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Jours tranquilles à Paris

22 septembre 2015

Centre Pompidou - Vu sur Instagram

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22 septembre 2015

Le Pape François a rencontré Fidel Castro

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22 septembre 2015

Silence ! On tourne...

Le guerrier qui débarque, la scène du druide qui a la vision de la bataille, puis celle des femmes et enfants qui assistent au départ des hommes pour le combat : ces trois scènes de la Bataille des Vénêtes sont en tournage depuis samedi sur la plage de Kerhillio, à Erdeven, sous la direction de Gallien Chanalet-Quercy, dans une (super) co-production avec Lionel Buannic. Ce film en 4D qui constitue une première en Bretagne de cette importance, sera une des attractions phares du futur parc d’attraction vannetais Diorren, voué à l’histoire de Bretagne. Le tournage se poursuit à Etel jeudi matin et jusqu’à dimanche à Vannes.

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22 septembre 2015

"Vive la Marée !"

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Deux dessinateurs de haut vol, David Prudhomme et Pascal Rabaté, s’associent pour un album expérimental, mélancolique et jubilatoire: "Vive la Marée !". La preuve en quelques planches.

C’est absurde, une plage. Un ruban de sable coincée entre la mer, le ciel et la terre. On a parcouru des centaines de kilomètres (en voiture, en train), on s’est gonflé d’optimisme («rien ne gâchera notre journée»), on a longé le camping, et soudain on crie : «La mer !» Et puis il ne se passe rien. Ou presque.

Et c’est ce presque-rien qui fait la matière de l’album épatant que publient le duo Prudhomme-Rabaté.

Un homme, mains dans le dos et bide en avant, regarde un autre homme, qui tient une épuisette et un seau, lequel parle à sa femme, allongée sur le ventre, qui lit le journal. «On en ramasse par kilos. Tu ne veux toujours pas venir? – Non ! Tu veux que je reste avec toi, alors?... – Je suis très bien là. Je voudrais lire maintenant.» L’homme qui observe tourne les talons : «J’ai déjà vécu la même scène avec des bigorneaux.»

Sept garçons assis regardent passer une fille qui se sèche les cheveux : «La salope !» Un autre, également les mains dans le dos, s’aventure jusqu’à la zone naturiste. Un troisième passe en revue les candidats au concours du plus beau pâté de sable. Un bateau gonflable traverse la route, on voit juste les jambes de celui qui le porte. Un nageur se passe sa serviette de bain entre les cuisses. Un enfant joue avec des soldats de plomb.

Un garçon court : «Hahaha. Trop bien ! Trop bien ! Elle est trop bonne! Elle est trop bonne!» Une pleine page rassemble un joli bouquet de brèves de plage : «C’est stupide de déprimer en vacances»; «Rebouche la moutarde»; «Il m’aura tout fait»; « J’ai dormi combien de temps»; «Il y a des jours où on entend tous les sons de la plage… et puis d’autres non… bizarre… le vent sûrement.»

La BD est art narratif, donc les auteurs s’évertuent à nous raconter des histoires. Très bien. Mais parfois, ils font le reste à la va-vite, en se disant que ça ne se verra pas : les détails, le décor, les dialogues. Ici, c’est d’abord le détail qui compte, la construction de la case, les conversations, les regards, l’espace entre les personnages plus que les personnages eux-mêmes. On a le sentiment d’être juste en-dessous de la ligne de narration. Mais pas non plus en-dehors du monde. Moins la BD invente de fiction, plus elle se montre disponible au réel. Ici aussi, tout va mal, ici aussi on se mesure, on se jauge. Socialement : «Mon Dieu, les prolos…» Un avion passe, une publicité accrochée à l’aileron : «Travail intérimaire Adequat». Sexuellement aussi, il y a de la domination (trop d’exemples à donner).

Mais toutes ces violences sont enfin désactivées : avec Rabaté et Prudhomme, tout se passe au ralenti, sans friction. Ce sont juste des instants, dans un silence vertigineux. En freinant le monde, ils le rendent vivable. C’est admirable. Alors, en voici 12 planches, pour faire comme un dernier week-end à la plage.

Eric Aeschimann

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Vive la marée, par David Prudhomme et Pascal Rabaté,

Futuropolis, 120 p., 20 euros

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22 septembre 2015

Mirand Kerr photographiée par Terry Richardson

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22 septembre 2015

World Press Photo - exposition - attention derniers jours

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22 septembre 2015

Laetitia Casta

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22 septembre 2015

Vu à la Galerie Agnés b - Rue Quincampoix - Paris

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22 septembre 2015

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La famille est au cœur de la 5e édition de Photoquai, la biennale des images du monde (non occidental) du Quai Branly, baptisée "We Are Family". Mais pas au sens strict, plutôt au sens de "faire famille", constituer une famille autour de quelque chose qui fait sens. 40 photographes ont été sélectionnés pour présenter "une photographie de l'humanité", de la Russie au Mexique, de la Côte d'Ivoire à l'Inde. Sur les quais de la Seine en face du Musée du quai Branly, du 22 septembre au 22 novembre 2015.

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Ici, Photo Tiago Coelho, "Miss Ana", Brésil © Tiago Coelho – Musée du quai Branly – Photoquai 2015

22 septembre 2015

Prochain VOGUE - bientôt dans les kiosques...

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