Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Jours tranquilles à Paris

12 février 2020

Extrait d'un shooting - Photo : Jacques Snap - Pour illustrer une chanson de Serge Gainsbourg

« …Tandis que des médailles

D'impérator

Font briller à sa taille

Le bronze et l'or

Le platine lui grave

D'un cercle froid

La marque des esclaves

À chaque doigt… »

shooting JS (34)

Publicité
12 février 2020

Quiberon - Le Château Turpault

quiberon33

12 février 2020

Garin Horner

Projet de diversité spirituelle et religieuse : une étude photo-ethnographique des sanctuaires et autels privés

Les expressions cachées des pratiques spirituelles et religieuses dans la vie privée des gens m’ont toujours fasciné. La façon unique dont chaque personne exécute ses propres croyances et sa foi pointe vers une grande diversité de performances spirituelles et religieuses. L’emplacement ou le site spécifique de ces pratiques spirituelles privées peut être trouvé sur un autel ou sanctuaire personnel, composé d’une collection d’objets sacrés et significatifs.

Ce projet photographique se concentre sur les liens intimes qu’un éventail diversifié de personnes ont avec des lieux et des objets spécifiques au site qui servent de points focaux, où les croyants ressentent des liens solides avec des êtres transcendants, des énergies éthérées et / ou des réalités surnaturelles. Par la dévotion, la présence et l’attention, les objets d’autel du pratiquant sont imprégnés de son énergie spirituelle / de vie.

Chaque autel unique dans ce projet représente une partie d’un large éventail de systèmes de croyances spirituelles individuelles, à l’intérieur et à l’extérieur des religions traditionnelles. Je fais du réseautage à travers des communautés spirituelles pour trouver des sujets qui sont prêts à être documentés. Les images sont des représentations intimes, basées sur l’idée qu’il existe autant de manifestations uniques d’expression spirituelle qu’il y a de personnes.

Les sujets avec lesquels je collabore sont des pratiquants spirituels qui veulent donner leur voix et célébrer leur propre expression distincte au sein d’une multitude de croyances spirituelles. Ils croient tous en une méta-écologie surnaturelle, ou une structure de dimensions subtiles qui coexistent avec notre réalité composée de divers êtres, forces ou pouvoirs supérieurs.

Une partie de cette vision reconnaît que les autels sont des microcosmes et / ou des liens de ces dimensions subtiles à partir desquelles les pratiquants se connectent à des pouvoirs supérieurs, expriment leur sens de la dévotion et acquièrent une nourriture spirituelle. Ce projet explore la diversité des pratiques spirituelles et religieuses à travers la présentation individuelle de l’autel ou sanctuaire privé.

Garin Horner

http://www.garinhorner.net/2019.html

http://www.garinhorner.net/2018-portfolio.html

http://www.garinhorner.net/2016-2017-portfolios.html

Garin-Horner-1-x540q100

Garin-Horner-2-x540q100

Garin-Horner-3-x540q100

Garin-Horner-4-x540q100

Garin-Horner-5-x540q100

Garin-Horner-7-x540q100

Garin-Horner-8-x540q100

Garin-Horner-9-x540q100

Garin-Horner-10-x540q100 (1)

Garin-Horner-11-x540q100

12 février 2020

500 vendeurs à la sauvette “évincés” par la police autour de la tour Eiffel

vendeur sauvette

La préfecture de police de Paris met en avant l’interpellation de 42 vendeurs à la sauvette et 30 voleurs à la tire ces deux dernières semaines dans le secteur du célèbre monument. « 150 kg de matériel » auraient été saisis.

Par France 3 PIDF

Il ne fait pas bon vendre des tours Eiffel miniatures et des porte-clés aux touristes au pied de la Dame de fer ces derniers jours, si l’on en croit la Préfecture de police de Paris. La PP a en effet annoncé lundi avoir lancé « un dispositif de sécurisation renforcé » dans le secteur pour lutter contre les ventes à la sauvette.

A #Paris7, secteur Tour Eiffel, @prefpolice a mis en place un dispositif de sécurisation renforcé pour lutter efficacement contre les ventes à la sauvette. Depuis 2 semaines :

➡️42 vendeurs et 30 voleurs à la tire interpellés

➡️500 vendeurs évincés

➡️150kg de matériel saisi 

Depuis deux semaines, la police affirme ainsi avoir arrêté « 42 vendeurs et 30 voleurs à la tire », avec au total « 150 kg de matériel » au cours des opérations. Toujours d’après la PP, 500 vendeurs en tout auraient été « évincés » du secteur de la tour Eiffel, située dans le 7e arrondissement de la capitale. Une zone largement fréquentée par les vendeurs à la sauvette, parmi tant d’autres secteurs à Paris

12 février 2020

Petter Hegre - photographe

hegrebis53

hegrebis55

hegrebis56

Publicité
12 février 2020

Coronavirus : les touristes chinois manquent à l’appel en France

Par Jean-Michel Bezat

La profession s’attend à ne recevoir qu’un million de vacanciers chinois en 2020, après 2,4 millions en 2019.

Plus un seul voyageur chinois en vue, moins de devises dans les caisses : le secteur français du tourisme commence à subir le contrecoup de l’épidémie de coronavirus, après l’interdiction des séjours à l’étranger décrétée par Pékin pour une durée indéterminée. Paris et l’Ile-de-France, qui drainent plus de 80 % des visiteurs venus de Chine et restent leur destination européenne de prédilection, sont particulièrement touchés.

Depuis le début de l’année, les chaînes hôtelières de la région parisienne accusent un effondrement de leur fréquentation, alertait le président du Groupement national des chaînes hôtelières (GNC), le 4 février. Une fuite qui concerne les clients individuels souvent pour des séjours haut de gamme aussi bien que les groupes, qui disposent d’« un budget transport et hébergement serré pour pouvoir dépenser dans les boutiques de luxe », précisait Jean-Virgile Crance. Le taux d’annulation de ces derniers a atteint « 80 % en janvier et près de 100 % en février ». « Et les annulations sont massives pour mars et avril », renchérit Jean-Pierre Mas, le président du syndicat Les Entreprises du voyage.

Il faut relativiser pour les hôtels haut de gamme de la capitale, tempère M. Crance. Le taux d’annulation a beau avoir augmenté de 20 % et les réservations ont beau avoir chuté de 25 %, a-t-il calculé, cela ne représente « que 1 % à 1,5 % du chiffre d’affaires global de [leurs] chaînes ». Pour cajoler ces riches voyageurs, GNC a recommandé à ses adhérents d’« assouplir les conditions commerciales jusqu’à la fin février », en ne facturant pas de frais pour l’annulation ou le report de leur voyage.

Une perte importante de recettes

En revanche, pour des établissements ayant ciblé la clientèle chinoise, « cela peut représenter jusqu’à un tiers du chiffre d’affaires ». Et tout le secteur touristique navigue à vue.

« L’impact dépendra de la durée de l’épidémie », souligne M. Mas, qui reconnaît n’avoir « aucun point de comparaison ». En 2003, lors de l’épidémie du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), il n’y avait pratiquement pas de touristes chinois, mais le secteur avait plus globalement pâti de l’absence de voyageurs asiatiques.

Un séjour se programmant plusieurs mois à l’avance, les effets collatéraux du coronavirus se feront sentir une bonne partie de 2020, après son extinction. Ce délai va tenir éloignés de nombreux touristes chinois durant la haute saison, alors que la période de mai à septembre est celle où ils sont les plus nombreux à visiter la France, s’alarme la profession. Il est probable que leur nombre sera divisé par plus de deux cette année, pour tomber à environ 1 million (contre 2,4 millions attendus en 2019). Cette désaffection se traduira par une perte importante de revenus, qui, selon M. Mas, va annihiler la croissance de 2 % à 3 % des recettes attendue par les professionnels avant le début de l’épidémie.

Il faut néanmoins resituer le poids de la Chine pour le secteur. Les 2,4 millions de visiteurs chinois, sur un total de près de 90 millions, ont dépensé 4 milliards d’euros en 2018, soit 7 % des recettes touristiques. Si la France est la première destination touristique mondiale, devant l’Espagne (83 millions de touristes) et les Etats-Unis (80 millions), elle ne se situe qu’à la troisième place pour les recettes tirées du tourisme, qui assure quand même 7,5 % du produit intérieur brut (PIB) du pays. Avec 56 milliards d’euros, la France talonne l’Espagne (60 milliards), mais se situe loin derrière les Etats-Unis (196 milliards).

Une cible de choix

Depuis plusieurs années, le ministère des affaires étrangères, dont dépend le tourisme, veut à la fois atteindre le chiffre de 100 millions de visiteurs et que chacun dépense davantage.

Pour atteindre ce double objectif, les Chinois sont une cible de choix, puisqu’ils sont de plus en plus nombreux et aussi les plus dépensiers. Avec 1 850 dollars (1 694 euros) par personne en 2018, au niveau mondial, ils sont passés devant les Américains et les Allemands, selon l’Organisation mondiale du tourisme. A Paris, ils arrivent au premier rang des dépenses par tête, devant les Américains, les Espagnols et les Japonais.

Atout France, l’agence de développement touristique de l’Hexagone, mène une politique spécifique pour les attirer, notamment en facilitant le paiement par mobile, en promouvant les régions et les villes de province moins connues que Lyon, Nice, la Côte-d’Azur ou les châteaux de la Loire, en mobilisant les réseaux sociaux, les médias et les « influenceurs » en Chine. Sans oublier de mettre l’accent sur la sécurité, un sujet particulièrement sensible pour cette clientèle.

12 février 2020

Milo Moiré. Photos : Peter Palm

milo sortir (1)

milo sortir (2)

milo sortir (3)

milo sortir (4)

milo sortir (5)

milo sortir (6)

milo sortir (7)

milo sortir (8)

milo sortir (9)

Photos : Peter Palm

12 février 2020

Hibue

hibue

Le Dernier Tango à Paris a vécu : en 2019, plus question d’infliger des scènes de sexe surprise à des actrices de 19 ans. Ni d’ailleurs à des acteurs de 29, 59, 99 ans. #metoo a révolutionné les coulisses, adieu l’artiste-tyran ! Et bienvenue aux coordinatrices d’intimité, chargées de sécuriser la mascarade sexuelle sur des plateaux de tournage, ou de théâtre, aux contenus de plus en plus explicites.

Au risque de liquider nos dernières illusions, le cochon dans l’art est désormais chorégraphié chez HBO (depuis 2018) et Netflix (depuis cette année). Les contrats sont examinés à la loupe, l’alchimie entre protagonistes est répétée, on discute jusqu’au nombre de va-et-vient nécessaires à la crédibilité d’un missionnaire. Et pas question que les acteurs se touchent « pour de vrai » ! Même quand ils sont nus comme des vers.

Pour tourner une scène torride, on recouvrira ainsi leurs parties génitales. Le slip invisible pour hommes s’appelle le hibue – pour les femmes, on dit shibue. Cette seconde peau sans lanières, lavable, adhérant directement au corps, se décline en trois couleurs de peau, pour la modique somme de 21 euros. Pratique pour les modèles de nu, strip-teaseurs, ou adeptes de pantalons extra-super-slim.

Les acteurs et actrices portent aussi, le cas échéant, des genouillères, faux pénis, cache-tétons, protections génitales… et contre l’effet poupée Barbie, des merkins, perruques pubiennes aux faux poils foisonnants (existe aussi pour les aisselles). Le corps est ainsi dévoilé, revoilé, réinventé. On peut trouver ces artifices ridicules : ils s’appuient pourtant sur les fondements de notre érotisme.

12 février 2020

BDSM - roulette

bdsm roulette

11 février 2020

Fanny Müller

fanny01

fanny02

Publicité
Publicité