L’exposition « LOVE, REN HANG » présente pour la première fois en France l’œuvre d’un des artistes chinois les plus influents de sa génération.

Avec une sélection de 130 photographies issues de plusieurs collections d’Europe et de Chine, l’exposition occupe tous les espaces du deuxième étage de la MEP.

Composée essentiellement de portraits – d’amis, de sa mère ou de jeunes chinois sollicités sur internet – mais également de paysages et de nus, l’œuvre de Ren Hang est immédiatement reconnaissable. Ses photographies, si elles semblent mettre en scène ses sujets, sont pourtant le fruit d’une démarche instinctive. Leur prise de vue, sur le vif, leur confère légèreté, poésie et humour.

Ren Hang questionnait, avec audace, la relation à l’identité et à la sexualité. Artiste homosexuel, particulièrement influent auprès de la jeunesse chinoise, son ton considéré comme subversif ou qualifié de pornographique, représentait vis à vis d’un contexte politique répressif, l’expression d’un désir de liberté de création, de fraîcheur et d’insouciance.

Présentés en regard de cet important corpus photographique, de nombreux écrits de Ren Hang, qu’il partageait régulièrement sur son site internet, témoignent de son combat contre la dépression.

« Si la vie est un abîme sans fond, lorsque je sauterai, la chute sans fin sera aussi une manière de voler ». L’artiste s’est donné la mort en 2017, à l’âge de 29 ans.

Expo : http://bit.ly/LoveRenHang

Billetterie : http://bit.ly/MEP_Billetterie

Nocturne le jeudi jusqu'à 22h

#RenHangMEP

“Je pense qu’une mise en scène fictive peut être plus véridique que documenter la réalité, en particulier à une époque de fausses informations.”

Miles Aldridge, 2019

Christophe Guye Galerie propose nouvelle exposition d’œuvres du photographe et artiste britannique Miles Aldridge, intitulée Screenprints, Polaroids and Drawings. L’exposition est centrée sur la récente exploration par l’artiste du moyen de la sérigraphie en tant que nouvelle façon de représenter ses images photographiques. L’œuvre hyper-colorée d’Aldridge est bien connue pour ses représentations cinématiques de l’étrange et du surréel de la vie moderne. Dans cette exposition, le vernaculaire de la beauté noire d’Aldridge est mis en valeur par le procédé de sérigraphie, qui permet nouvelle couleur rehaussée, ainsi qu’une texture d’impression rappelant avec nostalgie les magazines de pin-up et les couvertures de livres de pulp fiction. Né à Londres en 1964, Aldridge a étudié à la Central St. Martins School of Art avant de se lancer en photographie. Son travail a été présenté dans des expositions de musées et de galeries dans le monde entier, notamment en 2013 par une rétrospective à la Somerset House à Londres. En 2014, il a été invité par Tate Britain à créer une installation photographique en réponse au tableau Merry-go-Round de Mark Gertler, datant de 1916. Son œuvre est dans les collections permanentes de nombreuses institutions, notamment le British Museum, le National Portrait Gallery et The Victoria and Albert Museum à Londres, la Fondation Carmignac et le Palais Galliera Musée de la Mode de Paris et le Centre international de la photographie à New York.

Une des séries présentées dans l’exposition (afters Miller) voit la réaction d’Aldridge au travail du peintre Harland Miller, en s’appropriant ses célèbres peintures de couverture des livres Penguin au sein de ses propres scènes de pin-up, créant ainsi un tandem de personnalités qui commente sur le psyche social de grandir dans les années 1960 et 1970.

Grâce à l’inclusion des dessins préparatoires d’Aldridge et des polaroïds dans le

exposition, le processus de développement est mis à nu, illustrant les parallèles narratifs de la conception initiale de l’idée à l’œuvre d’art finale. Comme le critique d’art Michael Bracewell commente Aldridge: “Dans son travail, la tension du film noir se confond avec le dynamisme pop et post-pop; Que pourraient être des tableaux de science-fiction érotique de la science fiction mêlés à un récit hyper-stylisé vernaculaire; le langage visuel d’une pin-up centrée au milieu du XXe siècle articule un désir dépersonnalisé avec désinvolture.”

Miles Aldridge; Screenprints, Polaroids and Drawings

28 February 2019 – 4 May 2019

Christophe Guye Galerie

«Parce qu’un jour pour célébrer les femmes ne suffit pas. 20 artistes contemporains présenteront leur vision de la féminité, leur amour et leur reconnaissance pour les femmes au Plaza Athénée. Que ce soit leur force ou leur fragilité, les femmes ont toujours été un sujet de prédilection pour les artistes. Depuis la nuit des temps, ils ont été et continuent à être représentés et mis en scène sous toutes leurs formes, des chansons aux poèmes en passant par les peintures. Un coup d’œil, un sourire ou un détail subtil suffisent à immortaliser la féminité à travers l’art. Véritable référence à la chanson mythique de Julien Clerc, cette exposition unique rend hommage à toutes les femmes. Qu’elles soient douces, fatales, engagées, fragiles, iconiques ou anonymes, les femmes d’aujourd’hui ont plus que jamais une voix et un impact sans précédent qu’il est impossible d’ignorer. ”

Audrey Drigues Trabelsi

Cofondateur d’Art Photo Expo dans le monde entier et commissaire de l’exposition «Femmes je vous aime».

Claude Azoulay

Claude Azoulay, artiste français, a débuté sa carrière chez Paris Match. Il est construit au sein de l’équipe éditoriale du magazine et du monde qui l’entoure. Il ne quittera le journal qu’en 1996. C’est sous le haut patronage de Willy Rizzo, qu’il apprend le fonctionnement du métier de photographe. Il a suivi et couvert les grands drames de la seconde moitié du 20e siècle, tels que la guerre d’Algérie, le Guerre, guerre du Kippour, guerre du Liban et guerre de Yougoslavie. Mais l’actualité le pousse également à Saint-Tropez, Londres ou Hollywood sur les plateaux de tournage face à Brigitte Bardot, Marilyn Monroe, John Huston ou Kirk Douglas, et dans les studios d’artistes comme le sombre Bacon ou l’excentrique Warhol…

Les photos de Claude Azoulay, “c’est la vie qui parle …” S’il avait été peintre, il aurait choisi l’esquisse. Une ligne si rapide, si vive… qu’il y devient vivant.

“Continue à bouger”, répète Claude Azoulay. Ou comment appliquer ses principes à l’art de la photographie. Ne comptez pas sur lui pour figer le moment, le féconder sous les éclairs, le condescendance. Il court après le moment. Jamais fatigué. C’est la raison pour laquelle Claude Azoulay n’a pas de mémoire, ce n’est qu’une collection de cadeaux, 60 ans de cadeaux, réunis là, sur ces photos. La guerre et les stars, la société femmes et les travailleurs clandestins, les papes et les présidents… l’opposé de la nature morte. Les photos de Claude Azoulay, c’est la vie qui parle.

Daniele Georget (journaliste, écrivain)

Giuliano Bekor

Photographe de renommée internationale, Giuliano Bekor possède un portefeuille comprenant des œuvres dans les domaines de la mode, de la beauté, des célébrités, de la publicité et des beaux-arts. Inspiré par l’univers Pop, ses œuvres sont composées de lumière, de couleur, d’espace et de formes. Bekor concrétise ses idées conceptualisées dans son propre imaginaire tout au long de son travail. UNE

Visionnaire inquiet, il ne cesse jamais d’exprimer son style frais et nuancé. Crazy Horse sont des photographies prises par Bekor à l’aide d’une projection faciale. Cette projection d’image est la signature de l’artiste qui nécessite une bonne précision. Il est soutenu par la célèbre galerie SAATCHI.

Michel Comte

Michel Comte a été exposé dans de nombreux musées et galeries du monde entier, a travaillé pour tous les grands magazines internationaux et a marqué de nombreux journaux internationaux et campagnes publicitaires. Né à Zurich en 1954, avec un œil compulsif et autodidacte comme photographe, Comte a connu une ascension fulgurante après avoir été découvert par Karl Lagerfeld lorsqu’il s’installa à Paris à la fin des années 70 en tant que restaurateur d’œuvres d’art. Son corpus est à la fois vaste et distinctif. Intensément privé, Michel Comte reste une énigme, même pour ceux qui travaillent fréquemment avec lui. Il est à la fois auteur et voyeur, poussé à capturer ce que Sargent appelle «l’animal chez le gardien» plus par contrainte que par commission. Ses portraits emblématiques du le monde de l’art, de la musique, du cinéma, du sport et de la mode portent tous ce style distinctif: une capacité essentielle à faire naître chez le gardien quelque chose de tellement spontané, intime et authentique qu’il se connecte au spectateur à tout jamais. Bien qu’il n’ait pas négligé la valeur de l’expérience plutôt que celle de l’affinité, il est réputé pour avoir répondu impassible à la question de savoir combien de temps il lui faut pour mettre au point un bon coup spontané: «30 ans et 5 minutes ”.

Georges Dambier

George Dambier est né à Paris en avril 1925. Au début de 1942, à l’âge de 17 ans, Dambier commença à aider le célèbre artiste et affichiste Paul Colin qui lui a présenté le monde de la mode, des intérieurs, des antiquités et, surtout, de belles femmes parisiennes. À la fin de la guerre, Dambier a aidé le photographe en devenir Willy Rizzo. Il a rapidement quitté le poste d’assistant et est devenu reporter photographe travaillant sur une série d’histoires pour ”“ Le Tout-Paris. Ce sont ses compétences naturelles en graphisme et son penchant pour les femmes élégantes qui l’ont amené à se concentrer sur la photographie de mode. Quelques années plus tard, il photographiait régulièrement les beautés du jour: Dorien Leigh, Suzy Parker et Brigitte Bardot. Il a été embauché par Helene Lazareff, directrice du magazine de mode ELLE. Elle l’a encouragé et lui a confié sa première mission en tant que photographe de mode. Ce sont ces photos de mode, où les femmes sont sublimées, qui restent aujourd’hui dans l’histoire. Il était également co-fondateur du directeur artistique de “VSD”, dont il avait même créé le logo.

Tony Frank

En 1959, pendant les vacances scolaires, Tony Frank, de son vrai nom Jean Laulhé, découvre la photographie, le jazz et le blues: la photographie et la musique deviennent deux passions. Depuis les années 1960, élevé au son de Fats Domino, d’ElvisPresley, de Chuck Berry, de Buddy Holly, de Tommy Steele, il fréquente les stars Johnny Hallyday, Long Chris et bien sûr Eddy Mitchell. Après quelques collaborations avec Music Hall magazines et pochettes de disques. Il est devenu le photographe officiel de Johnny Hallyday pendant plus de 40 ans: Serge Gainsbourg, Michel Polnareff, Nathalie Baye, Bob Dylan, Véronique Sanson, Laurent Voulzy, Alain Souchon et plusieurs groupes anglo-saxons.

Tony Frank & Serge Gainsbourg

En 1968, la maison de disques Philips a demandé à Tony Frank de faire des portraits pour une pochette de disques. Cinq photos seront finalement sélectionnées dans cette série. Serge Gainsbourg a dit plus tard que ces portraits faisaient partie de ses favoris. Ce moment marque le début d’une longue collaboration, d’une relation de confiance et d’amitié. Tony photographiera régulièrement Serge chez lui, rue de Verneuil, en studio, avec son famille et en concert.

Ormond Gigli

Ormond Gigli est devenu célèbre au début des années 1950 pour ses photographies de théâtre, de célébrités, de danse, de personnages exotiques et de publications internationales. Au cours des années 1970 et 1980, Gigli se tourne vers la photographie publicitaire tout en poursuivant son travail éditorial. Ses missions l’ont fait voyager à travers le monde plusieurs fois. Girls in the Windows: And Other Stories est le premier livre à passer en revue le travail d’Ormond Gigli et escorte le spectateur derrière la façade de cette photo incroyable.

«C’était l’été 1960, j’ai jeté un coup d’œil par la fenêtre de mon studio à Manhattan et j’ai remarqué qu’une rangée de pierres marron en face était en cours de préparation pour la démolition. En regardant le dessin des fenêtres vides, une idée me vint: mettre une femme portant des vêtements colorés dans chacune des ouvertures. J’ai envoyé quelqu’un de mon personnel à parler au superviseur de la démolition. Il a accepté de nous laisser partir – à condition que nous utilisions sa femme sur la photo. Nous pourrions tourner le lendemain à l’heure du déjeuner, a-t-il déclaré. Après cela, le bâtiment aurait disparu. Donc, avec 24 heures pour le faire, nous avons appelé tous nos contacts pour trouver des modèles et localiser une Rolls-Royce pour s’asseoir sur le trottoir devant. Le lendemain matin, j’étais en studio et j’avais l’impression que ça ne marcherait pas. Puis mon assistant est entré et a dit: “Ormond, tu ferais mieux de monter la caméra sur le passage de secours. Il y a des gens qui remplissent les vitres et d’autres qui arrivent en taxi.” Tout à coup, cela se passait. Il y avait des modèles, les mondains, ma femme, la femme du superviseur, tous vêtus de leurs plus belles robes. Je les ai déplacés pour étaler les couleurs et leur ai dit de se poser comme s’ils embrassaient quelqu’un. Le soleil de midi était au-dessus de la tête et la lumière brillait entre les rues. Miraculeusement, la police n’est pas venue nous arrêter et, en moins d’une heure, j’avais ma photo.”

Douglas Kirkland

Douglas Kirkland est à la pointe de la mode, du photojournalisme et du portrait, travaillant pour les magazines les plus réputés au monde, depuis plus de 50 ans. Jeune photographe, il a été chargé de photographier Marilyn Monroe et, pendant plusieurs heures, dans un studio fermé, une nuit, il a capturé un magnifique portefeuille d’images séduisantes et intimes qui subsistent encore aujourd’hui, témoignant de sa beauté et de sa vulnérabilité. Durant l’âge d’or du photojournalisme des années 1960-1970, ses missions vont du Transsibérien au Japon, de la mode au film. Il a photographié la légendaire Coco Chanel au travail et les stars de plus de cent films. De The Sound of Music à Titanic et The Great Gatsby, l’objectif de Kirkland a exploré l’univers de la gloire. Son travail va de nus exquis à de puissants portraits de notables et de notables, du photo-journalisme au défilé de mode. La photographie des beaux-arts de Douglas Kirkland a été exposée dans le monde entier. Son exposition sur Freeze Frame fait maintenant partie de la collection permanente de l’Académie des arts et des sciences du cinéma de Beverly Hills. Ses œuvres font également partie des collections permanentes du Smithsonian, de la National Portrait Gallery à Canberra en Australie, de la National Portrait Gallery à Londres, de la Eastman House à Rochester, du Houston Center for Photography et de l’Annenberg Space for Photography.

Thierry Le Gouès

L’artiste français Thierry Le Goues apparaît plus comme un sculpteur que comme un photographe. Ses photographies de nus féminins semblent représenter des personnages plus ciselés dans la pierre que faits de chair et de sang. Certaines images font écho à la formes humaines abstraites et rationalisées du sculpteur Constantin Brancusi. Sur d’autres plans, le contraste saisissant de la lumière sur la peau foncée des modèles les fait paraître gracieux, automates futuristes. Le Goues, photographe de mode de profession, a commencé à prendre et à rassembler les photos de ce livre afin d’exposer la beauté des femmes noires, qui, à son avis, sont sous-représentés dans le monde du mannequinat de haute couture. De la collection terminée, il dit: “Soul est un hommage à mon médium, qui est les modèles qui sont ma source d’inspiration. “Pour créer son inimitable signature de portraits, Le Goues couvre ses modèles, des femmes telles que Naomi Campbell et Iman, peintes avec de la graisse et les pose sur des arrière-plans sombres et vacants pour rehausser les éléments sculpturaux de leurs formes. Les photographies résultantes sont œuvres sensuelles, émouvantes et belles de art.

Philippe Le Tellier

Philippe Le Tellier était dédié à l’un des couples les plus emblématiques d’Hollywood: Alain Delon et Romy Schneider. De scènes intimes au grand écran,  les photos retracent leur histoire d’amour en noir et blanc, ainsi qu’en couleur. À l’origine leur rencontre en 1958 donne rapidement naissance à un tourbillon romantique jusqu’à leur separation en 1964. La Piscine de Jacques Deray en 1969 les réuni à nouveau. Complexe, passionné et vertigineux, le mystère qui entoure leur relation captive le spectateur et devient un symbole du cinéma français.

Greg Lotus

Greg Lotus est un photographe de mode américain qui a photographié pour plusieurs magazines de mode. Mais il mène également des campagnes de publicité pour de grandes marques telles que Cartier, Levi’s, Van Cleef & Arpels et tourne pour de grands noms tels que Penelope Cruz, Milla Jovovich, Isabelle Adjani et bien d’autres. Il a commencé sa carrière en tant que photographe à l’âge de 20 ans. Contrairement à d’autres photographes, il a réussi à se faire une place dans le monde sans formation professionnelle, sans aide autres photographes: Greg Lotus est un photographe autodidacte. S’il réussit si bien à capturer ses modèles de photo en photographie, c’est parce qu’il a pu se retrouver devant la caméra en tant que modèle pendant son adolescence. Aujourd’hui, il produit toujours des couvertures de magazines et des campagnes publicitaires. Il est maintenant à la recherche d’une photographie plus artistique à exposer dans des galeries, en particulier en dehors des États-Unis. Dans son interview pour Preview, il déclare: «Art me donne la liberté de partager des images que j’aime, qui n’ont jamais été sélectionnées pour des raisons éditoriales et qui n’ont été prises que pour mon plaisir personnel.”

Peggy Mella

Peggy Mella est une photographe italo-française. Après avoir étudié et travaillé dans la post-production photographique, elle a commencé à développer son propre concept photographique. Depuis plus de 10 ans, Peggy Mella modélise son univers d’images et de compositions, créant une collection moderne et libre. Lauréat 2015 du salon d’art américain français. Son travail est représenté dans des galeries à Miami, New York et Paris et est exposé dans de nombreuses villes animées à travers le monde. Les photographies de Peggy Mella habillent élégamment les murs de plusieurs maisons privées. En utilisant une technique audacieuse et contemporaine, Peggy Mella sélectionne et se réapproprie ses propres photographies en tissant des détails photographiques à partir de la perception quotidienne. En recherche constante de beauté, elle utilise sa créativité intuitive pour combiner des matériaux, des couleurs et des volumes, en incorporant force et fragilité, solidité et légèreté, séduction et beauté, sensualité, comme pour insuffler un nouveau sens à ses images composites.

André Rau

Né en Allemagne, André Rau est largement reconnu comme l’un des photographes de mode et de beauté les plus créatifs au monde. Ses images étonnantes couvrent une variété de sujet, mais Rau est particulièrement connu pour ses portraits perspicaces et puissants de célébrités admirées par les collectionneurs, les conservateurs et les critiques du monde entier. Rau a réalisé de nombreuses couvertures mémorables pour les principaux magazines de mode ainsi que pour les couvertures d’albums. Il a également été photographe officiel du Festival de Cannes pendant plusieurs années. Les œuvres d’André Rau sont régulièrement exposées dans le monde entier. Ses photographies font partie de la collection du Deutsches Historisches Museum à Berlin, du Centre national de la photographie en France, du Musée des beaux-arts de l’Ontario, du Musée des arts appliqués à Cologne, en Allemagne. la Miramax Film Corporation à New York et d’autres musées importants.

Philippe Robert

Philippe Robert est un photographe français diplômé de l’Institut des hautes études cinématographiques de France. Une fois diplômé, il s’envole pour Los Angeles. Il commence sa carrière en tant que photographe pour le magazine SPIN, puis confirme son talent avec de nombreux magazines tels que: LA Weekly, Interview Magazine, Harper’s Bazaar, Time Magazine, Elle, Match, Art Magazine, Glamour… Il a l’habitude de travailler avec les plus grands succès. marques mondiales et les plus grands mannequins comme Linda Evangelista, Carla Bruni-Sarkozy (Première Dame française) … Il décrit cette période comme le début d’une ère, l’ère du supermodèle, où ils se sont fait connaître. et la reconnaissance mondiale est associée à leurs carrières de modélisation. Il collabore également à un projet de photographie à succès avec «l’Opéra National de Paris», où il photographie la prima ballerine («Les étoiles de Paris»). C’était la première fois, l’Opéra permet à un photographe de photographier ses Stars en studio. Son travail a été exposé à travers le monde: le Festival de la mode photo au musée du Louvre à Paris, l’exposition au musée Picasso, le festival du film-NYPD-New-York, le festival de la photo de mode, l’hôtel de Paris, Monte-Carlo, la galerie Art Photo Expo , Paris, Miami et New York. Ses photographies font également partie de certaines des collections privées les plus acclamées au monde.

Bert Stern

Bertram Stern, aussi connu sous le nom de Bert Stein, est photographe de mode et spécialiste des portraits de célébrités. Il est renommé dans le monde entier pour la série «Last Sitting»: une collection de 2 500 photographies de Marilyn Monroe, réparties sur trois jours, six semaines avant sa mort, en 1962, remises au Vogue Magazine. Stern a publié Marilyn Monroe: «The Complete Last Sitting in 1992». Il a également dirigé «Jazz on a Summer’s Day (1959)»: un documentaire sur le festival de jazz de Newport en 1958. En 1999, le film a été sélectionné par la Bibliothèque du Congrès des États-Unis pour conservés par le registre national du film. Stern a également travaillé comme photographe pour Lolita Stanley Kubrick et a pris des photos de Sue Lyon pour les présentations du film qui est devenu célèbre. Il a également photographié Audrey Hepburn pour un numéro de 1963 de Vogue Paris, Madonna, Kylie Minogue, Drew Barrymore et Lindsay Lohan (recréant The Last Sitting), entre autres, en plus de son travail publicitaire.

Russell Young

Russell Young s’est d’abord fait connaître dans les années 1980 en tant que photographe de musique. Ayant appris le métier d’assistant auprès du photographe Christos Raftopoulos, il a forgé sa propre identité en capturant des spectacles de clubs mettant en vedette des groupes tels que Bauhaus, REM et The Smiths. Cela a conduit à de multiples commandes de magazines et de commandes de maisons de disques. En 1986, il tourne les images de la pochette de l’emblématique album «Faith» de George Michael, qui se vendra à plus de 25 millions d’exemplaires. Cela a conduit à davantage de portraits de haut niveau avec des musiciens allant de Morrissey et Björk à Bruce Springsteen et Bob Dylan, en passant par diverses stars du sport et célébrités. En outre, il a dirigé plus de 100 vidéoclips pour MTV. En 1992, il s’est installé aux États-Unis et a commencé à développer ses talents d’artiste. Ayant subi une enfance traumatique dans le nord de l’Angleterre, il épouse l’actrice Fiona Hughes et a commencé une nouvelle vie aux États-Unis. La production artistique de Young comprend la peinture, la sérigraphie, la sculpture, les installations et le film. Ce qui compte le plus pour lui, ce sont les titres, les récoltes et la progression de la noirceur à la lumière. Son travail a été présenté à Londres, Paris, Berlin, Tokyo, Singapour, New York, Détroit, Miami et Los Angeles. Ils font également partie des collections privées les plus acclamées au monde.

Art Photo Expo presents

Femmes je vous aime

24 février – fin avril 2019

Hôtel Plaza Athénée

25 Avenue Montaigne

75008 Paris, France

https://artphotoexpo.com/

Patrice Dohollo -Peintre

Parisien pure souche né en 1951. A partir de 1969, j'entre à l'ENSAIT de Roubaix, une école d'art, pour un cycle de quatre années en section publicité. En 1972, après quelques mois de farniente à Formentera et Ibiza, je suis engagé comme maquettiste maison au groupe Bayard presse et je collabore à presque tous les magazines de «Pomme d'Api à Okapi pour les jeunes jusqu'au magazine Notre temps pour les anciens».

Débauché un an plus tard par Jean Quentin Gérard, l'un des plus jeunes éditeurs de l'époque et propriétaire d'une grande quantité de magazines pour jeunes style «Salut les copains et Podium», je vais travailler comme maquettiste sur toutes ses revues. Je vais même par la suite devenir DA pour la revue de Michel Sardou «MS magazine» qui ne paraîtra qu'une année faute d'assez de lecteurs. Je retournerai ensuite chez JQG pour créer «Privé» un concurrent du magazine «Absolu» lancé par Claude François. C'est en travaillant pendant cette période avec les plus grands photographes de charme qui collaboraient avec «Lui, Playboy, Newlook, Penthouse..etc) que j'ai eu l'idée deux ans plus tard de créer ma première maison d'édition pour publier des beaux livres de nus vendus en librairies et à la FNAC.

La suite logique a été l'édition de nombreux magazines de photos, de charme, de cinéma, d'art ….dont le magazine «Généreux» en association avec Frédéric Beigbeder et Jean-Christophe Florentin et le magazine «Playboy» édition française de numéros spéciaux. Avec une autre société bien plus tard j'ai produit et commercialisé près de 200 films. Depuis ma retraite en 2010, je me suis remis à la peinture puis au fusain que je n'avais pas touché depuis plus de 40 ans et je vous en propose quelques-uns aujourd'hui.

http://www.concorde-art-gallery.com/galerie.html

Patrice Dohollo - Peintre

Parisien pure souche né en 1951. A partir de 1969, j'entre à l'ENSAIT de Roubaix, une école d'art, pour un cycle de quatre années en section publicité. En 1972, après quelques mois de farniente à Formentera et Ibiza, je suis engagé comme maquettiste maison au groupe Bayard presse et je collabore à presque tous les magazines de «Pomme d'Api à Okapi pour les jeunes jusqu'au magazine Notre temps pour les anciens».

Débauché un an plus tard par Jean Quentin Gérard, l'un des plus jeunes éditeurs de l'époque et propriétaire d'une grande quantité de magazines pour jeunes style «Salut les copains et Podium», je vais travailler comme maquettiste sur toutes ses revues. Je vais même par la suite devenir DA pour la revue de Michel Sardou «MS magazine» qui ne paraîtra qu'une année faute d'assez de lecteurs. Je retournerai ensuite chez JQG pour créer «Privé» un concurrent du magazine «Absolu» lancé par Claude François. C'est en travaillant pendant cette période avec les plus grands photographes de charme qui collaboraient avec «Lui, Playboy, Newlook, Penthouse..etc) que j'ai eu l'idée deux ans plus tard de créer ma première maison d'édition pour publier des beaux livres de nus vendus en librairies et à la FNAC.

La suite logique a été l'édition de nombreux magazines de photos, de charme, de cinéma, d'art ….dont le magazine «Généreux» en association avec Frédéric Beigbeder et Jean-Christophe Florentin et le magazine «Playboy» édition française de numéros spéciaux. Avec une autre société bien plus tard j'ai produit et commercialisé près de 200 films. Depuis ma retraite en 2010, je me suis remis à la peinture puis au fusain que je n'avais pas touché depuis plus de 40 ans et je vous en propose quelques-uns aujourd'hui.

A la MEP
Du mercredi 06 mars 2019 au dimanche 26 mai 2019.
Première exposition majeure de l’œuvre de l’artiste chinois Ren Hang depuis sa disparition tragique en 2017, et première présentation personnelle au sein d’une institution parisienne, cette exposition réunit plus de 150 œuvres, issues de collections européennes et chinoises, ainsi que des publications et autres documents inédits.

Photo prise avec ma Nikon KeyMission 170

Charles Jondot - Peintre

Depuis petit, aussi longtemps que je me souvienne, j'ai toujours dessiné. J'ai commencé à peindre des filles qui me racontaient une histoire, celles qui avaient du vécu. Je ne choisi pas de peindre des mannequins; la beauté, selon moi, est représentative de leurs émotions.

Je me complais à souligner un mal-être, un environnement en appuyant sur le coté ambigu du décor en le traitant très distinctement du premier plan.

Le contraste fort de mes portraits démontre également des prises de positions différentes chez le modèle (indécise, envieuse ou soumise ? ). Cela laisse ainsi au spectateur le choix de son interprétation et le laisser aller à ses propres fantasmes. Le parti ainsi prit permet donc de s'approprier la toile mais aussi le personnage.

Le second plan, s'il y a, est majoritairement tracé au fil toujours dans ce but d'interprétation.

"Est-ce réel ?, Est-ce arrivé ?, Est-ce contemporain ?"

Les modèles choisies sont en contradiction totale avec le fond de façon à manifester, à traduire un malaise propre à la personne en elle même mais aussi selon l'idée que s'en fera le public. Mettre en valeur mon modèle, représentatif de la nouvelle génération et leur rapport avec le sexe, en opposition avec l'arrière plan, plus sujet à une autre époque ou environnement totalement désynchronisé et totalement intentionnel et intéressé.

La pudeur de mon modèle et la juxtaposition intemporelle présentent alors tout intérêt dans l'interrogation de l'observateur quand au vécu qu'il convient d'y voir.

http://www.concorde-art-gallery.com/galerie.html

Claude Fougerousse - Peintre

70 ans, vit et peint à Annecy/Meythet en Haute Savoie. Classe préparatoire aux Beaux-Arts d’Annecy. Beaux-Arts de Grenoble. Designer manager durant 18 années. S’installe comme peintre en 2002. Choisit le Nu féminin d’après nature directement à l’encre de Chine. Toujours sur le Nu évolue avec l’huile, l’encre et l’acrylique.

Techniques employées :

Peinture acrylique sur toile, encres de couleurs sur papier marouflé sur toile, encres de couleurs sur toile, huile sur toile

Expositions :

Exposition personnelle à Genève 2005

Exposition personnelle à Annecy 2006

Exposition collective à Brighton/UK 2007

Exposition personnelle Galerie Elizabeth COUTURIER 2008

Exposition personnelle Galerie CARA à Sévrier 2017

Exposition collective Salon FIGURATION CRITIQUE 2018

Exposition collective SALON D’AUTOME 2018

Alain Bonnand

Date de naissance: 5 mars 1949 à Crosne 91

Profession: Professeur d'Arts Plastiques, CAPES en 1994. Artiste peintre et dessinateur, retraité.

Formation: Etudiant à l'atelier Met de Penninghen à Paris et à la faculté de Vincennes et dans les ateliers de la ville de Paris.

Travaille et vit à St Cyprien 66750.

Expositions :

2016 - mars. Exposition de groupe Art Fusion à St Estève (66)

- juin-juillet. Exposition avec les Créatif66 à Perpignan.

- août. Exposition de groupe Art Fusion à Alénya (66).

- octobre. Exposition de groupe Art Fusion Parc des expositions à Perpignan .

- Exposition permanente à la boutique So Sexy à Pollestres (66).

2017 - février. Exposition de groupe Art Fusion au Palais des Congrès à Perpignan.

- mai. Exposition de groupe au Casino de Collioure.

- octobre. Exposition de groupe Art Fusion au Parc des expositions à Perpignan.

- Exposition permanente à la Boutique So Sexy à Pollestres 66

2018 - février.Exposition de groupe Art Fusion au Palais des Congrès Perpignan

2018 - juillet aout exposition de groupe aux Créactifs du 66 place Gambetta Perpignan

-Exposition permanente à la boutique So Sexy à Pollestres 66