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Jours tranquilles à Paris

2 novembre 2014

Autoportrait (selfie)

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Dans l'ascenseur

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2 novembre 2014

Opéra de Paris (by night)

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Photo : Noémie

2 novembre 2014

Jour des Défunts

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2 novembre, se souvenir et agir

Depuis le X siècle, chaque année le 2 novembre, les chrétiens font mémoire de ceux qui les ont quittés. Cette tradition perdure à travers les siècles. Elle s’est étendue sur tous les continents, traversant les cultures et les empires aussi nombreux que changeants. Se souvenir des défunts, méditer leur vie pour y découvrir la sagesse, s’interroger sur la finalité ultime de la vie n’est pas l’apanage du christianisme. Toutes les civilisations ont intégré ce passage vers l’inconnu. L’Égypte à sa manière grandiose construisait des pyramides : palais endormis à l’ombre du jour où rien ne devait manquer pour la fête lorsque surgirait la résurrection, si ardemment attendue. Les peuples de tradition orale à la voix vibrante gravaient dans les cœurs et non sur la pierre les hauts faits des ancêtres, les proverbes énigmatiques. Ces longues mélopées transmises de génération en génération, invitaient chacun à chercher au-delà des apparences. Par sa constance, en invitant au long des siècles, à se souvenir des défunts, l’Église brandit un fanal dans la nuit, une petite lumière qu’aucune tempête n’a éteinte. Cette petite flamme rappelle combien notre condition humaine est éphémère et fragile et combien mystérieuse est la vie qui la remplit et l’emporte. Cette tension entre ces pôles ouvre l’espace du questionnement, de la recherche du lien indestructible unissant la fragilité à l’éternité. Mais nos sociétés, plongées dans l’immédiateté, peinent à regarder au loin. Elles chassent hors de leur vue cette fragilité qui dérange parce qu’elle rappelle que nous sommes de passage alors que nous aspirons à vivre toujours. C’est« une société qui a tellement peur de sa fragilité qu’elle finit par l’oublier en oubliant la mort, en effaçant les rituels, en effaçant le deuil », observait Jean Leonetti. Cette commémoration invite aussi à s’ouvrir au-delà du cercle des proches, vers ceux qui ont perdu la vie à cause de la guerre, de la misère mais aussi à cause de leur foi au Moyen Orient comme en Afrique. Depuis la seconde guerre mondiale on n’avait pas vu une telle persécution ! C’est un appel au respect des droits de l’homme, à la reconnaissance de la liberté de conscience et de religion mais aussi à la solidarité. Or, cette année, des centaines de milliers de personnes ont tenté de traverser la Méditerranée pour se réfugier en Europe. Si 130 000 personnes ont été sauvées grâce aux opérations menées, des milliers d’autres – hommes, femmes et enfants – ont succombé lors de la traversée. C’est un scandale. C’est vers eux que ce jour oriente les cœurs, eux dont personne ne fait mémoire car, ici, on ne connaît ni leurs noms ni leurs visages. Ce 2 novembre célébré sur tous les continents, est un cri lancé à la face du monde pour réveiller les consciences et un appel à agir au nom de la fraternité. Editorial Ouest France

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1 novembre 2014

Nouveau survol de drones au-dessus de cinq centrales nucléaires

Le mystère enfle et plonge les autorités dans l'embarras. De nouveaux survols de centrales par de petits drones, cinq au total, auraient en effet eu lieu vendredi soir entre 19 heures et minuit. Les responsables et leurs motivations ne sont toujours pas connus. Vendredi soir, entre 19 heures et minuit, ce sont donc les centrales de Penly (Seine-Maritime), Flamanville (Manche), Saint-Laurent-des-Eaux (Loir-et-Cher), Dampierre-en-Burly (Loiret) et Fessenheim (Haut-Rhin) qui ont chacune été survolées, selon le même mode opératoire qui se répète depuis plusieurs jours. Des vols non confirmés officiellement. Selon l'AFP, ni le ministère de l'Intérieur, ni la gendarmerie nationale ou même EDF n'ont souhaité commenter ou confirmer cette information.

Jeudi soir déjà, Penly ainsi qu'une autre centrale en Tarn-et-Garonne avaient été survolées, les deux vers 21 heures, par des drones. Les engins n'avaient pas été neutralisés, "car ils ne représentaient pas de menace directe" pour la sécurité des installations, avait assuré un porte-parole de la gendarmerie. EDF a affirmé dans la semaine prévoir de porter plainte pour chacun de ces survols. Le survol des centrales nucléaires, interdit dans un périmètre de 5 kilomètres et de 1 000 mètres d'altitude autour des sites, est passible d'un an d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende.

Sept centrales nucléaires françaises avaient déjà été survolées par des drones au cours du mois d'octobre, des incidents "sans conséquence" selon EDF, mais qui soulèvent à nouveau la question de la sécurité des sites liés à l'atome.

Le ministère de l'Intérieur a affirmé jeudi que ces survols, "tous détectés", ne représentaient pas de danger pour la sécurité des installations survolées, "qui sont censées résister à des secousses sismiques de forte magnitude ou à des crashs d'avions de ligne".

Téléguidés par un simple smartphone

"Ces drones de petite taille, qu'on peut acheter facilement dans le commerce, ne représentent aucun danger. Parvenir à survoler une centrale nucléaire ne signifie pas que l'intégrité de l'installation est menacée", a insisté le porte-parole Pierre-Henry Brandet. "Le drone en tant que projectile lui-même ne présente pas de danger en cas de chute sur une centrale nucléaire en raison de son faible poids" , a confirmé à l'AFP Philippe Dupuy, adjoint à la direction Centrales nucléaires de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Qui plus est, dans les survols récents de centrales EDF, il s'agissait de "mini-drones". Vu la taille de ces engins, "il n'y a pas de menace avérée contre les installations en elles-mêmes", a estimé aussi un porte-parole de l'armée de l'air française.

Ces mini-drones de loisirs, vendus dans le commerce et téléguidés par un simple smartphone, sont trop légers (ils pèsent moins de 2 kilos) pour emporter des explosifs. En revanche, des drones plus sophistiqués utilisés normalement pour l'industrie (surveillance et maintenance des infrastructures ferroviaires et industrielles) et l'agriculture (informations sur les récoltes) seraient à même d'emporter des charges non négligeables.

La secrétaire nationale d'Europe Écologie-Les Verts (EELV) s'est, elle, dite "très inquiète" de ces survols. "Voir ces engins survoler des centrales nucléaires, c'est déjà une chose, se demander ce qu'ils peuvent faire avec ces engins, c'en est une autre", a ainsi affirmé Emmanuelle Cosse vendredi soir sur BFMTV. "Non, ce ne sont pas Greenpeace ou d'autres associations qui s'occupent de nucléaire qui font circuler ces drones", a-t-elle affirmé, précisant en avoir discuté avec plusieurs associations. Mais alors qui ? L'enquête se poursuit.

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1 novembre 2014

La Toussaint demeure une tradition bien vivante

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Photos prises aujourd'hui au cimétière du Montparnasse

Cimetière Montparnasse, Paris 14e, 3 boulevard Edgar Quinet : C’est l’un des plus grands espaces verts de la ville, qui s’étend sur pas moins de 19 hectares, plantés de 1 200 arbres. Il abrite les tombes de nombreux personnages illustres du monde des arts, de la vie politique ou historique du pays. On compte par exemple celle de Baudelaire, de Gainsbourg, recouverte de tickets de métro et de paquets de cigarettes, de Jean-Paul Sartre ou d’Alfred Dreyfus. Les visiteurs qui le souhaitent peuvent récupérer à l’entrée un plan indiquant l’emplacement des tombes les plus demandées.

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Au-delà des visites au cimetière, la Toussaint exprime le lien que l’on entretient avec nos défunts. Marie-Christine Bernard, enseignante à la Catho d’Angers, nous fait partager l’espérance des chrétiens.

Entretien : Marie-Christine Bernard, théologienne, spécialisée en anthropologie fondamentale.

Pourquoi la Toussaint est-elle encore une tradition bien vivante ?

Parce qu’elle offre l’occasion de manifester le lien que nous conservons avec les défunts. Ça, c’est très spécifique aux humains. On fait hommage à la mémoire du disparu. Le sens donné peut être très différent d’une personne à l’autre.

Avec un côté rituel…

Effectivement, même si la date pour commémorer les défunts est fixée par l’Église catholique au 2 novembre. Mais le jour de la Toussaint est devenu dans notre société celui où l’on manifeste son attachement à la mémoire du défunt, en nettoyant et en fleurissant sa tombe, par exemple, en parlant de lui…

Pourquoi l’Église reste-t-elle toujours aussi liée à ces circonstances ?

Elle présente à tous, croyants ou pas, un des rares lieux qui, à travers des rites, symbolise le lien au transcendant de ce qui nous tient à cœur. Elle a des gestes, des mots pour ça. C’est ce qui explique, par exemple, la présence à la messe de la Toussaint, de personnes qui ne fréquentent pas habituellement les églises.

Comme aux enterrements…

L’ensemble – bâtiment et cérémonial – même si l’on ne comprend pas tout, participe à ce lien qui nous dépasse. Qu’on l’appelle Dieu ou pas.

Pourquoi considérez-vous la Toussaint comme une fête joyeuse ?

Fête de tous les saints, elle nous pousse à être meilleurs, à désirer être « tous-saints ». C’est-à-dire vivants de l’Esprit de Dieu, malgré nos imperfections, à faire le bien…

Face à la mort, la foi chrétienne est-elle une aide ?

Oui, mais cela ne veut pas dire que le chagrin est moins important. Les chrétiens ne sont pas des surhommes. Mais ils croient que la vie continue autrement pour les défunts, et qu’on les retrouvera après la mort.

Ça reste une hypothèse…

Bien sûr, mais notre vie n’est pas réductible à sa dimension biologique. Nous transcendons notre corps. Nous le vivons déjà. Et cette vie-là, que devient-elle après la mort ? Pour l’Église catholique, ce n’est pas une hypothèse. Notre identité – aimée et crée par Dieu – ne peut pas mourir définitivement. La mort n’a pas le dernier mot. Nous restons vivants, mais dans une autre dimension. Cette espérance chrétienne s’enracine complètement dans l’expérience première de Jésus ressuscité. Recueilli par François VERCELLETTO.

Marie-Christine Bernard est l’auteur de Au rythme des fêtes chrétiennes , aux Éditions du Cerf, 192 pages, 14 €.

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1 novembre 2014

La France quitte la zone Euro....c'est ANARCHY

1 novembre 2014

Autoportrait en mode Halloween...

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1 novembre 2014

Extrait d'un shooting - fétichisme

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1 novembre 2014

Spectaculaire incendie à la Maison de la Radio

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Le personnel de la Maison de la Radio a dû évacuer le bâtiment à la mi-journée, hier à Paris. Un incendie s’était déclaré au 8e étage. Pendant près de deux heures, une certaine confusion a régné au sein de la « Maison ronde », située au bord de la Seine, qui abrite la plupart des radios publiques. Des colonnes de fumée noire ont, un moment, laissé penser que le feu s’était propagé à d’autres étages. Les émissions ont été suspendues. France Info a brièvement repris l’antenne, vers 13 h 35, avant d’interrompre, de nouveau, ses programmes. Les pompiers ont annoncé que le feu était éteint à 14 h 30 et que personne ne se trouvait à l’étage au moment de l’incendie, en raison de travaux. La Maison de la Radio a été construite il y a 50 ans ; elle est en chantier depuis 2009. Les programmes ont repris à 15 h.

1 novembre 2014

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