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Jours tranquilles à Paris

21 juillet 2019

Crazy Horse de Paris

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21 juillet 2019

Fondation EDF

21 juillet 2019

Critique - « Le Roi Lion » : Simba perdu dans une savane numérique

Par Murielle Joudet

Un quart de siècle après l’original, Disney signe un remake dopé aux effets spéciaux et d’une laideur confondante.

L’AVIS DU « MONDE » : ON PEUT ÉVITER

Vingt-cinq ans après le premier dessin animé (Le Roi Lion, 1994), suivi du succès mondial de la comédie musicale, Disney remanie un de ses plus grands tubes. De la première version, beaucoup de choses ont été conservées : les chansons, les personnages, les dialogues, une poignée de plans mythiques. Car le plaisir de la « version live » concerne d’abord la reconnaissance nostalgique : retrouver les traces de l’original sous le remake, fredonner pour soi-même Hakuna Matata, s’éblouir de voir Timon et Pumbaa prendre corps.

Sur ce point, le film remplit assez parfaitement sa mission de madeleine dopée aux effets spéciaux et destinée à un public trop éclairé pour encore supporter l’archaïsme du dessin. Repoussant les limites du professionnalisme, l’équipe du film annonce avoir longuement enquêté sur le comportement des animaux et leurs habitats. Elle a même entrepris un voyage de deux semaines en Afrique, photographiant décors et animaux sous toutes les coutures. Autant d’informations dont se targue le studio et qui rendent douloureux le visionnage de ce Roi Lion hyperréaliste mêlant prises de vue réelles et bidouillages numériques : l’animation tout en suggestion et aplats de couleurs vives a laissé place à une hideuse imagerie de documentaire animalier de luxe.

Super-héros galactiques

En passant des Avengers aux « Disney live », Jon Favreau s’attribue le titre de grand ordonnateur de l’imaginaire mondialisé. Mais le rendu de sa mise en scène l’apparente davantage à un tâcheron qui met vaguement de l’ordre dans cette immense soupe numérique où l’on croise aléatoirement des hyènes et des super-héros galactiques. Prenant ce que veut bien lui laisser l’équipe des effets spéciaux, la caméra balaie les scènes, adopte souvent les mêmes angles que le premier film, quand le montage est illisible. L’ensemble est d’une laideur confondante et d’un cynisme à peine supportable. A force de fétichiser le photoréalisme et de faire primer une logique purement commerciale à la prise de risque artistique, Disney a oublié ce qui pouvait faire la beauté de ses chefs-d’œuvre primitifs : l’abstraction du dessin qui laisse l’imaginaire enfantin combler les vides. C’est aujourd’hui au « progrès technologique » qu’est dévolue cette tâche.

Film d’animation américain de John Favreau (1 h 58).

21 juillet 2019

Laetitia Casta

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21 juillet 2019

Pauline Moulettes (entre autres) avec le photographe Nicolas Guérin - shooting

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21 juillet 2019

On a marché sur la lune...

C’était la première fois. Il y a 50 ans, Apollo 11 alunissait avec à son bord Neil Armstrong, Michael Collins et Buzz Aldrin. Pour la première fois, l’Homme quittait la Terre. Pour la première fois, il posait le pied sur la Lune. C'était le 21 juillet 1969.

24 juillet 1969

21 juillet 2019

Explosifs saisis et contre-manifestation : fébrilité à Hongkong avant une nouvelle journée de contestation

Plus de 100 000 personnes ont défilé en soutien à la police, samedi, alors que se poursuit la mobilisation populaire dénonçant l’influence de la Chine.

La police de Hongkong a annoncé, samedi 20 juillet, avoir découvert un laboratoire clandestin de fabrication d’explosifs TATP, alors que le territoire à statut spécial est secoué depuis plus d’un mois par des manifestations qui contestent l’influence croissante de Pékin dans l’ex-colonie britannique.

Les autorités ont indiqué avoir arrêté un homme de 27 ans lors d’un raid, vendredi soir, dans un bâtiment industriel du district de Tsuen Wan, quartier situé au centre du territoire rétrocédé par le Royaume-Uni à la Chine en 1997, selon un responsable policier, Alick McWhirter, spécialiste en déminage :

« Nous avons affaire à un laboratoire artisanal pour la fabrication d’explosifs puissants, spécifiquement du TATP [tripéroxyde de triacétone]. C’est un explosif extrêmement instable et puissant, qui peut causer des dégâts exceptionnels. »

Les autorités ont déclaré que deux kilogrammes de cet explosif avaient été découverts au cours de l’opération ; l’équipe de démineurs a procédé à une explosion contrôlée et en prévoyait plusieurs autres.

La police a indiqué avoir saisi lors de son raid un tee-shirt avec le logo du Front national de Hongkong, un groupuscule pro-indépendance, de même que des tracts relatifs aux manifestations antigouvernementales qui agitent le territoire semi-autonome. Le Front national de Hongkong a dit sur Facebook que l’homme arrêté était l’un de ses membres mais a ajouté n’avoir aucune information sur la présence d’explosifs.

Grand rassemblement en soutien aux forces de l’ordre

L’annonce de la saisie intervient alors que Hongkong vit depuis six semaines au rythme de manifestations très suivies contre un projet de loi, désormais suspendu, visant à autoriser les extraditions vers la Chine. La contestation s’est depuis élargie à des exigences concernant la préservation des acquis démocratiques et des libertés – en particulier d’expression et l’indépendance de la justice – dont ce territoire jouit, théoriquement, jusqu’en 2047, terme de l’accord de rétrocession.

Emaillée de quelques violences et par la brève intrusion de manifestants, le 1er juillet, dans le Parlement local, la mobilisation doit se poursuivre avec un nouveau rassemblement dans l’après-midi du dimanche 21 juillet. Le cortège devra suivre un parcours raccourci par la police, qui affirme craindre des « troubles à la sécurité publique ». Les bâtiments du gouvernement ont été entourés d’une barrière de près de deux mètres de haut en prévision de la manifestation.

Si les derniers rassemblements figurent parmi les plus importants de l’histoire récente d’Hongkong en termes de mobilisation populaire, une partie de la population déplore les affrontements entre manifestants et forces de l’ordre. Samedi, dans un contre-mouvement de la mobilisation prévue dimanche, au moins 103 000 personnes, selon la police (316 000 selon les organisateurs), ont manifesté autour du slogan « Protéger Hongkong » pour exprimer leur soutien à la police et au gouvernement pro-Pékin, et réclamer un arrêt des violences.

21 juillet 2019

On a marché sur la lune ...

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20 juillet 2019

Toilet Paper

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20 juillet 2019

Champs d'Amours - exposition

Exposition Champs d’Amours - Hôtel de ville Salle Saint Jean 5 rue de Lobau 75004 Paris jusqu’au 28 septembre 2019 :  lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi de 10h à 18h30    A travers des affiches, des photographies, des livres, des costumes et des scénarios de films, l’Hôtel de ville de Paris raconte 100 ans de cinéma arc-en-ciel. A l’occasion du mois des Fiertés et 50 ans après les émeutes de Stonewall, l’exposition « Champs d’amours » montre l’évolution de la représentation des personnes LGBT sur le grand écran de 1919 à 2019. Près de 100 extraits de longs-métrages et une dizaine de longs-métrages animent l’exposition.  Où : Hôtel de Ville de Paris    Quand : tous les jours (sauf les dimanches) de 10h à 18h30

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