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Jours tranquilles à Paris

19 mars 2020

Coronavirus : "Nous sommes en guerre" Emmanuel Macron

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19 mars 2020

Échafaudage façade de mon immeuble...

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IMG_6779L'échafaudage vu de mon appartement

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19 mars 2020

Paris - pont de Bir-Hakeim

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19 mars 2020

Miley Cyrus

Le succès de "Wrecking Ball"

Pour son cinquième album intitulé "Bangerz" (2013), Miley Cyrus casse définitivement l'image lisse de ses débuts. Elle arbore une coupe courte, cheveux blond platine, et se la joue plus rebelle. Pour le hit "Wrecking Ball", elle déchaîne les commentaires dans le monde entier, avec un clip très osé. Signé du sulfureux photographe Terry Richardson, la vidéo met en scène la jeune chanteuse dans le plus simple appareil.

Assise sur une boule en métal retenue par une chaîne, elle se balance. Le clip atteint les 100 millions de vues en moins d'une semaine et cumule à ce jour 1 milliard de vues sur YouTube! Malgré la provocation assumée, le single se classe directement au top du Billboard Hot 100, et reste à cette place pendant plus de 2 semaines consécutives. Très rock, mais grand public, le hit devient un succès mondial.

Présent sur le même opus, le single "We Can't Stop" se vend à plus de 8 millions d'exemplaires. Dans le clip, Miley Cyrus continue à insister sur son image sulfureuse, avec des tenues qui font penser à Madonna, pendant sa période la plus osée. La vidéo comptabilise plus de 880 millions de vues. Avec le titre plus love "Adore You" (168 millions de vues), la belle se fait plus tendre, mais reste sexy, lorsqu'elle apparaît, très lascive, sous les draps !

Après "Hannah Montana", Miley Cyrus devait casser son image. Et être nue semblait être une bonne idée. Dans "Wrecking Ball", elle relève le défi et s'affiche sans complexe. Ou presque…

Une nouvelle Miley Cyrus

On est en 2013 et Miley Cyrus va encore et toujours plus loin. "Wrecking Ball" est un hit de l'album "Bangerz", le 5e de la chanteuse, et il est temps pour Miley de faire oublier la petite fille qu'elle était. Pari gagné ! C'est une Miley au corps sculpté qu'on voit apparaître après un gros plan sur son visage. Une boule de démolition, un mur et une massue sont les seuls accessoires de ce clip vu plus de 900 millions de fois. Miley, cheveux très courts, est en petite tenue, puis nue...

Quelques regrets

Si en 2013, Miley Cyrus avait besoin de changer de cap, depuis elle a parfois quelques regrets, car elle estime que cela a nui à sa crédibilité de chanteuse et l'a réduite à son attitude sexy. Nue sur la boule de démolition, léchant une massue, la jeune femme est vraiment très provocante. Elle sait maintenant doser le glamour avec beaucoup plus de subtilité et se montre plus naturelle, plus femme fatale, sans être trop dans la démonstration.

19 mars 2020

Milo Moiré - photos : Peter Palm

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19 mars 2020

Emballage - Le verre veut prendre sa revanche sur le plastique

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THE WALL STREET JOURNAL (NEW YORK)

L’impact négatif du plastique sur l’environnement redonne espoir à l’industrie du verre, en net recul aux États-Unis. Reste, dans ce pays, à faire de gros efforts de recyclage.

Les verriers comptent sur la disgrâce du plastique à usage unique pour enrayer la désaffection croissante pour leurs bouteilles et leurs bocaux. Ils devront toutefois commencer par améliorer un piètre taux de recyclage du verre [aux États-Unis] qui fragilise leur argumentaire sur les vertus écologiques de leurs produits.

Naguère incontournable pour conditionner le lait, le ketchup, la bière ou les sodas, le verre a été évincé par des matières plus légères et incassables comme le plastique et l’aluminium. Actuellement, 1 % seulement des sodas sont vendus dans une bouteille en verre aux États-Unis, contre près de 58 % en 1975, selon le cabinet de conseil Beverage Marketing. Sur la même période, le plastique, parti de zéro, a bondi à 32,5 %.

Aujourd’hui, les inquiétudes grandissantes au sujet des méfaits du plastique à usage unique sur l’environnement conduisent certains consommateurs à s’en détourner, poussant des groupes agroalimentaires comme Nestlé, PepsiCo et Unilever à s’intéresser aux contenants réutilisables et aux matières autres que le plastique.

Préserver les océans

Les verriers y voient une occasion de regagner les faveurs du consommateur. Récemment, une campagne de marketing financée par l’industrie verrière européenne remerciait les clients de supermarchés de participer à la préservation des océans en leur diffusant une vidéo de dauphins [à la caisse] chaque fois qu’ils scannaient un article vendu dans un récipient en verre.

“On a du mal à rester indifférents devant les images de milliards d’emballages plastiques se promenant dans le Pacifique”, rappelait l’année dernière, aux investisseurs, Andres Alberto Lopez, directeur général d’Owens-Illinois (O-I Glass Inc), le premier fournisseur mondial d’emballages en verre. “Le verre est un formidable substitut [au plastique].”

Arglass Yamamura [coentreprise du géant verrier japonais Nihon Yamamura Glass et de la société d’investissement américaine Cambium] est en train de construire en Géorgie la première verrerie à voir le jour aux États-Unis depuis douze ans, pour un montant de 123 millions de dollars. O-I, dont le siège se trouve à Perrysburg, dans l’Ohio, investit en ce moment plus de 60 millions de dollars dans la construction d’un nouveau four dans son usine française [de Gironcourt-sur-Vraine, dans les Vosges] – ce qui sera son premier projet d’expansion dans la région en vingt ans. Les verriers misent également sur les nouvelles technologies de manière à pouvoir changer rapidement de couleur et de moule afin de séduire les brasseries artisanales et les petites marques, rompant ainsi avec la production en grandes séries qui dominait dans l’industrie jusqu’à présent.

Deux tiers des pots en verre utilisés aux États-Unis ne sont pas recyclés

Les verriers rappellent que leurs produits – fabriqués à partir de sable – sont 100 % naturels, réutilisables et recyclables à l’infini. Le verre est l’unique contenant alimentaire de grande diffusion que la Food and Drug Administration [l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux] a estampillé “généralement considéré comme sûr”, ce qui signifie qu’il n’a pas besoin d’une autorisation préalable à la mise sur le marché. Moins perméable que le plastique, il permet de conserver plus longtemps les aliments et les boissons, ajoute Sokhna Gueye, responsable du département plastique et environnement chez Nestlé.

Les beaux discours des verriers sur les vertus de leur matière ne s’en fissurent pas moins par endroits, en particulier aux États-Unis. Le verre casse facilement et pèse lourd, ce qui augmente la consommation de carburant. Les tentatives de revenir aux contenants réutilisables pour la bière, le lait et le soda sont restées embryonnaires. Et, surtout, près des deux tiers des récipients en verre utilisés aux États-Unis ne sont pas recyclés, selon l’Agence américaine de protection de l’environnement.

Le recyclage n’est pas rentable, pointent les centres de tri. Pourquoi ? Parce que la plupart des Américains jettent le verre dans le même bac de recyclage que le papier et le plastique, où il se casse et sera difficile à récupérer. En Europe, où le verre est généralement déposé dans un bac conçu à cet effet et où les systèmes de consigne sont plus courants, plus des trois quarts des emballages en verre sont recyclés, selon la Fédération européenne du verre d’emballage.

Des verriers financent des programmes de collecte

Sans compter que le verre cassé déchire les tapis roulants des centres de tri et coûte plus cher à transporter vers des verreries qui sont situées de plus en plus loin. Aux États-Unis, la chute de la demande de sodas en bouteille s’est traduite par un effondrement du nombre de verreries : - 65 % depuis 1983.

“Longtemps, les gens ont pensé que le verre était recyclé alors qu’en réalité ce n’était pas le cas”, observe Erik Grabowsky, responsable de la gestion des déchets solides au comté d’Arlington, en Virginie, une des régions – de plus en plus nombreuses – qui n’assurent plus la collecte du verre sur les trottoirs. Jugés trop sales par les sociétés de recyclage, les contenants en verre atterrissent depuis belle lurette dans les centres d’enfouissement du comté, ajoute Erik Grabowsky.

Les verriers ont décidé de réagir et tentent d’améliorer les taux de recyclage en soutenant des programmes de collecte différenciée dans les régions qui ne sont pas dotées des infrastructures nécessaires. O-I et CAP Glass, une société de recyclage de Mount Pleasant, en Pennsylvanie, ont ainsi financé des collectes ponctuelles afin que les habitants de Pittsburgh puissent déposer leurs emballages en verre après que la société choisie par la ville pour assurer la collecte des ordures ménagères a décidé qu’elle ne récupérerait plus le verre. Les industriels du verre viennent de créer une fondation visant à améliorer les infrastructures de recyclage.

Les consommateurs en première ligne

L’année dernière, le comté d’Arlington et d’autres comtés de Virginie du Nord ont commencé à disposer des bacs violets réservés au verre. Les élus locaux assurent que le programme est un succès, et une partie du verre collecté est réutilisée par Strategic Materials – numéro un du recyclage du verre aux États-Unis – pour fabriquer de nouvelles bouteilles. Le plus difficile reste de trouver des gros volumes, observent les professionnels.

Malgré les efforts des verriers, la part des nouvelles boissons vendues dans du verre aux États-Unis n’était que de 25 % l’année dernière, contre 37 % en 2015, selon le cabinet d’études Mintel. “On devrait pouvoir tirer parti du désamour pour le plastique à usage unique, mais ça ne va pas être simple”, reconnaît Nipesh Shah, directeur général d’Anchor Glass Container, à Tampa [en Floride]. “La première chose à faire, c’est déjà d’empêcher que les fabricants abandonnent le verre pour le plastique.”

Les verriers espèrent que l’évolution des consommateurs remettra les contenants en verre réutilisables au goût du jour. L’empreinte carbone du verre à usage unique est un repoussoir pour les entreprises comme PepsiCo, affirme son responsable du développement durable, Simon Lowden. Selon une étude de l’International Journal of Life Cycle Assessment, une bouteille en verre de 75 centilitres doit être utilisée trois fois pour que son empreinte carbone égale celle d’une bouteille en plastique d’un demi-litre.

Coca-Cola, Procter & Gamble, Nestlé, PepsiCo et Unilever participent à une expérimentation baptisée “Loop” [“Boucle”] qui consiste à vendre des produits, comme du jus d’orange Tropicana ou de la mayonnaise Hellmann, dans des bouteilles et des pots consignés. Sur les 300 articles concernés par l’expérimentation, plus de la moitié est conditionnée dans du verre. “Le fait de réutiliser une bouteille en verre fait baisser son empreinte carbone, explique Ben Jordan, responsable du développement durable chez Coca-Cola. Quand elle n’est pas réutilisée, c’est l’inverse.”

Saabira Chaudhuri

19 mars 2020

Au petit matin - colleur d'affiches sur colonne Morris

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19 mars 2020

In Her Rooms - Maria Clara Macrì

Cette photographe italienne a immortalisé des femmes nues du monde entier dans leurs chambres

Neuf villes, des dizaines de jeunes femmes, de chambres, de corps, de regards et de partages d’intimité. Pour une impression : celle d’une authentique empathie.

“Dans l'expérience d'être face à face, sans vêtements et sans aucun type d'intérêt sexuel, une véritable destruction des stéréotypes s’opère, avec la découverte conséquente d'un monde unique et en même temps universel qui lie une femme à une autre". -- Carla Lonzi

Si vous y réfléchissez bien, cette citation est valable pour tous les types de relations humaines : les interactions avec le monde extérieur peuvent être réellement honnêtes, sans attentes ni préjugés inconscients. Mais seulement à la condition que le lien avec notre intériorité soit à son tour honnête et libre, plutôt que brisé, nié ou ignoré.

C’est de ce constat qu’est né In Her Rooms, le projet de la photographe italienne Maria Clara Macrì, dans lequel elle immortalise des femmes nues dans leur chambre, dans divers points du globe. Une recherche potentiellement infinie de qui nous sommes, au-delà des étiquettes et des catégorisations sociales. Maria Clara elle-même nous en parle ainsi : "Dans cette période [après avoir commencé le projet, NdA] j'ai réalisé que plus j'apprenais à m'ouvrir et à m'accepter, plus je m'intéressais à la connaissance de l'autre, de la société dans ses contradictions et surtout de cet univers féminin qui commençait à changer sous mes yeux, mais que je voyais toujours ancré dans des définitions dans lesquelles je ne me reconnaissais pas".

Débuté en février 2018, le projet In Her Rooms deviendra sous peu un livre qui recueillera tous les textes écrits par son auteure durant ses voyages, et qui s’intitulera 13 Moons to Find Her.

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In Her Rooms - Maria Clara Macrì

"De l'idée de rendre à la femme sa nudité, de délier le corps de l'objectivation sexuelle, est née la nécessité d'entreprendre une enquête sur les pièces où se déroule la découverte de soi, dans nos moments de liberté et d'intimité, comme l'écrit à juste titre Virigina Woolf dans son essai A Room of One's Own (1929)". C'est ainsi que Maria Clara a quitté sa chambre pour entrer dans celle d'une série de filles rencontrées par hasard dans les rues de New York, Los Angeles, Barcelone, Manchester, Paris, Valence, Marseille, Milan et Rome. Aucune d’entre elles, ou presque, n’est originaire du lieu où elle a été photographiée. Ce qui lui a permis de saisir l'essence d'un nouveau sentiment féminin international et global.

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In Her Rooms - Maria Clara Macrì

"Avec certaines d'entre elles, je n'ai passé que quelques heures, mais d'autres m'ont accueillie pendant des jours comme des sœurs. Ce sont des femmes qui choisissent la liberté d'expression sous toutes ses formes et qui recherchent, comme moi, en elles-mêmes et dans leur vie créative une expression de la féminité non liée aux normes qui l'ont toujours confinée et définie". Comme nous l'a dit Maria Clara, les photographies, tous prises en argentique , sont une démonstration tangible qu'il est nécessaire de commencer à travailler sur une nouvelle conscience et une nouvelle image de la féminité, débarrassée des stéréotypes de son objectivation sexuelle et de son exploitation sur le marché.

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In Her Rooms - Maria Clara Macrì

In Her Rooms vous ouvrira les yeux sur les contradictions contre lesquelles nous sommes obligées de nous battre chaque jour, et auxquelles nous ne pouvons faire face qu'en nous ouvrant à la discussion et en remettant en question nos positions. "Une fois le tournage terminé, elles m'ont dit que je leur avais permis de se sentir mieux, enfin libres", commente Maria Clara, et nous ajoutons qu'une fois que nous avons feuilleté les plans, ce sentiment de liberté est apparu éclatant, comme si nous étions nues devant un miroir avec les filles et Maria Clara, sans compétition ni gêne, mais seulement avec leurs individualités respectives mises en communication par une empathie des plus sincères.

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In Her Rooms - Maria Clara Macrì

18 mars 2020

France-Coronavirus: Des sorties abusives, des marchés bondés, des abus et des escroqueries en tout genre

Au deuxième jour du confinement, alors que l’amende pour non respect des mesures imposées par le gouvernement est passée de 38 à 135 euros (375 euros en cas de majoration), les forces de police et de gendarmerie constatent de nombreux abus.

Certains n’ont pas encore compris que la règle c’est de « rester chez soi ». Des petits malins pensent qu’il suffit de remplir une « attestation de déplacement dérogatoire » pour pouvoir sortir toute la journée et profiter du soleil.

A Nice, la Promenade des Anglais est très fréquentée. Tous ceux qui viennent y prendre du bon temps ont imprimé le formulaire et ne comprennent pas la surprise et la colère du préfet des Alpes-Maritimes. Certains, n’hésitent pas à se mettre en maillot de bain sur la plage !

D’autres font du footing à deux, ce qui est interdit. D’autres encore partent pour quelques kilomètres à vélo, alors que ne sont autorisées que les activités sportives à proximité du domicile, autour de son immeuble, et pendant une durée assez brève.

La Promenade des Anglais ressemble cet après-midi aux parcs parisiens bondés dimanche, ce qui avait scandalisé l’Executif.

A Paris justement, la question du maintien des marchés est posée après des scènes surréalistes filmées au marché de Barbés ce matin. 

La préfecture de police qui a procédé à plus de 500 contraventions entre hier soir et ce matin, signale par ailleurs de nouvelles escroqueries : dans le 19e arrondissement, 15.490 masques de protection destinés au marché noir ont été saisis ainsi que 240 bouteilles de faux gel hydroalcoolique.

Ces abus pourraient conduire le gouvernement a prononcer de nouvelles restrictions dans les heures ou les jours qui viennent.

18 mars 2020

Coronavirus

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