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Jours tranquilles à Paris
14 juin 2019

Banksy : ses fresques murales reconstituées dans une exposition à Paris

L'Espace Lafayette-Drouot à Paris présente plusieurs reconstitutions d'oeuvres du mystérieux street-artiste britannique Banksy, aux côtés d'une cinquantaine de tableaux.

Les fresques rebelles de Banksy sont reconstituées grandeur nature aux côtés de tableaux du célèbre street-artiste britannique, à l'occasion d'une exposition immersive qui s'ouvre ce jeudi 12 juin 2019 à l'Espace Lafayette-Drouot à Paris.

L'exposition intitulée The World of Banksy : The Immersive Experience, et qui sera visible jusqu'au 31 juillet, s'étend sur 1.200 m² et trois étages, en partie souterrains. 42 fresques ont été réalisées sur des murs de béton de plusieurs mètres de haut aux côtés de 51 oeuvres encadrées du street-artiste de Bristol, venues de collections privées.

Plusieurs artistes rendent hommage à Banksy

Bethlehem Land, la fresque du mur de Bethléem sur laquelle Banksy (dont on ignore toujours l'identité précise) a peint un âne et un soldat côte à côte, tout comme le pochoir de la jeune femme éplorée à la porte du Bataclan à Paris, volé en janvier, ont été restitués en taille réelle par une dizaine de graffeurs venus du monde entier.

Ces street-artistes, qui ont tenu à rester anonymes, ont travaillé collectivement pendant 30 jours. Ils avaient reçu carte blanche avec pour mission de reconstituer des rues "en taille normale", pour "recontextualiser l'oeuvre de Banksy", a expliqué Hazis Vardar, gérant de Lafayette-Drouot.

Une reconstitution de la fresque \"Bethléem Land\", réalisée par l\'artiste britannique Banksy.Une reconstitution de la fresque "Bethléem Land", réalisée par l'artiste britannique Banksy. (ESPACE LAFAYETTE-DROUOT)

Une exposition immersive dans l'univers de Banksy

Cette oeuvre ne peut être comprise que dans un contexte de rue. "C'est une exposition immersive, pour mieux communiquer un message. Ici, le message est percutant. Nous avons voulu rester dans l'esprit rebelle, révolutionnaire du street art", a déclaré Hazis Vardar.

"Partout avec la vue, avec l'ouïe, et où que vous tourniez la tête, vous n'êtes pas en face mais dans Banksy", ajoute Hazis Vardar. Selon lui, c'est la première fois en Europe qu'est relevée cette gageure de faire ressentir la révolte à fleur de peau du mystérieux artiste de Bristol, à l'intérieur d'un espace d'exposition.

"L'action" se passe dans les territoires palestiniens, New York, Londres et Paris. Dans un décor de béton, où on entend même le bourdonnement d'un hélicoptère (allusion à la répression), les fresques disent l'innocence écrasée par la force, mais aussi des actes de résistance ou d'insolence contre le consumérisme, la monarchie britannique, l'occupation israélienne, etc. Interrogé pour savoir si Banksy viendrait voir son exposition, Hazis Vardar rétorque: "Il a peut-être autre chose à faire, il connaît ses oeuvres, il n'a pas besoin de les voir".

Exposition The World of Banksy : The Immersive Experience, du 12 juin au 31 juillet 2019, à l'Espace Lafayette-Drouot (Paris, 9e).

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14 juin 2019

Des photos géantes de l'exposition Toutânkhamon exposées à la gare du Nord à Paris

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L'exposition Toutânkhamon s'exporte à la gare du Nord, sous forme de photographies géantes.

A la gare du Nord à Paris, les millions d'usagers quotidiens de la SNCF vont pouvoir découvrir le trésor de Toutankhamon grâce à des photos géantes, à défaut d'avoir le temps de visiter l'exposition à succès qui se tient à la Grande Halle de la Villette.

800 000 billets ont déjà été vendus depuis l'ouverture le 23 mars de l'exposition Toutânkhamon, qui semble bien être l'exposition de l'année à Paris. Elle présente exceptionnellement 150 objets extraordinaires découverts en 1922 dans le tombeau du jeune pharaon par l'équipe de l'archéologue britannique Howard Carter.

Il faut réserver à l'avance pour la visiter, pour éviter de longues files d'attente. D'où l'idée d'étendre le rayonnement de l'exposition via des photos qui reproduisent agrandis les principaux objets exposés à La Villette. Cette exposition à la gare du Nord se poursuivra jusqu'à mi-août.

Selon Sylvain Bailly, le directeur des affaires culturelles de Gares et Connexions, "les institutions culturelles viennent à nous, nous sommes même débordés de demandes car notre rôle d'acteur essentiel dans l'espace public français est reconnu".

De nombreux événements culturels dans les gares de régions

SNCF Gares et Connexions est ainsi sollicité par le Festival d'Angoulême, le Centre Pompidou, les Rencontres photographiques d'Arles et beaucoup d'autres acteurs culturels.

Les artistes sont appelés à réfléchir à l'humanisation des gares dans toute la France. Ainsi, l'initiative des pianos en gare connaît un vif succès.

90% des événements culturels dans des gares ont lieu en dehors de Paris, selon Sylvain Bailly. Une exposition "les femmes s'exposent" présentée à Houlgate en Normandie, est reproduite partiellement gare Saint-Lazare.

Mi-juillet à la gare de Strasbourg seront exposés les dessins de douze femmes réfugiées syriennes, dans une exposition en collaboration avec l'Union européenne (UE) et le Programme alimentaire mondial (PAM).

14 juin 2019

Miss Tic actuellement à la Galerie Leila Mordoch (rue Mazarine - Paris)

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Depuis 1985, ses graffitis au pochoir rythment les promenades des Parisiens de silhouettes voluptueuses et de phrases incisives, une poésie aussi légère que grave qui l’a menée jusqu’au Fond d’art contemporain de la ville de Paris et au Victoria & Albert Museum de Londres. Des œuvres devenues indissociables du paysage de la capitale, exposées à la galerie Lélia Mordoch.

Rock’n’girls - Miss Tic, jusqu’au 13 juillet à la galerie Lélia Mordoch, 50 rue Mazarine

13 juin 2019

La photographie de mode vintage au cœur d’une expo glamour à Paris

Avec des clichés iconiques de Marilyn Monroe, Naomi Campbell ou encore Cindy Crawford.

Irving Penn, Peter Lindbergh, Helmut Newton… Si ces noms ne vous évoquent pas grand-chose, c’est que vous n’êtes peut-être un grand aficionado de photos de mode. Ces artistes-là et une poignée d’autres ont passé le XXe siècle à faire les beaux jours des grandes marques de vêtements, sublimant leurs collections à travers des clichés monochromes ou en couleur toujours saisissants. Dès le mois de juin, leur travail sera mis à l’honneur dans une exposition parisienne assurément glamour.

Stephanie, Cindy, Christy, Tatjana, Naomi, Hollywood, 1989. (© Herb Ritts)

Pour ça, il faut remercier Leon Constantiner, un ex-producteur de cinéma qui s’est découvert dans les années 1990 une réelle passion pour la photographie de mode. Après moult acquisitions çà et là, celui-ci est entré en possession d’un tas de clichés reconnus, regroupés dans sa collection personnelle pour le moins étendue qu’il s’est enfin décidé à partager.

Suite à une vente organisée à Londres en avril dernier, il remet le couvert en se séparant d’une partie de son patrimoine artistique lors d’une enchère chez Christie's à Paris. Mais avant ça, nous pourrons admirer les multiples photos de cette collection inouïe – laquelle comprend des visages familiers comme ceux de Naomi Campbell ou encore Marilyn Monroe – dans les jours précédant la vente. Immanquable.

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Marilyn Monroe, c. 1959. (© Gorgon Parks)

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Chapeau Givenchy A, Jardin des Modes, Paris, 1958. (© Frank Horvat)

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Traffic, New York, 1954. (© Norman Parkinson)

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Femme avec un chapeau-poulet (Lisa Fonssagrives-Penn), New York, 1949. (© Irving Penn)

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Cindy Crawford, Tatjana Patitz, Helena Christensen, Linda Evangelista, Claudia Schiffer, Naomi Campbell, Karen Mulder et Stephanie Seymour, pour "Vogue US", Brooklyn, New York, 1991. (© Peter Lindbergh)

"Icons of Glamour & Style: The Constantiner Collection" sera exposée du 15 au 19 juin 2019 chez Christie’s à Paris.

13 juin 2019

Mari Katayama à la Biennale de Venise

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Paris annonce la participation de Mari Katayama à la 58e Biennale de Venise, “May You Live In Interesting Times” dont le commissaire est Ralph Rugoff, directeur de la Hayward Gallery. Son travail est exposé au Pavillon Central et à l’Arsenale du 11 Mai au 24 Novembre 2019

“May You Live In Interesting Times” dirige notre regard sur le travail d’artistes qui remettent en cause nos façons de penser et qui en même temps bouleversent l’appréhension et la compréhension des objets, images, positions et situations portés à l’attention du spectateur.

Née avec des handicapes physiques et mentaux et seulement deux doigts à la main gauche, Mari Katayama qui représentera le Japon à la Biennale de Venise 2019, a choisi à l’âge de neuf ans d’être amputée de ses deux jambes. Depuis elle a transcendé sa condition au travers des oeuvres qu’elle crée, utilisant son propre corps comme d’une sculpture vivante.

Dans ses portraits photographiques, Mari Katayama explore les nombreux défis auxquels elle doit faire face du fait de sa condition et de son identité, essayant de retracer les souvenirs de ses frustrations enfantines. Katayama nous invite à prendre en compte sa propre réalité, essayant de nous amener à  reconnaître les forces qui ont modelé son ideal esthétique physique. Les series de photographies de Mari Katayama offrent une réflexion sur les défis physiques et les peurs psychologiques auxquels elle doit faire face chaque jour. Grâce à ses travaux, le spectateur peut s’associer émotionnellement à son  monde dans lequel l’image d’un corps en morceaux et le phénomène des membres phantomatiques est  profondément ressentis.

Remarquablement, Mari Katayama n’a jamais eu l’intention de devenir une artiste. Sa photographie a été pour elle une façon d’avoir une conversation avec le spectateur et les objets en peluche incrustés de dentelle, de coquillages, de cheveux et de cristaux n’ont été créés que pour son propre amusement. Aujourd’hui son travail a été plus que remarqué par des collectionneurs et conservateurs (Simon Baker en particulier) en Europe et en Amérique.

SAGE Paris

1 bis avenue de Lowendal, 75007 Paris

www.sageparis.com

The 58th International Art Exhibition,Venice Biennale 2019 du 11 Mai au 24 Novembre 2019

https://www.labiennale.org/en/art/2019

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12 juin 2019

macparis - Bastille Design Center

Du 11 au 16 juin 2019, le macparis revient pour une nouvelle édition au Bastille Design Center où seront présentés les travaux de Jean-Marc Besacier.

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Jean-Marc Besacier

“Jean-Marc Besacier est architecte de formation. Il a gardé, de cette vocation initiale, un regard analytique et structurant sur les lieux, les paysages, les objets et les personnes qu’il photographie. Les images qu’il nous livre sont des reconstructions raisonnées de la réalité, avec des lignes et des plans nets, comme découpés au scalpel. Il affectionne les sujets présentant des formes géométriques, les constructions orthogonales, les perspectives cavalières et les espaces solidement architecturés, en particulier les sites industriels et les produits du design. Il ne dédaigne pas, pour autant, les paysages et les portraits qu’il traite avec la même rigueur constructive.

Dans certaines œuvres, notamment dans ses portraits, il se limite au noir et blanc. Ailleurs, quand la couleur intervient, elle joue essentiellement le rôle d’élément structurant, loin de toute tentation d’un quelconque réalisme pictural.

Partant de sujets réels, facilement identifiables, Jean-Marc Besacier se livre à un travail de déconstruction et de reconstruction dans une démarche en tous points similaire à celle des peintres – et notamment des cubistes historiques – devant leur sujet.” – Louis Doucet

macparis printemps 2019

Dans Le Fou d’Elsa, 1963, Louis Aragon écrivait : « l’avenir de l’homme est la femme. » Nous ne savons pas si cela est totalement exact, mais ce qui l’est, au vu des dossiers que nous avons reçus, c’est que « l’avenir du plasticien est la plasticienne. » Le Comité de programmation – deux femmes et deux hommes – a sélectionné, pour cette session du printemps 2019 de macparis, vingt-trois plasticiens… dont seize plasticiennes… À aucun moment, dans le processus, il n’a été question de discrimination positive. Si les femmes sont de plus de deux fois plus nombreuses que les hommes, c’est tout simplement parce que leurs propositions étaient objectivement meilleures que les autres. Ce que nous remarquons aussi – et c’est un signe très positif pour l’avenir – c’est que la féminisation va de pair avec le rajeunissement de la sélection : cinq exposants ont moins de trente ans et neuf moins de quarante ans, dont un seul homme…

Ce résultat n’est pas le fruit du hasard mais la conséquence directe d’une évolution en marche depuis plus d’une décennie : l’accession massive des jeunes femmes aux écoles des beaux-arts où elles sont, aujourd’hui, très majoritaires parmi les étudiants. Cette vague de nouvelles plasticiennes va se propager et rééquilibrer une scène artistique qui était, depuis trop longtemps, largement accaparée par les hommes. Nous ne pouvons que nous en réjouir. Il n’en reste pas moins que, selon les plasticiennes de tous âges que nous côtoyons chaque jour, il existerait un plafond de verre qui leur restreindrait l’accès au marché de l’art, aux musées, aux galeries et aux institutions.

Grâce au soutien sans faille de la Direction générale de la création artistique du Ministère de la culture, macparis œuvre, depuis plus de trois décennies, pour offrir de la visibilité à des créateurs – femmes et hommes –, leur donner accès à des collectionneurs, mais aussi à des galeries, à des centres d’arts et à des institutions… Et, si nous nous basons sur les retours des exposants de nos dernières sessions, cela fonctionne plutôt bien… Nous nous inscrivons donc bien dans une démarche visant à briser ce plafond de verre…

En ce printemps 2019, les vingt-trois artistes exposés ont été retenus parmi plus de 1 500 candidatures. Cette sélection constitue une coupe transversale, la plus large possible, de ce qui se fait de mieux dans les ateliers. Nous donnons aux plasticiens sélectionnés la possibilité de montrer un ensemble significatif de leurs créations récentes et de rencontrer directement le public – particuliers et professionnels – pendant toute une semaine. Nous les avons choisis parce que nous sommes convaincus que leurs créations se hissent à la hauteur des enjeux de notre monde et que, dans des conditions souvent difficiles, ils persévèrent dans une direction dévalorisée par notre société.

Ce sont cette résilience face aux courants à la mode, cette rébellion contre les carcans de tous genres qui brident l’expression personnelle, que nous apprécions au plus haut niveau. Notre vœu le plus cher est que vous y soyez aussi sensibles.

Hervé Bourdin, Mathilde Frotiée, Annick & Louis Doucet

Commissaires de la manifestation

Informations

macparis - Bastille Design Center

74 boulevard Richard Lenoir, 75011 Paris, France

11 juin 2019 au 16 juin 2019

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12 juin 2019

Photo Basel: Première foire internationale d’art en suisse dédiée à la photographie

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Photo Basel, le premier et unique salon d’art suisse consacré à la présentation et à la promotion de la photographie, revient au Volkshaus Basel pour sa cinquième édition. La foire aura lieu du 11 au 16 juin 2019, à l’occasion du salon international moderne et contemporain Art Basel.

Depuis sa première édition en 2015, photo basel s’est imposé comme le salon de la photographie le plus important de la région germanophone. Rassemblant des galeries du monde entier, le salon favorise le dialogue entre les membres des communautés du monde de la photographie et de l’art, attirant les médias internationaux, les experts en arts visuels et les collectionneurs à un moment clé du calendrier annuel du monde de l’art.

Cette année, le salon s’étendra pour la première fois sur deux étages de la Volkshaus Basel.

Photo Basel réunit 41 exposants de galeries émergentes et établies dans 15 pays, dont la France, le Japon, Israël et le Royaume-Uni.

Programme Photo Basel 2019

En soutien à nos 41 exposants internationaux, présentant plus de 530 œuvres de plus de 150 artistes, nous avons élaboré un programme riche mais concis qui permettra d’examiner plus avant le média, d’accroître le contexte et de débattre lors de notre cinquième anniversaire.

L’année 2019 marque le début du profil du collectionneur, une nouvelle exposition annuelle qui présentera une sélection de collections de photographies privées au cours de la photo basel. La Collection Righetti de Berne, en Suisse, a réuni l’un des fonds les plus complets et les plus remarquables du photographe italien Mario Giacomelli (1925 – 2000).

Après l’inauguration réussie du prix ALPA Award de photo basel en 2018, le fabricant suisse d’appareils photo ALPA®, en coopération avec un collectionneur privé, sélectionnera une nouvelle fois un projet photographique exceptionnel présenté à photo basel et remettra à l’artiste lauréat le prix ALPA photo 2019 de Bâle.

Nous sommes ravis d’annoncer le lancement de la boutique en ligne de photo basel. La boutique en ligne mettra en relation des galeries photo de Bâle avec des collectionneurs curieux partageant les mêmes visions – au-delà de la foire. La plupart des œuvres peuvent être acquises au prix de CHF 2000.00 ou moins.

Pour plus d’informations: http://www.photo-basel.com/

Informations

Volkshaus Basel

Rebgasse 12-14, 4058 Bâle, Suisse

11 juin 2019 au 16 juin 2019

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12 juin 2019

Concorde Art Gallery

CONCORDE ART GALLERY

vous convie au VERNISSAGE de l'exposition

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Le vendredi 14 juin 2019

à partir de 19h

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11 juin 2019

Olga Caldas

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10 juin 2019

Concorde Art Gallery - nouvelle exposition à partir du 15 juin - Vernissage 14 juin au soir

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