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Jours tranquilles à Paris
30 juillet 2013

Le député Modem Jean Lassalle ne voit pas François Hollande finir son mandat

Jean Lassalle, le député MoDem qui effectue un tour de France à pieds depuis le 10 avril pour prendre le temps de discuter avec les Français, a désormais une certitude. Il pense que François Hollande ne restera pas à l'Elysée jusqu'en 2017. Celui que François Bayrou compare à Gandhi était dimanche 28 juillet à Dijon, en Bourgogne. Et Le Bien Public écrit : 

Jean Lassalle [...] s’est dit alarmé d’apprendre que le président de la République avait été sifflé sur les Champs. Un Président "Bisounours", qu’il ne voit "pas finir son mandat dans le contexte actuel".

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24 juillet 2013

Edouard Balladur soupçonné d'avoir détourné les fonds spéciaux de Matignon pour sa campagne présidentielle de 1995

C'est une ramification de la vaste enquête sur l'affaire Karachi. Selon Le Monde, mercredi 24 juillet, les juges Renaud Van Ruymbeke et Roger Le Loire soupçonnent Edouard Balladur d'avoir détourné les fonds spéciaux de Matignon pour sa campagne présidentielle de 1995. Les deux magistrats ont obtenu un réquisitoire supplétif leur permettant d'enquêter sur d'éventuels "détournements de fonds publics".

18 juillet 2013

Le taux du Livret A passera de 1,75 % à 1,25 % le 1er août

Ce sera 1,25 % à partir du 1er août, au lieu de 1,75 % actuellement. La décision a été officialisée, jeudi 18 juillet, par le ministre de l'économie, Pierre Moscovici, lors d'une conférence de presse commune avec la ministre du logement, Cécile Duflot. Amené à arbitrer sur le taux du Livret A, le président de la République, François Hollande, a finalement tranché en faveur du compromis, pour favoriser le financement de l'économie et la construction de logements sociaux, tout en préservant un peu de pouvoir d'achat pour l'épargnant. Le Livret A finance non seulement le logement social, priorité affichée du quinquennat, ainsi que certains prêts stratégiques pour les politiques publiques (PME, collectivités locales, etc.). Plus le taux du Livret est bas, moins la ressource est chère.

18 juillet 2013

Autocollants slogans "Manif pour tous" - Montparnasse près d'un arrêt de bus

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Photos prises avec mon IPhone

15 juillet 2013

Des dizaines de militants de Greenpeace ont pénétré dans la centrale du Tricastin (Drôme)

Plusieurs dizaines de militants de Greenpeace ont pénétré dans la centrale du Tricastin, située dans la Drôme, lundi 15 juillet au matin, montant sur les infrastructures entourant les réacteurs pour y déployer deux banderoles, rapporte l'organisation écologiste sur son site. Les gendarmes de la Drôme ont confirmé leur présence vers 6h30, sans donner davantage de précisions.

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14 juillet 2013

Le Président de la République dans le jardin de l'Elysée ce midi

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Hollande : 6 choses à retenir de l'intervention du 14 Juillet

Source : Le Nouvel Observateur avec AFP 

Le chef de l'Etat n'a pas fait d'annonces majeures, mais un point sur les impôts, le chômage, les retraites, la guerre au Mali et le gaz de schiste.

Au plus bas dans les sondages, François Hollande a renoué avec le traditionnel entretien du 14 Juillet depuis l'Elysée. Depuis les jardins du Palais présidentiel, le chef de l'Etat a répondu pendant 35 minutes aux questions de Claire Chazal (TF1) et de Laurent Delahousse (France 2). Au programme : pas d'annonces majeures, mais un point sur la situation économique et internationale du pays.

- Les économies et les impôts

"La reprise elle est là", s'est exclamé François Hollande, à qui l'on demandait si la prévision de contraction de 0,2% de l'économie pour 2013 de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) l'inquiétait. "Il y a une production industrielle qui repart", a-t-il argué, affirmant que la France était le pays d'Europe où la production industrielle est le plus rapidement repartie".

 Le chef de l'Etat a rappelé que "la politique, ce n'est pas de la magie, c'est une volonté, une cohérence." Il a dit vouloir "favoriser l'investissement", notamment avec le plan d'investissements d'avenir présenté par le Premier ministre. "Quelle France voulons-nous dessiner pour les 10 ans qui viennent ?", a-t-il interrogé, citant la transition énergétique, les nouvelles technologies, les infrastructures et la recherche.

Interrogé sur le risque de tuer la reprise dans l'oeuf par des hausses de prélèvements fiscaux, il s'est engagé à augmenter les impôts "dans l'idéal, le moins possible". "Oui, nous allons faire, nous avons fait des économies, et je ne ferai des augmentations d'impôts que si elles sont absolument indispensables, dans l'idéal le moins possible", a-t-il déclaré.

En mars, avril et mai, la production industrielle cumulée a augmenté de 1% par rapport aux trois mois précédents et de 0,6% dans le seul secteur manufacturier, c'est-à-dire sans prendre en compte l'énergie et le secteur minier. Sur le seul mois de mai, la production a diminué de 0,4% par rapport au mois précédent, après avoir augmenté de 2,2% en avril. L'industrie française suit une évolution semblable à celle de son homologue allemande, dont la production a reculé de 1% en mai après un bond de 2% en avril.

- Le chômage et les retraites

François Hollande a réaffirmé son "engagement" d'inverser la courbe du chômage d'ici la fin de l'année, ajoutant qu'il "se battait" pour l'emploi, alors que le nombre de demandeurs d'emploi est de 3,26 millions. "C'est une volonté, c'est une stratégie, c'est une cohérence", a-t-il poursuivi énumérant les dispositifs mis en place en faveur de l'emploi.

Il y aura "100.000 emplois jeunes d'ici la fin de l'année, et 70.000 contrats de génération au début de l'année prochaine", a indiqué le président, évoquant aussi la formation de chômeurs pour pourvoir, d'ici la fin de l'année, 35.000 emplois qui ne trouvent pas preneurs. Interrogé sur le coût des emplois aidés, François Hollande a déclaré "préférer qu'un jeune ou un moins jeune soit dans l'activité plutôt qu'au chômage". "Le principe, c'est le travail", a-t-il expliqué. Toutefois, a dit le chef de l'Etat, "la création d'emploi viendra des entreprises".

François Hollande a réaffirmé que la réforme des retraites passerait par "un allongement de la durée de cotisation" pour une retraite à taux plein. Le chef de l'Etat a ajouté qu'il veut "définir maintenant les modalités d'une réforme durable" pour les retraites, tout en disant "ne pas prétendre le faire pour toujours". Mais, a-t-il prévenu, il faudra aussi "des mesures immédiates" en raison de "l'ardoise" de 20 milliards d'euros prévue en 2020. Il a rappelé sa méthode, "le dialogue", citant le précédent de l'accord sur la réforme du marché du travail. Le gouvernement a entamé une concertation avec les syndicats et le patronat sur les retraites avant un projet de loi en septembre.

François Hollande a souligné que "la réforme est nécessaire". "C'est notre responsabilité", a-t-il dit en expliquant qu'on ne pouvait pas ne pas "tenir compte" de l'allongement de l'espérance de vie. "Deuxièmement, il y a un déficit de 20 milliards. On ne va pas l'effacer d'un seul coup mais nous devons prévoir des financements et des économies qui permettront de l'effacer. Et il y a la justice à introduire", a-t-il ajouté, évoquant "des métiers plus pénibles que d'autres", des petites retraites ou encore la situation de certaines femmes. Il a confirmé l'allongement progressif de la durée de cotisation, de 41,5 ans pour la génération 1955. "Tout le monde fera un effort, chacun peut le comprendre", a-t-il prévenu. "Ce ne sera pas d'un seul coup [...] Chacun sera appelé à faire un effort selon les ressources dont il peut disposer".

- La guerre au Mali

François Hollande a affirmé qu'"une victoire qui a été remportée" par les forces françaises et africaines au Mali. "C'est une victoire pour l'Afrique, une victoire contre le terrorisme", a-t-il dit, en soulignant "la fierté que nous devons avoir". "La France, avec les Africains qui se sont mobilisés, l'Europe qui nous a soutenus, les Nations-Unies qui nous ont donné le cadre, [...] oui, c'est une victoire", a-t-il déclaré.

"J'ai été salué en Afrique, non pas pour ce que j'avais fait, mais pour ce que j'avais décidé. Ceux qui ont agi, ce sont les soldats français. Nous avons vaincu le terrorisme au Mali, nous ne l'avons pas vaincu partout", a-t-il souligné, estimant que la France devait soutenir les pays qui font appel à elle mais qu'elle ne ferait "pas la guerre partout". La France compte encore 3.200 soldats au Mali, six mois après le début de l'opération Serval.

"Les otages du Mali, nous faisons tout pour les ramener", a également déclaré le président en évoquant le chiffre de "six", "sept" otages. "Nous avons hélas des informations les plus mauvaises sur Philippe Verdon [...] Hélas, tout indique qu'il serait mort il y a déjà plusieurs semaines", a relevé François Hollande.

En ce qui concerne les deux journalistes enlevés en Syrie, le chef de l'Etat a dit que le gouvernement "faisait tout pour savoir d'abord où ils sont, pour connaître exactement les intentions de leurs ravisseurs". Dimanche, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a indiqué que les deux Français sont vivants.

- Le gaz de schiste

François Hollande a exclu pendant sa présidence toute exploration du gaz de schiste : "Tant que je suis président, il n'y aura pas d'exploration de gaz de schiste. C'est quoi le gaz de schiste ? C'est un eldorado, là, qu'il suffirait de creuser", a ironisé le chef de l'Etat.

Une loi de 2011 "interdit l'exploration du gaz de schise sur la méthode de la fracturation hydraulique", qui présente des "risques" pour les nappes phréatiques "selon les techniques d'aujourd'hui", a-t-il souligné. "On en voit un certain nombre de conséquences aux Etats-Unis", a ajouté François Hollande.

Le chef de l'Etat en a profité pour rappeler que "dans le gouvernement, il n'y a pas de statut particulier". Une phrase à l'attention ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg, qui a exprimé récemment une position personnelle et distincte de celle du gouvernement sur le gaz de schiste.

- Nicolas Sarkozy, Delphine Batho et les écolo

François Hollande a affirmé ne pas craindre un retour de Nicolas Sarkozy, estimant que son prédécesseur pouvait "parfaitement être de nouveau candidat" en 2017 mais qu'il n'avait "pas de commentaires" à faire "sur la situation à droite". "J'ai suffisamment de préoccupations pour le service de l'Etat sans regarder vers 2017", a-t-il ajouté.

Concernant le limogeage de Delphine Batho, le chef de l'Etat explique que l'ancienne ministre de l'Ecologie a transgressé "la règle". "J'avais fixé une règle : [...] Si un ministre conteste le budget, il ne pourra pas rester au gouvernement. Delphine Batho [...] s'est exprimée sur le budget en disant qu'il n'était pas bon. Pas seulement le sien, mais d'une manière générale. Alors j'en ai tiré toutes les conclusions avec le Premier ministre Jean-Marc Ayrault. Cela ne m'a pas fait plaisir, mais c'est la règle", a-t-il poursuivi.

Interrogé sur la prise de distance du parti Europe Ecologie-Les Verts, qui pourrait présenter ses propres listes distinctes aux élections municipales de 2014, François Hollande dit respecter les débats mais défend la nécessité "d'être soudés".

- La déraillement de Brétigny

Enfin, François Hollande a affirmé ne pas privilégier l'hypothèse d'un acte de malveillance pour expliquer le déraillement du train Paris-Limoges vendredi dans la gare de Brétigny-sur-Orge (Essonne), qui a fait six morts. "On ne doit rien écarter mais ce n'est pas l'hypothèse que, aujourd'hui, je privilégie. Je pense que nous sommes devant une défaillance matérielle", a-t-il déclaré. La SNCF a évoqué comme principale piste pour expliquer cette catastrophe ferroviaire la défaillance d'une pièce d'acier de dix kilogrammes dans le système d'aiguillage.

"Pour ce que je sais d'ores et déjà, c'est une défaillance matérielle: est-ce qu'elle a été provoquée par un défaut d'entretien ou vétusté ? Cela nous obligera à tirer des conclusions", a déclaré le chef de l'Etat, qui s'était rendu sur les lieux trois heures après l'accident. Il a rappelé que trois enquêtes étaient en cours : une du ministère des Transports, une de la SNCF et de RFF, et une de la justice. "Nous devons faire beaucoup plus pour l'entretien des lignes classiques, des lignes existantes", a dit le président, rappelant qu'il avait "emprunté pendant des années" cette ligne Paris-Orléans-Limoges-Toulouse dans des "wagons pas toujours les plus modernes".

"La première conclusion que nous tirerons est de faire que, dans les investissements qui seront importants ces prochaines années, nous mettions la priorité sur les lignes classique, les intercités", a-t-il assuré. Le Premier ministre Jean-marc Ayrault a annoncé "la rénovation d'un certain nombre de ces lignes, en gardant les lignes TGV quand elles sont nécessaires mais pas partout !", a souligné le président.

5 juillet 2013

SARKOZY, LE RETOUR...

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Nicolas Sorkozy sur Facebook

#SARKOZY Certains tweets sont prémonitoires sans le vouloir. Le site de Vanity Fair rappelle ainsi le message posté par Nicolas Sarkozy sur le réseau social le soir de sa défaite, le 6 mai 2012. 

"Jamais je ne pourrai vous rendre tout ce que m’avez donné. Vous m’avez tellement donné", disait alors le candidat UMP. La phrase sonne bizarrement alors que le Conseil constitutionnel vient de rejeter ses comptes de campagne, condamnant le parti à rembourser 11 millions d'euros à l'Etat.

4 juillet 2013

La France rejette la demande d'asile d'Edward Snowden

La France ne veut pas d'Edward Snowden sur son sol. Le ministère de l'Intérieur annonce jeudi 4 juillet qu'il rejette la demande d'asile de l'ancien informaticien de la NSA qui a révélé un vaste système d'espionnage des télécommunications par les Américains. "La France a reçu, comme beaucoup d'autres pays, par l'intermédiaire de son ambassade à Moscou, une demande d'asile de M. Edward Snowden. Compte tenu des éléments d'analyse juridique et de la situation de l'intéressé, il n'y sera pas donné suite", écrit dans un communiqué laconique le ministère.

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27 juin 2013

Affaire Karachi : on ne nous dit pas tout...

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26 juin 2013

Affaire Karachi : Takieddine reconnaît avoir financé la campagne présidentielle de Balladur, selon "Le Monde"

Il reconnaît avoir remis 6 millions de francs, soit 1,22 millions d'euros à Thierry Gaubert, un proche d'Edouard Balladur, lors de trois voyages à Genève à la fin de 1994. Selon Le Monde, mercredi 26 juin, Ziad Takieddine admet avoir financé la campagne présidentielle de l'ancien Premier ministre en 1995. L'homme d'affaires libanais est poursuivi dans le volet financier de l'affaire Karachi.

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