Sur ce secteur qui recouvre 80 000 m2, le promoteur Bati Conseil Immobilier va entreprendre la construction de 22 000 m2 de locaux tertiaires situés au nord de Landy France 1.

Ce projet architectural, qui veut s’inscrire dans son environnement, a été confié à l’architecte Christian Devillers, lauréat du Grand prix de l’urbanisme 1998.

L’ensemble comprendra 275 places de parking souterrain et s’inscrit dans un concept de développement durable, avec récupération des eaux de pluie, toitures végétalisées et murs de verre.

Le permis de construire a été déposé à l’automne et le chantier devrait démarrer au printemps 2008 pour une durée d’environ 18 mois.

Photos prises à travers la vitre de mon bureau (avec mon "pistolet à images")

On tourne 01
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Hier matin une camionnette de l'association PARADA était garée juste à côté de mon lieu de travail. Cela m'a fait penser aux Roms dont s'occupe cette association. J'avais eu l'occasion de rencontrer quelques membres de PARADA lorsque les Roms étaient installés sur le "terrain vague" dont je suis l'évolution depuis septembre 2006.

Photos prises avec mon téléphone mobile

Ce soir deux heures et quinze minutes pour revenir chez moi en voiture (au lieu des 45 minutes habituelles). Jeudi dernier le record....trois heures et quinze minutes....Beaucoup de personnes viennent travailler en voiture à cause de la grève des transports. Aussi les parkings en sous-sols ne suffisent plus et le "terrain vague" dont je suis l'évolution depuis septembre 2006 a été transformé en parking géant.

Photo JS

Environ 400 Roms de Saint-Denis et Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) ont manifesté aujourd'hui d'un camp de Saint-Denis jusqu'à la mairie de la ville pour "demander l'arrêt des expulsions".

"Nous demandons l'arrêt des expulsions des Roms car nous sommes maintenant Européens, nous voulons le droit à l'accès au travail et que nos enfants puissent aller à l'école", a expliqué Georges, porte-parole des Roms en Seine-Saint-Denis.

Sur des pancartes, tenues par des adultes et des enfants de cette communauté peu habituée à battre le pavé, on pouvait lire : "Nous voulons travailler", "ne nous expulsez pas", "je veux aller à l'école toute l'année" ou encore "nous sommes Européens". (Avec AFP)