Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Jours tranquilles à Paris
30 janvier 2018

Variations sur une même affiche...

bon marché

metro

Publicité
30 janvier 2018

Azzedine Alaïa

azzedine

"À toi, Azzedine, l'enchanteur ..." Dans le numéro de février de Vogue Paris, écrivain et ex-ministre de la Culture, Frédéric Mitterand rend hommage au regretté Azzedine Alaïa. Une dernière lettre au concepteur de son ami de plus de 30 ans, lire l'hommage dans le nouveau numéro, maintenant. En attendant, visitez l'exposition qui met en lumière certaines des pièces les plus emblématiques du créateur (certaines sélectionnées par le couturier lui-même) dans son atelier-galerie d'art du 4ème arrondissement de Paris.

"Je Suis Couturier" à l'Association Azzedine Alaïa, 18 rue de la Verrerie.

Photo d'Arthur Elgort dans Vogue Paris, 1986.

azzedine2

azzedine1

Azzedine Alaïa: "Je suis couturier"

41 Azzedine Alaïa Dress Exhibition @galerieazzedinealaia @associationazzedinealaia

18 rue de la verrerie 75004 jusqu'au 10 juin 2018 de 11h à 19h.

https://www.instagram.com/azzedinealaiaofficial/

25 janvier 2018

"Azzedine Alaïa : Je suis Couturier", l’exposition hommage à voir à Paris

az5

azz1

azz2

azz3

azz4

Photos : J. Snap

Disparu le 18 novembre 2017, le génie d’Azzedine Alaïa s’expose au sein de son atelier et de sa galerie d’art dans le 4ème arrondissement de Paris. Orchestrée par Olivier Saillard, cette exposition met en lumière les pièces les plus emblématiques du créateur, qui sera également à l'honneur du Design Museum de Londres qui, dès le mois de mai 2018, accueillera l'exposition "Azzedine Alaïa, The Couturier". Le plus ? C’est le créateur lui-même qui a choisi les 60 pièces couture exposées.

Azzedine Alaïa : Je suis Couturier - jusqu'au 10 juin 2018 18 rue de la Verrerie 75004 Paris

Azzedine Alaïa : The Couturier – du 10 mai au 7 octobre 2018 Design Museum - 224-238 Kensington High St, Kensington, Londres

24 janvier 2018

A la Galerie Templon - "Le temps imaginaire" de Pierre et Gilles - vu aujourd'hui

Le temps imaginaire jusqu'au 10 Mar 2018 GALERIE DANIEL TEMPLONSPIERRE ET GILLES

L’exposition « Le temps imaginaire » à la galerie Templon, à Paris, présente de nouvelles œuvres de Pierre et Gilles inspirées par le monde actuel, tiraillé entre le goût de la diversité et la résistance aux menaces. Ces tableaux poursuivent la démarche complexe de Pierre et Gilles et mêlent histoire de l’art et imagerie vernaculaire, photographie et peinture, gravité et légèreté.

L’exposition « Le temps imaginaire » à la galerie Templon réunit de récentes œuvres de Pierre et Gilles, des photographies tirées sur toile et peintes qui reflètent le monde actuel, entre ouverture aux autres et résistance.

Pierre et Gilles célèbrent « l’esprit français »

Alors qu’une rétrospective de l’œuvre de Pierre et Gilles a été récemment présentée au Havre et à Bruxelles, la galerie Templon propose une exposition en forme de parcours à travers l’univers plus complexe qu’il n’y paraît du duo d’artistes. Les nouveaux tableaux de ce dernier portent la marque de l’actualité proche, dont ils se nourrissent pour réaffirmer les valeurs de tolérance et de liberté.

Les œuvres entre photographie et peinture de Pierre et Gilles réalisées en 2016 et 2017 forment une galerie de portraits de personnalités et d’anonymes, qui revendiquent un certain « esprit français » que les événements de ces dernières années ont réactivé à travers le monde. Des couleurs et des attitudes qui se veulent joyeuses voire idylliques s’y confrontent à des scènes et sombres, porteuses de violence, dans une évocation d’un air du temps troublé, tiraillé entre humanisme, ouverture aux autres d’un côté et repli sur soi protecteur ou nécessité de résistance de l’autre.

« Le temps imaginaire », entre visions paradisiaques et sombres menaces

Le tableau Love from Paris, photographie peinte à la main, montre trois adolescents, une fille et deux garçons d’origines ethniques différentes, posant en se tenant amicalement, vêtus de t-shirts décorés de symboles touristiques parisiens, sur un fond flouté de Paris de carte postale, le tout étant cerné d’un cadre en « smileys » et pastilles multicolores. Les portraits Loving you, Hommage à Michael Jackson et Fujiyama mon amour (Sylvie Vartan), réalisés à l’acrylique sur photographie imprimée sur toile, célèbrent les deux chanteurs par une profusion de couleurs acidulées, de fleurs et d’éléments de décorum religieux pour l’un, militaire pour l’autre.

Aux côtés de ces visions paradisiaques figurent des tableaux beaucoup plus sombres comme La Mort de Bernard Buffet (Alexandre Guillaume), évocation frontale du suicide du peintre présentée dans une alcôve, ou encore Opération Sentinelle (Guillaume Thor), qui montre, derrière une haie de roses, un soldat en faction, arme à la main. Cette œuvre ouvre l’exposition, comme pour signifier la menace qui pèse sur l’insouciance, les valeurs qu’elle renferme et leur nécessaire protection.

IMG_4789

IMG_4791

IMG_4792

IMG_4793

IMG_4794

IMG_4795

IMG_4798

IMG_4799

IMG_4803

IMG_4804

IMG_4805

IMG_4806

IMG_4807Reportage photo : J. Snap

 

21 janvier 2018

La France retire sa candidature à l’Exposition universelle 2025

Pour justifier son choix, qui suscite nombre de critiques, le premier ministre avance les « faiblesses structurelles » du modèle économique du projet.

« J’ai décidé de ne pas donner suite à la candidature de la France à l’Exposition universelle, qui sera retirée. » C’est ce qu’a annoncé le premier ministre Edouard Philippe, samedi 20 janvier, dans une lettre officielle révélée par le Journal du dimanche (JDD).

Le chef du gouvernement pointe notamment les « faiblesses structurelles » du modèle économique du projet et précise que dans le contexte de « redressement de nos finances publiques », il refuse de « grever l’avenir (…) d’engagements supplémentaires non maîtrisés ».

Selon le JDD, la maire de Paris, Anne Hidalgo, la présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse et le président du comité de candidature, Jean-Christophe Fromentin, ont également été informés samedi de la décision. « Je ne me retrouve pas dans cette France qui renonce, qui recule ou qui s’excuse », a réagi sur Twitter M. Fromentin.

« Alors que nous pouvions, après le rugby en 2023 et les JO en 2024, recevoir le monde avec l’Expo universelle en 2025, cette décision est incompréhensible », a tweeté le vice-président du comité d’organisation, Luc Carvounas.

Un risque pour les finances publiques

Dans sa lettre adressée à Pascal Lamy, ancien directeur de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), Edouard Philippe estime que les engagements qu’il avait demandés fin septembre concernant la « solidité du dispositif opérationnel proposé par la France » ne sont pas tenus.

La candidature française, bâtie autour du pôle scientifique et technologique de Paris-Saclay, au sud de la capitale, a été déposée fin septembre auprès du Bureau international des expositions (BIE). Pour le premier ministre, le projet français n’a pas les moyens de se redresser dans « le délai qui nous sépare de la visite de la commission d’enquête du BIE », prévue à la mi-mars.

Il relève également que « la marge d’aléas » du projet « ne permet pas d’absorber certaines hypothèses de fréquentations défavorables ». Les scénarios envisagés tablaient sur une fréquentation comprise entre 35 et 40 millions de visiteurs, avec une hypothèse haute à 65 millions. Mais une fréquentation comparable à celle de l’Expo qui s’est tenue à Milan en 2015 (environ 20 millions de visiteurs) entraînerait une chute des recettes (de 1,3 milliard à 455 millions d’euros), ce qui représente un risque pour les finances publiques, selon Matignon. Edouard Philippe a mis enfin en avant le manque de partenaires privés prêts à s’engager.

Le retrait de la France laisse la voie libre aux trois autres pays candidats pour accueillir l’Exposition de 2025 : la Russie (Ekaterinbourg), le Japon (Osaka) et l’Azerbaïdjan (Bakou). Le choix du pays hôte doit être annoncé le 15 novembre 2018. L’Exposition universelle doit se tenir du 1er mai au 31 octobre 2025.

Publicité
21 janvier 2018

Galerie Templon - Pierre et Gilles

 

 

19 janvier 2018

Pierre et Gilles à la Galerie Daniel Templon

pierre47

pierre58

pierre62

pierre1258

18 janvier 2018

Exposition César au Centre Pompidou

16 janvier 2018

Concorde Art Gallery

umbertha

Umbertha - Photographe

Le moi de Umbertha, auto-portraitiste, ou comment se « raconter soi-même »… Un équipement photo complet, une liste de lieux plus improbables les uns que les autres, bienvenue dans une Europe nappée de rêves, à la recherche d’ambiances hautes en couleurs, ou noircies par l’oubli… Un univers graphique et visuel très personnel, forgé au fil des routes perdues et des années passées à les sillonner, Umbertha propose de dévoiler à travers ce portfolio les différentes facettes de son art photographique : découverte de lieux éphémères en pagaille, mises en scène en auto-portrait de mille manières, c’est toute la poésie de Umbertha qui est regroupée ici, pour l’oeil, ou pour le collectionneur. C’est avec malice, modestie et recul, que ses oeuvres se complètent, se répondent et nous charment. Découvrir tout un univers photographique, de l’Allemagne à l’Italie, de la Pologne à la Belgique, tantôt avec ce personnage central, tantôt avec la seule évidence du lieu, et son atmosphère, capturées avec subtilité. Les images ont été exposées en 2017 à Paris St Sulpice, Salon de la photographie contemporaine, et à deux reprises au Salon International d'Art Contemporain - Carrousel du Louvre.

16 janvier 2018

Concorde Art Gallery - Abygail ABYSS

DSCN7192

DSCN7193

DSCN7194

DSCN7195

DSCN7196

Abygail ABYSS

Modèle - Création Artistique

Une photo est le témoignage d'une histoire, d'une émotion, passant de l'ombre à la lumière avec un sentiment dont on veut se souvenir éternellement.

Âgée d'une trentaine d'années, je suis née en Île de France. En parallèle à mon activité professionnelle j'aime sur mon temps libre m'exprimer à travers la photo. C'est ainsi que je pose depuis 2015 en tant que "modèle". Cela reste donc une passion. Être devant l'objectif n'a jamais été facile pour moi, j'ai toujours été derrière l'appareil. Puis, je me rendis compte au fil des années que j'avais très peu de souvenirs de moi en image.

Attirée particulièrement par "le nu artistique" en photographie, en peinture ou en sculpture je souhaitais réaliser une série photo transcendante qui me ressemblerai. L'envie de faire un shooting dans ce sens était bien présente mais sans pour autant oser, sans pour autant savoir quoi exprimer. Et puis il y a eu ma Rencontre avec Lui. Mon Maître initiateur. Il est Celui qui m'a permis justement d'être face à l'objectif. Et cela je l'ai compris bien plus tard. Lors de ma mise à l'épreuve, j'ai dû faire preuve d'une très grande détermination. C'est sur un cliché ordonné de sa part que j'ai commencé à faire mes premiers selfies. Je l'ai fait par obéissance bien-sûr mais j'ai été surprise de constater que j'aimais aussi poser.

C'est à la suite de mon initiation en tant que Soumise qui m'a insufflé cet élan. Très vite j'ai eu besoin et une envie profonde d'exprimer ce que je ressentais.

C'est à travers la photographie que j'ai trouvé le moyen le plus authentique et le plus vivant d'y parvenir. La photo s'est imposée à moi, j'ai rapidement enchaîné plusieurs shooting avec une volonté de développer différentes thématiques et situations dans l'esprit BDSM. Je souhaitais aussi faire apparaître à travers la photo toute la beauté cachée de cet Art. Car pour moi le BDSM reste un Art. Apporter un autre regard, plus personnel sur ce monde souvent mal compris et trop facilement jugé. Très active, je donne l'idée, je crée l'ambiance et m'investie beaucoup dans les mises en scène lors des séances photos. J'aime relever des défis et n'hésite pas à travailler en studio, à l'extérieur, de jour comme de nuit et dans des endroits atypiques. Mes photos parlent d'elles-mêmes. Je ne prends pas la "pose" mais je m'exprime naturellement.

Je puise dans mes souvenirs les sensations vécues, les photos sont prises sur l'instant T qui, a mes yeux, reste le meilleur moyen de capter "l'émotion". Au début, ces photos m'étaient personnelle, je les partageais uniquement avec mon Maître initiateur. Progressivement l'idée de vouloir partager publiquement mon univers et mettre en Lumière une condition choisie a mûri peu à peu. J'ai enfin osé. Tout est allé très vite, mes photos plaisaient mais beaucoup de lieux ne souhaitaient pas exposer du "nu".

Seule deux boutiques ont acceptées. J'ai donc pu exposer de Mai à Août 2017 chez Démonia puis de Septembre à Décembre 2017 chez Metamorph'Ose. Deux belles enseignes parisiennes Fetich et BDSM qui m'ont permis d'avoir les premiers retours "Public", les premières critiques positives. Et bientôt la proposition d'une mise en vente en galerie d'art de ma première série photo "Mise à Nue".

DSCN7202

DSCN7203

DSCN7204

Publicité
Publicité