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Jours tranquilles à Paris

8 octobre 2020

Lily Rose Melody Depp

lily rose

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8 octobre 2020

Présidentielle : François Baroin se retire, sans mot dire

Par Dominique Albertini — Libération

baroin

François Baroin à Paris en novembre 2019. (Photo Ian Langsdon. AFP)

Le maire Les Républicains de Troyes a confirmé aux principaux cadres de son parti qu’il ne serait pas candidat en 2022, laissant le champ libre notamment à Bruno Retailleau et surtout à Xavier Bertrand.

C’était un secret mal gardé, c’est un fait presque avoué. Que François Baroin ait renoncé à la présidentielle, voilà plusieurs semaines que plus personne n’en doute à droite. Lui restait à le dire : un jour devant les Français et dès que possible aux cadres de son parti, soucieux de lever ce désagréable suspense. Le maire (Les Républicains, LR) de Troyes s’est mis à la tâche : comme l’a écrit mercredi l’Opinion et comme Libération l’a vérifié, il a entamé une série de tête-à-tête pour annoncer sa décision aux principales figures de la droite. «Il est dans une logique de retrait, confirme pudiquement l’un d’eux, mais je ne sais pas s’il va le dire officiellement» dans les médias. «Il ne veut pas y aller», rapporte un autre, qui croit, lui, avoir compris que Baroin s’exprimerait «assez rapidement». Un troisième, enfin, évoque une annonce «fin novembre».

Le propos n’a surpris aucun de ces interlocuteurs, convaincus depuis la fin de l’été que le Troyen passerait la main. Un article du Figaro, citant plusieurs de ses proches, l’avait affirmé début septembre, sans provoquer le moindre démenti de l’intéressé. «Je ne suis donc pas tombé de l’armoire, poursuit l’un des cadres qu’il a depuis rencontrés. Son message, c’était : "Tu as sans doute compris la situation…" Dans la période qu’on vit, il pense que les Français se moquent de la présidentielle et qu’il est ridicule d’en discuter. Et puis il y a des raisons personnelles, familiales, qui font qu’il n’est pas très motivé à l’idée de se faire déchiqueter.»

Patron des sénateurs LR, et candidat à l’investiture, Bruno Retailleau a rejoint le concert, mercredi matin sur France Inter. Baroin et lui doivent «se voir la semaine prochaine pour prendre un café ensemble», a-t-il raconté, ajoutant l’avoir «entendu il y a huit jours au bureau politique de LR. J’ai compris - il l’a pratiquement annoncé d’ailleurs - qu’il ne serait pas candidat. Sa phrase était de dire : "J’indiquerai officiellement à Bruno Retailleau ce que chacun sait en off." J’en ai tiré la conclusion que c’était un renoncement».

Le sénateur de Vendée, figure du courant conservateur et antiétatiste de LR, est l’un des premiers bénéficiaires de ce retrait. Baroin hors jeu, il juge indispensable l’organisation d’une nouvelle primaire, dont la direction de LR ne veut pas, mais qu’il pense remporter comme l’avait fait son champion, François Fillon, en 2016. «S’il faut être candidat, je le serai. Malheureusement, je vois que mon propre parti fait tout pour tuer la primaire», a-t-il redit sur Inter, dénonçant une «abdication totale» : «Ils veulent se passer des militants, des sympathisants. Je veux être le porte-voix de la droite d’en bas, il y en a marre des petits accommodements de la droite d’en haut.»

Les dirigeants LR se défient d’une candidature Retailleau, voyant dans la ligne de leur collègue la promesse d’une nouvelle catastrophe électorale. Avec plus ou moins d’enthousiasme, c’est le président ex-LR des Hauts-de-France, Xavier Bertrand, dont ils font désormais leur favori.

8 octobre 2020

Kate Moss

kate moss23

8 octobre 2020

François Pinault va ouvrir son musée parisien dès janvier

Le milliardaire François Pinault va ouvrir, le 23 janvier, le musée en plein Paris abritant son importante collection, de quoi redonner un peu le moral à un monde de l’art déprimé par la crise sanitaire. Alors qu’une échéance au printemps dernier était prévue, le confinement avait obligé François Pinault à repousser d’un an l’inauguration de l’ancienne Bourse de Commerce, rénovée et transformée en centre d’art contemporain. Le chantier avait pourtant été livré dans les temps par l’architecte japonais Tadao Ando. Celui-ci a réalisé un projet où l’ancien et le contemporain s’allient harmonieusement, en coulant à l’intérieur du bâtiment circulaire un cylindre de béton brut d’un diamètre de 29 mètres, sous la verrière du XIXe  siècle.

 

8 octobre 2020

Dialogue en mode Covid....

covid32

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8 octobre 2020

En Bretagne, propriétaires et éleveurs inquiets de voir leurs chevaux mutilés par un ennemi invisible

Par Simon Auffret - Le Monde

Les morts et mutilations suspectes d’équidés, signalées en série depuis le printemps, inquiètent les professionnels. Malgré les rondes nocturnes et la mobilisation des forces de l’ordre, aucun suspect n’a encore été identifié.

Les lumières de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) donnent à la nuit tombée un ton rougeoyant. Solène Lavenan coupe le contact de son large pick-up, parqué à l’entrée d’un chemin de terre bordé de clôtures barbelées. Deux juments et deux poulains apparaissent, au loin, dans le faisceau blanc de sa lampe torche. « Il m’arrive de rentrer dans l’enclos, pour voir s’il ne leur manque pas une oreille ou une jambe », murmure l’éleveuse en allumant une cigarette.

Il faut rester silencieux. A la mi-septembre, un drone a été aperçu au-dessus des pâtures. Aucun télépilote ne disposait d’autorisation de vol ce jour-là, les gendarmes sont formels. Des engins similaires avaient été repérés, quelques semaines plus tôt, à proximité de chevaux mutilés dans le Finistère. La mort d’un poulain près de Rennes, l’oreille droite et les parties génitales coupées, le ventre ouvert en deux, a fini de faire monter la tension.

ILS SONT QUATRE, CE SOIR-LÀ, À TOURNER DE 21 HEURES À 3 HEURES

Depuis la rentrée, Solène Lavenan et une dizaine de volontaires, recrutés lors d’un appel à l’aide relayé sur Facebook, effectuent des rondes quotidiennes sur les hauteurs de la cité fortifiée. Sous la pluie de la fin du mois de septembre, ils sont quatre, ce soir-là, à tourner de 21 heures à 3 heures. Rose est soignante en Ehpad (établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes), Laurence, cadre commerciale dans une entreprise de transport, Jeff et Pyg sont artisans. Au fil de leur tournée en voiture autour de plusieurs parcelles, ils sont à l’affût du moindre bruit suspect.

Accompagnée de bénévoles, Solène Lavenan organise une ronde de surveillance dans plusieurs parcelles de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), le 29 septembre. | JAVIER BELMONT POUR « LE MONDE »

La présence inhabituelle d’une paire de phares jaunes au fond d’un chemin de campagne suffit à déclencher une série d’échanges par téléphone : modèle, couleur, plaque d’immatriculation sont dûment répertoriés pour être signalés aux gendarmes. « S’ils débarquent ici, leur faire peur serait déjà un grand succès », commente Jeff.

« Ils », ce sont les mystérieux responsables des mutilations ou morts suspectes d’équidés qui semblent se multiplier un peu partout en France depuis le printemps. Soixante des 390 enquêtes ouvertes au 28 septembre par la gendarmerie et la police nationale concluent sans équivoque à une « intervention humaine ». L’origine reste « incertaine » dans quelque 120 dossiers.

Dans 200 affaires, la piste criminelle a été écartée au profit de causes naturelles ou accidentelles : de précédentes vagues d’agressions présumées, en Suisse ou au Royaume-Uni, ont permis de souligner que les charognards, comme le renard, ont pour habitude de prélever des organes sur les cadavres de chevaux juste après leur mort. Un changement d’alimentation, après un été très sec dans les pâtures par exemple, peut provoquer un empoisonnement des équidés suivi d’une mort aussi soudaine qu’inattendue.

Aucun lien entre les différentes affaires

L’angoisse du milieu équestre breton contraste avec la tranquillité des patures. Comme Solène Lavenan, les douze responsables d’écuries, éleveurs, entraineurs ou propriétaires rencontrés par Le Monde entre l’Ille-et-Vilaine et les Côtes-d’Armor ont renforcé la surveillance de leur structure. Les enquêteurs n’ont pourtant trouvé, jusqu’à aujourd’hui, aucun lien entre les différentes affaires. Cinq suspects ont bien été interpellés depuis le printemps, mais quatre ont été mis hors de cause. Le dernier, un sexagénaire interpellé dans la Meuse, est poursuivi pour un acte isolé de zoophilie sur une jument.

L’ennemi, invisible, n’en est que plus inquiétant. Pour trouver un sens à ces mutilations, les professionnels s’évertuent donc à lui trouver un nom. « On dit que cela vient du dark Web », suggère Solène Lavenan, convaincue de faire face à un « groupe proche d’un niveau terroriste ». D’autres imaginent, au choix, une bande satanique ou des équarrisseurs sadiques engagés dans un challenge macabre. « Les formes des coupures le prouvent, ils connaissent bien l’anatomie des chevaux », assure un propriétaire de trois poneys, près de Rennes. Un condensé des rumeurs relayées sur les réseaux sociaux et évoquées par certains médias que rien ne vient, jusqu’ici, valider.

« IL NE FAUT PAS MONTRER SA NERVOSITÉ. MÊME QUAND LE DANGER EST RÉEL, LA PEUR EST UN CHOIX », RELATIVISE UN PROPRIÉTAIRE

« Les mutilations existent depuis des années, ce n’est pas nouveau », nuance le responsable d’un centre équestre du pays rennais. Lui a refusé d’organiser des rondes ou d’installer des caméras. S’il a concédé à certains propriétaires la possibilité de planter leur tente dans ses champs pour veiller la nuit sur leurs animaux, il préfère relativiser : « J’ai décidé de ne pas m’inquiéter. Comme face aux chevaux, il ne faut pas montrer sa nervosité. Même quand le danger est réel, la peur est un choix. »

L’un des trois chevaux de Solène Lavenan, Vaquero, semble tout aussi insensible à la menace. Le percheron d’une tonne, seul cheval autorisé par la préfecture à traverser les murailles de Saint-Malo pour y promener les touristes, se laisse approcher sans crainte par les passants. « Ces gens-là nous poussent à devenir parano », soupire sa propriétaire.

Profusion de rumeurs et psychose

L’affaire des chevaux mutilés est un cas pratique de complotisme à grande échelle. Si les propriétaires sont bien intentionnés et légitimement inquiets, la profusion de rumeurs complique le travail des enquêteurs. A Perros-Guirec (Côtes-d’Armor), l’adjudant Matthias Choquet, responsable des investigations dans le département, estime que « 99,9 % » des signalements effectués à la gendarmerie se révèlent sans aucun lien avec les enquêtes ouvertes. « Sur le terrain, on observe une psychose et on a entendu beaucoup de bêtises », commente le sous-officier, spécialisé dans les atteintes à l’environnement.

« UN CUEILLEUR DE CHAMPIGNONS POURRAIT BIENTÔT SE PRENDRE UNE DÉCHARGE DE CHEVROTINE », REDOUTE L’ADJUDANT CHOQUET

S’ils apportent des conseils sur le renforcement de la sécurité des animaux, les gendarmes dissuadent leurs veilleurs d’intervenir par eux-mêmes : en cas de présence suspecte, le bon réflexe reste d’appeler les forces de l’ordre. Fin septembre, les gendarmes ont été alertés après qu’un agriculteur des Côtes-d’Armor a tiré en l’air à trois reprises au fusil de chasse pour faire fuir deux promeneurs approchant de sa propriété. « Un cueilleur de champignons pourrait bientôt se prendre une décharge de chevrotine », redoute M. Choquet.

Près de Dinard, plus d’une dizaine d’éleveurs se sont associés pour embaucher un agent de sécurité, qui passe de propriété en propriété, cinq nuits par semaine, afin de leur permettre de gagner quelques heures de sommeil en leur épargnant des rondes nocturnes. « Nous ne faisons que retarder l’inexorable », se résigne une éleveuse, persuadée que ses chevaux peuvent s’ajouter à tout moment à la liste des victimes. Comme l’ensemble des membres du collectif, elle a demandé l’anonymat : si des milliers de personnes échangent chaque jour sur des groupes Facebook consacrés à la surveillance des chevaux, certains professionnels du monde équestre refusent de s’exprimer publiquement sur leur mobilisation. « Il n’est pas question que parler fasse de moi une cible à abattre », craint un éleveur costarmoricain.

Pour Solène Lavenan, « toute médiatisation est à double tranchant ». D’un côté, le fait de sensibiliser le grand public pourrait permettre des signalements plus efficaces ; de l’autre, « une partie du phénomène est alimentée par l’emballement en lui-même », assure l’adjudant Matthias Choquet. Dans son centre équestre du pays rennais, le propriétaire va même plus loin : pour faire cesser les mutilations, il suffirait « de ne plus en parler ».

De fait, quand décider de suspendre les surveillances ? « Dès qu’ils en arrêtent un », assure Solène Lavenan, en espérant qu’une première interpellation dissuaderait d’autres agresseurs. « Une priorité peut en chasser une autre », observe, plus prosaïquement, un gendarme rompu à ce genre d’emballements : « Aujourd’hui, nous nous mobilisons sur le sujet des chevaux. Demain, il pourrait y avoir une soudaine hausse des cambriolages ou des accidents de la route. »

En attendant, « notre mission est d’être le plus réactif possible », explique le capitaine David Pinget, adjoint au commandement de la compagnie de Rennes. Le signalement d’un homme aperçu au milieu d’un champ, près de la métropole bretonne, a déclenché fin septembre l’envoi de « quatre patrouilles et d’un hélicoptère ». Les militaires sont arrivés sur place en seulement quinze minutes, en vain : l’individu n’avait rien à se reprocher. Une nouvelle fausse piste, dans une affaire sans suspect.

8 octobre 2020

Vannes - G. Péguy veut « réinventer le royalisme »

royaliste

Âgé de 26 ans, le Vannetais Guillaume Péguy est en Master de gestion de patrimoine, en alternance dans le secteur bancaire.

Propos recueillis par Bertrand Le Bagousse

Guillaume Péguy est le fer de lance de la jeune génération des royalistes du pays de Vannes. Apôtre décomplexé de la monarchie, il estime qu’il y a pour ce régime une fenêtre de tir au XXIe siècle.

Comment un étudiant en droit royaliste est-il devenu tête d’une liste aux municipales, soutenue par le RN et le Parti chrétien démocrate et Rebâtir la France ?Le projet de liste d’union existait déjà. À la base, il y avait une équipe de jeunes, principalement de la fac de droit. Mais on avait des difficultés à trouver une tête de liste. Lucas Chancerelle est venu me solliciter. On a eu le soutien du RN et du PCD. J’étais anti-système, mais on était à l’échelle de Vannes et le RN a accepté. Je n’ai pas mis en avant mon côté royaliste, mais je ne l’ai jamais caché non plus.

Et la fleur de lys que vous portez ?

Pendant la campagne, l’équipe m’avait demandé de ne pas la porter. Autrement, je la porte tous les jours.

Quand et comment êtes-vous devenu royaliste ?

Je le suis devenu en me passionnant pour l’Histoire. C’est l’Éducation nationale qui m’a rendu royaliste. Par réaction. Cela m’a amené à m’intéresser à l’histoire de la monarchie.

Quand avez-vous sauté le pas ?

J’ai rejoint l’Alliance royale en 2013 pour voir ce que les royalistes proposaient politiquement et j’ai participé en 2019 à la fondation de la section d’actions légitimistes de Vannes. Elle compte une quinzaine de membres.

Comment le royaliste que vous êtes voit-il l’avenir ?

Il faut être lucide, le contexte ne nous est pas favorable mais il y a des opportunités. On voit que les Français pensent à un changement de régime. Il y a un désamour pour le système actuel… Les Français sont prêts à entendre notre message. Après, qu’ils adhèrent, c’est autre chose. Mais c’est l’objectif. Divers sondages disent que 25 à 30 % des Français ne seraient pas opposés à un retour de la monarchie. Je pense qu’une fenêtre de tir pourrait s’ouvrir au XXIe siècle.

À quoi pourrait ressembler cette monarchie du XXIe siècle ?

Les professeurs de droit constitutionnels estiment que le président de la République a plus de pouvoir que Louis XIV. Il ne faudrait pas une république déguisée. Il faudrait un roi, avec son conseil, chargé du régalien. Tout le reste serait géré par les régions grâce à une réelle décentralisation qui leur donnerait plus de compétences, ainsi qu’aux municipalités. Il faut que la monarchie se réinvente. Il ne peut y avoir de retour à la perruque et aux poudres ! Ce ne serait pas une monarchie absolue mais équilibrée.

Le Duc d’Anjou, un bon candidat ?

Le Duc d’Anjou serait un bon roi. C’est quelqu’un qui est à l’écoute et qui prend souvent conseil. Un bon roi est quelqu’un qui sait écouter ses conseillers et qui sait trancher.

Et un roi orléaniste ?

Non, car on ne veut pas changer le président par le roi. On veut un vrai changement. Mais si j’ai le choix entre la République et une monarchie des Orléans, voire un empire dans le modèle du Second Empire, alors je ne défendrai pas la République.

8 octobre 2020

Étel - Les travaux de l’Épi de la barre redémarrent

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Le chantier de réfection de la digue de la barre d’Etel a repris mardi matin.

Le chantier de réfection de la digue de la barre d’Etel a été réactivé avec le retour sur site des équipes et des engins ; il s’agit de positionner les tétraèdres en attente depuis l’hiver dernier.

Les travaux de la restauration de l’épi de la barre, côté sémaphore, vont reprendre, à Etel. Ils avaient été lancés avec un petit décalage - à cause de la météo - à la veille du confinement et très vite stoppés. Immobilisée durant plusieurs semaines, la grande grue avait été démontée en mai.

Les travaux n’avaient pu être relancés au cours de l’été en raison des impératifs environnementaux sur ce site sensible classé, par rapport à la préservation de la faune, notamment d’espèces protégées d’oiseaux. Pour ces mêmes raisons, ils doivent s’achever avant la mi-avril.

Restauration dans sa configuration originelle

L’objet de ce chantier est de restaurer l’ouvrage, fortement endommagé par la houle lors des tempêtes de mars 2014. Cette digue avait été construite en 1962, en même temps que l’actuel sémaphore, pour protéger l’entrée de la rivière de l’ensablement et de la houle.

Après sa destruction partielle, plusieurs options avaient été suggérées et envisagées, allant de sa suppression pure et simple à la réalisation d’un ouvrage plus long en mer qui bloquerait le sable. Il a finalement été décidé de le restaurer dans sa configuration originelle. L’ouvrage sera restructuré par comblement des parties arrachées avec la pose de tétraèdres de béton de 15 tonnes et la reprise des maçonneries en partie haute.

Le coût budgété est de 720 000 €, financés par l’État (50 %), le département (30 %), les communautés de communes Auray Quiberon Terre Atlantique (Aqta) et Blavet Bellevue Océan (BBO) (10 % chacun) ; l’État a désigné la commune d’Etel pour le portage administratif, et la Compagnie des ports du Morbihan pour la maîtrise d’œuvre.

7 octobre 2020

Parapluie épée

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7 octobre 2020

Crazy Horse de Paris

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