s’expose aujourd’hui dans les plus grands musées du monde.

Artiste singulier, doté d’un regard à nul autre pareil sur l’art, la mode, la publicité et la vie, Guy Bourdin poursuivait une perpétuelle quête de perfection. Nous lui devons la révolution que connut le monde de la création d’images à la fin des années 1970.

Centrée sur le seul ensemble d’œuvres pour lesquelles Nicolle Meyer servit de principal modèle à Guy Bourdin, l’exposition L’Image dans l’Image saisit la période la plus significative de la carrière du photographe.

La sélection de photographies finales est issue de l’édition française de Vogue ainsi que de campagnes publicitaires réalisées notamment pour Charles Jourdan, Versace ou le calendrier Pentax.

En outre, cette exposition dévoile pour la première fois une rare collection de polaroids, qui reflètent l’intérêt de Bourdin pour le monde qui l’entourait et dont il souhaitait garder une trace artistique. S’y ajoute une collection également rare d’œuvres en cours d’élaboration.

« Nous sentions que nous pénétrions le domaine quasi privé d’un créateur, qui rassemblait des idées, des pensées, des rêves. Nous voyions la fluidité de l’imagination se transformer en image finale. Cette recherche devint une croisière de moments saisis au passage : des personnalités, des situations, des paysages, des couleurs, des objets, des détails, familiers et pourtant lointains. »

L’esprit et le regard curieux de Guy Bourdin rendent ce voyage intense, étonnant et plein d’humour. Nous l’observons tandis que, tel un peintre ou un réalisateur de films, il recueille des idées et amasse un fonds d’objets physiques et mentaux, dans lesquels puisait son inspiration pour de nouvelles images.

Shelly Verthime, commissaire de l’exposition

Guy Bourdin : L’Image dans l’Image

Du 6 juillet au 6 octobre 2019

CAMPREDON centre d’art

20, rue du Docteur Tallet

84800 L’Isle-sur-la-Sorgue – France

www.dichroma-photography.com

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28 juin 2019

Pierre Sage expose actuellement à la Concorde Art Gallery

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27 juin 2019

Toutankhamon à la Gare du Nord - photos de l'expo

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23 juin 2019

Dora Maar au Centre Pompidou

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22 juin 2019

Miss Tic actuellement à la Galerie Leila Mordoch - rue Mazarine

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Depuis 1985, ses graffitis au pochoir rythment les promenades des Parisiens de silhouettes voluptueuses et de phrases incisives, une poésie aussi légère que grave qui l’a menée jusqu’au Fond d’art contemporain de la ville de Paris et au Victoria & Albert Museum de Londres. Des œuvres devenues indissociables du paysage de la capitale, exposées à la galerie Lélia Mordoch.

Rock’n’girls - Miss Tic, jusqu’au 13 juillet, vernissage le 6 juin à la galerie Lélia Mordoch, 50 rue Mazarine

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18 juin 2019

"Le Fauteuil d'Emmanuelle" : une expo photo met en lumière le mobilier iconique du film érotique qui fête ses 45 ans

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A l'occasion des 45 ans du film "Emmanuelle", la Galerie Just Jaeckin lancée par le réalisateur du film rend hommage au fauteuil Pomare, devenu symbole de "l'érotisme à la française".

Film à scandale, mais surtout l'un des plus grands succès du cinéma français, Emmanuelle a marqué toute une génération de son érotisme chic et fantasmé, sans scène explicites, ainsi que ses décors exotiques. Le fauteuil Paon ou Pomare sur lequel se prélasse Sylvia Kristel, l'actrice principale du film, était considéré comme démodé dans le contexte très "plastique" des années 70. Pourtant, le succès international du film (13 millions de spectateurs) fera de lui "le fauteuil d'Emmanuelle", symbole sensuel et érotique, et relancera son succès commercial et artistique.

Encore aujourd'hui, ce fauteuil reste un élément de décor de prédilection des photographes, notamment ceux qui se spécialisent dans le portraits. Sa structure en osier tressé entoure le sujet tout en le mettant en valeur grâce aux motifs réguliers du grand dossier et à son aspect "trône" qui donne presque automatiquement une forme de dominance à celui qui s'y assoit.

"Une succession de hasards de la vie"

Interrogé, Just Jaeckin, réalisateur d'Emmanuelle et grand maître de la photographie érotique, nie tout intention originelle de donner à ce fauteuil une quelconque importance. "L'histoire de ce fauteuil n'est qu'une succession de hasards de la vie" explique-t-il en précisant que de nombreuses stars avaient déjà été photographiées dans un Pomare.

"Le fauteuil [Pomare] dans lequel est assise Sylvia [Kristel] se trouvait simplement dans le décor, sans aucune prémonition. Le décorateur en est le seul responsable !" avoue-t-il avant d'ajouter : "La seule vérité, c’est qu’il faut rendre hommage au créateur de ce fauteuil magnifique qui a permis aux photographes de mettre en valeur leur modèle. C'est sa beauté qui est la seule responsable de sa notoriété !".

L'exposition, qui se déroule jusqu'au 27 juin dans la Galerie Just Jaeckin dans le 6e arrondissement de Paris, regroupe des photographes antérieurs et postérieurs au film, des années 50 à nos jours. Beaucoup de grands noms, Francis Giacobetti, Ellen Von Unwerth, Ghislain Dussart, ou encore Cécile Plaisance y exposent des tirages originaux. Certaines photos sont des commandes réalisées spécialement pour l'exposition, d'autres sont des réalisations spontanées ou plus anciennes, preuves de l'attrait iconographique pour ce fauteuil.

Exposition "Le Fauteuil d'Emmanuelle", Galerie Anne et Just Jaeckin, jusqu'au 27 juin, du mardi au samedi de 14h à 19h, entrée gratuite.

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16 juin 2019

Marie Afdjene - Photographe - Exposition à la Concorde Art Gallery

Marie est une passionnée, une passionnée de photo depuis son plus jeune âge. Après un parcours professionnele éclectique, elle se décide de faire de sa passion son métier. Elle aime profondément les rencontres, les histoires, les gens et ne les immortalise qu'après avoir capté la sensibilité de chacun..

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15 juin 2019

Une exposition met à l'honneur le mythique fauteuil du film érotique « Emmanuelle »

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Quarante-cinq ans après la sortie du film, le fauteuil d'« Emmanuelle » est au cœur d'une exposition. Une variation photographique sur le même thème, à découvrir dans la galerie du cinéaste.

« Mélodie d’amour chante le corps d’Emmanuelle », fredonnait Pierre Bachelet à la sortie en 1974 du célèbre film érotique de Just Jaeckin, un véritable phénomène populaire qui a attiré 45 millions de spectateurs en salles. Un classique du genre qui reste à tout jamais associé à une image : celle de l’actrice Sylvia Kristel, seins nus et mordillant un collier de perles, assise sur son fauteuil Pomare. Une affiche qui a fait le tour du monde, propulsé sa protagoniste au rang de star, et transformé la pièce en symbole exotique d’une libération sexuelle post-soixante huitarde. Exit ses origines ancestrales tahitiennes – il est né sous le règne du roi Pomare V – le trône en rotin est désormais estampillé « Emmanuelle », décliné à l’envi sur les affiches des suites, avant de devenir des décennies plus tard l’accessoire-phare de tout bobo parisien.

De Francis Giacobetti à Ellen Von Unwerth, de nombreux photographes l’ont par ailleurs mis au centre de leurs compositions. À l’occasion d’une exposition dans la galerie d’art qu'il a cofondé avec sa compagne et sa fille, le réalisateur Just Jaeckin rend hommage à cet objet du désir, dans des clichés réalisés sur commande ou antérieurement au film, comme le précise le site francetvinfo. Voici quelques-unes des œuvres qui y seront exposées.

Le Fauteuil d’Emmanuelle, jusqu'au 29 juin à la Galerie Jaeckin, 19 rue Guénégaud, Paris VIe.

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15 juin 2019

Sculptures de Mike Bentaberry exposées actuellement à la Concorde Art Gallery

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Mike Bentaberry

Né en 1952 en plein cœur du pays basque je suis très vite monté à Paris avec mes parents. Après des études aux beaux arts pour y apprendre la sculpture,et jugeant que le résultat final était trop long, je me consacre à des études de photographies. Puis devient l’assistant d’un grand photographe de mode. Très vite je m’intéresse à la photo de charme en parallèle car très admiratif d’Helmut Newton avec ses clichés mêlant photo de mode et la photo de charme.

Toujours avide de nouvelles rencontres au bout de quelques années je me spécialise dans le reportage événementiel, discothèque, club privé, circuit automobile. Mais la photo de charme, le portrait restent une priorité, qui rejoint la sculpture et le moulage sur corps. Toujours cette envie de capter l’émotion et d’embellir les corps, d’immortaliser cette tranche de vie.

Mike Bentaberry réalise des moulages de corps sur demande :buste, dos, visage, mains. La prise d’empreinte se fait à l’atelier de l’artiste, sur rendez-vous uniquement. Un ou plusieurs tirages sont effectués, en plâtre ou en ciment-pierre. Lorsqu’il s’agit d’une œuvre réalisée en ciment-pierre ou plâtre, on parle alors de sculpture car l’artiste prend la liberté d’interpréter le moulage, voire de le modifier, d’incorporer des éléments décoratifs ou interpréter un nouveau style en y incorporent des accessoires.

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14 juin 2019

Vernissage ce soir à la Concorde Art Gallery

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