Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Jours tranquilles à Paris

15 septembre 2020

Domaine de Kerguéhennec

Quand Anne-Lise Broyer est invitée en résidence au Domaine de Kerguéhennec, cela donne une série de photographies de chemins, vallons et forêts à l’influence japonaise, très apaisante. On ressort de cette exposition ressourcé, comme après une véritable balade en forêt, grâce au sens du détail saisissant d’Anne-Lise Broyer qui capture les arbres sous tous leurs angles, toujours avec une infinie délicatesse.

Exposition Anne-Lise Broyer et la beauté du paysage au Domaine de Kerguéhennec

Domaine de Kerguéhennec

Quand Anne-Lise Broyer est invitée en résidence au Domaine de Kerguéhennec, cela donne une série de photographies de chemins, vallons et forêts à l’influence japonaise, très apaisante. L’alternance de grands formats et de miniatures, en couleurs et en noir et blanc, offre un panorama divers et varié des bois. Certains tirages sont retravaillés à la mine de plomb, animant la photo et donnant au spectateur le sentiment d’entrer en symbiose avec la nature et de se perdre dans la contemplation de ses moindres détails. La frontière ténue entre image et dessin renforce le trouble du regard et nous interroge sur la nature même de l’objet. On ressort de cette exposition ressourcé, comme après une véritable balade en forêt, grâce au sens du détail saisissant d’Anne-Lise Broyer qui capture les arbres sous tous leurs angles, toujours avec une infinie délicatesse. Cette précision résulte de longues balades au sein des sous-bois du Domaine, pendant des heures durant, avant le passage obligé à l’atelier. Au lieu de donner dans le spectaculaire, Anne-Lise Broyer respecte la réalité de la forêt, nous la dépeignant telle qu’elle est, nous faisant presque palper l’essence de la flore. Elle offre ainsi sa propre expérience du paysage et rend compte de la beauté du monde, mise en péril : « Les longues promenades dehors seront ramenées à l’échelle du dedans afin que l’amplitude de mes marches soit perçue, ressentie, vécue par le visiteur. »

Le saviez-vous ?

Le domaine de Kerguéhennec se présente comme un véritable Versailles breton avec une touche de modernité en plus ! Diverses époques se côtoient ainsi au sein du domaine : une bâtisse de style classique se dresse fièrement au sein d’un parc de 175 hectares aux lignes sinueuses et aux courbes généreuses, répondant à une esthétique propre au XIXe siècle. Le parc de sculptures créé en 1986 réunit quant à lui des artistes contemporains majeurs, prolongeant ainsi le dialogue entre passé présent et futur. François Feutrie, notamment, reprend des éléments de décoration du château comme les feuilles d’acanthes et les vermicules (empreintes d’insectes) dans sa sculpture Cinéma néo-Renaissance en béton armée, présentée dans le parcours sud du jardin depuis 2016. Ces formes, simples ornements au sein du château, acquièrent une taille humaine et jaillissent de toutes parts dans ce bas-relief d’un blanc pur, grâce à ce procédé du dehors au-dedans.

DOMAINE DE KERGUÉHENNEC

Jusqu'au 11 octobre 2020

Domaine de Kerguéhennec, 56500 Bignan

Publicité
15 septembre 2020

'PARIS S'ÉVEILLE' UNE NOUVELLE HISTOIRE VISUELLE DE 'SALOMÉ LANCOLIA & ARTHUR HUBERT LEGRAND' {NSFW / EXCLUSIVE EDITORIAL}

paris20

paris21

paris22

Les artistes  Salomé lancolia  et Arthur Hubert Legrand ont  créé ce nouvel éditorial étonnant avec le mannequin Céline Germain  pour le long métrage NAKID d'aujourd'hui  intitulé « Paris s'éveille ». Une histoire visuelle en duo sur les toits de Paris, cette nouvelle diffusion incarne un romantisme invoqué par la ville et une présence sexuelle féminine belle et inspirante.

paris23

paris24

paris27

paris28

15 septembre 2020

La mémoire du Débarquement vaut mieux qu’un spectacle

Un collectif de plus de cent cinquante descendants du commando Kieffer, qui a participé au débarquement allié du 6 juin 1944, demande à Hervé Morin, président de la région Normandie, d’abandonner son projet commémoratif et commercial de « D-Day Land »

Le 10 janvier, Hervé Morin, président de la région Normandie, annonçait à l’occasion de ses vœux le lancement, pour le 80e anniversaire du D-Day en 2024, d’une initiative d’envergure sur le débarquement de Normandie, « un événement qui permettrait chaque année de retenir un jour ou deux de plus les visiteurs si nombreux qui viennent sur les plages du Débarquement ».

Depuis cette annonce, les médias se font l’écho du projet de créer un « D-Day Land », un « grand parc touristique », un « parc colossal à 250 millions d’euros », un « spectacle vivant », d’une « immense cinéscénie du type Puy du Fou ». Nous apprenons que cette initiative, aux objectifs fondamentalement économiques, serait menée par une société privée dont les créateurs sont déjà à l’œuvre et en repérage sur le terrain ; nous ne pouvons que redouter l’exploitation commerciale majeure de la mémoire qui s’ensuivra nécessairement.

Nous, les enfants et descendants des soldats français du 1er bataillon de fusiliers marins commandos (BFMC) qui débarquèrent en Normandie, le 6 juin 1944, sous les ordres du commandant Philippe Kieffer, voulons vous faire part de notre consternation et de notre totale opposition à un tel projet sur les terres mêmes où nos parents se battirent lors du Débarquement et durant les longues semaines de la terrible bataille de Normandie.

Pour votre information, Léon Gautier et Hubert Faure, les deux derniers vétérans du 1er BFMC, condamnent eux aussi fermement ce projet. Comme nos parents, des centaines de milliers de soldats alliés américains, britanniques et canadiens ont combattu sur ces lieux, et des milliers d’entre eux y sont tombés au nom de la liberté ; ils ont permis de chasser hors de France et d’Europe l’envahisseur ennemi, qui n’avait pour idéal que les valeurs de haine prônées par le Parti national-socialiste allemand.

La mise en spectacle de ces événements sur, ou à proximité, des lieux de mémoire et de recueillement, ainsi que la volonté affichée d’une dimension commerciale sont pour nous profondément choquantes, tant pour des raisons historiques qu’éthiques. Elles vont à l’encontre du message transmis par nos pères et grands-pères, fait d’une grande pudeur et de sobriété dans l’évocation des combats. Leur message ne cherchait jamais à nous « faire revivre » les événements.

Non au mercantilisme

Nous sommes conscients que la transmission du savoir et de la mémoire de cette période de l’histoire pour les publics du XXIe siècle oblige sans doute à adapter les modes de médiation. Mais cela ne peut en aucun cas se faire sur un mode spectaculaire, festif et commercial, au détriment des exigences de la connaissance historique et de la mémoire. Ni le sensationnalisme ni le mercantilisme ne sauraient avoir leur place ici.

Nous vous faisons part ici de notre demande : qu’aucun projet commercial ou de spectacle ne soit implanté sur les plages du Débarquement ou sur l’ensemble des zones de combat de la bataille de Normandie, qui se déroula du 5 juin au 30 août 1944 ; que soit défini un projet scientifique et culturel, avant de préjuger des formes qu’il convient de lui donner et des modalités de médiation avec le public ; que soit constitué un comité scientifique et éthique, crédible et diversifié, incluant aussi des représentants d’associations de vétérans des forces alliées et au moins un membre des descendants des commandos français du 1er BFMC. Nous demandons solennellement à Hervé Morin, président de la région Normandie, de renoncer à son projet.

Dominique Kieffer est la fille de Philippe Kieffer, commandant du 1er BFMC

George de Montlaur est le fils de Guy de Montlaur, commando au 1er BFMC

15 septembre 2020

Fêtes d'Arvor - ANNULATION

arvor

Vannes - Les Fêtes d’Arvor : le report… annulé

Dès le mois d’avril, le comité des fêtes de Vannes, comme les autres organisateurs de grands événements en Bretagne, avait dû renoncer à son édition 2020 des Fêtes d’Arvor. En tout cas aux dates habituelles autour du 15 août.

« Mais nous avions imaginé un rendez-vous à la fin de l’été, symbolique, fédérateur », explique Patrick Mahé, président du comité des fêtes. Une idée qui a séduit aux quatre coins de Bretagne. « Il y a beaucoup de frustration dans les cercles et les bagadoù… » À tel point qu’il avait finalement dû restreindre l’appel aux groupes du pays d’Arvor. « Nous en étions à 647 participants, dont nous aurions pris la température à l’arrivée. L’armée avait donné son feu vert pour la venue de Lann Bihoué. Après un défilé court, les animations se faisaient en cinq points pour éparpiller le public », explique Patrick Mahé.

Jauge impossible à garantir

Mais, il y a eu un mais : la jauge. « Nous ne nous pouvions pas garantir d’être en dessous des 5 000 personnes. Surtout étant la seule fête en Bretagne ». La dégradation de la situation sanitaire en Ille-et-Vilaine et en Loire Atlantique ne plaidait pas en la faveur du rassemblement culturel…

Ce lundi, une dernière réunion avec l’ensemble des services de sécurité laissait poindre une alternative : une aubade devant le Palais des arts et des interventions des cercles et bagadoù sur la scène du Pac.

« Les Fêtes d’Arvor, ce n’est pas le même esprit que le concours de Brest », résume Patrick Mahé. « Le plus sage était de renoncer. Nous le déplorons pour le public et les nombreux artistes des cercles et bagadoù qui avaient spontanément et chaleureusement répondu à notre invitation ». Rendez-vous est donné à l’été 2021.

15 septembre 2020

L’affaire Dupont de Ligonnès, pas si simple à adapter

hom20

M6 propose une mini-série « librement inspirée » du quintuple meurtre de Nantes en 2011. Un exercice périlleux

M6

MARDI 15 - 21 H 05

SÉRIE

Il n’aura pas fallu longtemps avant que cela ne nous échappe : qu’est-on venu faire dans cette galère ? Annoncée en grande pompe par M6, la mini-série (quatre épisodes) « librement inspirée » de l’affaire Dupont de Ligonnès cumule les handicaps. Le premier est de s’attaquer à un fait divers « monstre », un quintuple meurtre familial survenu à Nantes en 2011, dont la plupart des détails sont largement connus. Le deuxième est de revendiquer son caractère fictionnel tout en collant trop aux faits réels pour qu’on les oublie. Le troisième est le manque cruel d’ambition de cette adaptation sérielle, qui aurait demandé six, voire huit épisodes, un scénario plus fin, des acteurs mieux choisis, des dialogues crédibles et une réalisation moins pataude. Le dernier, et non des moindres, est de débarquer sur les écrans quelques semaines après que la France s’est replongée dans l’histoire Dupont de Ligonnès grâce à la vaste enquête que le magazine Society lui a consacrée. Difficile en effet de s’imposer comme le feuilleton de l’automne lorsque le feuilleton de l’été porte sur le même sujet.

Une « hypothèse » fictionnelle

Un homme ordinaire narre les derniers jours de Christophe de Salin (Arnaud Ducret), mari et père en apparence très normal, avant qu’il ne se volatilise en laissant derrière lui les cadavres enterrés – sous un abri de jardin et non sous la terrasse – de sa femme et de ses quatre enfants. A part les noms, les lieux et quelques détails, l’intrigue reprend telle quelle l’affaire Dupont de Ligonnès. Mais la série s’achève sur une « hypothèse » fictionnelle pour expliquer la disparition du père, probable assassin. Pour ce faire, elle met en scène un personnage fictif, Anna-Rose (Emilie Dequenne, la seule à tirer son épingle du jeu), informaticienne et hackeuse de génie, qui va tenter de découvrir la vérité en créant un forum sur Internet et en s’improvisant enquêtrice.

Cela ne suffit malheureusement pas à sauver Un homme ordinaire du naufrage. Personnages, dialogues, rebondissements, voix off, tout sonne faux. C’est d’autant plus dommage que, Society l’a montré, l’affaire Dupont de Ligonnès contient en elle un formidable matériau narratif.

Un homme ordinaire, de Pierre Aknine. Avec Arnaud Ducret, Emilie Dequenne, Chloé Lambert, Quentin Faure (Fr., 2020, 2 × 55 min, épisodes 3 et 4 diffusés mardi 22).

Publicité
15 septembre 2020

La très belle Milo Moiré photographiée par Peter Palm

Belle-de-Jour18

Dunes-splayed-legs-8-von-14

Hotel-Moire-10-von-14-2

15 septembre 2020

La branche yéménite d’Al Qaida, affaiblie, menace « Charlie Hebdo »

Les services de l’antiterrorisme craignent moins une attaque « projetée » qu’un passage à l’acte d’individus isolés

Dix-neuf ans après les attentats du 11-Septembre et quelques jours après l’ouverture du procès des attentats de janvier 2015 à Paris, Al-Qaida dans la péninsule Arabique (AQPA), la branche yéménite du réseau djihadiste, a de nouveau appelé, vendredi 11 septembre, à attaquer l’hebdomadaire satirique Charlie Hebdo, le député néerlandais Geert Wilders, ainsi que les auteurs danois et suédois de certains dessins.

Si la date anniversaire des attaques sur le sol américain est un rendez-vous que le groupe djihadiste ne manque jamais de « célébrer », la remise à la « une » des caricatures de Mahomet a donné lieu cette fois à la diffusion d’une lettre de cinq pages de menaces. AQPA y appelle « les musulmans de France, d’Europe et de l’extérieur (…), les moudjahidine de tous les fronts et nos héroïques lions solitaires à les poignarder à leur retour ».

« Vous avez diffusé une première fois vos dessins en pensant être à l’abri de toute attaque (…). Nous rappelons à la France et à son journal que, depuis l’attaque de nos deux héros [les frères Kouachi], plus de 251 Français sont morts lors d’opérations djihadistes et des centaines ont été blessés sur son sol. Qui vous assure que vous ne ferez pas partie des prochaines centaines ? », ajoute le groupe, qui reprend à son compte les attentats de l’Etat islamique (EI).

Attaques de faible envergure

Ces menaces renouvelées sont pourtant l’œuvre d’une organisation affaiblie. Dont la propagande dirigée vers l’« extérieur » se faisait rare depuis de longs mois. Autrefois la plus puissante franchise de la mouvance Al-Qaida, AQPA accumule aujourd’hui les revers au Yémen après avoir un temps tiré partie des conflits qui déchirent le pays. Elle a perdu en février son émir et l’un de ses fondateurs, Kassim Al-Raïmi. Sur la défensive, elle n’a revendiqué que des attaques de faible envergure ces derniers mois. Depuis 2015, le groupe a été lié à seulement à deux attaques à l’extérieur du Yémen : celle de janvier 2015 contre Charlie Hebdo à Paris et une fusillade, en décembre 2019, sur la base navale militaire de Pensacola, en Floride. Peu avant sa mort, Kassim Al-Raïmi avait à ce titre revendiqué en son nom le meurtre de trois membres de l’aéronavale américaine par un militaire saoudien en formation aux Etats-Unis.

Après des mois d’enquête, le FBI a établi que l’assaillant avait échangé avec au moins un membre de l’organisation. Et un Tweet publié par le jeune Saoudien peu avant l’attaque rappelle l’influence durable que peut exercer la propagande d’AQPA. Il y mentionnait Oussama Ben Laden et Anwar Al-Aulaqi, imam américano-yéménite devenu une figure du groupe avant sa mort, en 2011. Al-Aulaqi avait d’ailleurs été cité par Chérif Kouachi dans les heures qui ont suivi l’attaque de Charlie Hebdo.

Pour l’antiterrorisme français, ces nouvelles menaces publiques d’AQPA ne constituent pas non plus vraiment une surprise. L’organisation terroriste n’a jamais quitté leurs radars. Elle s’inscrit plutôt dans la surveillance globale de la menace terroriste visant le territoire, au même niveau que celle, persistante, venant de l’organisation Etat islamique ou d’autres structures. Une menace jugée plus faible qu’en 2015 ou 2016, mais qui continue de mobiliser une part importante de l’appareil sécuritaire hexagonal.

Les mises en garde adressées par AQPA à Charlie Hebdo et plus largement à la France vont donc être prises en compte. La principale inquiétude vient toutefois moins d’une menace dite « projetée » – venant de l’étranger – que du fait que la publicité accordée à la propagande de l’organisation djihadiste puisse inspirer des passages à l’acte, notamment d’individus isolés ou fragiles psychologiquement, tels que ceux ayant commis les trois dernières attaques avec revendication religieuse en France depuis le début de l’année 2020 : trois attaques, pour l’heure non revendiquées.

Cette menace « endogène » demeure la plus compliquée à cerner et à prévenir pour les services enquêteurs. Aujourd’hui, si le risque de formation d’une cellule terroriste structurée sur le territoire français est considéré comme faible, les risques provenant du basculement très rapide de personnes ayant des antécédents psychiatriques continuent d’inquiéter. Selon nos informations, la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) travaille d’ailleurs toujours à améliorer la détection de ce type de profil.

La menace « projetée », telle celle des frères Kouachi contre Charlie Hebdo en 2015, dont l’un d’eux était venu prendre ses ordres au Yémen quelques années plus tôt, avant de rentrer en France, est, elle, considérée comme peu probable. Le transport aérien est beaucoup plus surveillé qu’en 2015, même chose pour les voies maritimes.

Concernant les risques venant de la zone irako-syrienne, malgré les raidissements du président turc, Recep Tayyip Erdogan, le « verrou » turc semble encore être efficace, aux dires des spécialistes. Demeurent deux points de vigilance aujourd’hui : le Maghreb et la Libye. Deux régions considérées comme de possibles bases arrière ou une nouvelle zone « rebond » pour les candidats au djihad de tous ordres, en particulier francophones.

15 septembre 2020

Palais de l'Elysée - Présidence de la République

elysée

15 septembre 2020

Guillaume Canet tourne à Belle Ile en Mer

guillaume canet

En exclusivité, vendredi 11 septembre 2020, Le Film Français dévoilait un nouveau projet de Guillaume Canet. Dès le 14 septembre (hier), il jouera et tournera à Belle-Île-en-Mer (Bretagne) le film "Lui".

En annonçant en janvier dernier le démarrage prochain du tournage d'"Astérix et Obélix : L'Empire du Milieu", Guillaume Canet ne s'attendait pas à ce que ses plans soient repoussés d'une année à cause de la pandémie. Trésor Films, Pathé et Les Enfants Terribles se sont résignés en mai dernier en expliquant dans un communiqué : "Après beaucoup de réflexions et de modélisation de différents cas, nous avons décidé de démarrer notre tournage le 8 mars 2021, avec une préparation qui reprendra le 9 novembre 2020." Loin d'abdiquer, le compagnon de Marion Cotillard a revu complètement son emploi du temps pour reprendre au plus vite le chemin des plateaux. Avant d'adapter les Gaulois sur grand écran, le réalisateur et acteur va tourner "Lui" à Belle-Île-en-Mer.

Mathieu Kassovitz comme bon copain, Nathalie Baye comme mère

Si son huitième long-métrage reste encore mystérieux, Le Film Français en révèle les toutes premières informations comme le relaie AlloCiné: "Il tiendra également le rôle principal de ce film centré sur un compositeur de musique en pleine remise en question, qui s'isole dans une maison en Bretagne pour faire le point sur sa vie, et recroiser toutes les personnes qui comptent pour lui : sa femme, sa maîtresse, ses amis, ses parents, etc." Virginie Efira sera son épouse, Laëtitia Casta sa maîtresse : un duel de charme en prévision. Mathieu Kassovitz incarnera le meilleur ami de Guillaume Canet tandis que Nathalie Baye et Patrick Chesnais seront ses parents.

15 septembre 2020

Covid 19 - Ecoles en Bretagne

covid ecoles bretagne

Publicité
Publicité