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Jours tranquilles à Paris

10 mai 2019

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10 mai 2019

Festival Européen de la Photo de Nu - ARLES

Pascale Lander

L'approche photographique de Pascale Lander, de même que son rapport à l'imaginé de l'image, ne sont pas séparables de sa qualité initiale : celle d'être peintre. Peintre du corps, dont la figure se noue au figuré d'une présentation / représentation où la peau de la peinture, après avoir recouvert celle de ses modèles, s'étale de façon élémentaire sur celle du photographique : de grands aplats de couleur qui abstractisent le fond ; des rayures  qui segmentent les corps et en accentuent les postures.

Ce qui nous regarde dans ce que l'artiste nous donne à voir est la percée qui fait retour en nous-mêmes et nous place hors de nous dans le regard de l'Autre.

Extrait d’un texte de Jean-Claude Monnier

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Pascale Lander est née à Strasbourg en 1961.

Aujourd'hui, l'œuvre de Pascale Lander s'enrichit d'un entrecroisement des pratiques : peinture, performance et photographie, expérimentations touchant aux domaines de la gravure et de la sculpture. Quel que soit le medium dont l'artiste fait choix, la thématique demeure inchangée. Il est toujours question de corps, de sensualité́ et d'affects déclinés selon les moyens propres à chaque processus, chaque technique. Ce qui peut conduire à penser que le propos, au fond, reste radicalement celui de la picturalité comme présence et comme peau : un affleurement, de la surface de la toile à la peau des modèles, du grain de la gravure à la surface tactile des terres cuites qui, loin de transcrire la surface de l'être, nous en désigne l'intériorité, la profondeur.

En savoir plus sur l’artiste : https://www.pascalelander.fr/

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10 mai 2019

Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello

10 mai 2019

Toilet Paper

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10 mai 2019

Pour Macron, la fin de la présidence « jupitérienne » est plus difficile que prévu

Par Cédric Pietralunga

Le chef de l’Etat affiche sa volonté de déléguer davantage à son gouvernement. Mais il est néanmoins monté au créneau sur la biodiversité. Et il s’implique de plus en plus dans la campagne des européennes.

Emmanuel Macron l’a promis : fini la présidence « jupitérienne » et les décisions imposées d’en haut. Après deux ans d’exercice solitaire du pouvoir, le chef de l’Etat jure que tout se fera désormais dans la « concertation ». « Je souhaite que les partenaires sociaux, les associations, les élus, puissent travailler ensemble avec le gouvernement », a-t-il indiqué à l’Elysée lors de sa conférence de presse du 25 avril, destinée à répondre aux revendications des « gilets jaunes » et à préserver la suite de son quinquennat.

Preuve de cette conversion à la collégialité, les corps intermédiaires ont été invités à Matignon, le 6 mai, pour réfléchir aux mesures en faveur de « l’emploi » et des « transitions écologique et numérique ». Une attention inédite depuis le début du quinquennat. « Aujourd’hui, il y a matière à faire beaucoup de concertation sur nombre de sujets car le programme présidentiel a été largement mis en place », justifie Sibeth Ndiaye, la porte-parole du gouvernement.

Cette réunion sera suivie par une autre, au début du mois de juin, avec les préfets et les présidents de région, et un « point d’étape » sera organisé avant les vacances d’été. « Le président et le premier ministre [Edouard Philippe] veulent vraiment partager les responsabilités », jure un conseiller.

De la même façon, le chef de l’Etat assure qu’il va déléguer davantage au premier ministre et à son gouvernement. Le 25 avril, il a expliqué qu’il ne pouvait « pas faire tout tout seul » et que son rôle était avant tout de « donner un cap, prendre des orientations ». Comprendre : plus question de jouer à « l’omniprésident » qui décide de tout.

« Vous voyez Macron se retirer sur son Aventin ? »

Place au « président manager » qui anime une équipe. « Le président va se recentrer sur l’essentiel : le cap, la vision. Ce sera d’autant plus facile qu’il a appris à travailler avec Edouard Philippe, qu’il ne connaissait pas au début de son mandat », assure un proche. « A sa conférence de presse, [le chef de l’Etat] a montré qu’il passait la balle au premier ministre », se réjouit-on à Matignon.

Mais beaucoup doutent de cette conversion, y compris au sein de la majorité. « Vous voyez le président se retirer sur son Aventin et laisser le premier ministre à la manœuvre ? “Gilets jaunes” ou pas, on ne change pas de nature », sourit un député influent de La République en marche (LRM). « Je ne veux pas faire de procès d’intention mais Emmanuel Macron a une conception particulière de la participation. Lors du grand débat, il a convoqué soixante intellectuels à l’Elysée, il ne les a laissés parler que deux minutes chacun ! Cette conversion me semble relever davantage de la communication », abonde l’écologiste Corinne Lepage, ex-soutien de la campagne qui a pris ses distances.

Déjà, le chef de l’Etat a du mal à se refréner. Lundi 6 mai, il a volé la vedette au premier ministre et aux syndicats et associations réunis à Matignon, en improvisant dans la cour de l’Elysée une conférence de presse pour annoncer des mesures en faveur de la biodiversité, après la remise d’un rapport alarmant d’experts des Nations unies.

« La logique aurait voulu que ce soit François de Rugy ou Edouard Philippe qui s’en chargent », remarque un conseiller. « La prise de parole du président a été décidée au cours du week-end et a été articulée avec le premier ministre et le ministre de la transition écologique », défend l’entourage de M. Macron.

Une implication dans la campagne qui fait jaser

D’autres s’interrogent sur l’envie pressante du chef de l’Etat de s’impliquer dans la campagne des européennes. Déjà, sa photo orne la profession de foi des candidats de Renaissance, la liste de la majorité. Un grand « Avec Emmanuel Macron » barre aussi les affiches de campagne, alors que le nom de Nathalie Loiseau, la tête de liste, n’apparaît même pas.

Le président envisagerait également de participer à un meeting de La République en marche, peut être à Paris le 24 mai. « Il s’est tellement impliqué sur la défense de l’Europe que personne ne comprendrait qu’il ne soit pas associé », plaide un soutien.

Mais cette implication fait jaser, y compris au sein de la majorité. « Ce n’est pas au président de mener campagne. Macron est le président de tous les Français, pas celui d’un clan ou d’un parti », met en garde un parlementaire, qui craint que le chef de l’Etat prenne pour modèle la campagne menée par Nicolas Sarkozy lors des européennes de 2009. A l’époque, ce dernier s’était fortement engagé dans le débat, participant même à un meeting de l’UMP. Avec succès : le parti présidentiel était arrivé en tête du scrutin (27,9 % des voix), loin devant le Parti socialiste (16,5 %) et Europe Ecologie (16,3 %).

« Il est normal que le président participe à la campagne parce que le moment est important. Et l’Europe est du domaine régalien. Mais la forme de son implication n’est pas arrêtée et il n’est pas certain qu’il fasse un meeting », nuance un proche.

Certains membres de l’entourage plaident pour que le chef de l’Etat ne s’expose pas inconsidérément et apporte un soutien détourné. Mardi soir, il s’est ainsi invité à une réunion de travail de la liste Renaissance, organisée dans un restaurant parisien. Plutôt qu’un meeting, M. Macron pourrait aussi privilégier une interview à la presse.

Peu de poids lourds autour du chef de l’Etat

Mais d’autres soutiens affirment que le chef de l’Etat n’a pas le choix et sera obligé de replonger dans l’arène, faute de relais.

Depuis le début de son quinquennat, Emmanuel Macron n’a pas réussi à faire émerger de poids lourds autour de lui. Pis, les quelques têtes d’affiche qu’il avait réussi à attirer, comme Nicolas Hulot ou Gérard Collomb, sont parties. « Les ministres connus des Français, ceux qui surnagent et vont au-delà du microcosme parisien et des réseaux sociaux, sont très peu nombreux : en gros, il y a [le ministre de l’intérieur Christophe] Castaner et [celui de l’économie et des finances Bruno] Le Maire. Tous les autres forment une sorte de deuxième division », reconnaît un conseiller.

A entendre certains, ce sont in fine les circonstances qui décideront si le « changement de méthode » voulu par le chef de l’Etat sera pérenne ou pas. « Si ça marche, il continuera. Si ça ne fonctionne pas, il changera », anticipe un soutien. « La matrice présidentielle est conduite par l’efficacité et les résultats », reconnaît-on à l’Elysée.

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10 mai 2019

Newton's Muse

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10 mai 2019

'LE SENTIMENT QUAND ON VOUS A LAISSÉ' PAR WILLIAM FREEMAN {NSFW / EXCLUSIVE EDITORIAL}

Palma de Majorque, en Espagne, est le décor de cette nouvelle histoire visuelle exclusive du photographe William Freeman . 'THE FEELING WHEN YOU LEFT' est un voyage photographique dans lequel Freeman utilise un récit visuel et un ton émotionnel structuré de manière provocante pour décrire le désir humain. un sentiment de désir pour quelqu'un dont vous êtes tombé amoureux, mais qui ne peut pas vous aimer en retour.

Découvrez plus de travail de William Freeman

Modèle: Paula Garcia Mulet

https://www.instagram.com/itswillfreeman/

https://www.instagram.com/pgarciamulet/

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10 mai 2019

Lily Rose Melody Depp

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10 mai 2019

La chrétienne Asia Bibi a quitté le Pakistan, plus de six mois après son acquittement

Son avocat a affirmé qu’elle était arrivée au Canada, après avoir été acquittée d’une condamnation à mort pour blasphème qui avait suscité l’indignation à l’étranger.

Plus de six mois après avoir été acquittée d’une condamnation à mort pour blasphème qui avait suscité l’indignation à l’étranger, la chrétienne Asia Bibi a quitté le Pakistan. « J’ai interrogé les canaux disponibles, et selon eux, elle est partie pour le Canada », où ses filles se sont réfugiées il y a plusieurs mois, a déclaré, mercredi 8 mai, son avocat, Saif Ul-Malook.

« Asia Bibi a quitté le Pakistan de son plein gré », a confirmé de son côté un cadre du gouvernement pakistanais à l’AFP. Dawn, le quotidien en anglais le plus lu au Pakistan, a également titré qu’Asia Bibi avait « quitté le pays », en citant une source anonyme au sein du ministère pakistanais des affaires étrangères.

La première ministre britannique, Theresa May, a également évoqué, devant la Chambre des communes, un départ d’Asia Bibi vers le Canada. « Ottawa a fait cette offre et nous pensions qu’il était juste et approprié que nous [la] soutenions », a-t-elle affirmé, tout en saluant les informations selon lesquelles Asia Bibi « a pu voyager librement » et peut maintenant « prendre des décisions concernant son propre avenir ».

« Je ne peux pas confirmer quoi que ce soit pour des raisons de vie privée et de sécurité », a expliqué le premier ministre canadien Justin Trudeau, mercredi, à des journalistes. Mi-novembre 2018, il avait indiqué à l’AFP être « en discussions avec le gouvernement du Pakistan » au sujet d’Asia Bibi.

Asia Bibi, condamnée à mort pour blasphème en 2010, après avoir été accusée par deux villageoises musulmanes avec qui elle travaillait d’avoir « insulté le prophète » lors d’une querelle autour d’un verre d’eau, écoute des responsables de la prison de Sheikhupura, près de Lahore au Pakistan, le 20 novembre 2010. | AP

Asia Bibi avait été condamnée à mort pour blasphème en 2010, après avoir été accusée par deux villageoises musulmanes avec qui elle travaillait d’avoir « insulté le prophète » lors d’une querelle autour d’un verre d’eau.

Dérives de la loi sur le blasphème

Son cas était devenu emblématique des dérives de la loi sur le blasphème au Pakistan, souvent instrumentalisée, selon ses détracteurs, pour régler des conflits personnels via la diffusion de fausses accusations.

Cette quinquagénaire avait fini par être acquittée en octobre 2018 par la Cour suprême pakistanaise, la plus haute instance judiciaire du pays, après avoir passé plus de huit ans dans les couloirs de la mort.

Cette décision avait provoqué des violences dans de nombreux endroits du Pakistan, où le blasphème est une question incendiaire. Des milliers d’islamistes du groupe Tehrik-e-Labaik Pakistan (TLP) avaient notamment bloqué pendant trois jours les principaux axes du pays pour exiger sa pendaison. A la suite de ces manifestations, le gouvernement du premier ministre Imran Khan avait signé un accord controversé avec les islamistes : l’exécutif s’était engagé à lancer une procédure visant à interdire à Asia Bibi de quitter le territoire et à ne pas bloquer la requête en révision du jugement que devait examiner la Cour suprême. L’accord a été critiqué par de nombreux Pakistanais, furieux que l’Etat ait cédé face aux extrémistes.

Malgré cette pression, la Cour suprême avait ensuite définitivement blanchi Asia Bibi, en janvier, en rejetant un recours contre son acquittement.

« C’est un grand soulagement que cette épreuve honteuse soit enfin arrivée à son terme et qu’Asia Bibi et sa famille soient en sécurité », s’est réjoui Omar Waraich, directeur adjoint du programme Asie du Sud d’Amnesty International. « Elle n’aurait jamais dû être emprisonnée, et encore moins subir les menaces constantes qui pèsent sur sa vie », a-t-il poursuivi, appelant à « abroger » la loi sur le blasphème au Pakistan.

10 mai 2019

Royal Baby

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