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Jours tranquilles à Paris
5 mars 2019

Le dernier défilé Chanel by Karl Lagerfeld

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5 mars 2019

Paris Fashion Week - CHANEL

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3 mars 2019

Paris Fashion Week - Tommy Hilfiger

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3 mars 2019

LE DÉFILÉ CHANEL RENDRA HOMMAGE À SON GÉNIE

karl coco

Une première Fashion Week sans Karl Lagerfeld a débuté cette semaine. La maison Chanel a décidé de lui rendre hommage lors de son défilé du 5 mars à 10h30 au Grand Palais.

Le 5 mars sera le point culminant de cette première Fashion Week avec le défilé Chanel sans Karl Lagerfeld. La maison clôturera la saison en dévoilant la dernière collection du grand couturier, qu'il avait dessinée pour la marque. La marque toujours très attendue sur les podiums a en effet signé sa saison automne/hiver 2019/20 par son plus grand génie, décédé le 19 février 2019, après 36 ans de règne à la direction artistique. Ce défilé a été préparé par le couturier avec Virginie Viard, son « bras droit et bras gauche à la fois », qui a été désignée pour succéder à son mentor. Elle avait expliqué à l’AFP en 2015 être « complémentaire » avec le styliste : «  Je le comprends bien, j’arrive à sublimer ce qu’il a envie de faire, j’ai compris où il voulait emmener Chanel ».

En hommage à son génie, quatre de ses créations griffées Chloé ou Chanel, qui évoquent son goût pour le XVIIIe siècle, l'Art déco et le style Memphis, dont il fut un fervent collectionneur, sont temporairement présentées dans les collections du Musée des Arts Décoratifs. La disparition du couturier risque de susciter un très fort intérêt de la part des amateurs de haute couture, avec peut-être l’envie d’une dernière pièce à collectionner ?

karl

2 mars 2019

PARIS FASHION WEEK #PFW

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2 mars 2019

PARIS FASHION WEEK

27 février 2019

Paris Fashion Week

Depuis ce lundi 25 février et jusqu’au mardi 5 mars, Paris vibre pour la mode à l’occasion de la fashion week automne-hiver 2019–2020. Mardi soir, c’est au défilé Saint Laurent que les stars ont brillé, et cela dans des tenues plus sexy que jamais.

La mode est en émoi en cette fin de mois de février. Et cela durant une semaine toute particulière pour l’industrie de la couture : la fashion week. Après avoir embrasé New York, Milan, puis Londres ces dernières semaines, c’est à Paris que l’événement a posé ses valises afin de présenter les dernières tendances sur des podiums étincelants. Tandis que Simon Porte Jacquemus a ouvert la marchece lundi 25 février avec un défilé, comme à l’accoutumée, léché et en plein dans nos désirs fashion les plus fous, Christian Dior – ou plutôt sa directrice artistique Maria Grazia Chiuri– avait le privilège d’être sous le feu des projecteurs au deuxième jour de ce marathon prêt à porter. Un deuxième jour qui s’est clôturé en beauté, et en face de la tour Eiffel, avec le show Saint Laurent. Une soirée qui a concentré la crème de la crème des admiratrices de la griffe. Et celles-ci ont plus que jamais fait crépiter les flashs.

Avec un Anthony Vaccarello à sa tête depuis 2016, la maison Saint Laurent ne cesse de se réinventer avec une femme gracile et libérée. À l’occasion de la présentation de la collection automne-hiver 2019–2020 de la maison française, les muses et autres habituées des rangs YSL étaient de la partie, ce mardi 28 février, au beau milieu de la capitale. Venue dans une chemise blanche décolletée et volatile, Kate Moss a bien failli dévoiler ses seins devant le photocall. De quoi faire de belles jambes à Charlotte Gainsbourg, Laetitia Casta ou Charlotte Casiraghi, qui avaient toutes misé sur le mini. Sinon, Lindsay Lohan a fait une apparition remarquée et toute en transparence, Catherine Deneuve a souligné qu’elle était aussi Belle de jour que de nuit, Salma Hayek a roucoulé auprès de François-Henri Pinault, et Béatrice Dalle se l’est jouée décadente, comme à son habitude. 

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26 février 2019

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24 février 2019

La Mairie de Paris dit stop à la Grossophobie à la veille de la Fashion Week

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Par Corinne Jeammet (avec AFP) @Culturebox

La ville de Paris met à l'honneur les femmes plantureuses le temps de l'exposition "Grossophobie, Stop ! Ensemble Réagissons". Son but : "interpeller" contre les discriminations au moment de la semaine du prêt-à-porter féminin automne-hiver 2019-20 qui se tient du 25 février au 5 mars dans la capitale.

Campagne d'information aux Parisien.nes et défilé de mode pour personnes grosses : la Ville de Paris s'attaque à la grossophobie. En décembre 2017, l'événement "Grossophobie, stop ! Ensemble réagissons" dénoncait ce phénomène discriminatoire lié à l'apparence physique. Ainsi lors d'un défilé des modèles non-professionnelles portaient des vêtements de créatrices de différents pays qui avaient imaginé une garde-robe grande taille afin de célébrer la diversité des corps, la beauté de toutes les femmes. Une façon glamour de questionner des normes esthétiques survalorisant la minceur qui constituent une forme de violence à l’égard de celles et ceux qui ne s’y conforment pas.

Une exposition photos en guise de témoignages

Aujourd'hui, une exposition photos de ces femmes rondes fait revivre l'événement. Jusqu'au 9 mars, via 29 panneaux affichés en plein air sur les façades de la Caserne Napoléon des modèles témoignent de ce que ce défilé leur a apporté : chaque photo est accompagnée d'un message du mannequin qui évoque l'influence positive de ce défilé.

Discrimination

"Tout le monde a le droit à la mode", lance Gerrie, professeure d'espagnol et mannequin ronde qui dévoile ses mensurations sur sa carte de visite. Sa photo est affichée sur une façade de la mairie de Paris. "J'en suis sortie renforcée dans ma lutte contre les discriminations", peut-on lire à côté de la photo de Gerrie Palacios Bideau, en robe et escarpins noirs sur le podium. "Je suis grosse, je suis grande, je suis noire (...) J'ai assez souvent senti la discrimination dans ma vie", raconte à l'AFP cette femme de 36 ans, dégoûtée des "conseils" donnés par certains médecins et des gens de son entourage. "Tu devrais faire du sport : j'ai 15 ans de sport de combat derrière moi, je suis judoka ceinture marron... Tu devrais manger moins : c'est souvent quand je mange moins que je stocke le plus...". "Nous ne sommes pas là pour faire l'apologie de notre pathologie mais même en étant obèse, on a besoin de sortir de chez soi, de s'habiller, de s'insérer socialement", poursuit-elle.

L'exposition est organisée par Hélène Bidard, maire-adjointe chargée de l'égalité femmes/hommes et de la lutte contre les discriminations avec pour directeur artistique Vincent Mc Doom, star de la téléréalité et mannequin noir transgenre.

"Ma grand-mère, mes soeurs étaient toutes rondes et se plaignaient tout le temps qu'elles ne pouvaient pas s'habiller, faire ci, faire ça, parce que le regard public les dérangeait, elles se renfermaient sur elles-mêmes et à ce moment-là elles prenaient du poids", raconte à l'AFP Vincent Mc Doom. Mince, il a choisi la grossophobie comme thème de la lutte contre les discriminations, jugeant que les transgenres et les homosexuels étaient déjà bien représentés.

Karl Lagerfeld, comme d'autres stylistes, n'aimait pas les rondes

Sur les podiums, on voit toutes les couleurs de peau, l'âge cesse d'être un tabou mais il est encore rare de voir des mannequins rondes, encore moins à Paris qu'à New York ou à Londres. 

Connu pour son franc-parler, Karl Lagerfeld, la superstar planétaire de la mode, décédé le 19 février, a résumé tout haut ce que d'autres stylistes des grandes maisons laissent entendre quand on les interroge sur le choix des modèles : "Personne n'a envie de voir des femmes rondes sur les podiums". "Ce sont les grosses bonnes femmes assises avec leur paquet de chips devant la télévision qui disent que les mannequins minces sont hideux", ajoutait-il dans une interview au magazine allemand Focus en 2009, propos qui avaient suscité une plainte d'une association de défense des personnes rondes.

Les choses changent grâce à nombreuses "influenceuses" rondes populaires sur les réseaux sociaux, estime Vincent Mc Doom. "Maintenant c'est la mode qui est en retard".

Le mot grossophobie validé par les dictionnaires

Pour Hélène Bidard à l'origine d'une initiative pour faire valider le mot "grossophobie" par les dictionnaires Larousse et Robert (ce qu'elle a obtenu), le milieu de la mode "est en train de bouger, il y a un effet #Metoo dans tous les domaines". "Mais c'est trop lent et on part de très loin, c'est encore très dur d'avoir une diversité", déclare-t-elle. Accusée par des détracteurs de promouvoir l'obésité, elle répond : "nous faisons exactement le contraire. Lutter contre l'obésité ce n'est pas lutter contre les obèses, personne ne choisit de l'être, il faut accompagner ces personnes-là".

26 janvier 2019

Dita von Teese au cours du défilé de Jean Paul Gaultier -Fashion Week

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