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Jours tranquilles à Paris
4 juin 2020

Sylvio Testa

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4 juin 2020

Black and White

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4 juin 2020

‘WITH THE TIDES’ A NEW VISUAL STORY BY ‘MELISSA GREENE’ {NSFW/EXCLUSIVE EDITORIAL}

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Photographer Melissa Greene is our featured artist for today’s exclusive NAKID feature editorial titled, ‘With The Tides‘. Set on Black Sands Beach, she wanted to incorporate her performer style into her own modeling. In the night, she performs at clubs dressing up into different characters. This set blends her two creative styles together as she flows from one to another.

If you love this visual story then show them some love, this is just a glimpse of the amazing stuff they have created – head over to their Instagram below to check out more from this awesome artist and support their creativity and your daily inspiration by following them!

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4 juin 2020

NORMAL Magazine

5 juin 2020 - shooting en live

Julien Benhamou & 5 danseurs - Atelier Beyond, Paris

12h - 16h

Thème : La Danse et le mouvement

12h Shirwann Shifu & Victoria Dauberville

13h Elena Ramos

14h00 Audric Bezard (Premier danseur de l'Opéra de Paris)

15h Andreas Giensen & Chloé Revillon (à confirmer)

https://www.normal-magazine.com/chaine-tv-normal-magazine#

3 juin 2020

Monica Bellucci

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3 juin 2020

Erik Tranberg

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3 juin 2020

The Selects Gallery

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The Selects Gallery a été fondée en février 2018 à New York comme plate-forme pour découvrir, apprendre et acquérir les photographies d’art des meilleurs photographes de mode du monde.

La galerie est née du désir de la fondatrice Marie Audier D’Alessandris de donner une seconde vie à ces images dormant dans des archives et dans bien des cas oubliées après la séance photo originale.

Marie est une Franco-Américaine mariée à un Italien et maman de 2 garçons, résidant à New York après plusieurs années en Amérique latine. Tout au long de sa carrière en tant que directrice mondiale de la mode et de la beauté, Marie a eu le privilège de travailler avec certains des photographes les plus talentueux de l’industrie, ainsi qu’avec leurs équipes de maquilleurs, coiffeurs et stylistes.

Elle a toujours pensé que le talent et les budgets nécessaires à la création de telles images n’étaient pas à la mesure de leur courte durée de vie, car la majorité est archivée après avoir été publiée dans un magazine pendant un mois. Elle a également réalisé que la plupart des photographes de mode sont plus intéressés par le processus créatif de prise de vue que par la gestion de leurs archives.

Elle considérait cela comme un gaspillage artistique total.

En tant que  Chef du marketing chez Coach, elle a été intimement témoin des changements majeurs dans le monde des médias et s’est rendu compte que nous serions bientôt tous nostalgiques de ces images incroyables qui peuplaient les grands magazines de mode

Marie a ressenti le besoin de donner une seconde vie à ces images avec The Selects Gallery en fouillant dans les archives des photographes de beauté et de mode les plus emblématiques du passé et du présent pour dénicher leurs joyaux cachés.

Les Artistes:

Dans cette quête, The Selects Gallery présente exclusivement le travail de photographes très respectés par l’industrie de la mode mais moins connus du grand public:

– Photographes de mode et de beauté contemporains de renom qui continuent de travailler très activement tels que Kenneth Willardt, Sylvie Castioni, Greg Lotus, Paul Bellaart, Emmanuelle Hauguel, ou Richard Phibbs. .

La Selects Gallery est également la première galerie à travailler avec la succession de Chris von Wangenheim et à montrer son travail pour la première fois en 40 ans à Art New York Art Fair en mai 2019.

Le photographe Chris Von Wangenheim a radicalement défié le goût du public avec des photographies de haute couture capturant le zeitgeist et les changements culturels des années 70. Bien qu’ils soient appelés «les trois terribles» avec Guy Bourdin et Helmut Newton, ses images sont restées largement invisibles depuis sa mort tragique en 1981.

www.theselectsgallery.com

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3 juin 2020

Bond : Photographié par Terry O’Neill

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Terry O’Neill a eu sa première chance de photographier Sean Connery en tant que James Bond dans le film Goldfinger. À partir de ce moment a été créée l’association d’O’Neill avec Bond: un héritage durable qui s’est perpétué jusqu’à l’époque de Daniel Craig. C’est O’Neill qui a capturé les images graveleuses et coquines de Connery sur le plateau, et c’est O’Neill qui a encadré le super-suave Roger Moore dans Live and Let Die. Ses images d’Honneur Blackman en tant que Pussy Galore sont également importantes, célébrant le rôle vital des femmes dans le monde de James Bond. Mais ce sont les photographies décontractées sur le plateau de Terry O’Neill d’un Connery espiègle se promenant dans les casinos de Las Vegas ou de Roger Moore dansant sur un lit avec sa co-star Madeline Smith qui montrent l’autre côté de l’espionne la plus reconnaissable au monde.

James Clarke ouvre les archives de Terry O’Neill pour donner aux lecteurs – et aux spectateurs – la chance d’entrer dans le monde éblouissant de James Bond. Les images somptueuses en couleur et en noir et blanc sont complétées par des idées d’O’Neill, ainsi qu’une série d’essais originaux sur le monde de James Bond par le cinéaste de longue date de la BAFTA, James Clarke; et des entretiens récemment menés avec un certain nombre d’acteurs figurant sur les photographies d’O’Neill.

Terry O’Neill CBE était l’un des photographes les plus collectionnés au monde, avec des œuvres accrochées dans des galeries d’art nationales et des collections privées du monde entier. Des présidents aux stars de la pop, il a photographié la ligne de front de la renommée depuis plus de six décennies. Aucun autre photographe n’a embrassé la renommée à ce point, capturant les icônes de notre époque de Winston Churchill à Nelson Mandela, de Frank Sinatra et Elvis à Amy Winehouse, Audrey Hepburn et Brigitte Bardot.

James Clarke est l’auteur de nombreux livres sur et sur le monde du cinéma, dont The Pocket Essentials: Steven Spielberg, The Virgin Film Guide: War Films, The Virgin Film Guide: Coppola, Bodies in Heroic Motion: The Cinema of James Cameron et L’année du geek. Clarke écrit pour Little White Lies et a été publié dans Empire, Moviescope, Sci Fi Now, 3D World et 3D Artist.

Bond : Photographié par Terry O’Neill

La Collection Définitive

Terry O’Neill; édité par James Clarke

ISBN: 9781788840729

£ 50,00

https://www.accartbooks.com/

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3 juin 2020

Abbas by Abbas, le dernier message d’un maître de la photographie

Le photographe emblématique de l’agence Magnum livre dans ce formidable documentaire réalisé par Kamy Pakdel, un témoignage unique sur sa vie. Précieux legs du grand photojournaliste franco-iranien disparu en 2018 à l’âge de 74 ans. A voir en replay sur lcp.fr.

« Ce genre de film, on le fait juste avant de mourir. » Se sentant affaibli et condamné par la maladie, Abbas Attar accepte en 2018 ce qu’il avait toujours refusé : un film portrait sur son oeuvre que le réalisateur Kamy Pakdel lui avait proposé 20 ans plus tôt. Si l’homme, très pudique, a toujours tenu à se faire discret, ses photos ont fait parler la grande histoire. D’Israël à l’Irlande du Nord en passant par Sarajevo, le Vietnam, l’Iran ou l’Afrique du Sud, Abbas a couvert inlassablement, pendant plus de cinquante ans, les grands tumultes de la fin du XXe siècle.

« Je mets un voile émotionnel entre la scène et moi-même »

Devant les caméras, le photographe accepte de faire le chemin inverse. Appareil toujours à la main, il feuillette ses albums dans les locaux parisiens de l’agence Magnum, qu’il a intégrée en 1980 après avoir travaillé pour Sipa et Gamma. Les photos défilent par thèmes. Le fanatisme, la spiritualité, la beauté, la dérision… La violence est le premier. « Malheureusement mon chapitre le plus fourni », regrette presque le photographe. La première image : Le bunker de Moshe Dayan, prise pendant la Guerre du Kippour en 1973, à la frontière syro-israélienne. Le militaire au bandeau, héros d’Israël, est devenu ministre de la Défense. Depuis la fente d’un bunker déchiqueté par les tirs d’artillerie, il observe les lignes ennemies à travers un seul œilleton de ses jumelles. Un des premiers scoops d’Abbas.

S’en suivent les clichés de la révolution islamique en Iran. « J’étais concerné, impliqué, c’était mon peuple », confie le franco-iranien. La photo de cette femme, accusée de soutenir le Shah, molestée en pleine rue, celle des corps des généraux exposés à la morgue… De 1978 à 1980, Abbas couvre frénétiquement la crise qui frappe son pays natal. Comment gérer ces scènes d’une extrême violence lui demande-t-on ? « Je mets un voile émotionnel entre la scène et moi-même, répond Abbas avant d’ajouter. Ensuite ça revient, plus tard, dans mes cauchemars. Comme des bombes à retardement. »

La question éthique se pose souvent. Faut-il publier cette photo ? Le photojournaliste revient sur son cliché, pris en 1978, devenu le symbole de l’Apartheid. Un colonel blanc, en uniforme, directeur d’une école de police pour Noirs, pose, autoritaire, devant ses élèves torses nus disposés en rangs. Une mise en scène organisée par Abbas. Avait-il travesti la réalité ? Il reverra cet homme 20 ans plus tard. « C’était un homme très gentil, pas du tout fanatique. Ici, ce n’est pas l’homme que je photographie, mais l’uniforme, l’Etat », explique-t-il.

Capturer le moment suspendu du monde

L’oeuvre d’Abbas nous offrent une fresque de l’humanité en noir et blanc. L’humiliation, la souffrance de l’homme : Cette femme entourée par plusieurs soldats en Irlande du Nord, hurlant de douleur après avoir été blessée par une bombe de l’IRA en juin 1972. Ce soldat bosniaque, pleurant chaque jour sa femme disparue, dans un cimetière de Sarajevo en 1993…

Sur chaque photo, chaque reportage, l’impressionnante rigueur d’Abbas nous frappe. « Même quand je photographie le chaos, j’essaie de l’ordonner », plaisante-t-il. Maître du contre-jour, son noir et blanc est d’une infinie richesse, sa composition si méthodique. « Le photographe est celui qui écrit avec la lumière », aime-t-il rappeler en marchant dans les rues parisiennes. Derrière chaque cliché, Abbas cherche à « capturer un moment suspendu », à donner l’impression que les sujets ont continué leur action après le déclenchement de l’appareil.

Curieux de tout, son oeil s’arrête longuement sur les religions. Un des sujets les plus importants de sa carrière de grand reporter. L’islam, le christianisme, les coptes, les hindous… Abbas parcourt le monde de la foi, des fanatismes, et entretient « une relation cordiale avec Dieu, professionnelle », s’amuse-t-il à dire. La religion est pour lui un prétexte pour « regarder ces sociétés en devenir ». Il y consacrera trente années de sa vie.

« Après plus de 55 ans de photo, que restera-t-il ? »

L’homme de 74 ans n’a plus la barbe fournie de ses jeunes années. La maladie et l’extrême fatigue l’obligent parfois à suspendre le tournage. Mais il n’a perdu ni son humour, ni sa malice. Sous son chapeau qui écrase légèrement ses oreilles et derrière ses lunettes rondes, on le découvre rieur, pétri de dérision. Sa photographie est baignée de cette même ironie. On sourit devant l’absurdité de certaines scènes : ce moudjahidin, kalachnikov à la main, pris au bord d’une route Afghane, assis sur un lit superposé en ferraille enfoncé dans la boue, ou ce Mexicain, perdu en plein désert, portant sur son dos une table en bois tel Atlas supportant le monde. Une des photos préférées d’Abbas.

En quelques jours d’entretiens, Kamy Pakdel parvient à dresser le portrait très touchant d’un monument de la photographie qui s’apprête à léguer son héritage. « J’arrive à la fin de ma vie de photographe, à la fin de ma vie tout court. Après plus de 55 ans de photo, que restera-t-il ? », demande Abbas à son interlocuteur. Il nous livre ici un magnifique témoignage testamentaire. Abbas ne verra jamais le résultat final de ce film. Il décède en avril 2018, une semaine après la fin du tournage. Clap de fin d’un oeil universel.

Michaël Naulin

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Abbas by Abbas, de Kamy Pakdel, 2019

54 min.

Prochaine diffusion : Mercredi 1er juillet 2020 à 00:30 sur LCP

Disponible en replay jusqu’au 11 juin sur Lcp.fr

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3 juin 2020

Fanny Müller

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Fanny Müller - Traveling dancer photomodel — Netherlands,Belgium🇳🇱🇧🇪. m.fanny.v@gmail.com - mullerfanny.com

https://www.instagram.com/fannymuller_model/?hl=fr

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