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Jours tranquilles à Paris
20 juillet 2014

Journée nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites...

Cérémonie organisée dans le cadre de la "Journée nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l'État français et d'hommage aux Justes de France"
Dimanche 20 juillet 2014, 10h
Monument commémoratif de la rafle du Vél' d'Hiv
Quai de Grenelle - Place des martyrs juifs du Vél' d'Hiv, Paris 15e
Métro Bir Hakeim

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17 juillet 2014

In memorem : rafle du Veld'hiv

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Rafle du Vél'd'Hiv (16-17 juillet 1942)

Cette opération entraîna l'arrestation de 13 152 Juifs, dont la plupart (4 115 enfants, 2 916 femmes, 1 129 hommes) furent entassés dans l'enceinte du Vélodrome d'Hiver avant leur déportation. Elle fut menée dans le cadre de la politique nazie d'extermination des Juifs de toute l'Europe occupée décidée lors de la conférence de Wannsee, en janvier 1942.

Le programme génocidaire nazi prévoyait dans un premier temps la déportation de 30 000 Juifs de la zone occupée et 10 000 de la zone libre. Le gouvernement français dirigé par Pierre Laval limite les arrestations aux Juifs étrangers ou considérés comme « apatrides ». Adolf Eichmann négocie avec la police française – Jean Leguay (délégué de la police de Vichy en zone occupée) et René Bousquet (secrétaire général de la police française) – qui accepte de collaborer et d'organiser seule la rafle.

Pour la première fois en France, des femmes et des enfants sont raflés. Si cette rafle vise principalement les Juifs étrangers, la très grande majorité de leurs enfants sont de nationalité française, car nés en France.

Les Juifs arrêtés sont transportés par autobus au Vél' d'hiv' ; les célibataires et les couples sans enfant sont conduits au camp d'internement de Drancy ; de là, ils sont déportés vers le camp d'Auschwitz, où la plupart d'entre eux sont exterminés.

Les familles sont dirigées dans les camps de transit de Beaune-la-Rolande ou de Pithiviers, où elles sont séparées de force dans des conditions abominables avant d'être à leur tour déportées vers Auschwitz. Aucun des enfants n'est revenu ; moins d’une dizaine de mères ont survécu.

Une journée nationale commémorative (le dimanche suivant le 16 juillet) rappelant le drame a été instituée par le président François Mitterrand en 1993. Son successeur, Jacques Chirac, opère le 16 juillet 1995 un véritable tournant mémoriel, en reconnaissant, pour la première fois au nom de la République, la complicité de l’appareil de l’État français dans la persécution des Juifs.

La loi du 10 juillet 2000 a permis d’officialiser cette journée du souvenir en « instaurant une journée nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l’État français et d’hommage aux « Justes » de France ».

16 juillet 2014

In memorem...

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14 juillet 2014

14 juillet 2014

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Le défilé du 14 juillet sera ce lundi à Paris le premier temps fort des célébrations du centenaire de la Première Guerre mondiale, en présence de représentants de près de 80 nations qui furent impliquées d’une manière ou d’une autre dans le conflit.

«Sur les Champs-Elysées, la moitié des Nations du monde est représentée», écrit le président François Hollande dans un message diffusé à l’occasion de la fête nationale.

Alliés ou ennemis d’hier, 75 des 80 pays invités avaient déjà répondu «présent» ces derniers jours. Pour la première fois, la quasi-totalité des nations engagées sur le théâtre européen durant le conflit seront ainsi réunies pour transmettre un message de paix et de solidarité.

Pas de chefs d’Etat étrangers pour ce 14 juillet 2014. La plupart des nations invitées seront représentées par un officiel en tribune - le plus souvent le ministre de la Défense - un porte-drapeau et deux gardes pour une «parade aux emblèmes» face à la tribune officielle dressée Place de la Concorde.

De nombreux pays invités fournirent des combattants, d’autres, comme la Chine, des travailleurs, pendant les quatre ans du conflit. Nombre d’entre eux étaient alors intégrés aux grands empires coloniaux, dont la Grande Guerre a amorcé le démantèlement.

L’Algérie, dont la présence a provoqué un début de polémique, à Paris comme à Alger, a confirmé qu’elle serait représentée dans le même format que les autres nations. L’occasion de rendre hommage aux quelque 430.000 soldats venus de l’ensemble des colonies françaises, d’Afrique et d’Asie, pour combattre en Europe.

Un peloton de militaires français, dans la tenue bleu horizon des soldats de 1914, accompagnera les délégations étrangères. Et le Choeur de l’armée française entonnera des chants de «poilus», avant le défilé militaire, vers 10H30.

- «Porter un message de confiance» -

A l’issue du défilé, environ 250 garçons et filles venus des pays invités formeront un tableau composé par le chorégraphe José Montalvo, pour un final tourné vers l’avenir.

La date-même du 14 juillet ne revêtant aucune signification particulière par rapport au premier conflit mondial, c’est la guerre de 1914-1918 dans sa globalité qui sera commémorée lors de ce premier grand rendez-vous du Centenaire.

Très impliqué dans les commémorations qui scandent l’année 2014, le chef de l’Etat entend en tirer partie pour mobiliser les Français et «porter un message de confiance» dans le pays, comme il l’avait affirmé en présentant le programme des manifestations, en septembre 2013. A leur arrivée à Paris, il a accueilli lui-même, lundi à l’Ecole militaire, les jeunes des pays invités au défilé.

Trois autres temps forts suivront en 2014 sur le front du Centenaire. Evénement franco-allemand le 3 août, date commémorative de la déclaration de guerre de l’Allemagne à la France, sur le site du Hartmannswillerkopf (Haut-Rhin), en présence du président français et de son homologue allemand, Joachim Gauck. La victoire française de la bataille de la Marne sera commémorée le 12 septembre et un hommage sera rendu à tous les combattants le 11 novembre, lors d’une cérémonie internationale dans le Pas-de-Calais.

La volonté de rassemblement de la France autour du centenaire du conflit s’est parfois heurtée à la diversité des mémoires nationales, certains pays préférant rester en retrait.

Les célébrations sur les Champs-Elysées s’achèveront par un lâcher de colombes. D’autres cérémonies auront lieu un peu partout en France à l’occasion de la fête nationale. Les Parisiens pourront prolonger la journée autour notamment d’un «bivouac des Poilus» reconstitué dans le jardin des Tuileries. L’occasion de découvrir des matériels et armements, comme un canon de 75 mm, des taxis de la Marne ou une ambulance américaine, emblématiques de la Grande Guerre. source AFP

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13 juillet 2014

Archives : il y a 16 ans, la France gagnait la Coupe du Monde

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12 juillet 2014

Libération de Paris

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12 juillet 2014

Alfred Dreyfus

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La statue de Dreyfus dans la cour centrale du Musée d'Art et d'Histoire du judaïsme

Alfred Dreyfus, né le 9 octobre 1859 à Mulhouse, mort le 12 juillet 1935 à Paris, est un officier français d'ascendance alsacienne et de confession juive, victime en 1894 d'une erreur judiciaire qui est à l'origine d'une crise politique majeure des débuts de la IIIe République, l'affaire Dreyfus (1894–1906), au cours de laquelle l'opinion française s'est divisée en deux clans ennemis : les dreyfusards et les antidreyfusards

Voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/Alfred_Dreyfus

http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Dreyfus

https://www.google.fr/search?q=dreyfus&client=firefox-a&hs=NOM&rls=org.mozilla:fr:official&channel=sb&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ei=4F0hU9DRAoeX1AWv1YD4DA&ved=0CEYQsAQ&biw=1280&bih=880

8 juillet 2014

14 juillet 2014

La fête nationale du ‪#‎14juillet‬ aux couleurs du centenaire de la première guerre mondiale. Pour la première fois, l’ensemble des nations ayant participé au premier conflit mondial en Europe se réunissent pour une manifestation commémorative exceptionnelle > Retrouvez le dossier consacré à l'évènement : http://www.elysee.fr/communiques-de-presse/article/dossier-de-presse-relatif-a-la-ceremonie-du-14-juillet-201/

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Un 14-Juillet sous le signe de la Grande Guerre

80 pays ont été invités pour un hommage aux morts de la Première Guerre mondiale, mais la présence de l’Algérie sur les Champs-Élysées fait débat.

Le défilé du 14-Juillet sur les Champs-Élysées, c’est d’abord l’armée française qui défile. La prochaine édition ne dérogera pas à la tradition : 3 752 hommes à pied, 76 chiens et 241 chevaux, 54 avions, 40 hélicoptères, 285 véhicules, dont 82 motos, seront au rendez-vous.

Polémique

De l’Ouest viendront les détachements de l’École spéciale militaire et de l’École militaire interarmes de Saint-Cyr, de l’École navale et des Écoles du Poulmic, de l’École de maistrance de Brest, et enfin de l’École nationale de police de SaintMalo. Seules unités combattantes représentées : les fusiliers marins et commandos marine de Lorient. La particularité de cette édition tient dans la présence de 80 pays ayant engagé des troupes ou des travailleurs sur le continent européen pendant la Grande Guerre. Ces pays envoient un représentant gouvernemental, une délégation de trois soldats dont un porte-drapeau et quatre jeunes gens âgés de 18 à 25 ans. La présence du Vietnam, et surtout celle de l’Algérie, même s’ils ne descendront pas les Champs-Élysées, font polémique. Certaines associations de harkis et d’anciens combattants ont exprimé leur indignation et demandé le retrait des représentants algériens. Tout comme le Front national :« Cette présence militaire honteuse sur le sol français est une provocation indigne et le signe d ’un très grand mépris pour tous les morts, disparus ou suppliciés victimes de cette armée ». En ouverture du défilé, les portedrapeaux et leurs gardes présenteront les honneurs aux autorités. Encadrés de deux pelotons de militaires en uniforme et équipements de la Première Guerre mondiale, suivant le drapeau du régiment d’infanterie chars de marine (RICM) de Poitiers qui ouvrira la parade, ainsi qu’un drapeau européen porté par trois militaires du bataillon de réserve Ile-deFrance, les emblèmes pénétreront sur la place de la Concorde et prendront position face au président de la République. À l’issue du défilé, les quelque 320 jeunes réaliseront sur la place de la Concorde une chorégraphie conçue par José Montalvo, artiste permanent au Théâtre national de Chaillot. Sur la musique du concerto pour clarinette de Mozart, ils rendront hommage à la mémoire des disparus.

4 juillet 2014

Benoit Duquesne

2 juillet 2014

70ème anniversaire du Débarquement en Normandie - Les Bérets verts

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