Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Jours tranquilles à Paris

22 octobre 2020

HIKIKOMORIS

Publicité
22 octobre 2020

Guy Môquet

Guy Môquet, né le 26 avril 1924 à Paris et mort le 22 octobre 1941 à Châteaubriant (Loire-Inférieure1), est un militant communiste, célèbre pour avoir été le plus jeune des quarante-huit otages fusillés, le 22 octobre 1941, à Châteaubriant, Nantes et Paris en représailles après la mort de Karl Hotz.

Son nom, plus particulièrement associé à celui des vingt-sept fusillés du camp de Châteaubriant, est passé dans l'histoire comme un symbole des héros et des martyrs français de l'Occupation allemande durant la Seconde Guerre Mondiale.

guy môquet

Octobre 1941, le gouvernement de Vichy livre à l’occupant allemand 48 otages, essentiellement des syndicalistes et des communistes. Ces otages, dont Guy Môquet, âgé de16 ans, furent fusillés en représailles à l’exécution d’un officier allemand. N'oublions jamais.

22 octobre 2020

Ce soir sur ARTE...

marine21

Informations

Genre : Série - Thriller

Année : 2020

Avec : Olivier Gourmet, Marine Vacth, Marc Zinga, Arnaud Valois, Michael Cambier, Sabrina Lopez Leonard...

Résumé de l'Episode 1

Au huitième étage d'une tour, un homme prend feu au milieu de la foule. Louise, jeune journaliste stagiaire, s'invite parmi les policiers pour obtenir des informations. De son côté, Gabriel, psychiatre respecté mais qui fait le deuil de son enfant, prend un patient difficile : Jimmy, un chauffeur de bus qui a des absences à répétition. Toutes les nuits, il se brûle volontairement à la flamme de sa cuisinière pour expier ses fautes, selon les préceptes d'une religion qu'il applique à la lettre. Louise apprend que la première victime consultait Gabriel. 

marine20

22 octobre 2020

Le ministre de l'Intérieur et les rayons communautaires... réflexion

dessin rayons communautaires

22 octobre 2020

TRIBUTE TO HELMUT NEWTON from Corentin Coëplet on Vimeo.

Publicité
22 octobre 2020

Insolite. Inspirée par le Covid, l’artiste rouennaise Sabine Pigalle masque Vermeer et détourne Vinci

pigalle s

Vinci ou Vermeer détournés ! L’artiste rouennaise Sabine Pigalle qui expose au centre d’art contemporain de la Matmut à Saint-Pierre-de-Varengeville, déjà reine du détournement (porté au paroxysme de l’élégance) a trouvé un nouveau terrain de jeu avec le coronavirus.

Véronique BAUD

Pas touche à Vermeer ou Vinci ! Ce n’est pas le parti pris de Sabine Pigalle, photographe d’origine rouennaise, artiste reine du détournement qui expose actuellement au centre d’art contemporain de la Matmut à Saint-Pierre-de-Varengeville. Spécialiste des séries, elle associe des visages contemporains et des compositions picturales célèbres, jouant avec la reconnaissance du spectateur pour le pousser à observer attentivement les œuvres.

Le Coronavirus étant passé par là, une des séries s’intitule « Corona Diaries ». Cette fois il s’agit moins pour l’artiste de convertir des toiles en les « humanisant » par le mélange de photographie et de peinture, que de déranger le spectateur, ou peut-être aussi de l’amuser, en introduisant dans des tableaux de peintres célèbres, des éléments ayant trait à la pandémie.

Plus d’hermine mais un pangolin

Beaucoup de masques, qui viennent ainsi museler la Demoiselle à la Perle de Vermeer ou un homme au chapeau de Magritte. L’artiste n’hésite pas à mettre dans les bras de la célèbre « Dame à l’hermine » de Léonard de Vinci le non moins célèbre pangolin.

Celle qui détourne des peintures pour mieux séduire le spectateur gagne amplement son pari. Car la série Corona fonctionne comme un appât. Le reste de l’exposition qui ne révèle pas tous ses mystères dévoile de splendides parti pris comme dans la série tartans.

Sabine Pigalle travaille moins une narration et un contexte historique qu’un langage et un rapport à l’histoire de l’art elle-même. Parce qu’elle ne procède pas à proprement parler à des tableaux vivants, mais à des recompositions numériques.

Une surprise attend aussi les visiteurs à partir d’une toile du musée des Beaux-Arts de Rouen dans laquelle s’est introduite une des jeunes femmes les plus médiatisées de l’année 2019.

CENTRE D’ART CONTEMPORAIN

425 rue du Château

76480 Saint-Pierre-de-Varengeville

Gratuit. Jusqu’au 3 janvier 2021.

Article de Véronique Baud

Journaliste, service Temps libre

22 octobre 2020

Laetitia Casta

casta64

22 octobre 2020

De la prime pour l’emploi au revenu universel - Libération

Aux Etats-Unis, comme en France, la prime pour l’emploi n’a généralement pas d’effet décisif sur le marché du travail. Pour stimuler la demande, le revenu universel semble plus pertinent.

Aux Etats-Unis, le système de protection sociale est largement conditionné par le travail. L’assurance chômage est versée si l’on a travaillé suffisamment par le passé. La prime pour l’emploi («Earned Income Tax Credit» ou EITC), quant à elle, est perçue par les travailleurs à bas salaire. Pour les adultes pauvres sans enfants et sans travail, il n’y a presque rien : à peu près 500 dollars d’aides sociales par an (1).

La prime pour l’emploi est l’un des piliers de la redistribution vers les bas revenus aux Etats-Unis. Mais elle laisse de côté les plus pauvres, ceux qui n’ont pas d’emploi du tout, contrairement au revenu universel qui pourrait apporter une sécurité économique à tous, travailleurs comme chômeurs. Le problème est d’autant plus saillant avec la crise sanitaire du Covid-19 : pour un travailleur peu qualifié, il est encore plus compliqué aujourd’hui de trouver un job, même mal payé, et de pouvoir ainsi bénéficier de la prime pour l’emploi.

Certes, la prime pour l’emploi permet, en temps de crise, de maintenir la demande et la consommation, et ainsi d’éviter un effondrement encore plus profond de l’économie. Mais elle est le contraire d’un stabilisateur automatique qui apporterait davantage de revenus aux salariés durant une crise et de chômage - contrairement à l’assurance chômage, exemple clé d’un tel stabilisateur automatique. Ainsi, si les sommes totales allouées par l’Etat à la prime pour l’emploi ont tendance à diminuer pendant les récessions, c’est tout simplement parce que l’emploi baisse. C’est bête, mais il fallait y penser !

Reste que l’argument phare en faveur de la prime pour l’emploi aux Etats-Unis serait son effet incitatif à chercher du travail, à l’inverse des aides sociales qui auraient tendance à décourager les chômeurs. Jusqu’à récemment, le consensus des économistes estimait que la prime pour l’emploi augmentait la participation sur le marché du travail. Mais une nouvelle analyse de l’économiste Henrik Kleven montre que dans les faits, la prime n’a généralement pas eu d’effet sur l’emploi, même quand elle a été augmentée dans différents Etats américains (2). Et si une réforme de 1993 a eu des effets bénéfiques sur l’emploi ce fut davantage dû à une conjoncture exceptionnellement favorable sur le marché du travail, qu’à la fameuse prime. Des économistes sont arrivés aux mêmes conclusions concernant la France : la prime pour l’emploi n’a eu que des effets très modestes (3).

En réalité, pour stimuler le marché du travail, le revenu universel semble plus pertinent : il permet aux individus de consommer davantage, d’aller dans les magasins et aux restaurants. Ces commerces augmentent alors les heures de travail pour satisfaire la demande. Lors d’une expérience randomisée au Kenya, les commerces ont dû augmenter leur masse salariale pour faire face à la demande générée par le revenu universel (4).

Globalement, la prime pour l’emploi reste redistributive puisqu’elle bénéficie aux individus qui ont des revenus très modestes. Il n’y a donc pas lieu de s’en débarrasser s’il n’y a rien de mieux pour la remplacer. Mais elle ne peut pas justifier son existence par l’incitation au travail. Au mieux elle «récompense» ceux qui travaillent, indépendamment de toute incitation. La question est de savoir si ceux qui travaillent sont vraiment plus méritants que les autres, et s’ils devraient recevoir davantage d’aides que les chômeurs, alors qu’ils gagnent déjà plus d’argent grâce à leur emploi. L’hypothèse implicite du revenu universel est que tout le monde mérite également un revenu de base. La prime pour l’emploi veut avant tout récompenser le travail. C’est un choix de société.

(1) «Universal Basic Income in the US and Advanced Countries», Hilary W. Hoynes et Jesse Rothstein, 2019. (2) «The EITC and the Extensive Margin : A Reappraisal». (3) «Un bilan des études sur la prime pour l’emploi», Elena G. F. Stancanelli et Henri Sterdyniak, 2004. (4) «General Equilibrium Effects of Cash Transfers : Experimental Evidence From Kenya», Dennis Egger…, 2019.

Cette chronique est assurée en alternance par Anne-Laure Delatte, Ioana Marinescu, Bruno Amable et Pierre-Yves Geoffard.

22 octobre 2020

Hommage à Samuel Paty

samuel25

samuel51

samuel52

samuel56

samuel62

lumieres

22 octobre 2020

Mitsubishi

mitsu

mitsu54

Publicité
Publicité