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Jours tranquilles à Paris
3 mars 2018

Exposition - jusqu'au 3 mars 2018 (dernier jour

Exposition - jusqu'au 3 mars 2018 (dernier jour aujourd'hui)

ATAE YÛKI

与 勇輝

SCÈNES DE LA VIE JAPONAISE EN SCULPTURES DE TISSU

Avec ses sculptures de tissu, l’artiste japonais ATAE Yûki, né en 1937, nous ouvre les portes d’un univers unique.

À l’occasion de son 80e anniversaire, ses œuvres seront exposées pour la deuxième fois à Paris : l’occasion d’opérer un retour sur une carrière riche de 50 années d’activité artistique à travers ses œuvres les plus représentatives, ainsi que de découvrir ses récentes créations.

Au Japon, les expositions des œuvres de ATAE Yûki, organisées dans toutes les grandes villes du pays, attirent de très nombreux visiteurs. À l’étranger, outre Paris, New York et São Paulo ont accueilli ses œuvres qui réveillent une nostalgie enfouie au plus profond de chacun d’entre nous, accessible par-delà les frontières et les différences culturelles.

Pour cette exposition, ATAE Yûki a réuni plus de 100 sculptures de tissus réparties en cinq sections : Un monde nostalgique, Hommage au cinéaste Yasujirô Ozu, Mémorial de l’ère Showa (1926-1989), etc.

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www.atae-yuki-paris.fr

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3 mars 2018

César - La rétrospective jusqu'au 26/03 au Centre Pompidou ( vu jeudi 1 mars)

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Reportage photographique : J. Snap

César - La Rétrospective - Centre Pompidou

Un vibrant hommage pour le 20e anniversaire de la disparition du grand sculpteur français César Baldaccini, dit César. On connait ses « Fers soudés », « Compressions », « Empreintes » et « Expansions ». Cette grande rétrospective montre que, derrière la modernité de la machine, la main du sculpteur est toujours visible.

Après des débuts à l’Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Marseille, sa ville natale, César (1921-1998) s’installe à Paris. Il mène une vie très modeste et à défaut de pouvoir travailler le marbre, récupère des matériaux dans les décharges de ferrailles pour réaliser ses premières sculptures. Il innove, en empruntant à l’industrie la technique de la soudure à l’arc. Il s’inspire de la forme même du matériau et récupère toutes sortes d’objets pour leur donner une nouvelle existence. Le « Poisson », « La Vénus de Villetaneuse » et « La Ginette » comptent parmi ses œuvres les plus célèbres. César intègre le mouvement des Nouveaux Réalistes en 1961 aux côtés de Jean Tinguely, Yves Klein ou encore Arman, Raymond Hains et Martial Raysse. Ces artistes très divers sont soudés autour d’une idée commune, définie par Pierre Restany comme « le recyclage poétique du réel urbain, industriel ou publicitaire ». César conçoit des sculptures violentes qui portent un regard critique sur la société industrialisée de surconsommation. Ses « Compressions » réalisées à l’aide d’une presse hydraulique présentent toutes sortes d’objets de tôle et de métal compressé. Depuis 1975, les fameuses statuettes devenu icônes récompensent les acteurs du cinéma français chaque année lors de la Nuit des César. Grâce à l’agrandissement pantographique, les « Empreintes humaines » lui permettent de cartographier le corps humain à grande échelle. Les « Expansions » coulées et figées sont comme autant de sculptures hors du temps. Toute sa vie, l’artiste n’aura de cesse de créer et diversifier son art au moyen de matériaux mis à sa disposition. Ces nombreuses expériences sont comme des chantiers sur lesquels il aimait aller et revenir, guidé par une réflexion sur la sculpture moderne. « Je suis devenu moi-même le jour où j’ai osé faire certaines choses que je croyais interdites. Pour créer, il faut avoir une grande fraicheur, une grande naïveté. Ce qu’on appelle le feu sacré. Dans l’atelier, vous vous oubliez, et le matériau vous transforme. Soudain, une chose vous entraîne à une autre et ainsi de suite. En réalité, quand on est un artiste, on s’amuse. » César

César - La Rétrospective - Centre Pompidou,

Visite libre jusqu'au 26 mars 2018 Tous les jours sauf le mardi, de 11 h à 21 h, le jeudi jusqu’à 23 h

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Reportage photographique : J. Snap

27 février 2018

Adam Broomberg et Oliver Chanarin, Divine Violence - exposition au Centre Pompidou (vu hier)

Le Centre Pompidou accueille une installation monumentale de deux artistes contemporains, Adam Broomberg et Oliver Chanarin : intitulée "Divine Violence", cette oeuvre est à voir gratuitement dans la Galerie des Photographies, au niveau -1 du musée, du 21 février au 21 mai 2018.

Adam Broomberg (né en 1970 en Afrique du Sud) et Oliver Chanarin (né en 1971 au Royaume-Uni) forment un duo d'artistes des plus singuliers. D'origine sud-africaine, ils travaillent depuis 20 ans un art extrêmement politique, radical et, disons-le, bouleversant. Les découvrir à Paris, à l'occasion du vingtième anniversaire de leur collaboration et à travers un puissant geste artistique, est une chance.

Le Centre Pompidou présente donc durant trois mois une installation monumentale intitulée Divine Violence, qui met l'accent sur la violence contenue dans les textes sacrés de la Bible. Installée dans la Galerie des Photographie, l'oeuvre est composée de 57 cadres correspondant chacun à un livre de la Bible et rassemblant les 724 feuillets de l’ouvrage. Des images contemporaines complètent les textes.

Le visiteur, ainsi immergé dans les textes et les images, voit ses repères confondus. Impossible de tout lire ou de tout voir... Mais l'idée est ailleurs. Les deux artistes se sont inspirés de la Bible personnelle de l'écrivain Bertolt Brecht, qu'il a abondamment annoté et illustré d'images découpées dans les journaux durant la Seconde Guerre mondiale. Eux utilisent des images issues de l'Archive of Modern Conflict, tissant des liens douloureux entre les guerres et le texte sacré.

Passionnant !

Informations pratiques :

Adam Broomberg et Oliver Chanarin, Divine Violence

Au Centre Pompidou

Du 21 février au 21 mai 2018

Entrée libre

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Dans sa Galerie de photographies, le Centre Pompidou présente pour la première fois une pièce monumentale et majeure des artistes Adam Broomberg et Oliver Chanarin, Divine Violence, récemment entrée dans les collections. Cette installation, composée de cinquante-sept cadres correspondant chacun à un chapitre de la Bible met en relation la violence manifeste exprimée dans le Livre avec celle des images du monde aujourd’hui. Pour cette série, les deux artistes s’inspirent de l’exemplaire personnel de Bertold Brecht et reprennent la Bible du roi Jacques (1611) qu’ils illustrent chapitre par chapitre, sans explication ni commentaire, à l’aide d’impressions de photographies issues de l’Archive of Modern Conflict. Sur chaque page de texte le duo souligne en rouge un passage en correspondance avec l’image choisie et confronte le texte saint aux photographies anonymes et mettent ainsi en évidence les icônes et les stéréotypes visuels de la violence.

26 février 2018

Palais de Tokyo - expositions

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25 février 2018

CESAR actuellement au Centre Pompidou...

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25 février 2018

Azzedine Alaïa

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24 février 2018

Célébration du 75ème anniversaire de la libération de l’Europe à travers les clichés de Robert Capa

Pour célébrer les 75 ans de la libération de l’Europe par les Alliés, la galerie Daniel Blau de Londres expose les clichés du célèbre photojournaliste Robert Capa. Ce sont ses images de conflits comme la guerre d’Espagne, la guerre Sino-japonaise ou la Seconde guerre mondiale qui ont fait la réputation de ce photographe salué pour son savoir-faire et son humanisme. Capa était sur les lignes de front lorsque les Alliés ont libéré l’Italie en commençant par la Sicile en 1943. Les photos que nous avons sélectionnées saisissent cette phase de transition particulière qui a vu les Allemands battre en retraite vers le Nord, à travers toute l’Italie.

Le photographe était sur place pour immortaliser les rencontres entre les soldats Américains et les locaux. Une image saisissante montre un bureau de poste napolitain après un bombardement, résumant le talent de Capa, capable de témoigner d’évènements complexes comme des souffrances individuelles au sein de ce conflit d’envergure mondiale. Ces clichés fascinants mettent en lumière la réalité de la guerre telle que vécue par les civils et les soldats, et confirment le statut de Capa, qui compte parmi les photojournalistes les plus importants du 20ème siècle.

Capa, il y a 75 ans

Du 16 février au 23 mars 2018

Galerie Daniel Blau

51 Hoxton Square, Shoreditch

Londres, N1 6PB

Royaume Uni

www.danielblau.com

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24 février 2018

Les détenues de Bettina Rheims, exposées au Château de Vincennes

Elles ont besoin de votre regard ! » Il y a trois ans, Bettina Rheims a dit : « D’accord, essayons, qui dois-je contacter ? » Badinter lui tendit une carte avec un nom. Elle écrivit sa demande, mais rien ne se passa. Six mois plus tard, un rendez-vous lui fut proposé. Elle avait cinq jours pour élaborer son projet ! « J’ai passé des heures sur les blogs d’anciennes détenues », dit-elle. « Et là, j’ai commencé à forger mon approche. Une femme en prison oublie son identité, perd de vue sa féminité, il n’y a plus le regard des hommes et les miroirs sont rares. Pour peu qu’elle ne soit pas aisée financièrement, ce sont les produits de soins, de santé et de maquillages et de nourriture normale qui disparaissent et là, la déchéance commence ! Une femme formidable m’a soutenu durant ces six mois à sillonner les prisons de France : Isabelle Gorce, directrice de l’administration pénitentiaire. A la première réunion, les vingt personnes pressentes soulevèrent des objections. ‘J’aime ce projet ; il se fera conclut-elle !’ Après ce furent six mois à sillonner la France. A la fin, 60 femmes furent photographiées. Toutes sont dans l’exposition et le livre. Qu’ai-je apporté à ces femmes ? Une petite fenêtre de plaisir, une coiffeuse, une maquilleuse et une image qu’elles pourront regarder et envoyer. Celle d’une féminité un temps retrouvé. » Jean-Jacques Naudet

Bettina Rheims, Détenues

Du 9 février au 30 avril 2018

Sainte-Chapelle du Château de Vincennes

2 Cours des Maréchaux

75012 Paris

France

http://www.chateau-de-vincennes.fr/Actualites/Exposition-Detenues-de-Bettina-Rheims

Livre publié par Gallimard

39€

http://www.gallimard.fr/

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24 février 2018

Exposition : NAOKI URASAWA

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NAOKI URASAWA

Rien n’est jamais tout blanc, ni totalement noir. C’est peut-être l’ambivalence de ces deux couleurs qui contraste le plus justement les thématiques brutales de la fameuse œuvre de Naoki Urasawa, 20th Century Boys, dessinée en noir et blanc. Le maître du manga japonais traite dans cet ouvrage de l’histoire de la secte Aum, considérée comme l’une des plus dangereuses au monde, dont les fondements nourrissent un imaginaire imprégné d’angoisse apocalyptique et salutaire. L’homme fuyant la mort, persécuté par la moralité de ses actes sur Terre avant le jugement dernier, une inspiration intemporelle. L'évènement est une rétrospective originale revenant sur les thématiques récurrentes de l’artiste : l’obsession d’un mal sans visage et sans nom, l’art comme forme supérieure d’aspiration humaine, le dialogue entre l’Orient et l’Occident, ou encore la crainte de la résurgence de dictatures sanguinaires. Amateurs et curieux ont ainsi l’occasion de contempler 500 planches originales de l’artiste à l’Hôtel de Ville. Une finesse du trait et un traitement de la matière si singulier qu’il serait dommage d’y couper.

Paris Rendez-Vous - Hôtel de Ville de Paris

Jusqu'au 31 mars 2018

29 rue de Rivoli, 75004 - M° Hôtel de Ville (1/11)

Du lundi au samedi de 10h à 19h

Entrée libre

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Pour ceux, et celles qui ne le connaissent pas, une petite présentation s'impose : Naoki Urasawa a débuté véritablement sa carrière presque par hasard, grâce à un concours lancé par la maison d’Edition Shogakukan, qu’il remporte à l’âge de vingt-deux ans. Dans les années 1970, il découvre Métal Hurlant et voue dès lors, un culte à Jean Giraud, qu’il considère sans égal. Il devient l’un des premiers auteurs japonais à revendiquer l’influence de la bande dessinée franco-belge. Il est déjà venu à Paris, et même si pour lui, ce qui est important est de transmettre les émotions, cette exposition est très importante pour lui.

Le maître incontesté du manga de genre pour adultes grâce à des séries comme Monster, ou Pluto sorti en huit volumes en janvier aux Editions Kana, est exposé pour la première fois dans la capitale jusqu’au 31 mars à Paris Rendez-Vous, le concept store de l’Hôtel de Ville de Paris dans "L'Art de Naoki Urasawa".

Gratuite, cette rétrospective de son œuvre présente 500 planches originales, choisies parmi 30 000, dont de superbes illustrations en couleur. Les deux premiers chapitres de sa nouvelle série, Mujirushi, une commande du Musée du Louvre, seront également exposés. Et cadeau pour les fans, Naoki Urasawa a signé quelques dessins sur les murs blancs de l'exposition pour remplir le vide qu'il sentait quand il est venu la première fois.

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Reportage photographique : J. Snap

20 février 2018

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DSCN7286Photos : J. Snap

 

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