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Jours tranquilles à Paris

4 février 2017

In memorem : Jean Paul II et le Dalaï Lama

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4 février 2017

Centre Pompidou

4 février 2017

Vu au Salon International d'Art Contemporain

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4 février 2017

Patrick Demarchelier (photographe)

3 février 2017

Mademoiselle A

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3 février 2017

Hologrammes en campagne – Texte de Laurent Joffrin

Jean-Luc Mélenchon tient meeting dimanche, à Lyon en chair et en os, à Paris, sous la forme d’un hologramme. Amusante innovation. Mais le véritable hologramme, c’est Fillon. Quand on le regarde, on voit à travers. Il court partout en criant «Le complot ! Le complot ! Le complot !» comme Toinette dans Molière répétait «Le poumon ! Le poumon ! Le poumon !» Mais personne n’y croit. C’est un martyr imaginaire. Son épouse, plus victime que coupable, vient de lui donner le coup de grâce. Reprenons sa phrase, prononcée en 2007 et diffusée jeudi soir sur France 2 devant plus de cinq millions de spectateurs : «Je n’ai jamais été assistante de mon mari ou quoi que ce soit de ce genre.» Comme on ne voit pas pourquoi elle aurait menti, interrogée avec candeur par une journaliste britannique, sans aucune pression ni enjeu, elle ruine la défense de son mari qui maintient dur comme fer qu’elle travaillait pour lui d’arrache-pied.

On se demande même si elle savait vraiment qu’elle était au même moment payée par l’Assemblée. Si ses propos reflètent la vérité, il s’agit bien d’un emploi fictif, et donc d’un enrichissement personnel, puisque l’argent tombait sur le compte familial. Selon les sondages, les trois quarts des Français pensent la même chose. C’est donc bien un candidat fantôme qui bat les estrades, ou bien un de ces personnages de dessin animé qui a franchi la limite du précipice sans s’en apercevoir et qui court dans le vide avant de tomber d’un coup.

Il reste à savoir qui se dévouera pour débrancher l’hologramme. La lecture du Figaro ce matin est édifiante. La droite profonde commence à se révolter, les caciques cherchent un plan B et l’éditorial de Guillaume Tabard se termine par cette phrase : «Gérard Larcher est pressenti pour cette tâche délicate. Ce moment, semble-t-il, approche.»

3 février 2017

Extrait d'un shooting - mode

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3 février 2017

L’art contemporain va accoster sur l’île Seguin

Par Harry Bellet

La ville de Boulogne-Billancourt a présenté le projet culturel et artistique d’aménagement de la pointe amont qui devrait voir le jour en 2021.

Va-t-on vers la fin du feuilleton de l’île Seguin ? Depuis qu’en 2005, François Pinault avait annoncé sa décision d’interrompre son projet d’y créer une fondation consacrée à l’art contemporain (qu’il a préféré bâtir à Venise), il pesait sur le lieu – la pointe amont de l’île – une étrange malédiction.

En 2016, l’homme d’affaires suisseYves Bouvier, empêtré dans un procès contre le milliardaire monégasque d’origine russe Dmitri Rybolovlev, avait mis fin au projet R4, imaginé par Jean Nouvel, prévoyant de bâtir un complexe consacré aux arts plastiques. D’aucuns en accusaient les nombreux recours déposés par des associations locales – lesquelles étaient toutefois dans leur rôle – contre les permis de construire successifs.

Un autre projet est aujourd’hui présenté par les nouveaux promoteurs de l’endroit, le groupe français Emerige et l’investisseur suisse AOG (Addax & Oryx Group). L’un comme l’autre ont la particularité d’être dirigés par des collectionneurs d’art, le promoteur Laurent Dumas pour le premier et l’homme d’affaires genevois Jean-Claude Gandur pour le second.

Deux lieux d’exposition

De R4, plaisant clin d’œil à l’une des automobiles les plus populaires produites par les usines Renault, ancien occupant de l’île, il a été rebaptisé S17 S18, d’après le numéro des lots des deux parcelles qu’ils entendent bâtir. S 18, c’est la pointe nord de l’île, celle qui regarde vers Paris. Elle devrait accueillir, sur 13 000 mètres carrés, un hôtel de 220 chambres (avec bar et piscine sur le toit), lesquelles auront la particularité d’abriter chacune une œuvre d’art contemporain commandée à autant d’artistes « de la scène française émergente »,précise le communiqué de presse.

Le lot S17 abritera quant à lui un cinéma multiplexe (huit salles), des commerces et des bureaux, mais aussi, outre des réserves visitables, deux lieux d’exposition, l’un – un showroom – qui serait confié au Comité professionnel des galeries d’art, l’autre – un centre d’art – placé sous la direction de Jérôme Sans, l’un des fondateurs du Palais de Tokyo.

Il est déjà prévu d’y montrer, histoire de rappeler l’histoire de l’île, la collection d’art contemporain constituée par la régie Renault à partir de 1967, mais aussi la collection des deux hommes d’affaires (celle de Jean-Claude Gandur est si importante qu’il avait proposé au Musée d’art et d’histoire de Genève de financer son agrandissement pour pouvoir l’abriter, une offre rejetée après une votation populaire) et celle de la Fondation Giacometti à Paris. Le lieu devrait aussi accueillir une partie des activités de l’association La Source, créée par le peintre Gérard Garouste pour venir en aide aux enfants en difficulté.

« Concentration culturelle »

Si le plan directeur des deux bâtiments s’appuie sur celui conçu naguère par Jean Nouvel, ce n’est pourtant pas lui qui a été retenu pour les réaliser. L’hôtel a été confié à l’agence autrichienne Baumschlager Eberle, le centre d’art aux architectes catalans du groupe RCR, qui ont construit, notamment, le Musée Soulages de Rodez et au Français Jean-Philippe Le Bœuf. Les parties paysagères seront imaginées par Michel Desvigne. Si les permis de construire sont acceptés, l’ensemble devrait être achevé en 2021.

L’île Seguin recevant déjà à sa pointe sud le nouvel auditorium et la salle de spectacle, dite La Seine musicale, érigés par l’architecte japonais Shigeru Ban et son confrère Français Jean de Gastines, on s’oriente, selon Pierre-Christophe Baguet, maire (Les Républicains) de Boulogne-Billancourt, vers « une des plus grandes concentrations culturelles d’Europe ».

L’île est en effet proche de lieux existants, comme la Tour aux figuresde Jean Dubuffet, le Musée des années 1930, le Musée-jardin Albert Kahn (en travaux actuellement) ou la très dynamique Cité de la céramique de Sèvres, qui ne pourront que bénéficier de la proximité de ce nouvel ensemble.

3 février 2017

Elections Présidentielles

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3 février 2017

La La Land (vu ce soir)

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