Averell Dalton
Le plus grand (7 pieds), jeune et bête des frères Dalton, bien qu'il ait parfois des éclairs de génie. Au début de leurs péripéties, il est également le plus fort, autant que Lucky Luke (leur première bagarre se termine par un match nul). Il est foncièrement honnête : Lucky Luke a souvent utilisé cette caractéristique contre les Dalton. Averell aime beaucoup Rantanplan. Il est célèbre pour sa phrase : « Quand est-ce qu'on mange ? » déclamée dans des circonstances parfois loufoques. Il est aussi le fils préféré de Ma Dalton. Par contre, il tire aussi bien au revolver que ses trois frères.
Et voici une photo d'Averell (à sa demande...)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fr%C3%A8res_Dalton_%28Lucky_Luke%29
Bon là, il n'est pas au mieux de sa forme. Il avait été désigné à la courte paille pour être la cible d'un lanceur de couteaux. Bien qu'il soit le plus grand, le plus jeune et le plus bête des frères Dalton, il n'en menait pas large !
Un des frères Dalton ?
C'est Joe Dalton
Le plus âgé, petit (4 pieds et 7 pouces de haut), méchant et (relativement) intelligent. Il hait viscéralement Lucky Luke et ferait n'importe quoi pour le descendre (la simple mention de son nom le fait toujours sortir de ses gonds et sa réplique fétiche est : « Je hais Lucky Luke ! Je hais Lucky Luke ! »). Mais soit que le brave cow-boy est tout particulièrement judicieux soit que le meurtre ne fait décidément pas partie du catalogue de ces cousins Dalton, Joe aura maintes occasions d'assouvir enfin sa haine mais suspendra à chaque fois pour un motif défendable. Les deux hommes, parfois, ont même des discussions quasi fraternelles. Joe déteste aussi Rantanplan. Il a souvent des démêlés avec Averell (voir plus haut). Il lui arrive parfois de se battre avec les gardes de la prison, ainsi qu'avec n'importe qui.
L'épisode Ma Dalton offre à Joe une dimension : le sentiment. Le rapport avec sa mère, conflictuel en diable, est à base d'un amour profond de part et d'autre et cela même si Ma semble chérir son grand dernier, Averell. Sa confession, tardive, à Joe est surprenante : « Tu es celui qui ressemble le plus à ton pauvre père, c'est pour ça que j'ai toujours eu un faible pour toi. »